Lettre à mes enfants, Eve et Adam : ma fille sera absente pour l'Aïd (5)

Nous avons commencé il y a quelques jours la publication d’un petit récit sous forme de feuilleton.
Il s’agit d’une histoire vraie, les noms des protagonistes ont été changés. L’auteur, le père,  raconte une histoire poignante, une lente descente aux Enfers due à l’islam. Il libère la parole…  :  Pour que la société dans laquelle vous allez grandir et vivre plus tard ne connaisse pas le même sort que notre famille et que l’air que vous allez respirer ne soit pas chargé de tous ces non-dits d’aujourd’hui qui rendront l’atmosphère de demain viciée, je vais libérer ma parole et raconter ce que mon inconscient me disait lorsque je vivais avec votre mère mais que je ne voulais pas entendre.
Ce que j’ai vécu, si nous n’y prenons pas garde la société va le vivre un jour au l’autre avec plus d’inertie et de lenteur que notre famille mais le résultat sera la même : l’explosion.
Voici la cinquième partie.
Christine Tasin

Septième changement : Aïwa

L’été suivant, Nazma est partie avec les enfants et Hinda en Algérie après le ramadan qu’ils avaient tous suivi avec toujours la même rigueur.
L’anniversaire de Eve tombait pendant ce mois de Ramadan dont ils parlent 3 mois avant et 3 mois après soit la moitié de l’année et Hinda se permit de lui dire que cette année nous ne souhaiterions pas cette fête importante pour un enfant car le Ramadan avant tout et comme pour elle c’est Allah qui décide de tout pour nous y compris notre passage sur terre, il n’y a pas lieu de souhaiter notre naissance. J’organisai donc seul un anniversaire presque clandestin à ma fille loin de cette famille qui fait passer sa religion avant tout le reste.

Le mari de Hinda m’a dit après le départ de sa femme qu’il l’avait envoyée en Algérie, on aurait dit qu’il parlait d’un colis postal ou d’un virement western union dont il était maintenant un spécialiste.

OFF les musulmans pratiquants que j’ai fréquenté et ceux que fréquente Nazma ont un rapport particulier avec les femmes. Ils racontent tous que la femme leur doit le respect car comme il le disent souvent « chez nous » les femmes s’occupent de leur famille et de la maison et c’est le mari qui décide de leur vie.

Pour Hajal sa femme doit suivre ce principe de vie et quand je disais à Nazma que je n’aimais pas le ton de son neveu qui se comportait comme un petit kéké avec sa femme, Nazma trouvait cela logique et elle me disait qu’ Hinda aimait cette vie.

Je lui demandais si elle aimerait que je me comporte ainsi !

Son neveu qui n’avait fréquenté que deux femmes dans sa vie avec qui il avait eu des relations sexuelles le coran dans la main, après bien entendu s’être marié, n’avait certainement jamais écrit un poème à sa compagne, offert des fleurs ou eu toutes les petites attentions que j’avais pu avoir depuis des années.

Mais maintenant, alors qu’elle me regardait avec son regard noir je comprenais qu’un mécréant comme moi même, même s’il est aimant ne pourra jamais rivaliser avec un bon musulman pratiquant qui suit les préceptes du coran dans tous les aspects de sa vie dont ses relations amoureuses.

D’ailleurs où est l’amour dans ces relations ? J’avais remarqué qu’autant Hajal pouvait être tactile avec ses copains du bled, autant il était très froid avec sa femme.

En plus du Coran, un bon musulman doit respecter la charia qui est pour eux le chemin pour respecter la loi de Allah et qui codifie leur vie publique et privée.
Pour le sexe il  faut par exemple ne pas faire l’amour sur un toit, sous un arbre fruitier, sous la lune, le soleil,… bref même faire l’amour est un catalogue avec du halal (licite) ou du haram (illicite) OFF

Je suis parti lors du séjour au bled de Nazma de mon côté voir mes parents. J’ai profité de son absence pour inviter Hajal à venir avec moi et faire un point avec lui entre quatre yeux :

—  Hajal, tu dis ce que tu veux à ton fils, mais maintenant tu ne t’approches plus de mes enfants pour leur raconter que c’est Allah qui a créé le monde et qui a fabriqué l’homme en un jour. Moi je suis darwiniste, je crois à l’évolution, à l’homme de Cromagnon. Si à l’école, Ève parle de ta création du monde, la maîtresse va la reprendre.

— C’est n’importe quoi ça, c’est vous, les Occidentaux, qui avez inventé ça pour dénigrer

—  Tu crois ce que tu veux, que la terre est plate et qu’arrivé au bout on tombe dans le vide, que les Américains ont tourné leur arrivée sur la lune dans un studio de cinéma à Hollywood, je m’en fous, mais tu laisses mes enfants tranquilles. Et dorénavant, tu ne diras plus à ma mère « chez Nazma », mais « chez Nazma et Christian ».

Bien sûr, il a très mal réagi, il s’est indigné.
J’apprendrai beaucoup plus tard que ce même week-end, il avait heurté ma mère. Elle avait toujours sur son frigo des photos de ses enfants et petits-enfants.

Alors que je l’avais laissé 15 minutes avec maman le temps de faire une course ; Hajal les a regardées et a dit :

Elle est belle, Aïwa !
— Aïwa ? C’est qui Aïwa ?
— Ben, Aïwa, c’est Aïwa, enfin !! — Ah, tu veux dire Ève ?
— Non, c’est pas Ève, c’est Aïwa ! Tu dois l’appeler Aïwa maintenant !
Ma mère, intimidée par l’agressivité et le ton péremptoire d’Hajal, n’a rien osé répondre, n’a même pas osé m’en parler.
Huitième changement : l’Aïd
Ève devait faire son entrée en CP en septembre 2016. J’étais tout aussi ému qu’elle : le CP, c’est l’année la plus importante de sa scolarité, celle où on pose les bases, l’année qu’il faut réussir.
Comme nous vivions dans un quartier populaire, l’école publique du secteur avait assez mauvaise réputation. Notre voisine, une Française, qui était mariée à un Tunisien, nous a dit :

L’école du quartier, c’est compliqué. Il y a des petits Africains qui embêtent les enfants quand ils ne font pas ce qu’ils disent. Moi j’ai mis mon fils dans le privé, à Saint-Thomas, c’est un sacrifice intéressant.

J’en ai discuté avec Nasma et nous sommes tombés d’accord : puisque l’école est meilleure, Ève fera son CP à Saint-Thomas. Le fait que cette école soit d’obédience chrétienne souscontrat ne dérangeait pas Nazma et même si j’avais aimé l’école publique de mon enfance, j’avais conscience que les enfants et le niveau scolaire n’étaient plus les mêmes qu’avant.

OFF Dans mon Oise d’adoption les classes ferment les unes après les autres dans les villages car l’académie estime qu’il n’y a pas assez d’enfants quand il reste 15 enfants dans la classe alors que dans les quartiers on créé des classes dédoublées pour palier aux carences de parents comme j’avais pu les constater avec les parents de Zined et je me demande comment devraient réagir les ruraux qui voient leurs confort de vie bouleversé par des décisions politiques prises le plus souvent hors sol OFF

La maîtresse d’Ève enseignait pour sa dernière année, avant de partir à la retraite. Lors de la réunion de rentrée, elle m’a tout de suite rassurée par son professionnalisme et sa grande expérience :
Ne vous inquiétez pas, ça fait quarante ans que j’enseigne, à la fin de l’année vos enfants sauront lire. Dans la classe, nous alternerons les modules d’apprentissages avec des moments plus ludiques, parce qu’à cet âge, les enfants ont une capacité de concentration d’environ quinze minutes.

J’étais donc serein, je me sentais bien accompagné et je savais que ma fille commencerait la grande école sur des bases solides.

Comme Nazma commençait tôt ses journées et que professionnellement j’avais une plus grande liberté, c’est moi qui ai été en charge de l’organisation des matinées. Ça me permettait de passer tous les jours un moment privilégié avec vous, mes enfants, de participer activement à votre éducation et de discuter avec vous. Le matin, je vous réveillais à sept heures pour vous donner le temps d’émerger, je vous donnais un biberon de lait chocolaté au lit puis quand vous aviez le ventre bien rempli, vous vous leviez pour faire votre toilette, manger une tartine peut-être, vous préparer pour l’école. Je vous emmenais en voiture, sans précipitation, en écoutant de la musique ou en révisant les leçons pour bien commencer la journée. J’aimais vraiment partager ce petit moment rien que pour nous, qui donnait un sens à mon rôle de père.

Une semaine après la rentrée, j’ai vu dans le cahier de correspondance d’Ève le mot suivant écrit par Nazma : « Je vous prie de noter qu’Ève manquera l’école pour la fête religieuse de l’Aïd ».
Mon sang n’a fait qu’un tour. J’ai demandé à Nazma :
C’est quoi cette histoire ?!
— Ne t’occupe pas de ça, c’est l’Aïd, il n’y a pas à discuter !
—  Mais Nazma, l’école en France est laïque, c’est un sanctuaire intouchable ! Tu as le droit de croire à ta religion mais tu ne peux pas invoquer une raison religieuse pour que les enfants manquent l’école ! Écoute, la classe finit à 16 heures, tu pourras bien faire l’Aïd après ; ou alors tu dis le jour J qu’Ève a mal à la tête, qu’elle est malade, mais tu ne peux pas dire que c’est l’Aïd ! En plus en 3 lignes tu as fait 8 grosses fautes d’orthographes. Ne fais plus ce genre de choses dans mon dos et dorénavant fais moi relire les mots que tu écris sur le cahier de correspondance.
Nazma n’a rien voulu savoir, nous nous sommes encore une fois disputés mais Ève est finalement partie à l’école avec ce mot mais bien sûr la maîtresse a réagi : « ce n’est pas une excuse, ça ! ».
Pendant toute la semaine qui a suivi, Ève a vomi tous les matins avant d’aller à l’école. J’ai essayé de la rassurer :
Tu sais ce n’est pas grave, la maîtresse est autoritaire mais elle est obligée : elle a vingt- huit élèves, si elle acceptait toutes les excuses, elle n’aurait jamais une classe entière.
Elle a fini par se calmer, mais la semaine a été longue pour moi.
Le jour de la fête de l’Aïd, les enfants ne sont donc pas allés à l’école et au moment de partir déjeuner chez Hajal, Nazma me dit :
Tu viens manger avec nous ?
Non, franchement, j’ai pas envie de ça.
La seule fois où j’ai été invité à déjeuner chez eux c’était un vendredi midi jour de prière pour les musulmans et Hajal était arrivé à 15 heures 45 après la fin de la prière à la mosquée qu’il fréquentait à Villiers sur Marne. Depuis cette mosquée a d’ailleurs été fermée par l’Etat car les prêches encourageaient les frères à partir faire la guerre sainte en Syrie, ce que firent de nombreux fidèles.
C’est tard pour déjeuner 15 heures 45 et je l’avais trouvé irrespectueux vis à vis de moi alors que Nazma et Hinda avaient les mêmes yeux joyeux que ceux d’un gagnant du gros lot de la loterie lorsqu’il est arrivé certes impoli mais bon musulman comme les aiment les femmes qui doivent comme il le dit respecter les hommes.
Je savais donc que Nazma et les enfants iraient manger chez Hinda avec d’autres femmes, pendant qu’Hajal égorgerait avec les hommes de leur communauté 5 ou 6 moutons dans un pavillon à Villepinte. Ça me dégoûtait : moi quand je mettais dans le frigo une viande achetée au supermarché, je passais pour un empoisonneur, mais le mouton égorgé dans des conditions douteuses, sans aucune traçabilité ni règles d’hygiène, lui il était bon parce qu’il venait du neveu. D’ailleurs, elle ne le considérait déjà plus comme son neveu, elle l’appelait toujours « mon frère » à présent, et lui l’appelait « ma sœur ». Je ne voulais pas être complice de ça, mais je ne voulais pas non plus laisser ma colère exploser : Ève était en CP, c’était l’année importante, elle avait besoin de stabilité et l’entendre le matin demander à sa tante « c’est quand que vous égorgez le mouton » me confirmait que je devais rester pour la protéger elle et son frère de cet intégrisme qui s’installait à la maison.
J’ai vu les dégâts d’une séparation sur mon neveu, le fils de mon frère Philippe : il avait cinq ans quand ses parents se sont séparés et il l’a très mal vécu. Je ne pouvais pas infliger ça à mes enfants, surtout pas maintenant, ce n’était pas le moment.
Neuvième changement : les cours d’arabe deviennent cours de religion
Deux semaines après cet événement, Nazma me dit :
— Dorénavant, les cours d’arabe du samedi auront lieu le dimanche, de 10 à 13 h.
— De 10 à 13 h ! Trois heures de travail ! Mais tu es folle, la maîtresse a dit à la rentrée qu’un enfant de cet âge ne sait pas se concentrer plus d’un quart d’heure et toi tu veux leur ajouter trois heures de travail le dimanche, au moment où ils devraient se reposer !
— Qu’est-ce que tu en sais, toi d’abord de ce qui est bon pour eux ? C’est comme ça que ça se passe chez nous et il n’y a pas de raison que mes enfants fassent exception !
— Non, il n’en est pas question ! C’est quoi cette association qui fait n’importe quoi ? Et d’abord, je vais aller voir ce qu’ils font à mes enfants, je vais venir dans leur classe pour voir comment c’est ! Et c’est ou chez toi au bled comme tu dis ou ici.
— Non, t’iras pas !
— Bien sûr que si, j’irai ! Ce sont mes enfants, j’ai le droit de savoir où ils vont et ce qu’ils font ! Qu’avez vous à cacher ? Je ne confie pas la matière grise de mes enfants, ce qu’ils ont de plus précieux à n’importe qui.
J’ai pris contact avec le directeur de l’association, je lui ai dit que je voulais assister à un de leurs cours. Après deux semaines de tractations, il m’a « invité » à venir à la prochaine séance. L’association s’appelait EME. Elle s’était installée dans un ancien local de fitness de notre ville. D’emblée le lieu ne m’a pas inspiré confiance : il y avait des rallonges électriques qui traînaient par terre, des tables de récupération, des mères en Hidjab, la tenue des salafistes, des pères qui venaient en tong…
Le directeur se faisait appeler « Monsieur le Directeur » et le professeur, un Noir de vingt- cinq ans, était appelé « Maître ». Directeur de quoi, maître de quoi ? Je trouvais ces titres ronflants et inappropriés aux conditions dans lesquelles ils accueillaient mes enfants.
Le directeur, un converti, est venu à moi, très affable :
C’est gentil de venir, de vous intéresser à notre travail !
Je ne lui rendais pas sa gentillesse mais je faisais bonne figure pour mes enfants.
J’ai des enfants, je ne les confie pas à n’importe qui. Vous avez des enfants, vous aussi ?
— Oui, trois.
— Bon, donc je pense que vous feriez comme moi à ma place. Je vais me mettre au fond de la salle pour écouter, et on en rediscute à la fin de la séance.
— Pas de souci, installez-vous. Vous verrez, ici c’est bien.
Le cours commença à 10 h : l’alphabet arabe. En effet, pour être un bon musulman, il est important de savoir un jour lire le Coran en arabe et je compris que c’était surtout cela qui motivait Nazma à leur apprendre l’arabe.
Je voyais mes enfants au premier rang, très choyés. Ils étaient dans une classe unique : Adam avec ses cinq ans était le plus jeune, les plus âgés avaient douze ans.
Le directeur s’approcha :
Voulez-vous un café ?
— Non merci, je suis là pour mes enfants.
— Notre objectif est d’aider les jeunes dans leurs questionnements. Moi par exemple, quand j’ai découvert Allah, j’étais dans le noir, je me tapais la tête contre les murs, je ne savais pas où j’allais dans la vie. Et puis j’ai eu la révélation, la lumière, vous comprenez ?
— Oui, moi quand je suis dans le noir, j’appuie sur l’interrupteur et je vois.
Le directeur ne s’est pas laissé désarçonner par le ton que prenait la conversation. J’ai décidé d’utiliser mes techniques de commercial pour le faire parler :
C’est bien, de donner du temps pour les enfants, le week-end. Ça ne pose pas trop de problèmes à votre femme ? Moi j’ai plein de copains qui jouent au foot et leurs femmes se plaignent qu’entre les matches et les entraînements, elles ne les voient jamais.
— Ah non, ma femme ça va, je l’ai envoyée dans le Sud !
— Ah, c’est bien ! Où, sur la Côte d’Azur ?
— Heu non je ne crois pas !!!
— Ah OK sud est ou sud ouest.
— Attendez heu,,,, à droite me fit il avec la main— OK le sud ouest c’est sympa, quelle ville ?
— à Narbonne !
— Je connais bien Narbonne, c’est à une heure de Toulouse. Mais c’est loin de Paris ! Comment faites-vous pour voir vos enfants ?
— Tous les quinze jours, je descends en train. Je connais les horaires par cœur, maintenant !
Pour un Directeur, il avait du mal avec la géographie mais bon pas d’à priori, j’étais là pour mes enfants.
Vers 11 h, j’ai pris une initiative :
Les enfants, vous voulez faire une pause ?
— Non, me répondit le professeur, on ne prend pas le temps d’une pause normalement. Je leur ai dit que je comprenais leur désir « vital » de boucler leur programme mais que les enfants ne pouvaient pas rester 3 heures vissés sur une chaise à écouter leurs cours.
J’ai insisté et je suis allé à l’épicerie du coin pour chercher un petit goûter.
Pendant la pause, j’ai discuté avec les adultes de tout et de rien,surtout de football et du PSG car pour eux le Qatar a fait une belle équipe à Paris sic ! Je voyais pendant ce temps des grands gaillards barbus entrer et sortir et aller dans une arrière salle… Mais dans quel traquenard a-t-elle mis mes enfants ?
La conversation s’est de nouveau engagée avec le directeur. Il m’a expliqué que la progression était organisée sur sept niveaux. Il a ouvert un carton pour me montrer des manuels. Sur ce carton figurait l’étiquette de l’expéditeur : « France Média Culturel ». J’ai enregistré sans rien dire.
Puis les cours ont repris : cette fois, on parlait de religion.
Les enfants, comment faisait le prophète, quand il était dans le désert, pour garder son séant propre ?
Adam intervint :
Il prenait du papier ?
— Non Adam, il n’y avait pas de papier.
— Des cailloux alors ?
— Non, ce ne sont pas vraiment des cailloux, mais…
— Du sable !
— Oui, c’est bien Adam ! Du sable !
Je rongeais mon frein : chez nous, Adam avait appris depuis longtemps à lever la lunette des toilettes, à se laver les mains en sortant, et ce « maître » en était à lui parler de s’essuyer avec du sable dans le désert !
Avant d’assister à ce cours j’avais pris la peine d’acheter une traduction fidèle du coran à la Fnac et de le lire pour maîtriser un peu mieux le sujet et je compris que même aux toilettes les musulmans ont des rites communs (entrer de tel pied, ne pas uriner face à la Mecque, etc etc) et parler aux enfants de ce lieu permettait de rentrer dans leur intimité et de commencer l’emprise sur eux.
Bien entendu à la fin du cours Eve et Adam ont eu les meilleures notes et reçus des bonbons halal sans gélatine de porc qui peut aussi se cacher dans les bonbons.
Mon fils de 5 ans meilleur élève alors qu’il est encore en maternelle, croyait -il me flatter ainsi ces lourdingues ??
Ils appliquent le principe des sectes, valoriser, impliquer, se rendre indispensable pour ensuite faire le vide autours de leurs « proies ».

Demain soir à 18 heures, la suite… sixième partie

 848 total views,  1 views today

image_pdf

17 Comments

  1. En lisant pensez toujours qu’ils y a deux jeunes enfants au centre de ce récit et que la père à d’abord pensé à ses enfants car eux n’ont pas choisi.

    • et avant les enfants , il y avait quoi ? l’amour sans doute et surtout d’après ce que je comprends une « ouverture à l’autre  » qui vous fait oublier « soi  » ! le site où nous sommes nous fait comprendre , sauf exception , que malheureusement il y a une grand incompatibilité .. l’exemple est donné par Nadine et la référence du livre « jamais sans ma fille  » , que j’ai lu et qui montrait clairement qu’ un musulman qui se trouve en occident se conduit à peu près normalement , selon nos coutumes ( du moins à l’époque du livre , car aujourd’hui « ils  » n’ont plus de complexes pour la simple raison que certains de gauche principalement leur ont donné , non pas PLUS DE PLACE , mais toute la place, à la place de …) mais lorsqu’ils sont dans leur pays ou même en famille en France , ils ne se conduisent plus de la même façon !! c’est très clair , cela s’appelle je pense l’atavisme, entre autre ; il faut le savoir et savoir ce que L’ON VEUT ! SI L ON VEUT S EFFACER AU PROFIT D UN AUTRE , UN AUTRE QUI VIENT D AILLEURS, D UN AUTRE MONDE .. !!! et la suite , je la crains car lorsque il y a rupture , c’est juste dramatique, quand de surcroit elle ou il fuit avec les enfants dans leur pays !

  2. Faut vraiment être c.. pour se laisser rouler dans la farine par des muzzs…qui plus est algeriens: les pires des anguilles et scorpions !

  3. je ne lis même plus…
    d’abord, ça m’a foutu les boules, devant la nullité du mec qui est censé vivre cette histoire,
    ensuite, arrivé à cette partie de l’histoire, elle m’a l’air inventée et cousue de fil blanc, c’est trop « énaurme » pour être vrai

  4. Et le large crochet du droit , le coup de boule ou le coup de pied dans les c o…….es il connaît pas monsieur Rimyni ???????????

  5. Au cours de mes visites sur le web, j’ai trouvé ce site de librairies* où des ouvrages intéressants sont proposés. Je trouve que le conte de Hansel et Gretel serait une lecture à offrir à vos enfants (beaucoup de contes aident les enfants à se repérer dans l’inextricabilité du monde adulte) et la culture sera le meilleur rempart face à la pression subie (cf Femmes qui courent avec les loups de Clarissa Pinkola Estès). Je recommande toujours en prophylaxie la lecture du très connu « jamais sans ma fille », ou bien le film qui en a été tiré. Mais la prudence est de mise dans la situation familiale compliquée qui est décrite dans vos articles. Semer les graines de liberté qui germeront en temps voulu et conduiront ces enfants sur le chemin de l’émancipation vous demandera bien du courage, je vous souhaite persévérance, chance et succès.
    * https://www.livresenfamille.fr/

    •  » sur le chemin de l’émancipation  » ! et bien , c’est pas gagné ! ça ne l’est pas chez eux , les pays arabes ont essayé avec le résultat que l’on connait, car il y avait des régimes totalitaires qui , pensaient certains , étaient nécessaires, compte tenu de cette démographie et de ces populations shootées à la religion ! c’est le chat qui se mord la queue ..

  6. « Elle est belle, Aïwa
    ça sort d’ ou ce « Aïwa » ???????
    Eve , en Arabe comme en Hébreu c’est  » HAWA  »
    et quand on dit « Aïwa » ça veut dire qu on est « d’ accord »… »que c’est OK »

    • tu sais ils écrivent l’arabe du bled donc l’orthographe c’est pas leur fort et Aïwa c’est ainsi qu’ils appellent Eve mais tu as raison ‘Le nom arabe d’Ève est حواء (Hawwâ’) ou Hawa ou Haoua. L’équivalent en Afrique noire est Hawa ou Awa.

  7. Encore un épisode passionnant! Et bravo car vous reprenez du poil de la bête.

  8. « Ils racontent tous que la femme leur doit le respect car comme il le disent souvent « chez nous » les femmes s’occupent de leur famille et de la maison et c’est le mari qui décide de leur vie. »
    quelle immense sagesse!!! j’ applaudis des deux mains!!
    j’ veux pas etre méchant, mais le raconteur c’est une sacrée lavette 😆
    y a longtemps qu elle aurait pris mon pied au cul et ciao !
    va te trouver un bon blédard qui te cogne et te beigne et devant qui , lorsqu il est a table, tu dois rester debout pour veiller a ce qu il ne manque de rien….
    et qui te « laboure » chaque fois qu il trique ( surtout a Ramadan 😆 )
    et qui t’ envoie au Hamam pour te laver le cul, au moins une fois par semaine!
    je crois, comme beaucoup içi et surtout ceux qui ont vécu avec les « kivoussavé » que cette histoire est incroyable
    on ne eput pas croire que le mec ne se soit pas barré, ou au moins rebellé en envoyant chier tous ces envahisseurs
    dur a croire

    • Pas si dur que ça à croire , mon pote Machinchose :
      C’est toute la France qui vit ça tous les jours, et qui, plutôt que de dire :  » tire-toi salope !  » , dit :  » vivre ensemble  » ou  » l’islam est compatible …. « , etc ….
      par peur du conflit.
      Mais le conflit arrive forcément ……

      • je signale à toutes fins utiles , un article du 2 mai, sur Causeur, qui a pour thème : Ces  » petits riens  » de l’islamisme  » soft  » qui s’infiltrent dans notre quotidien !
        témoignage d’un musulman de Suisse excédé ! , de Mohamed Hamdaoui !
        ce sont des petits faits comme le raconte Christian .. plus on lira mieux on sera avertis, ces avertissements seront comme un réflexe de survie ..de vie tout court
        https://www.causeur.fr/islamisme-soft-musulmans-antisemitisme-I..

    • deux jeunes enfants a centre de cette putain d’histoire… alors dans ce cas fais tout péter et tu verras ce que la justice fera. Et bye bye les enfants

Comments are closed.