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ARTICLE : Une bibliothèque parisienne livrée aux sauvages et Hidalgo ne fait toujours rien !
URL : https://www.delanopolis.fr/Une-bibliotheque-parisienne-livree-aux-sauvages-et-Hidalgo-ne-fait-toujours-rien-_a3415.html
AUTEUR : Serge Federbusch
DATE : 15 Avril 2018
La bonne volonté éducative de gauche n’est décidément pas récompensée ! Cela fait des mois désormais que les personnels de la bibliothèque Vaclav-Havel, dans le chaud 18ème arrondissement, demande de l’aide face aux agressions qu’ils subissent.
La mairie continue de botter en touche …
« A l’heure où la ville de Paris (prétend faire ndlr) de la lutte contre l’exclusion un engagement majeur, notre sentiment d’abandon sur le terrain est réel. Pour le dire très clairement, ce n’est rien moins que l’implication des agents en première ligne qui est en jeu » affirment les bibliothécaires.
La bibliothèque Václav-Havel, située dans le quartier de La Chapelle dans le Nord de la capitale, est-elle abandonnée par son administration de tutelle, en l’occurrence la mairie de Paris? C’est en tout cas le sentiment bien réel des bibliothécaires qui y travaillent… Après avoir dénoncé un climat de violence au mois de janvier, la situation ne s’est pas améliorée. Bien au contraire même puisque de graves incidents sont de nouveaux survenus ces dernières semaines.
« Le Mardi 20 mars à 15h, nous avons de nouveau été contraints d’évacuer et de fermer la bibliothèque en raison d’une altercation entre deux usagers. Après avoir blessé quelqu’un par arme, l’agresseur a stationné devant l’établissement armé d’une barre de fer ramassée sur l’esplanade (et qui traînait là depuis plusieurs jours), proférant des menaces de mort à l’encontre de l’agent de sécurité et de l’équipe, jusqu’à l’arrivée de la police. Celle-ci est intervenue après 25 minutes et deux appels, et a appréhendé l’individu agressif. Si cet événement témoigne d’un cran supplémentaire dans la violence à laquelle nous avons à faire face dans l’exercice de nos fonctions, il ne s’agit aucunement d’un évènement isolé. Un autre échange de coups avait été signalé à la date du samedi 10 mars, tout comme un affrontement sur l’esplanade la veille au cours duquel une jeune fille s’était réfugiée dans la bibliothèque. Bien sûr, ces évènements font écho à ceux de janvier 2018 et d’août 2017 » ont témoigné les personnels de la bibliothèque Václav-Havel lors d’un Comité Hygiène et Sécurité (CHSCT) de la Direction des Affaires Culturelles de la Ville de Paris.
Mais les agents dénoncent surtout, au-delà de ces événements, une situation devenue intenable pour fonctionner au quotidien : « c’est bien une dégradation continue de nos conditions de travail qui est à l’œuvre. Après quatre ans d’ouverture, le turnover de l’équipe est exceptionnellement élevé et traduit une fatigue grandissante de l’équipe (à titre d’exemple, l’ensemble de l’encadrement intermédiaire a déjà été renouvelé deux fois : un(e) adjoint(e) de direction, quatre responsables de pôles). Les bibliothécaires de Václav Havel ont choisi d’exercer leurs fonctions dans un quartier difficile et l’ont fait avec un volontariat sans faille, notamment en répondant à des demandes qui dépassent le cadre de leurs compétences, dans un contexte général de défaillance des pouvoirs publics à l’égard de populations en situation d’extrême précarité ».
A preuve d’exemple la bibliothèque Václav Havel inscrit à elle seule 20% des minima sociaux de tout le réseau parisien sans parler des non-inscrits qui fréquentent aussi l’établissement. Et les personnels de constater : « pour autant, à la date du 20 mars, et malgré une situation exceptionnelle qui s’installe dans la durée, aucune des demandes de l’équipe n’avait trouvé de réponse ». Des demandes pourtant loin d’être extravagantes comme l’affectation d’un médiateur expérimenté. Par ailleurs même si un service de ménage est désormais présent également l’après-midi ce n’est pas du luxe car on ne peut pas dire qu’à Václav-Havel la mairie entretienne correctement ses locaux puisqu’une des toilettes n’a plus de lumière et une autre plus de distributeur de savon (il est cassé) depuis près de cinq mois.
Pour parer au plus pressé et calmer un peu la colère des agents, l’administration a pris une première mesure forte, affecter provisoirement des agents supplémentaires en provenance d’établissements fermés pour travaux (quoique que certains soient aussi pris autoritairement au détriment d’autres bibliothèques toujours ouvertes). Mais la seconde ne manque pas de sel dans le débat actuel puisque il s’agit de…….réduire les horaires de la bibliothèque ! Laquelle désormais n’ouvrira plus que l’après-midi ! Un message certes peu amène envers un célèbre académicien mais qui ne règle rien dans le fond car le mal est plus profond. « Les rythmes de travail, l’intensité des plages de service public, font qu’une partie de l’équipe cherche à partir alors même que la bibliothèque a d’ores et déjà mauvaise presse dans le réseau, avec des difficultés certaines à pourvoir les postes vacants. Le risque est réel de voir les services proposés par la bibliothèque arrêtés faute de personnels qualifiés et motivés pour les assurer » déclarent, amers, les collègues de Václav-Havel qui ne peuvent même pas bénéficier d’une prime octroyée aux agents travaillant en « zone sensible ». Et oui, la bibliothèque n’y figure pas car, installée sur une ancienne friche industrielle, elle a été oubliée à une rue près dans le découpage administratif. Bienvenue en absurdie…
Et les bibliothécaires de constater, dépités, « qu’à l’heure où la Ville de Paris fait de la lutte contre l’exclusion un engagement majeur, notre sentiment d’abandon sur le terrain est réel. Pour le dire très clairement, ce n’est rien moins que l’implication des agents en première ligne qui est en jeu. La Ville de Paris ne pourra pas faire l’économie de valoriser les choix professionnels des agents qui s’impliquent chaque jour davantage, avec des moyens limités, pour proposer des services de qualité aux populations qui en ont le plus besoin ». D’autant qu’ils ne sont pas les seuls concernés puisque « ces questions de la valorisation salariale, de la mise en place d’emplois spécialisés (médiateur), de la prise en charge des publics précarisés sont des problématiques qui concernent d’ores et déjà d’autres bibliothèques et sont au cœur des mutations de notre métier et des multiples facettes qu’il recouvre désormais. Nous attendons de notre hiérarchie et des pouvoirs publics qu’ils se saisissent urgemment de ces questions ». Effectivement, il y a comme qui dirait urgence.
Note de Christine Tasin
On notera sans surprise que les agents de la bibliothèque ne peuvent demander que de la poudre de perlimpimpin (un médiateur… ) quand le fond du problème est l’immigration et la délinquance impunie installées à Paris, durablement….
Mais plutôt que de toucher à cela, « ils » préfèrent s’asseoir sur la Déclaration des Droits de l’homme et du citoyen de 1989, il n’y a plus d’égalité en ce pays. Quand vous avez la malchance d’habiter quartier de la Chapelle ou d’y travailler, c’est simple. Vous risquez coups et agressions. Vous ne sortez plus le soir, vous essayez de le quitter… Mais il faut pouvoir.
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Et Jean Michel Blanquer leur promet plus de bibliothèques. Si c’est pour les détruire….à quoi bon? Ils ne s’intéressent qu’à la langue arabe et au coraneries. Le reste est à détruire.
oui frejusien, en Tchéquoslovaquie.
Moi, ce qui me chagrine , c’est le manque d’argent pour le patrimoine français alors que de monstrueuses mosquées se construisent partout sur le territoire. Il suffit que les muzz achètent un terrain et hop! une mosquée surgit avec bibliothèque, salles de conférence, école coranique, banque islamique.avec change en riyal saoudien, agence de voyages pour le pèlerinage à la Mecque, possibilité de commander son mouton …. D’où vient l’argent?
Vaclav havel, c’était pas un opposant au régime socialiste (soviétique) ?
Elle a dû être croisée avec un équidé de petite taille à la robe marron
Âne Hidalgo, je ne suis pas certain MAIS
elle n’est pas un peu bronzée pour une ara… française, française …!
Et tous les dhimmis qui trouvent des excuses aux racailles agressives en affirmant qu’ils n’ont pas accès à la culture et au savoir.
Des fachos agressifs et inculte dans une bibliothèque, moi je vois pas se qu’ils viennent y faire à part tout dégrader et casser. Il n’y a plus de sécurité dans ce pays.
Après ils se plaignent d’être « ghétoïser », d’être au chômage… La gauche ne veut pas comprendre que si les individus de ces quartiers ne trouvent pas de travail, ce n’est pas à cause de leurs origines mais parce qu’ils ont refusé l’école, le savoir, l’instruction. Quel est l’employeur qui accepte de prendre un analphabète ?
Cette société vit dans l’inversion des valeurs, le mensonge.
Bel exemple de déni : j’ai lu dans le journal de ce samedi qu’une conférence-discussion s’était tenue « sur la violence faite aux femmes », avec des élus de ma ville et représentants d’associations. Il a été question des femmes de mon quartier qui n’osent plus sortir le soir. C’est mon cas.
Or, je cite : « Dans le public, une élue issue de la société civile, proteste :
« Si l’on arrêtait de ghettoïser les quartiers et s’il y avait plus de diversités sociales, ces femmes oseraient sortir de chez elles ! Il faut créer de la diversité pour que toute la société puisse prendre ce combat à bras-le-corps ».
Si j’avais été présente j’aurais pu lui répondre que les problèmes proviennent justement des jeunes issus de la « diversité » !
Dans mon quartier il y a bientôt plus d’immigrés que de Français ou d’européens !
Un tel acharnement dans le déni et la mauvaise foi a de quoi rendre fou !
« de la confiture aux cochons » Vite une nouvelle abolition des privilèges ! Ceux dont abuse l’Islam nouvelle caste dirigeante de ce pov pays si accueillant si tolérant . Trop ? Sans aucun doute hélas !
Des pans entiers de notre édifice qui cèdent, l’effondrement va suivre !
Il faut tenter ne pas se trouver sous les gravats !
Seul Micron peut nous sauver !
Derrière cette magnifique langue de bois ou règne l’euphémisme, l’allusion et les propos indirects, on a de la peine à comprendre: c’est quoi exactement le problème?
On devine plus ou moins d’après la situation géographique: mais comme d’habitude personne n’ose appeler les choses par leur nom et mettre les pieds dans le plat: bobo un jour, bobo toujours!
Il faut être idiot pour ne pas comprendre que c’est la bibliothèque koufar qui dérange les populations musulmanes avide du vivre entre soi, et qu’ils veulent sa fermeture, préférant y mettre une mosquée, un de ces temples sacrés de l’ignorance et de l’obscurantisme qu’ils affectionnent.
Et comme d’habitude, au lieu de s’attaquer clairement aux vraies causes du problème, on demande « davantage de moyens ». Comme si une vague prime allait convaincre les agents de rester pour se faire insulter, menacer voire tabasser
Comme dans l’Éducation Nationale… ce n’est pas en mettant plus de professeurs que ceux qui ne sont pas à l’école pour s’instruire mais y foutre la merde, et pourrir la vie des enseignants et de ceux qui voudraient étudier pour pouvoir progresser dans la vie vont changer miraculeusement d’attitude.
Les populations musulmanes ne veulent pas de l’enseignement koufar (resp. français), de la culture koufar (resp. française), des koufars (resp. français) tout court,encore moins de la langue des koufars (resp. française) toutes choses qu’ils méprisent et haïssent profondément, viscéralement, au contraire ils veulent les éliminer de leur paysage, qui doit être exclusivement arabe et musulman.