Lettre à mes enfants, Eve et Adam… Papa, c’est vrai que tu vas brûler en enfer ? (6 )

Nous avons commencé il y a quelques jours la publication d’un petit récit sous forme de feuilleton.

Il s’agit d’une histoire vraie, les noms des protagonistes ont été changés. L’auteur, le père,  raconte une histoire poignante, une lente descente aux Enfers due à l’islam. Il libère la parole…  :  Pour que la société dans laquelle vous allez grandir et vivre plus tard ne connaisse pas le même sort que notre famille et que l’air que vous allez respirer ne soit pas chargé de tous ces non-dits d’aujourd’hui qui rendront l’atmosphère de demain viciée, je vais libérer ma parole et raconter ce que mon inconscient me disait lorsque je vivais avec votre mère mais que je ne voulais pas entendre.

Ce que j’ai vécu, si nous n’y prenons pas garde la société va le vivre un jour au l’autre avec plus d’inertie et de lenteur que notre famille mais le résultat sera la même : l’explosion.

Voici la sixième partie.

Christine Tasin

Où commence la radicalisation ?
Nazma est arrivée à 13 h, toute contente, c’était son rythme le dimanche depuis la rentrée car elle avait tellement confiance dans ses frères qu’elle n’a jamais daigné assister à un de ces cours.. Je suis reparti de mon côté. À la maison, je me branche sur Internet pour en savoir plus sur cette association.Cette association « culturelle », c’est toujours l’alibbi la culture dans ces associations, est en fait une émanation d’une autre association rattachée à l’APBIF, un mouvement soufi lui-même rattaché aux Abbaches, une secte libanaise. C’est un mouvement rigoriste, mais qui ne s’entend pas trop avec les Frères musulmans.
En cherchant « France Média Culturel », j’apprends que la société a été créée en juin 2016 à Narbonne. Narbonne, la ville où vivait la femme du directeur. Le gérant était Mohamed M, d’après Google si ce n’est pas un homonyme, il s’agit un ami d’enfance de Mohamed Merah ; il avait fait six ans de prison pour ses actes djihadistes.
Les policiers avaient trouvé chez lui un testament. Le directeur de l’association où allaient mes enfants tous les dimanches envoyait donc sa femme à Narbonne, à proximité de la maison d’édition où il commandait ses livres. Et s’ils se connaissaient ? S’ils étaient amis ? C’est beaucoup trop dangereux ! Je suis peut-être parano mais ce que j’ai vu m’a fait frisonner d’effroi.
Alarmé, j’en ai parlé à Nazma :
Ils vont mettre des trucs dans la tête de mes gosses !
— Tu vois le mal partout ! Ce sont des gens bien !
— C’est ça ! Tu verras quand ils vont commencer à leur parler de djihad !
— Le djihad, ce n’est pas un gros mot ! Moi, mon djihad, c’est d’islamiser la France !
— Fais ce que tu as à faire, vis ta vie, mais laisse mes enfants tranquilles : ils ne retourneront plus dans cette association !
— Si, ils iront, j’ai payé !
— Leur vraie école, c’est Saint-Thomas, c’est le CP où ils apprennent à lire, écrire, à compter et surtout le vivre ensemble dans le respect des autres.

Nous ne pouvions plus nous parler normalement. Le ton montait, elle me traitait de menteur ou de raciste. Tout devenait prétexte à conflit, chaque jour nous nous achoppions sur quelque chose : le vendredi, elle passait un enregistrement du coran dans la chambre des enfants ; je débranchais le poste, elle le rebranchait derrière moi.

Elle me regardait avec des yeux de haine. J’étais persuadé qu’elle me poussait à bout : conseillée par ses bonnes amies du quartier, elle voulait que je devienne violent pour avoir une bonne raison de se plaindre contre moi. Mais je ne voulais pas entrer dans cet engrenage, je ne voulais pas lui donner raison.

Un dimanche de fin mars, les enfants sont revenus de l’association et tous les deux en même temps m’ont demandé :
Papa, c’est vrai que tu vas brûler en enfer ?
Je suis sous le choc. J’ai encore la force de leur dire :

Mais non, les enfants, ne vous inquiétez pas.

Cette fois, ça va trop loin, ça devient de l’intégrisme. J’ai commencé à chercher, à regarder chez moi, dans les tiroirs.
J’ai trouvé des attestations de dons de deux cents euros pour l’association EME, pour les cours des enfants. J’ai aussi vu des photos où des petites filles de 5 ans qui allaient aux cours d’arabe l’année dernière avec mes enfants suivaient ces cours voilées dans la France du 21e siècle. J’ai aussi compris grâce à des courriers et des échanges de mails que Nazma avait commencé à chercher un autre appartement depuis septembre dernier.

Le pire a été quand j’ai découvert que le neveu avait comme toujours dans mon dos obtenu des passeports algériens pour Ève et Adam. Il était devenu l’homme de la maison, c’est lui qui prenait les décisions pour mes propres enfants. Que voulait-il faire avec ces passeports algériens? «Pour voyager plus facilement», m’a répondu Nazma. Je devenais fou. Pourquoi mes enfants nés en France ont-ils eu deux passeports ?

J’ai cherché de l’aide. J’ai cherché une association, un service public, un appui extérieur pour me sortir de cette ornière. J’ai cherché, mais je n’ai rien trouvé : il n’y a rien pour des papas comme moi. Je suis finalement allé voir une médiatrice familiale début mai. Après que je lui ai longuement raconté mon histoire, elle m’a dit :

Monsieur, clairement, votre couple est mort. Vous avez un tsunami qui vous arrive à la figure et vos enfants sont en danger. Il faut vous réveiller, il faut reprendre le pouvoir chez vous. C’est tout bête, mais remettez du jambon dans votre frigo et une bouteille de vin sur la table.

J’ai été profondément ébranlé par ce qu’elle m’a dit, j’ai commencé à avoir peur. C’est puéril, mais j’ai acheté du jambon et du vin. Nazma a explosé :
— C’est du harcèlement ! Tu me harcèles !
— Tu es libre de ne pas en manger, de ne pas en boire…

C’était devenu une furie.

Le samedi 6 mai 2017, j’étais à la maison. Nazma attendait que je parte dans l’Oise pour plonger les enfants dans les 4 heures hebdomadaires de devoirs donnés au cours de religion, et je ne partais pas. C’est à ce moment qu’Ève me dit :

— Je suis contente, à l’école d’arabe j’ai tellement bien réussi qu’on va me faire sauter de niveau : dorénavant Adam ira à l’école samedi et moi dimanche.

Ce fut la goutte d’eau qui fit déborder le vase. Non seulement mes enfants étaient baignés à chaque heure du jour et de la nuit, toute l’année, dans la religion musulmane, mais maintenant on voulait aussi les séparer. Parce que – j’en apprendrai plus tard la véritable raison – dans la culture musulmane, les filles sont séparées des garçons à l’âge de sept ans, le prophète ayant épousé sa femme Aïcha quand elle avait sept ans bien qu’il ait attendu qu’elle ai neuf ans pour la déflorer.

— Mais ton Prophète, aujourd’hui on dirait que c’est un pédophile !
— Chez nous, ça n’existe pas, on ne connaît pas ça, la pédophilie !
(Mais enfin, Nazma, que dirais-tu d’un homme qui aurait des relations avec ta fille ?) — Je te dis que c’est un pédophile !
— Tu parles de Mahomet comme ça !

—  Nous, ici, on a la liberté de parler.

—  Depuis l’écriture du Coran le monde a changé. Les gens de Charlie Hebdo avaient le droit de parler, de dessiner des caricatures et de faire ce qu’ils ont fait !
— Les frères Kouachi sont des gens qui ont vengé le prophète !
— Maintenant, c’est fini, on arrête avec cette association de cours d’arabe. Dorénavant, les enfants viendront un week-end sur deux avec moi, à Fouilloy.
— Pas question, j’ai payé, mes enfants sont musulmans !
— Ce sont des fous furieux dangereux !

De quoi tu as peur ? Que je vienne t’égorger dans ton lit ? Tu es obnubilé, tu crois trop ce que tu regardes à la télé !

Je regarde la télé comme tout le monde et je ne peux pas cautionner des choses horribles comme les attentats et même si bien entendu 100% des musulmans ne sont pas des terroristes depuis quelques années en France 100% des terroristes sont des musulmans. !
— je ne peux pas condamner des types qui ont vengé le prophète.

Dixième changement : la maladie de ma mère

C’est pendant cette période de forte tension, courant avril 2017, que ma mère avait commencé à entrer en dépression. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il y a un lien : ma mère adorait ses petits-enfants, mais elle était tendue quand nous étions là, elle ne supportait pas bien le climat engendré autour de la religion et les remarques de Hajal l’avait profondément atteinte, pourquoi appeler Eve par son prénom en arabe Aïwa ?

Pourtant, mes parents faisaient des efforts pour que tout se passe bien : chaque Noël, par exemple, depuis quelques années nous mangions un couscous au repas du réveillon. Certes, nous buvions de l’alcool, mais on faisait un effort ; et pourtant ce n’était jamais assez. Nazma faisait la tête pendant les trois jours qu’on passait ensemble. Difficile de se sentir bien…

Quoi qu’en puisse penser Nazma, ce n’est pas dans ma famille qu’on cultive le racisme et l’intolérance. Un de mes oncles a épousé une Kabyle à Toulouse, une tante a épousé un Juif, et nous partagions souvent de très bons repas de famille ensemble, où la question religieuse n’était jamais abordée. À l’école, je jouais indifféremment avec des enfants boat people, noirs, arabes. Il n’y avait pas de communautarisme, nous ne faisions pas de distinctions et nous pouvions nous parler normalement.

Quand je suis arrivé le 7 mai chez mes parents, j’ai constaté aussitôt que l’état de ma mère s’était aggravé. Elle niait, mais je savais qu’elle avait la phobie des blouses blanches et qu’elle ferait tout pour éviter le médecin.

Je suis rentré à Ivry, perplexe et angoissé :

— Ma mère n’est pas bien, je ne peux pas la laisser comme ça.

— Qu’est-ce que j’en ai à fiche de ta mère ?

— Tu pourrais au moins respecter la grand mère des enfants qui ne t’a jamais fait aucun mal même si je n’ai pas besoin de ta compassion qui de toute façon sonnerait faux.

Le lendemain, après avoir déposé comme tous les matins les enfants à l’école, je pars dans l’Oise et je dis à ma mère : « maintenant tu t’habilles, je t’emmène aux urgences à Amiens». Elle avait 25 de tension, le pouls à 150 pulsations minutes et surtout elle avait perdu beaucoup de poids. Elle mettait deux caleçons sur elle pour cacher sa maigreur. Après un passage aux urgences, l’hôpital l’a gardée pour des examens complémentaires.

Quand je suis rentré à la maison, Nazma n’a rien voulu savoir de mes inquiétudes. À partir de ce jour, elle s’est mise à parler en arabe dans la maison, pour que je ne la comprenne plus et elle s’est dit qu’une fenêtre de tir s’ouvrait pour me faire encore plus de mal et me mettre dans la difficulté avec nos enfants.
Le 12 mai, les médecins m’apprirent que ma mère avait un cancer aux reins hyper envahissant. C’est à ce moment le 12 mai à 10h20 que Nazma a décidé de m’appeler :
Je ne peux plus vivre avec toi, à chaque fois que je te croise, j’ai la boule au ventre. On se sépare.
J’étais au chevet de ma mère, on venait de m’apprendre que ce serait très compliqué, et elle me dit ça.
Écoute, on fait la paix des braves pour l’instant, j’ai d’autres choses à gérer, ma mère est très malade…

— Non, on se sépare, et je demande la garde pleine et entière des enfants.
Dire que Maman a toujours été gentille avec elle, qu’elle ne lui a jamais cherché  d’histoires…
J’ai vécu à partir de ce 12 mai les semaines les plus affreuses de ma vie.

Le médecin a expliqué à ma mère qu’on allait lui faire une biopsie. Je n’avais jamais vu cette expression de peur et de souffrance dans ses yeux à son retour d’examen dans sa chambre, mais comme elle l’avait toujours fait, elle avait voulu me rassurer en me faisant un petit sourire ça m’a retourné le cœur.

Maman, est-ce qu’il y a quelque chose que je pourrais t’apporter, qui pourrait te faire plaisir ?
— Je n’ai plus vraiment d’appétit ces jours-ci, mais tu sais ce dont j’ai envie, ce serait d’un baba au rhum…

D’accord, Maman, je vais t’en chercher un, je suis de retour bientôt.
Je suis allé à la première pâtisserie : pas de baba au rhum. La deuxième n’en avait pas plus. À la troisième, la boulangère m’a dit :
On a eu trop de problèmes à cause de l’alcool, on n’en fait plus.
Je suis revenu dans la chambre de ma mère bredouille, et furieux contre cette religion qui ôtait maintenant le seul plaisir qui restait à ma mère mourante.

Je suis rentré à Ivry parce que je devais amener les enfants à l’école le lendemain. Il était 21 h 30, Nazma sûrement fait du hasard me posa sous les yeux un assiette dans lequel se trouvait un steak cru, elle qui ne m’avait plus préparé ce serait ce qu’un café depuis plusieurs semaines. Avait elle su que ma mère avait subit cet examen si douloureux et voulait elle une fois de plus me provoquer j’en doute mais ce hasard était bien curieux et difficile à vivre ? je suis allé directement dans ma chambre, je me suis tenu éloigné de Nazma. C’était très dur.

Le 22 mai, Nazma m’a assigné au tribunal.

Philippe, malheureux pour moi, lui a envoyé une photo de ma mère sur son lit d’hôpital et lui a écrit : « voilà ce qu’il vit, actuellement, Christian, alors arrête un peu de le harceler ». Mais ça n’a rien changé.
Le 1er juin, ma mère devait commencer une chimiothérapie. Au moment où on lui a posé des instruments pour le traitement, elle est tombée dans le coma.

Elle a été placée en réanimation. Une chambre austère dans un service hospitalier très sécurisé, avec juste son lit et des appareils médicaux partout. Les visites étaient limitées : une personne à la fois, seulement de 13 h 30 à 16 h 30. Je n’avais jamais été confronté à ça. Le chef de service est passé me voir :
— Savez-vous ce qu’elle veut ? Est-ce qu’elle veut qu’on la laisse partir ?
— Ce qu’elle veut ? Elle veut se battre, elle a des petits-enfants, sa famille…
— On va tenter une chimio en réanimation, mais d’habitude on ne fait jamais ça…
C’était l’enfer. J’avais un peu préparé les petits, je leur ai dit : « votre Mamie est très malade, on cherche un médicament pour la guérir, je serai moins là pendant cette période. » Mais je ne leur ai pas raconté tout ça.
Chaque matin, nous pouvions appeler le service entre 7h30 et 8h00 pour savoir comment la nuit s’était passée ! En quittant maman à la fin des visites, le responsable du service nous disait à chaque fois qu’ils feraient tout pour ne pas intuber notre mère car cet acte médical favorise les infections. J’appelais le service avant d’emmener les enfants à l’école avec une énorme angoisse que je devais masquer aux enfants et cette peur grossissait un peu plus chaque jour.
Un mercredi soir , Adam, qui faisait de l’aïkido, devait passer la ceinture jaune, je lui avais promis d’être là. J’ai quitté ma mère plus tôt en pleurant car je savais au fond de moi que chaque minute qui passait nous approchait d’un épilogue dramatique et je culpabilisais de laisser maman.
Avant de partir, je lui expliquais comme tous les jours ce que faisaient les enfants pour continuer à faire comme si la vie continuait normalement et elle me fit un clin d’œil qui me disait « pars voir Adam mon fils, c’est important que tu sois là pour lui aujourd’hui ». Ma mère ne s’était jamais plainte durant sa vie et malgré la douleur et la peur qui devaient l’envahir elle était restée fidèle à elle même, forte et digne.
J’ai roulé jusqu’au gymnase sans m’arrêter. Quand je suis arrivé, j’ai vu que Nazma s’était mal garée comme souvent.
Aucun respect, voiture garée en travers devant le gymnase sur la place des pompiers, la prochaine fois elle entrera en voiture dans le gymnase.
Bien sûr, elle a eu un PV, mais à mon nom puisque la carte grise était à mon nom.
Excédé, je lui ai dit :
Ça suffit maintenant, je mets la voiture à ton nom. Ça ne se fait pas, enfin, c’est un manque de respect ! Je passe pour quoi ? Et tes enfants, ta famille ?
— Moi, ma vraie famille c’est le Rond !
Le Rond, l’espèce d’esplanade en bas de l’immeuble, où toutes les femmes se réunissent pour jacasser sur leur entourage, leurs conjoints… Encore un lieu qui ne facilite pas l’ouverture d’esprit…
OFF Les femmes se réunissent lorsqu’il fait beau pendant des heures et cela blablate toujours en arabe. Elles sont assises sur un petit muret. Les enfants jouent jusqu’à tard le soir même les veilles d’école et les mamans s’échangent les bons plans pour les cours de religions (c’est une femme très traditionaliste qui a donné ces adresses à Nazma), les nouveautés de la Caf, du bled, avec des inchallah à chaque fin de phrase.
Les papas sont absents et j’étais un extraterrestre pour elles dont les maris ne viennent jamais dans ce rond quand je jouais avec Eve et Adam.
Un jour Adam qui devait avoir trois ans a poussé un plus petit sans le faire exprès.
Ce petit gars est tombé sur les fesses et je me suis précipité pour le relever et demander à sa maman voilée et portant une robe noire et des gants en plein été si cela allait.
En me voyant arriver, elle a détourné le regard et n’a pas voulu me répondre. Le soir Nazma a reçu un coup de fil de cette femme qui lui a dit que je ne devais plus lui parler car cela ne se faisait pas, J’ai dit mon étonnement à Nazma qui m’a rétorqué qu’il fallait respecter les convictions des gens et que j’étais raciste.
Après que je lui eus  dit que pour son épanouissement et celle de sa famille cette dame devrait partir vivre dans un des 49 pays à majorité musulmane de notre belle planète, elle me traita de raciste en hurlant car c’était maintenant le leitmotive pour se justifier et mettre court à une conversation.
Un soir de semaine un monsieur d’origine africaine sonne à la maison, je connais sa femme de vue et ses 4 enfants qui jouent dans le rond. Il m’explique qu’il faut que la société qui gère notre immeuble entretienne mieux les parties communes et qu’il va créer une association des habitants de la résidence pour nous défendre et « faire valoir nos droits » !
Je lui explique gentiment qu’on a des droits mais aussi des devoirs et que mes enfants à cette heure ont fait leurs leçons, ont dîné, sont douchés et qu’ils vont aller au lit après que je leur aurai lu une histoire car demain il y a école. Ses enfants sont encore dans le rond, ils s’amusent à arracher des bambous pour jouer alors que c’est la seule verdure qu’il y a dans cet environnement bétonné, et ils vident les poubelles pour rire. Mes parents m’ont appris à dire merci, bonjour, au revoir à respecter les autres, à ne pas faire de bruit après 22 heures,… et je transmets les mêmes valeurs à mes enfants. Je lui explique que si tout le monde faisait comme moi tout irait très bien dans notre immeuble.
Bien entendu je ne peux pas lui dire pour la voisine originaire de côte d’ivoire qui sous loue une  chambre à des gens de passage qui cuisinent je ne sais quoi dans leur chambre avec des odeurs très fortes ou pour la voisine d’en dessous une Kabyle qui mets la musique de son pays à fond le soir.
Elle se vante de ne payer que 350 euros de loyers pour un 3 pièces APL déduits contre 900 euros pour moi, elle ne travaille pas, son mari n’a pas de revenu bien qu’il travaille tous les jours dans la boucherie Halal qu’il a achetée à Boissy Saint léger,avec un copain etc etc etc Alors un peu excédé par la demande de ce Monsieur je l’ai éconduit gentiment et depuis je suis le pestiféré de l’immeuble, un vrai raciste.

Demain soir la septième partie

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40 Comments

  1. Bien sûr que cette histoire est vraie , c’est justement la transposition de ce que vous ne voyez pas ou que vous ne voulez pas voir car c’est malheureusement la stricte vérité.
    Allez travailler dans le BTP. IL Y A LONGTEMPS que les gens du BTP sont conscients du phénomène. Il y a déjà 30 ans , La blague adressée aux musulmans qui circulait sur les chantiers, « m’emmerde pas sinon je t’envoie LEPEN  » , le musulman tournait le dos en souriant en se disant, t’inquiète tu ne perds rien pour attendre. NOUS Y SOMMES.J’ai aussi rencontré des musulmans mariés à des Françaises. Traumatisées à vie . Il serait temps de se réveiller. Tout se que dit Christian est vrai

  2. J’ai l’impression, moi aussi, que cette histoire est bien « arrangée « , mais il doit y avoir une part de vrai,
    Je repose la question, : @Christian : as-tu reconnu tes enfants à la mairie ??

    • Toujours aucune réponse ? est-ce que Christian existe au moins ?

  3. j’ai comme d’autres du mal à croire à cette histoire car la victime semble avoir fait une liste de tous les renoncements à cocher les uns derrière les autres ; toutefois si cela pouvait être lu par ceux qui ignorent que pour diner avec le diable il faut une longue cuillère ce serait positif.

  4. Comme je vous l’ai écrit mon histoire est à la virgule prêt ce que j’ai vécu.Aprés le dernier épisode, avec le recul que j’ai aujourd’hui, je vous expliquerai pourquoi j’ai raconté ces 12 ans en Islamie de France et nous pourrons en discuter, je ne cherche surtout pas à ce que l’on me plaigne car j’ai fait des choix à certains moments de ces 12 ans (toujours en pensant à mes enfants) mais ces erreurs me rendent légitimes pour dire ce qu’il faut faire en tenant compte de notre contexte politique et législatif pour nous protéger de ce tsunami qui arrive sur vous après qu’en « éclaireur » malgré moi je l’ai pris en pleine face.
    Et si j’avais su je n’aurais pas pris le nom de la ville de Rimini comme pseudo car cela perturbe une de nos lecteurs. Rimini en plus d’avoir une consonnance italienne comme mon vrai nom me rappele des vacances en famille quand j’étais jeune et insouciant (dans les années 80) comme pouvait l’être notre pays à cette époque.
    Et encore une fois libre à vous de croire ou ne pas croire ce que j’ai écris mais de ce que j’ai vu, la grande majorité des musulmans en France vivent comme ceux que j’ai frequenté même si en collectivité ils peuvent vous faire croire qu’ils sont comme ils le disent « paix et amour »…

    • Merci Christian encore une fois pour votre témoignage, ne vous laissez pas déstabiliser par les doutes et critiques, et n’hésitez pas, après la dernière partie demain soir à nous en dire plus. Sous forme d’article à envoyer à contact@resistancerepublicaine.com si vous le voulez

    • Et pourtant, dans les années 80, la tendance était déjà là et bien visible pour ceux qui voulaient voir,
      Mes parents nous ont toujours mis en garde contre les mariages  » mixtes » qui ne sont selon eux que des sources de problèmes et des mariages voués à l’échec

  5. pour ma part, j’ai déjà entendu ce genre d’histoire, c’était à l’époque de ménie grégoire sur RTL dans les années 70,, une femme qui ne mâché pas ses mots, et qui maintenant serait sûrement condamné, car elle n’hésité pas à dire ses quatre vérité, avec elle cette personne qui subit la loi coranique dans sa famille aurait eu le droit à ses quatre vérité.

  6. A ceux qui pensent que ce n’est qu’une fiction, je peux assurer que non. Ce n’est pas la première fois que je lis des histoires similaires. Plus souvent, ce sont des femmes qui se sont mises en couple avec des muzz et ça s’est toujours terminé de la même manière : compte en banque ruiné, enfant kidnappé emmené au mahgreb, ou lobotomisation totale avec conversion. Alors, que ça arrive à un homme, oui aussi. D’ailleurs, mes anciens voisins ont eu leur fils aîné qui s’est converti pour pouvoir épouser sa musulmane. Il a rejeté son fils d’une première union, les filles qu’il a eues ensuite étaient de vraies pestes mal élevées, donc cette histoire est très vraisemblable.
    Ce qui m’indigne le plus, c’est que la justice française ne fait absolument rien pour aider ceux qui tombent dans ce piège.
    Pour votre santé, restez loin des muzz.

  7. Si ce récit est vrai et a ce stade ce monsieur a tout perdu , même pour les gosses c’est trop tard , les conneries sont enfoncées dans leur cerveau et n’en sortiront plus ( je sais pas comment ils s’y prennent et ce qu’ils leur racontent pour arriver a convaincre même des adultes qui se convertissent et je sais de quoi je parle ) Il y a longtemps que ce monsieur aurait dû coller quelques belles torgnoles au neveu et a tous ceux qui n’ont rien a foutre là ainsi qu’a sa  » femme  » prendre ses gosses sous les bras et se faire la malle .
    En tout cas cette histoire montre bien a quel résultat mène la diplomatie et la compréhension avec ces gens ……ils vous bouffent tout crus !

  8. Je pense que cette histoire est vrai. Ce Monsieur découvre petit à petit ce qu’est l’Islam et ne cherche qu’à protéger ses enfants. Il veut malgré tout sauver son couple . Il a du mal à admettre et subit une lente prise de conscience. Un calvaire…….Il est dommage que cette personne soit dénigrée par certains lecteurs. Cette histoire peut être transposée à l’échelle puissance X de la Nation Française. Et si les Français pouvaient s’en inspirer et y puiser réflexion, l’action en découlerait. Le pays s’en porterait beaucoup mieux. Christian… Tout mon soutien

  9.  » Et pour ceux qui douteraient de la véracité de mon récit, je pourrais leur communiquer des détails comme le vrai nom de « l’école arabe » qui est encore en activité,….
    Oui ? et alors ??
    je peux vous donner dix adresses d’  » écoles arabes »
    qu est ce que ça prouverait ? Rien!
    les identités prénoms et noms de vos enfants y sont visibles ? bien sur que non !
    vous avez un talent certain pour attendrir les chaumières , mais, croire que vous avez vécu -même au prétexte de vos enfants- ce que vous décrivez, désolé! je confirme ne pas y croire du tout
    les connaisseurs de cette ethnie maghrébine comme de leur « religion et leurs moeurs » ne peuvent ajouter foi a ce récit
    ou alors, et je vous prie de m’ excuser, trois lettres suffisent a vous décrire-
    vous connaissez l’ Hotel Christian a Rimini ?
    vous lui faites concurrence avec votre « chambre et table d’ hote » 😆
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    • Bonjour,
      Je trouve ce récit passionnant et terrible à la fois.
      Et je ne vois pas pourquoi, il ne serait pas vrai.
      Après tout, c’est, focalisé sur un cas, un processus parmi des millions qui font que la France s’islamise.
      Un processus, parmi des millions, qui montre comment les Français sont abusés par les musulmans …
      Mais derrière ce froid processus, il y a des millions de Français, comme l’auteur, qui souffrent …

      • Bonjour Antislam
        «  »Et je ne vois pas pourquoi, il ne serait pas vrai. »
        tout a fait d’ accord!
        exactement comme moi je ne vois pas pourquoi il serait vrai….

  10. Vous oublier un paramètre qui est la justice et pour la justice pratiquer l’Islam de façon rigoriste c’est pour cette justice après tout « que de la religion ».Vous êtes violent en ayant ce qui est humain une réaction epidermique…la justice vous donne tort, vous partez avec les enfants…. la justice vous donne tort, vous partez sans les enfants non seulement vous êtes lâche mais….abandon du domicile et la justice vous donne tort aussi. Je suis le Christian de ce récit qui est mon histoire de 12 ans résumée en quelques pages et à la fin du récit je vous expliquerai les raison de cette « mise’ à nu. Merci

    • Merci Christian de participer aux commentaires, merci aussi de comprendre certaines réactions épidermiques de gens qui se méfient, qui ne comprennent pas… et de leur pardonner. amitiés et courage

  11. il y a une vingtaine d année,une magrébine me courait après…jusqu a ses dernieres années!
    je ne suis pas du tout attiré par les femmes magrébines ou noires…
    moi,mon truc ,ce serai plus les asiatiques…enfin,bon,bref!
    mouais l air gentille et un peu bien foutue quoi que un peu boulotte….
    mais je m en méfie…je sais pas ce qu elle trouvait de bien en moi….
    je m en méfie a cause de leur religion déja d une et puis en règle générale,trot calculatrice a mon gout….les magrébines!!!
    j ai jamais su si elle travaillait ou pas….pis je m en fous….
    il y a deux ans,je l ai bien reconnu malgré son voile sur la téte acompagné par un type que que je connais de vue…un salafiste!!!!!avec la robe,la barbe et le truc blanc sur la tete!!!
    franchement….aucun regret….
    je trouve CHRISTIAN sans aucunement avoir l intention de vous blesser…
    TROP GENTIL…TROP BON…TROP NAIF….
    JE VOUDRAI PAS ETRE A VOTRE PLACE…VOUS N AVEZ PAS ETE ASSEZ MEFIANT…
    JE VOUS SOUHAITE DE POUVOIR VOUS EN SORTIR SANS TROP DE DEGATS….
    LA VIE ELLE MEME A ETE VOTRE PROFESSEUR…
    COMME CA VOUS APPRENDEZ A NE JAMAIS FAIRE CONFIANCE MEME A UNE MUSULMANE PAS OU TRES PEU PRATIQUANTE…
    SOYEZ FORT….

  12. Je ne sais pas si cette histoire est vraie….ce que je sais,c est que les musulmans sont très doués pour amadouer et se faire passer pour des intégrés ou des musulmans modernes …une personne de ma famille s est faite avoir,elle a préféré couper les ponts avec le père de ses enfants lorsqu elle s est rendue compte qu’ il voulait élever les enfants à la mode musulmane àà… le comportement change,avant pizza au porc,alcool, fiesta et tout le toutim … et apres ,misère de misère, leur religion à tout bout de champ ! C est dommage pour les enfants, ils ne voient pas leur père mais il est inconcevable qu’ il en fassent des musulmans , moderes ou pas ….tout cela c est de la foutaise …l islam c est l islam …. il est écarté de leur vie ….,leur mère a commencé à leur expliquer le pourquoi des choses, ils souffrent peut être de son absence mais ç est pour leur bien plus tard …..mais faut pas se faire d illusion ,les gamins auront envie de s’intéresser à leurs origines et à l islam ….en tout cas , dans la famille,sans dénigrer leur père, on fait tout pour leur ouvrir les yeux et lorsqu il y a des attentats , on leur dit bien qui a fait quoi ….

  13. 12 ans résumés en quelques lignes mais tout est hélas vrai et ne pas oublier qu’il y a deux enfants en bas âge au centre de cette histoire.
    Tout ce que j’ai toléré, c’était pour proteger mes enfants et essayer de les construire dans les 1eres années de leur vie avec d’autres valeurs que celles de cette famille « ordinaire » chez les musulmans.
    Je me permettrais de vous répondre lorsque Madame Tasin aura fini de publier mon histoire car c’est mon histoire que vous lisez. Ne tenez pas compte des noms (hormis Eve) car pour la sécurité de mes enfants et leur avenir j’ai changé les prénoms et les lieux en restant géographiquement prôche des vrais endroits. Et pour ceux qui douteraient de la véracité de mon récit, je pourrais leur communiquer des détails comme le vrai nom de « l’école arabe » qui est encore en activité,….

  14. Nous sommes tous comme lui. Nous supportons tout jusqu’à plus soif. Nous adorons notre rôle de victime, Nous nous écrasons. Heureusement qu’il y a
    des sites comme celui-ci et encore des combattants comme les Identitaires qui se battent, nous redonnent courage et nous réveillent.
    La lutte contre l’islam doit devenir le but de notre vie pour nos enfants et petits-enfants.

    • Bonsoir Rita. Haaaaa non, « nous » ne sommes pas tous comme lui. Son cas est assez peu banal ! Car le déroulement et les péripéties, sont tellement nombreuses… De quoi en perdre son latin. Tu auras noté que je ne suis pas le seul à me poser des questions à propos de cette histoire… Voyons voir la suite !

      • Peu importe si c’est vrai ou pas. Sa fiction (peut-être) est devenue réalité dans notre vie de tous les jours. Nous vivons nous aussi à des degrés divers cet islam conquérant et dévastateur et nous aussi on n’en croit pas nos yeux. On se dit tous les jours : « Mais c’est pas vrai, je cauchemarde « . Hélas non. Chacun d’entre nous sur ce site a vécu de semblables humiliations et les supporte. Pourquoi : un vrai mystère
        Peu importe si son histoire est vraie ou pas. Vous admettrez que chacun d’entre nous a vécu la même chose à des degrés divers et nous aussi nous nous sommes aplatis en espérant l’empathie de l’autre, l’autre enfin celui qui est devenu notre adversaire.

      • Paco vous devez vivre les choses pour les comprendre. Je vous donnerai mes explications sur le pourquoi du comment à la fin de mon récit.

  15. De plus en plus bizarre …
     » bizarre…. j’ai dit bizarre ? comme c’est étrange « 

  16. Oui Catherine terillon, un homme ou une femme de religion musulmanes enlèvent leurs enfants et va vivent dans le pays de ses parents ou grands parents, ce qu’il m’étonne dans ce récit, et que sa fille ne soit pas exciser, car elle en a eu l’occasion, elle a été plusieur fois dans le pays de la famille sans lui, elle avait l’occasion de le faire , elle là soumise à l’islam, et elle n’aurai sûrement pas eu le droit à la parole, même pour son fils, il n’y a pas eu de tout ça, pourquoi.

    • Pas d’excision au Maghreb c’est en Afrique noire et ici dans des appartements clandestins que l’on excise. Mais la place de la femme est la même dans tous ces pays musulmans.

  17. Ce récit est très intéressant et rare.Habituellement après une union avec un partenaire musulman le chrétien finit par se convertir et prendre le parti des musulmans. Chez les maghrébins, contrairement au turcs, une femme peut se marier avec un chrétien, car la communauté sait qu’elle finira par le convertir. Je pense contrairement à Paco qu’il est facile de tomber dans le piège de Christian. Les musulmans savent bien charmer par leur ouverture d’esprit au début d’une relation, puis progressivement resserrer l’étau dans lequel vous êtes pris, avec l’aide de leur communauté. C’est d’autant plus tragique quand il y a des enfants.

  18. Les mariages entre chrétiens (ou athées) et musulmans finissent (pas toujours, mais très souvent) mal. Mais par définition, la femme musulmane ne peut pas épouser un athée ou un chrétien … alors ? Il y a quelque chose qui cloche dans cette histoire. D’habitude, c’est le mari qui est musulman et dès qu’il y a un problème, il enlève les enfants. J’en connais plusieurs cas.

    • « Il y a quelque chose qui cloche
      je corrige:
      « il y a trop de choses qui clochent … 😆
      aprés tout c’est peut etre un test pour savoir si les commentateurs de RR sont des nigauds ?

      • c’est ça ! on nous prend vraiment pour des brêles !!
        non, non, non, on n’est pas si con que ça

    • je ne me suis pas marié avec la mère de mes enfants.

  19. « Tu es obnubilé,
    hahahaha! je ne connais pas beaucoup de crasseuses capables d’ employer ce terme
    a la rigueur tu es zob nublilé ……ou encore tu es zob nullité

  20. moi je ne compatis pas, il aurait dû le savoir au début de son mariage, cela fait très longtemps que l’ont en parle, mais à l’époque de Jean Marie le Pen ont nous a traité de fachos, chose que nous étions pas, cette personne qui maintenant subit, nous a sûrement traité de tout les noms à cette époque, c’est quand même bizarre comment les gens changent quand ils commencent a subir, pourquoi c’est il marié avec une arabe, qu’est-ce qu’il croyait en ce marient avec une arabe, j’aurais été son père et opposé à son mariage avec une arabe, il aurait dit quoi, il m’aurait sûrement tourné le dos et renier, maintenant il pleure, c’est est à cause de ce types de personnages que nous sommes envahi, c’est à cause d’eux que nous sommes dans la merdes, je n’ai pas de pitié pour lui et pour ses enfants, je n’en est rien à foute de ses problèmes, moi ce qu’il m’importe c’est mon pays et des personnes qui pensent comme moi, ceux qui ont compris depuis longtemps, maintenant je me demande ci cette histoire est vraie,ci ce n’est pas le ca, j’aimerais que l’ont nous cassent pas les couilles avec ces conneries , ils y a des choses plus importantes à parler.

    • une précision, il n’y a pas eu de mariage. C’est interdit pour une musulmane d’épouser un non musulman. A la fin de mon récit je vous expliquerai avec du recul comment on en arrive là et ne voyez pas de pleurs dans mon récit, juste du réalisme et deux enfants (les miens) que je dois protéger

    • ouais ! tout à fait d’accord ! cette histoire sonne faux depuis le troisième volet,
      question : les enfants ont-ils été déclarés à la mairie sous le nom de leur père ??

  21. J’ai lu les cinq épisodes précédents. Je vais le dire comme je le pense ! Comment peux t on se laisser margariner, enfumer, empapaouter à ce point ? Si l’histoire était une barque, elle serait au fond de la baille… A laisser l’eau s’infiltrer comme ça… Je suis d’accord que l’amour est aveugle, mais là, là, ça n’a plus rien à voir avec ce sentiment. Le déroulement de l’affaire, tel qu’il est conté, dévoile à mes yeux, une soumission insupportable. Je ne vais pas enfoncer le clou plus profondément. Ce garçon a l’air d’un brave type. Mais j’ai du mal, beaucoup de mal à avaler cette histoire. Qu’elle soit vraie ou non ! Bref !

    • t’es pas le seul!
      c’est l’ Hotel Christian a Rimini ce mec!
      je suis trés sérieux!
      cet Hotel existe a Rimini
      je ne crois pas a la moindre ligne
      mais, c’est pas mal raconté…..avoir bien des incohérences quand mêmeNazma au lieu de Néssma
      Hajal comme prénom, qui signifie « le veuf » …
      l’ auteur de ces lignes en fait un peu trop….surtout pour des gens comme quelques un içi qui connaissent ces milieux d’ algériens emigrés en France

      • Ne focalisez pas sur les noms. Je suis Christian et à la fin de mon récit je vous expliquera comment on se fait piéger par ce poison qui est distillé à petite dose au quotidien

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