Prisons trop douces ? Les Français se rebiffent : perpète ou Cayenne, vite !

A perpète…

Nous sommes assez nombreux à penser que Cayenne,
conviendrait pour parquer, la horde kafkaïenne,
qui s’épand au cœur des cités.
Pour d’aucuns la perpétuité,
serait plus qu’indiquée…en orbite martienne…
 
PACO fotomaton.
09/04/2018.

Ras-le-bol des politiques, journaleux, associatifs, sociologues, psychogues… qui viennent pleurnicher à la télé et à la radio sur le sort des détenus.

Le Français moyen, malgré le matraquage, voit clair.

Il est de plus en plus agressé, menacé, spolié… et il n’a pas envie de devoir se serrer encore plus la ceinture pour améliorer le confort de ses ennemis. Logique.

La paupérisation des Français va, forcément, favoriser le non délinquant au profit du délinquant.

Et le bon sens, c’est de dire que si les détenus ne sont pas bien, souffrent de la surpopulation carcérale, c’est la monnaie de leur pièce, ils n’ont pas respecté la loi, tant pis pour eux ! Les Français trouvent donc, logiquement, qu’il n’y a aucune raison pour que ceux qui ont un prix à payer à la société n’aient pas les avantages du Français moyen, ordinateur, Internet…

Le passage sur la religion (encadré blanc ci-dessous ) est intéressant… il n’est question que d’islam, sans que soit prononcé le nom ! Et plus de la moitié des Français ne voient pas pourquoi il y aurait des imams dans les prisons. Il semble que nombre de Français aient compris que, malgré la propagande, c’est bien l’islam qui radicalise… et non l’absence d’imams.

Quant au Directeur d’études de la fondation Jean Jaurès, continuant à fumer la moquette et à croire que les Français, s’ils savaient, se battraient pour améliorer les conditions de détention… ça plane pour lui.

 
 

Plus punitive et avec moins de moyens : la prison telle que la souhaitent les Français

Selon une étude de la Fondation Jean-Jaurès, les Français ont une conception « sévère et punitive » du rôle de la prison.

Par L’Obs
 
La prison cristallise décidément toutes les tensions : alors qu’ils sont bien conscients des problématiques liées à la situation carcérale dans le pays, 50% des Français estiment que les détenus sont pourtant « trop bien traités », contre 18% en 2000. Une enquête de la Fondation Jean-Jaurès en partenariat avec l’Ifop et publiée ce lundi 9 mars, révèle qu’une majorité des Français souhaite durcir les conditions de détention dans les prisons de l’Hexagone.
A quelques jours de la présentation de la loi de programmation budgétaire pour la justice en conseil des ministres, l’étude résume l’image que les Français ont de la situation carcérale dans l’Hexagone.

En 2018, 40% des Français se déclarent favorables à l’augmentation du budget pour améliorer les conditions de vie des détenus contre 68% en 2000.  « En période de tension budgétaire, alors même qu’ils ont le sentiment que les efforts demandés depuis quelques années sont lourds […] bien peu de Français semblent prêts à faire des efforts pour améliorer la condition des détenus en prison », explique l’étude.
« Les Français partagent largement une vision de la prison qui est un lieu de privation de la liberté. Ils considèrent que l’indignité des conditions des détenus participe à leur peine et à ce que doit être le rôle des prisons », détaille Jérémie Peltier, directeur des études à la Fondation Jean-Jaurès à « l’Obs ». L’étude précise que l’opinion s’enracine dans une conception « très sévère et punitive » du rôle de la prison. 
En ce sens, 66% des personnes interrogées déclarent que les détenus ne devraient pas avoir accès à un ordinateur et 79% se disent opposés à un accès internet. 
Depuis la première étude d’opinion réalisée en janvier 2000, l’opinion des Français a considérablement changé sur le système carcéral : ils sont aujourd’hui 49% à penser que la prison doit avant tout « priver de liberté », contre 21% il y a dix-huit ans. En outre, 45% considèrent que la prison a un rôle prépondérant dans la préparation de la réinsertion des détenus dans la société. Un chiffre qui reste élevé, mais bien loin des 72% de 2000.

Une majorité des Français (53%) juge, en outre, que l’intervention de représentants religieux en prison n’est pas justifiée.
« Le débat n’est, à ce stade, pas tranché, entre la tentation de bannir la religion pour se préserver de la radicalisation, et l’idée que les représentants religieux peuvent au contraire jouer un rôle essentiel pour maîtriser et pacifier la situation », détaille l’étude.

Les Français conscients de la situation des prisons

Au premier janvier 2018, les prisons françaises comptaient 68.974 prisonniers pour 59.765 places, avec un taux d’occupation de 115%. Une réalité dont se saisissent les Français : ils sont 79% à attribuer les difficultés actuelles des prisons à la surpopulation carcérale… mais seuls 47% souhaitent voir diminuer le nombre de personnes en détention provisoire, contre 64% en 2000.
Les Français placent par ailleurs « l’attitude des détenus » en seconde position (à 41%) pour justifier les problématiques carcérales, soit 17 points de plus qu’en 2000. 
« La médiatisation des récentes agressions des gardiens de prisons a pesé sur l’image qu’ont les Français des détenus », précise le directeur des études à la Fondation Jean-Jaurès.Par ailleurs, 64 % des Français estiment que la superficie d’une cellule individuelle en prison est située entre 5m2 et 9m2. Une minorité pointe des cellules supérieures à 10m2 : la norme administrative en matière de cellule individuelle est en effet d’au moins 11m2, même si la réalité s’avère plus précaire. 
« Nous nous attendions à avoir un décalage entre la prison imaginée et la réalité carcérale. En vérité, la médiatisation et les travaux du contrôleur général des lieux de privation de liberté expliquent que les réponses soient quasiment en phase avec les conditions actuelles », admet Jérémie Peltier. La majorité des Français estime avec justesse qu’il y a en moyenne deux (40 %) ou trois détenus (31 %) par cellule. La France a par ailleurs été condamnée à plusieurs reprises par la cour européenne des droits de l’homme en raison de conditions de détention violant l’article 3 de la convention européenne des droits de l’homme. Selon lequel, « nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants ».
« Si les Français ne sont pas pour l’amélioration des conditions de détention, c’est parce qu’ils ne connaissent pas leurs effets sur les détenus. Il faut faire le lien avec la récidive : nous créons des bombes à retardement dès lors qu’ils sortent de prison », conclut le directeur des études à la fondation Jean-Jaurès. 

V. Z.

https://www.nouvelobs.com/societe/20180409.OBS4835/plus-punitive-et-avec-moins-de-moyens-la-prison-telle-que-la-souhaitent-les-francais.html

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20 Comments

  1. La seule solution valable,l’ouverture de l’ancien bagne de Cayenne avec les mêmes conditions de vie que les bagnard de cette époque. Il n’y a qu’à envoyer toutes ces raclures de bidet que sont ces muzz qui se gobergent dans les prisons Françaises au frais du contribuable,travailler la bas à la reconstruction du bagne cela coûtera moins cher à la société, et ça fera la couenne à toute cette chienlit islamiste.

  2. Les galères c’est pas mal non plus, et puis c’est écologiques, à par que de temps en temps ont en foutrait un à la mer parce que HS, mais ci non c’est bien aussi.

    • raté Patrice ! Les galères ont été supprimées par Louis XV ! Non ! l’île aux serpents, sans bombes et sans armes, ils reviendront pas…!

  3. il faut rétablir le bagne, et même le bagne a vie ou la peine capitale pour les terroristes. quant je vois le traitement que nous coute celui de l’ordure rescapée d’abdeslam, il devrait pourrir enchainé dans un cul de basse fosse avec juste un quignon de pain et une tranche de jambon par jour…
    la prison doit faire peur et non pas envie…

  4. Moi aussi j’en ai rien a branler de leurs conditions de vie en taule , moi je les mettrais au pain sec et a l’eau , pas de télé ni d’ordinateur ou de salle de sport et pas de conneries accrochées au mur et surtout pas d’imam ! Ils n’ont qu’a pas faire les cons s’ils ne veulent pas vivre dans ces conditions !

  5. « Les Français trouvent donc, logiquement, qu’il n’y a aucune raison pour que ceux qui ont un prix à payer à la société n’aient pas les avantages du Français moyen, ordinateur, Internet… ». Pardon de la correction, mais à la lecture de la suite de l’article, je pense que devait être écrit .. « aient les avantages du Français moyen, ordinateur,Internet.. »
    Cela dit, j’approuve entièrement le commentaire d’Amélie.Evoquons juste un court instant par la pensée le mutisme de Mohamed Merrah et sa grandiose cellule, aménagée avec de quoi se faire les muscles, s’informer et surtout, surtout de ne pas se suicider par désespoir. Vous direz: il ne l’a pas fait sur le « terrain » alors pourquoi maintenant??’ Parce qu’en prison, ce serait Haram? J’espère au moins qu’on lui donne matin et soir avec son ptit déj et son souper, une bonne dose de bromure -ou autres psychotropes plus modernes- indécelables, de façon à ce que sa famille et comparses ne portent pas plainte contre l’Etat Français pour empoisonnement comme pour Sergueï Skripal et ne demandent des dommages et intérêts par la suite. Non, je ne crois pas exagérer, et partage entièrement l’avis d’un cul de basse fosse spécialement aménagé pour ce zombie!

    • Correctif , Mohamed Merah a été liquidé par le Raid après sa sanglante série de meurtres d’enfants juifs et d’un militaire, vous voulez parler d’Abdeslam , un des tueurs djihadistes du Bataclan dont les conditions d’incarcérations feraient pâlir d’envie n’importe quel SDF crevant de faim et de froid.
      Les îles Kerguelen pourraient bien accueillir les 20000 et plus de fiché S qui « dorment » en liberté, ça sauverait des vies.
      Ce serait plus sûr que la Guyane.
      La peine de mort ne convient pas à des individus qui « chérissent la mort plus que nous chérissons la vie », il faut les bannir vers un enfer glâcé dont il n’y a aucun espoir de revenir, sans régime de faveur, ni remise de peine, ni du fait de l’insularité dans un océan glacial de possibilité de s’échapper comme Papillon de Guyane.

      • même pas les Kerguelen,non , je pense à une île au large du Pérou, appelée « l’île aux serpents ». Y’en a partout, partout…gla gla gla…brrr…lovés sur des branches par paquets, enroulés au sol à chaque pas, c’est effrayant…le phare est maintenant abandonné… tous les gardiens sont morts…mordus par les serpents qui s’infiltrent partout…c’est là qu’il faut mettre abdelsam ben salad et les autres congénères de ce salopard…

  6. Pour y mettre les VRAIS criminels et non pas les patriotes: ça pourrait servir de « goulag »!

  7. Une « bonne prison » est une prison où la vermine a une peur panique d’y retourner ; y a pas à sortir de là .

  8. Des bombes à retardement , tous les allogènes incarcérés , expulsions immédiates , parachutages au milieu de la Méditerranée , ou en plein milieu du désert .point barre. Nous nous en moquons de leurs promiscuités , de leur mal vivre en taule etc.etc.

  9. Je te leur en foutrais moi des cellules chauffées avec le drapeau marocain ou algérien épinglé au mur et la télé . Il faut reconstruire la Bastille, exactement comme elle était avant 1789, avec ces culs de basse fosses. Et à la sortie DEHORS. Il faut qu’ils aient un très mauvais souvenir de la France, pour qu’ils ne puissent jamais y revenir..

  10. En résumé, s’ils ne s’en sortent pas c’est qu’ils ne veulent pas s’en sortir et il y e a qui sont irrécupérables et très dangereux et rien ne pourra les faire changer.
    La Société n’est pas responsable des choix individuels, il faut arrêter avec ces discours qui encouragent ces délinquants voire pire.
    Ce que l’on oublie, c’est qu’il y a des niveau : de la simple déviance à la délinquance avérée voire pire (meurtres etc…). Et le véritable problème c’est qu’on ne nuance pas, que tout le monde est mélangé dans les prisons et qu’on les entretient à ne rien faire soucieux de « leur » petit confort.
    Je comprends : on a peur de les énerver…..

  11. « « Si les Français ne sont pas pour l’amélioration des conditions de détention, c’est parce qu’ils ne connaissent pas leurs effets sur les détenus. Il faut faire le lien avec la récidive : nous créons des bombes à retardement dès lors qu’ils sortent de prison », conclut le directeur des études à la fondation Jean-Jaurès. »
    Sauf qu’à leur sortie, ils sont bien entourés : associations diverses, soutien et travail psychologique, suivi judiciaire avec des travailleurs sociaux, RSA, CMU (donc soins gratuits), distractions diverses organisées par les associations (pour les remettre dans le circuit parait-il), chargées du suivi, aide à la recherche (éventuelle…) d’emploi, etc… je dois en oublier.
    Alors ? Ce n’est pas suffisant ? Combien de Français peuvent bénéficier d’un tel soutien ?…
    Vous me dégoûtez, cela c’est aux frais des contribuables,
    ..;;;et pendant ce temps-là, des personnes âgées à retraite a minima sont rejetées car « elles ont une retraite », vont voir leurs amies en fin de vie à l’hôpital et ont des malaises car elles n’ont pas assez mangé, crèvent (passez moi l’expression) de solitude et dorment la porte de leur appartement ouverte au cas où elles auraient un malaise…. et j’en passe..;
    Je ne parle que de ces personnes mais il y en a plein d’autres en souffrances, c’est humain et aucun Français n’y échappe, et qui doivent se débrouillent tout seul (qu’on ne me sorte pas « les SDF » car eux ont tout ce qu’il faut théoriquement à leur disposition, s’ils le souhaitent).
    Voilà… c’est mon coup de colère à moi avec des arguments fiables que tout le monde peut vérifier.

    • J’avais un commentaire à la suite de celui-là, je pense qu’il a dû se perdre.

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