8 mars ? Avec elle au timon, faisons face aux Démons

Hommage en cette journée de la femme, même si Christine a horreur de cette journée pour laquelle elle dit souvent « pourquoi pas la journée des chiens écrasés ? « 

 

Christine !

 

C’est peu dire en effet qu’elle a une Vision !

Horripilée, qu’elle est, par la Grande Invasion !

Révoltée, par un flux que rien ne vient contraindre

Il lui semble normal, que de vouloir dépeindre

Sans plus tarder et quoi qu’il arrive au pénal

Toute une stratégie et un parcours brutal !

Il reste maintenant qu’ensemble nous devons

Nos efforts rassembler, afin qu’elle au timon,

Et nous à la manœuvre, faisions face aux Démons…

 

 

PACO Dresseur d’animots.

 

06/03/2018.

 

Chère Christine.

Ne voyez dans le texte qui suit aucune forme de démagogie de ma part ! Mais plutôt, l’expression d’une admiration, une considération, pour votre engagement face à la Barbarie. Je vous avais promis de l’Acrostiche ! Hé bien voilà ! C’est bien plus coton que d’écrire un limérick. La contrainte de la première lettre de chaque début de phrase, voilà un obstacle plus haut qu’il n’y parait. La rime, le sens le déroulement et la cohérence. Ma foi, maîtriser, un peu, un tel attelage… Je vous devais bien cela. C’est à vous que je dois ma présence sur votre blog.

Paco

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9 Comments

  1. Moi, j’aime bien la journée de la femme
    , je pense à mes deux grand-mères et à tout ce qu’elles ont vécu, à leur époque, la vie n’était pas facile ,
    j’aime penser que cette journée rend hommage à leur courage et à leur abnégation

  2. Bravo Paco.
    Histoire d’agiter mes neurones je m’y essaie aussi mais l’attelage est difficile à manier :

    Pour avoir lancé ta personne

    Intégralement dans un combat

    Effarouchant certaines imbéciles (remplaçant connes, mais cela bloquait la suite)

    Récoltant l’injustice d’ici-bas

    Réfutant une idéologie débile

    Est pour les patriotes le magistrat

    Comme sa compagne animé d’un courage fébrile

    Aux partisans ébahis il démontra

    Sacerdoce, justice et commandement habile

    Se confondant en son état.

    En cette époque fragile

    Nous leur prêterons nos bras.

  3. Bravo Paco !

    Ce qui suit n’est pas un limerick, mais un haïku :

     » Dans un trou du sol, la nuit,
    En face d’une armée immense,
    Deux hommes.  »

    Christine est une de ces deux Hommes.

    ( sans flagornerie de ma part, non plus : je ne suis pas toujours d’accord avec Christine .
    et rien de sexiste non plus, quand je dis  » une de ces deux Hommes. » )

    • Merci Claude pour cet hommage qui m’émeut aux larmes, j’aime bien que l’on dise que je suis une de ces hommes…

      • Non, pas « une de ces hommes », mais un sacré petit bout de bonne femme comme je l’avais déjà exprimé, avec toute l’admiration dont je suis capable. Bien des « hommes » ne vous arrivent pas à la cheville.

    • Haaaa le « Haïku »… je n’ose m’y frotter !
      Pas encore ceinture noire. Mais ça va viendre !

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