Le rapport Cadiet, relatif à l’open data des décisions de justice, vient d’être rendu public.
http://www.justice.gouv.fr/publications-10047/rapports-thematiques-10049/remise-du-rapport-sur-lopen-data-des-decisions-de-justice-31165.html
Ce rapport est du premier intérêt à l’heure où Christine Tasin dénonce le manuel d’histoire qui l’a citée comme si elle était un exemple à ne pas suivre, sous le pseudonyme « Madame T. », permettant de la « ré-identifier », selon l’expression utilisée par le rapport, alors qu’elle avait été relaxée en appel et que l’islamophobie n’est pas un délit.
http://resistancerepublicaine.com/2018/02/28/le-journaleux-du-midi-libre-arnaud-boucomont-soutient-les-enseignants-outrages-par-christine-tasin/
Dans un article du début de la semaine, j’évoquais aussi le cas de ce conseiller municipal poursuivi pour avoir qualifié une personne de salafiste. Les citations du « Parisien » dans la décision de justice m’ont permis de « ré-identifier » les intéressés malgré l’anonymisation des décisions de justice et de pouvoir me livrer à une analyse du contexte que la décision anonyme ne me permettait pas de réaliser seule.
http://resistancerepublicaine.com/2018/02/26/panique-chez-les-gauchistes-salafiste-cest-une-injure-ou-pas/
Je n’ai jamais compris l’intérêt d’anonymiser en général les décisions juridictionnelles, dès lors que la justice est rendue au nom du peuple français et que les tribunaux statuent publiquement.
Sauf exception, il suffit d’assister à l’audience pour savoir qui est concerné par le procès.
Pourquoi certains citoyens auraient-ils un privilège découlant de leur présence à l’audience à ce sujet ?
Il me semble que le système idéal est soit celui où l’on anonymise tout et on rend la justice à huis clos systématiquement, soit celui où on n’anonymise que lorsque, pour des raisons de confidentialité particulières, qui devraient être exceptionnelles, la justice est rendue à huis clos (exemple : un couple divorce parce que l’époux est impuissant ; il est légitime qu’il ne souhaite pas que tout le monde le sache).
Toujours est-il que ce rapport est d’un intérêt crucial à l’heure où des personnalités du monde politique ou médiatique veulent empêcher la population d’identifier les racailles en tous genres, du petit délinquant au terroriste…
Certains journaux continuent cependant de temps à temps à indiquer le nom réel du délinquant et ne se laissent pas intimider, ce qui est tout à leur honneur.
La « Charente libre », par exemple, mais pour combien de temps ?
http://resistancerepublicaine.com/2017/02/24/angouleme-karim-bouthicha-regle-ses-comptes-a-coups-de-tessons-de-bouteille/
Le journal appartient en effet au groupe « Sud ouest »… !
http://resistancerepublicaine.com/search/sud%20ouest
Le rapport Cadiet intervient pour trouver une solution à un prétendu problème qu’il identifie au point 20 de la page 26 :
« Une partie des données se trouvant au sein des décisions de justice est d’une particulière sensibilité en ce que ces données révèlent « l’origine raciale ou ethnique, les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ou l’appartenance syndicale », ou en ce qu’elles sont des « données génétiques, des données biométriques, des données concernant la santé ou des données concernant la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle » et concernent donc l’intimité de la vie privée des personnes.
Des données relatives aux infractions et aux condamnations pénales se trouvent également au sein de ces décisions dont la diffusion emporte un risque de « mise au pilori électronique».
On peut toutefois se demander si vraiment l’origine ethnique ou raciale ainsi que les convictions religieuses relèvent toutes de la vie privée.
Untel est blanc, en quoi cela relève-t-il de sa vie privée ? N’importe qui, dans sa vie publique, peut percevoir la blancheur de son teint et son appartenance à l’ethnie européenne.
De même, si une musulmane poursuit son employeur ou encore son école voulant lui interdire le port du voile, comme dans l’affaire de l’école d’infirmières, comment pourrait-elle subir une atteinte à sa vie privée alors qu’elle fait ce choix dans la sphère publique ?
En revanche, dans un contexte de terrorisme où les fous d’Allah tuent ceux qui critiquent leur religion, comme des journalistes de Charlie Hebdo en janvier 2015, révéler l’islamophobie d’une personne, c’est mettre effectivement sa vie en danger et risquer de porter atteinte à son intimité.
Il est donc légitime que l’adresse de l’islamophobe soit tenue secrète.
https://ripostelaique.com/lislamo-collabo-tubiana-demande-au-tribunal-de-rendre-publique-ladresse-de-christine-tasin.html
De même, le maintien du pseudonyme de celui qui a écrit des propos contre l’islam et a été condamné malgré le fait que le délit de blasphème est censé ne pas exister en République laïque devrait être un droit et la pseudonymisation se justifie pleinement eu égard au risque encouru dans ce cas.
On pourra toujours dire que celui qui tue sera puni : hélas, cela ne fait pas peur aux fous d’Allah, en particulier compte tenu du traitement favorable de ceux-ci dans la France d’aujourd’hui. Les fous d’Allah n’ont pas peur car on ne leur réserve pas de traitement humiliant.
Pas de peine de mort avec enterrement dans une peau de cochon par exemple.
http://resistancerepublicaine.com/2016/07/29/inhumer-les-terroristes-dans-des-peaux-de-cochon-cherche-depute-ou-senateur-pour-proposition-de-loi/
Pas d’injection létale administrée par une femme par exemple.
Pas de Macron mettant son soi-disant talent de comédien au service d’une comédie islamophobe, par exemple.
http://resistancerepublicaine.com/2018/02/26/macron-devrait-incarner-merah-et-non-pierre-et-le-loup-a-lelysee/
La large publication des décisions de justice est importante car elle permet d’observer de plus près la vie de la cité. Elle est nécessaire à une prise de conscience citoyenne de la réalité de la justice, afin de se faire un avis impartial indépendamment des rapports de presse qui peuvent être tendancieux.
Une dépêche AFP a toutes les apparences de la neutralité. Elle est en général reprise par de nombreux médias, ce qui renforce ce sentiment. Or, elle peut être tendancieuse.
http://resistancerepublicaine.com/search/afp
C’est donc un droit fondamental du citoyen, le droit de s’informer, consacré par la CEDH, qui justifie qu’on ait le droit de connaître la vérité dans ce domaine sauf cas exceptionnel où les risques sont trop grands de révéler l’identité d’un justiciable (c’est au moins l’un des intérêts de ce texte, car la Déclaration de 1789 n’est pas explicite sur ce point, cette dernière étant la quintessence des droits du citoyen). Ce droit fondamental d’être informé devrait d’ailleurs justifier l’abrogation de la loi Pleven.
On peut également se demander pourquoi les islamophobes ne sont pas jugés à huis clos. Il serait légitime de le faire, afin que ces derniers soient les seuls à pouvoir rendre publics les jugements qui les concernent et de choisir la manière de les rendre publics.
Le rapport Cadiet ne consacre cependant pas de sort particulier aux islamophobes.
Ce qui confirme que les pouvoirs publics n’ont pas tiré toutes les conséquences de l’épisode « Charlie hebdo ».
Ce fut l’occasion d’une grande récupération de l’émoi populaire par des élus, gauchistes en particulier, qui tout en se disant Charlie, poursuivent Riposte laïque par exemple.
http://resistancerepublicaine.com/2018/02/26/hidalgo-cumule-deboires-scandales-et-condamnations-sa-reelection-en-2020-compromise/
Les islamophobes devraient faire l’objet d’un traitement particulier, qu’il s’agisse de leur jugement et de sa publication ou de leur emprisonnement (http://resistancerepublicaine.com/2018/02/04/la-mort-assuree-pour-les-islamophobes-en-prison-que-font-les-deputes-pour-les-proteger/), le mieux étant cependant dans l’absolu qu’ils ne soient pas poursuivis puisqu’il n’y a qu’en République islamique qu’on n’a pas le droit de critiquer l’islam.
On peut donc se demander quelle est l’utilité d’un tel rapport si, finalement, au lieu d’avoir le souci qui serait légitime de protéger les islamophobes dans le contexte de l’après-Charlie, il a voulu aussi qu’on ne dévoile pas l’appartenance ethnique ou religieuse des condamnés.
C’est d’autant plus paradoxal que Macron s’est dit partisan du « Name and shame » : désigner pour faire honte. C’est légitime quand il s’agit par exemple de dénoncer un antisémite néo-nazi.
Le rapport intervient pourtant en application de la loi du 7 octobre 2016 pour une République numérique qui « a institué en ses articles 20 et 21 la mise à disposition du public à titre gratuit (en « open data ») de l’ensemble des décisions de justice – judiciaires et administratives – en précisant qu’elle devrait se faire « dans le respect de la vie privée des personnes concernées » et être « précédée d’une analyse du risque de ré-identification des personnes ».
http://www.justice.gouv.fr/publications-10047/rapports-thematiques-10049/remise-du-rapport-sur-lopen-data-des-decisions-de-justice-31165.html
Une telle formule laissait la porte ouverte à la commission chargée du rapport pour cibler le risque de ré-identification en la personne des islamophobes dans le contexte de l’après-Charlie.
Les articles 38 et suivants de la loi de 1881 relative à la liberté de la presse prévoient, sous peine de sanction pénale, qu’il est interdit de révéler l’identité de certaines personnes impliquées dans des affaires judiciaires.
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=LEGITEXT000006070722
Dans une République laïque soucieuse de préserver la liberté d’expression et donc le droit de critiquer l’islam, de caricaturer Mahomet ou Allah en particulier, il serait légitime d’ajouter à la liste des interdictions celle de révéler sans son consentement l’identité d’un islamophobe, par exemple un journaliste caricaturiste qui poursuivrait son employeur pour licenciement abusif parce que celui-ci l’aurait sanctionné d’avoir fait paraître un dessin islamophobe, une caricature d’Allah ou de Mahomet.
Or, une telle proposition est absente du rapport Cadiet.
Alors, que reste-t-il de « je suis Charlie » ? Seulement des fleurs et des bougies ?
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Evidemment, pas d’anonymat pour les islamophobes , je suis bien d’accord. Ce Macron est de plus en plus décevant quant à son manque de courage face à l’islam , ennemi public numéro 1 .
Tous les élus veulent cacher la misère dans laquelle ils nous ont mises!
Bon ! On a le choix le choix :
1°- on crève de faim et peut-être que lorsque nous serons agressés ou qu’un cambriolage aura lieu chez-nous, la milice privée (et quelle milice ?!!!!) à laquelle nous aurons souscrit, viendra nous secourir et…. à temps ; on comprendra que cette solution nous place dans une psituation de perdant-perdant.
2°.- On mange mais on est perdus. En cas d’attaque, notre sauvegarde dépendra de nous même en prenant soin de ne pas abimer les délinquants ; mais avec à la clef, une comparution au tribunal pour rendre des comptes et sûr, qu’on ne gagnera pas. Et comme dans le premier cas, ce sera du perdant/perdant pour nous.
Marine Le Pen alerte les Français sur la privatisation de la police
15 février 2018
::: http://www.marinelepen.fr/2018/02/marine-le-pen-alerte-les-francais-sur-la-privatisation-de-la-police/
DURÉE : 2’26s
À l’Assemblée Nationale, Marine Le Pen a interpellé le gouvernement, qui a été contraint d’avouer son projet inacceptable : la privatisation de la police. Après les radars, les PV, c’est notre sécurité qui va être livrée à des sociétés privées !
Et un éditeur suisse ?Il y en a de fameux …..et distribués en France.
Oui,je sais ils peuvent se faire condamner aussi ….
» islamophobologue » c’est comme le parachutisme: un sport qui monte !
Christine,il y a bien un éditeur qui prendrait cet ouvrage (là je parle du livre de Maxime avec tous ses articles depuis…….le premier ) à ses frais ,un éditeur même spécialisé technique ou universitaire qui sera sensible au fait que vous pourrez également distribuer ce livre sur votre réseau (site). Les éditeurs aiment ce genre de promotion ciblée qui déclenche le « bouche à oreille »,la meilleure méthode de vendre un livre ,on a jamais fait mieux.
Je vous signale que LIVRE HEBDO édite chaque année un annuaire (un numéro spécial de leur magazine) à jour de tous les éditeurs ,leur spécialité et leurs organigrames .C’est un outil épatant pour savoir qui fait quoi .Vous pouvez aussi proposer à un éditeur de distribuer les livres que vous avez déjà édités.C’est un accord à trouver.
Comme la roue tourne et que les éditeurs sont censés avoir une petite longueur d’avance sur l’opinion publique,certains de vos ouvrages pourraient ne pas leur faire peur ….si vous voyez ce que je veux dire.Celui de Maxime étant tout à fait institutionnel,pas de problème pour celui-là.
A tenter de toute manière…..
Vous ne vous rendez vraiment pas compte de la situation en France, tout ce qui touche à la critique de l’islam est jeté, rejeté… Aucun éditeur, AUCUN n’acceptera, ça ne peut être que RR qui édite mais on ne fait pas n’importe quoi il faut réfléchir, calculer…
C’est avec ces GUEULES là que Macron et consorts , veulent replacer le peuple français . Les Francs venus du nord de l’Europe , sont donc en voie de disparition . Le blond aux yeux bleus, est un paria dans son propre berceau. Un comble, assumé par la population soumise .
Etre islamophobe n’est pas un délit mais une preuve de bon sens.
De toutes façons, étymologiquement, avoir peur ne peut pas être un délit.
Maxime , TOUS vos articles sont à archiver d’urgence et pas un mot n’y est à changer.Vous devriez les faire éditer par RR et ce recueil s’intitulerait: « Citoyens face à l’islam « .
Merci de toujours remettre les pendules à l’heure.Vous faites un travail de fond sur les changements à apporter à nos lois et même notre constitution qui devrait être consulté par nombre de ces irresponsables qui s’autoproclament députés ,sénateurs et politiques. Vous êtes un grand juriste et humaniste .
Je joins mes félicitations et remerciements à ceux de Nicolas, en effet Maxime jour après jour fournit un travail extraordinaire. L’idée de Nicolas est à approfondir je vais y réfléchir, la difficulté étant que les Français n’achètent pas trop de bouquins de fond, et qu’il faut éviter de perdre de l’argent avec le prix de l’impression et les frais d’envoi…
Enregistrer les articles est facile pourtant…
L’impression n’est pas utile, pour des raisons de de taille de stockage, de coût, de temps…enfin, pour le moment…
Le mieux serait le format PDF pour chacun des articles, mais là, c’est du temps à consacrer par les informaticiens du site…
A voir avec eux, Christine :-)))
De plus, un classeur et les feuilles dedans, n’est pas d’un coût prohibitif, et chacun imprimerait ce qui semble ou serait utile…
C’est mon cas, j’ai fait une liste dans laquelle je mets les mots-clé pour trouver rapidement le site en question en dessous de chaque lien, et je donne ce papier, que je mets à jour assez régulièrement, ainsi, lorsque je rencontre des gens – transaction LEBONCOIN par exemple – il m’arrive de leur donner le papier en question…
La ré-information est une arme puissante, tu le sais mieux que personne Christine… et TOUS les moyens sont bons, quels qu’ils soient !!!
la question n’est pas d’enregistrer mais de faire un bouquin, ça coûte… et faire un classeur c’est possible mais dans ce cas chacun se le fait; on ne les vendrait pas. On a un informaticien débordé qui n’est pas disponible pour notre site, il en gère pas mal d’autres… Un format PDF ? chacun peut l’avoir avec print friendly sous les articles… je ne vois pas ce que tu demandes
Super facile oui, mais beaucoup de gens ne savent pas à quoi sert ce bouton vert en bas d’article. Et encore, s’ils y font attention.
A droite du bouton devrait figurer : « Imprimer cet article ou l’envoyer à vos contacts ».
Je suis très touché par vos remerciements Nicolas F, Christine Tasin, et d’autres encore qui encouragent régulièrement comme Antiislam ou Denise.
J’ai fait en sorte de conserver les articles concernant la jurisprudence car ce sont les plus concrets, ne serait-ce que pour prévenir le risque de fermeture du site à une époque où la liberté d’expression est sérieusement entamée…
Et effectivement on peut rêver d’un grand ouvrage juridique consacré à l’islamisation de la France chez un éditeur juridique, LGDJ, Dalloz par exemple, je pense que ce n’est pas pour demain la veille… et pourtant il y aurait de quoi faire.
Bon article mais un petit effort pour la langue française serait appréciable. « Open data » = « données ouvertes », en français. Pourquoi ne pas utiliser l’expression française ou au moins utilisez les deux formulations, celle en anglais peut être plus connue « open data » mais aussi son équivalent français : « données ouvertes ».
Pour « name shaming » , cet autre anglicisme est peut être un peu plus complexe à traduire : « appel à la dénonciation « ?
En tous les cas une autre expression empruntée au langage globish : « name dropping » peut parfaitement se traduire par un « lâcher de noms » .
Exemple, la presse avant l’annonce officielle d’un nouveau gouvernement constitué laisse filtrer des noms de possibles futurs ministres. Plutôt que « name dropping » on peut utiliser l’expression de « lâcher de noms » de personnalités qui pourraient intégrer le futur gouvernement.
Pour l’Open data, le site gouvernemental Data.gouv.fr reprend ce terme (et d’autres anglicismes)
https://doc.data.gouv.fr/
Il est noble de lutter pour la langue française et je trouve ridicule d’employer certains termes mais comment faire autrement ?
Sinon, il est incroyable ce Tubiana : demander à ce que l’adresse de Christine Tasin soit révélée ! D’abord, cela n’apporte rien au procès, au pire, c’est l’agression assurée, avec déménagement, exil etc.
Mais peut-être Mme Tasin devrait-elle demander une protection au Ministre de l’Intérieur, comme Riss, Fabrice Nicolino, Zineb El Rhazoui et Luz. Le problème, c’est que, s’il est « Charlie » (ça ne mange pas de pain), il n’est sûrement pas « RR ».
Effectivement cela ne m’étonne pas , le gouvernement veut imposer l’anglais comme langue unique au sein de l’Europe. L’offensive contre la langue française fait partie de la casse du modèle social français et d’une façon générale de toute spécificité française. Le gouvernement veut faire basculer la France vers l’usage de l’anglais première langue dans le monde de l’entreprise, des universités, du commerce et les médias et ce gouvernement avec la complicité des entreprises et des médias fait tout pour dévaloriser le français en présentant cette langue comme une langue ne pouvant plus exprimer les réalités d’aujourd’hui d’où l’imposition de ce franglais , étape vers le tout anglais. Et d’où aussi la diminution constante des heures de cours en français.
Dans les deux cas, ce n’est pas moi qui ai utilisé l’anglicisme, je n’ai fait que reprendre la formule utilisée dans les liens.
Ça s’appelle être complice ….
Délation, tout simplement. Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
entièrement d’accord! Mais s’il n’y avait que ça?
Reply, ça veut dire quoi?