Darmanin, hier sur « France 2 » …

J’ai pris hier soir, jeudi, l’émission de Léa Salamé dont l’invité était Darmanin, le ministre du Budget.

Ce type m’insupporte : il a toujours l’air de se f*** de votre g***.

Comme Lapix d’ailleurs que RR évoquait récemment …

Et puis sa trahison, son changement de camp parlent assez contre lui.

Il n’a pas été trop difficile aux journalistes qui l’interrogeaient de démontrer que sa politique, celle de Macron, profitait aux ménages les plus aisés, au détriment des personnes modestes, spécialement des retraités modestes …

Autre sujet abordé : la réforme de la SNCF.

Et là ce qui frappe, c’est l’incapacité totale des syndicalistes, celui de Sud ou Laurent Berger de la CFDT, à désigner l’ennemi.

C’est à dire l’U « E » qui veut adapter notre modèle français économique et social singulier aux normes  de la mondialisation anglo-saxonne.

On le sait, c’est une constatation presque banale, contrairement à toutes les autres nations, c’est une volonté étatique qui a « fait » la France.

Celle des rois d’abord, Philippe Auguste, Philippe Le Bel, Louis XI puis celle de la République jacobine …

L’ »UE » veut donc en finir avec cette singularité nationale, comme elle veut liquider toute singularité nationale.

Face à cela, la résistance syndicale est strictement nulle.

Bouffé par l’internationalisme et la haine de la nation, le syndicaliste Sud a eu cette phrase, face à un journaliste qui lui présentait l’objection européiste au maintien du statut :

« L’EUROPE A BON DOS ! ».`

Quant à Berger, la CFDT, incarnation  de la « deuxième gauche », étant totalement vendue à l’européisme, il n’y a aucune résistance à attendre de ce côté.

Ce que ces Messieurs refusent à un Madelin, dans le cadre national, ils l’acceptent parfaitement des gnomes de l’ »UE » parce qu’ils ont écrit « Europe » sur leurs fronts bas.

Sinon, l’invité « surprise » (en fait Darmanin avait été prévenu) était JM Le Pen.

Bonne occasion de ridiculiser la cause nationale, à bon compte, avec quelqu’un qui ne représente plus rien.

Et Darmanin de rappeler que son deuxième prénom était « Moussa », de brandir la photo de son grand-père, courageux patriote français issu de l’Algérie française, ce que personne ne conteste, mais qui n’a strictement rien à voir avec l’invasion migratoire que nous subissons.

Bonne occasion  pour Darmanin, donc, de noyer le poisson de l’immigration folle en cours et contre laquelle Macron ne fait strictement rien.

Léa Salamé était contente, le politiquement correct a, une fois de plus, triomphé sur son plateau et rien ne changera à l’islamisation de la France, à court terme.

Attitude de trahison pour une femme d’origine chrétienne libanaise qui sait beaucoup mieux que la moyenne des Français ce que la « coexistence » avec l’islam signifie …

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9 Comments

  1. Actuellement c’est le règne du cosmopolitiquécologiquement correct…

  2. il a toujours l’air de se f*** de votre g***.
    S’il n’avait que l’air, cela serait moindre mal.

  3. Une chose est sûr , le corridor menant à la Veuve les attend , leurs sangs de traîtres abreuveront le sol de notre Patrie .

  4. En socialie les violeurs sont de véritables héros. Pourquoi n’est il pas en cellule le parasite darmanin ?
    Quant aux journap.tes lapisse et saleme..e elles propagent la haine envers le peuple.

  5. Je plussoie cher antiislam. Mais cette Salamé a-t-elle vécu ce que les Libanais chrétiens ont enduré ? J’en doute. Il y a des traitres partout. Le profil reste le même. Le politiquement correct paie. Alors il y en a qui s’y jettent les yeux fermés.Mais un homme averti en vaut deux !

    • Léa Salamé trahit les siens comme un Georges Ibrahim Abdallah, ex-chrétien libanais également que son marxisme a conduit vers le pan -arabisme matiné de palestinisme, le terrorisme et la conversion à l’islam mais avec seulement des mots et sa trouille.
      Beaucoup de gauchistes trahissent leurs propres racines, la haine de soi existe aussi chez quelques chrétiens d’Orient, hélas, mais heureusement bien moins nombreux qu’en Occident, et il y a aussi tout l’inverse des chrétiens orientaux courageux, tenaces , documentés, instruits, solides, à la différence d’une Léa Salamé qui se contente d’empocher ses émoluments de journaliste, comme une Brigitte Gabriel, origines libanaises également et farouche résistance.
      L’avantage pour les chrétiens d’Orient est qu’ils sont aussi arabophones et souvent excellents dans la maitrise de cette langue arabe, mais pour d’autres, une Léa Salamé est aussi déracinée que le chanteur Mika(libanais également) ou l’animateur Nagui ( copte et donc chrétien) ou encore un Louis Chédid fils de la poétesse libanaise francophone Andrée Chédid et père du chanteur « M » , de gauche, anti racistes, anti nazi (heureusement, ah la « Nazi nostalgie » pas de risque ceux-là sont bien vaincus il ne risque pas de représailles) parce que c’est de bon ton, mais très prudents avec l’islam car enfermés comme le disait très bien l’ancien président libanais maronite Amine Gémayel « la peur et la dhimmitude ».
      Alors soit ils éludent, soit il collaborent et trahissent, soit ils résistent mais c’est vrai, au prix de très grands risques pour des familles restées au Liban ou en Syrie, Jordanie et Egypte où il y a des chrétiens.
      La dhimmitude travaille inconsciemment les cerveaux de ces chrétiens arabophones et francophones, Léa Salamé n’est qu’un échantillon, leur trouille de ces autres arabes, musulmans ceux-là qui les surveillent,perle parfois sur leur front, alors ils restent légers, badins, à la différence de deux qui sont installés aux Etats-Unis et n’ont pas peur de dire la vérité sur l’islam (Raymond Ibrahim, Robert Spencer qui est melkite,Zakaria Boutros…) , un comme les apostats musulmans.
      Ce que les chrétiens d’Orient se disent et savent très bien après la messe à l’église, ils se gardent de le répéter ailleurs, surtout devant un falafel ou un chawwarma devant un serveur chiite ou un sunnite.Taqiya (et un oeu de paranoïa)contre taqiya.
      On peut imaginer ce que c’était d’être arménien, grec ou bulgare sous l’occupation ottomane, car il y avait des convertis et des traîtres même autour d’un narguilé.

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