Photo : Barry Lewis CC via flickr
Le Premier ministre français a convoqué la presse le 26 février pour exposer les grandes lignes du projet de réforme de la SNCF.
Edouard Philippe a admis que son gouvernement aurait recours aux ordonnances afin d’avancer «vite» sur des «aspects techniques». Pour mémoire, le gouvernement peut demander au Parlement l’autorisation de prendre lui-même des mesures qui relèvent normalement du domaine de la loi afin de mettre en œuvre son programme.
Objectif affiché : faire voter les «principes-clés avant l’été».
Démantèlement de la SNCF : avec 30 ans de retard, Macron va-t-il répéter les mêmes erreurs que les Britanniques ?
Le gouvernement envisage d’accélérer la libéralisation du rail et la transformation, sinon le démantèlement, de la SNCF. Les recettes proposées sont les mêmes que celles qui ont été appliquées aux autres entreprises publiques, de France Télécom à EDF, et qui n’ont bénéficié ni aux salariés ni aux usagers. L’exemple de la libéralisation des chemins de fer britanniques, initiée dans les années 1990 et marquée par une succession de faillites et de scandales, devrait pourtant inciter à la prudence. Au Royaume-Uni, un mouvement pour la ré-appropriation de ce service public par les usagers et les salariés prend de l’ampleur.
Le 15 février, Jean-Cyril Spinetta, ancien PDG d’Air France et ancien président d’Areva, a rendu public un rapport sur l’avenir de la SNCF et du rail en France. Ce 19 février, le gouvernement vient d’ouvrir une période de concertation sur ce nouveau chantier, en recevant direction de l’entreprise publique et syndicats. Transformation de la SNCF en société anonyme, ouverture à la concurrence des lignes ferroviaires, voire de la gestion du réseau, fin programmée du statut de cheminot, suppression des dessertes jugées non rentables… Les préconisations du rapport Spinetta n’ont rien pour surprendre, tant elles correspondent aux « recettes » appliquées précédemment à d’autres entreprises publiques, de France Télécom à EDF, en passant par La Poste. Elles ont immédiatement été reprises à son compte par le gouvernement, qui a annoncé l’ouverture d’une période de concertation en vue de leur mise en œuvre.
La « réforme » – sinon le « démantèlement » – du service public ferroviaire serait rendue nécessaire et inéluctable par la dette de la SNCF et les exigences européennes de libéralisation du rail – l’ouverture à la concurrence étant fixée en 2020 pour les lignes nationales de transport de passagers. Ceux qui poussent ce projet – parmi lesquels il faut compter la direction de la SNCF elle-même – feraient pourtant bien de regarder ce qui se passe de l’autre côté de la Manche.
Le rail britannique est libéralisé dès les années 1990. British Rail, l’ancien service public, est alors divisé en plusieurs morceaux avant d’être vendu. Le réseau ferroviaire est séparé de la gestion des lignes, elles-mêmes réparties en plusieurs concessions régionales. Moins connu : la flotte des trains est confiée à des entreprises séparées, qui les louent au prix fort aux opérateurs des lignes, assurant à leurs actionnaires des millions de profits garantis d’année en année.
Hausse de 23 % des billets de train depuis la privatisation
C’est la privatisation du réseau ferroviaire – envisagée en filigrane pour la France par le rapport Spinetta, qui propose la transformation de SNCF Réseaux en société anonyme – qui en Grande-Bretagne a dégénéré le plus rapidement. Les problèmes de coordination et de perte d’expertise ont entraîné de nombreux incidents, qui ont culminé avec la catastrophe ferroviaire de Hatfield en 2000, laquelle a coûté la vie à quatre personnes. Le gouvernement s’est trouvé contraint de renationaliser le réseau dès 2002, et n’a jamais tenté de le privatiser à nouveau.
La gestion des lignes elles-mêmes est également marquée par des faillites et des scandales à répétition. Selon un sondage réalisé en 2017 pour la campagne We Own It (« Ça nous appartient »), qui milite pour la renationalisation ou la remunicipalisation des services publics au Royaume-Uni, 76% des Britanniques interrogés se déclarent en faveur d’un retour du système ferroviaire sous contrôle 100% public. Bien que les prix du train au Royaume-Uni soient parmi les plus chers d’Europe, ces services continuent d’être largement financés par les contribuables, tout en assurant des profits confortables à leurs opérateurs. Selon les chiffres mêmes du ministère britannique des Transports, les prix du train ont augmenté de plus de 23 % depuis la privatisation en valeur réelle (c’est à dire compte tenu de l’inflation). Les équipements ont vieilli. Et les firmes qui opèrent les lignes font l’objet des mêmes critiques sur la ponctualité des trains, les nombreuses annulations, les conflits sociaux, les wagons bondés et la qualité du service que la SNCF en France.
Des entreprises privées qui laissent tomber les lignes qu’elles gèrent
Lire la suite, coupée parce que l’article est fort long, sur l’article en ligne, lien ci-dessous
Quand les privatisations britanniques profitent aux entreprises publiques françaises
Les privatisations britanniques ont largement profité aux entreprises étrangères, en particulier françaises : Atos ou Steria pour la sous-traitance administrative, Vinci, Bouygues et Eiffage pour les partenariats public-privé, Sodexo pour les prisons, EDF pour l’énergie… Côté transports, des filiales de la RATP gèrent des lignes de tramway à Manchester et de bus à Londres. Keolis, filiale privée de la SNCF – à 70%, les 30% restant appartenant au fonds de pension public québécois, la Caisse des dépôts et placements –, est déjà présente sur plusieurs concessions au Royaume-Uni, notamment la plus importante, « Thameslink, southern and Great northern » (Nord et sud de Londres), marquée récemment par des conflits sociaux [2], et « Southeastern » (Sud-est du pays). Paradoxe : ces nouveaux marchés issus des anciens services publics sont souvent dominés par des entreprises qui sont la propriété de l’État français, et qui font chaque année traverser la Manche à de généreux dividendes tirés de la gestion des services privatisés britanniques.
Pendant que la Grande-Bretagne se lançait corps et âme dans des privatisations tous azimuts, les dirigeants français suivaient en effet une tout autre stratégie : celle de transformer les anciens monopoles publics – Air France, France Télécom, EDF-GDF, La Poste, SNCF, etc. – en entreprises commerciales sous le contrôle plus ou moins dilué de l’État, tirant profit de leur situation de rente en France et de la protection du gouvernement pour s’étendre à l’étranger… y compris en acquérant les services privatisés par d’autres pays. Cela explique sans doute pourquoi les dirigeants français ne se sont toujours opposés que très mollement aux politiques d’ouverture à la concurrence impulsées depuis Bruxelles. C’est exactement le modèle poursuivi depuis une dizaine d’années par la direction de la SNCF (lire notre enquête) et que le rapport Spinetta vient valider aujourd’hui en proposant la transformation de l’entreprise ferroviaire en société anonyme.
Olivier Petitjean
[1] L’auteur de cet article a participé à cette conférence, tenue à Londres le 10 février 2018, à l’invitation du Labour, pour présenter le travail de l’Observatoire des multinationales sur la remunicipalisation.
En complément, la réaction et l’analyse de Marine Le Pen
Réforme de la SNCF – Marine Le Pen : “Est-ce que vous croyez que les sociétés privées vont aller sur les petites lignes ? Non !”
A écouter, elle est interrogée par Marc Fauvelle ce matin : elle répète que le gouvernement veut privatiser la SNCF et que les petites lignes régionales seront délaissées par les entreprises privées car peu rentables, ce qui conduira, à terme, à leur fermeture.
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Ce dont peu de personnes parlent c’est la fonction publique en soi : policiers assermentés, mais aussi les facteurs de l’ancienne époque! maintenant le facteur a un CDD… peut être un casier judiciaire, on sait pas.
Pareil pour les trains : la SNCF recrute des aiguilleurs et autres sur pole emploi, en contrat aidé. Quid de leur morale? et les risques d’attentat?
On critique beaucoup les fonctionnaires à cause de leurs avantages, mais à chaque fois qu’il faut rogner sur les droits, on commence par eux : méfiance!
Comme les fonctionnaires sont souvent détestés, les gens approuvent la fin de tel ou tel statut et un jour, le privé se retrouve à son tour lésé.
Est ce que ça va aller jusqu’à la suppression du smic, des congés payés ou de la santé pour tous? C’est bien parti pour, on ne bouge pas!
On devrait quand même être plus attentif à la fin de notre pays, la misère de nos infrastructures, la mort de notre industrie…
France :
Grande Braderie
Liquidation des stocks avant fermeture définitive
services publics, poste, SNCF
aéroports
terres agricoles
………
tout doit disparaître
( ce qui restera sera mis à la disposition , à titre gratuit, des populations étrangères désireuses de s’installer en France )
Cela ne profiterait pas aux producteurs de pétrole ces fermetures de petites lignes,par hasard?
Si on ne peut plus predre le train,prenons la voiture!
Quand on vous dit qu’en France on a pas de pétrole mais on a des idées !
(de VIEILLES idées,Macron champion du vintage!)
CA ROULE POUR EUX https://www.koreus.com/video/japon-gare-ecoliere.html
SOLUTION STOP DIVERSITE MUSULMANE ET AFRICAINE importation de japonais trains propres et a l heure https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_chemins_de_fer_japonais DOMO ARIGATO
Il est très clair que la SNCF va finir comme la poste ou les autoroutes c’est à dire privatisée, on voit le résultat : La poste est devenue la reine des pertes de courriers et de colis , les facteurs complètement pressurisés vous laissent d’office un papier dans la boite sans même sonner pour vous remettre un colis ou un recommandé, les délais de distribution du courrier sont hallucinants et les tarifs augmentent à n’en plus finir.. Pour les autoroutes même scénario, tarifs exorbitants,entretien de plus en plus rare des voies de circulation (sauf des péages bien sûr), etc etc . Hé bien la SNCF va évoluer de la même manière je fais le pari que dans quelques années les petites lignes empruntées par les « sans dents » pour aller bosser vont disparaitre ne laissant au pauvres couillons qui bossent que la possibilité de prendre leur voiture et de payer une blinde pour le carburant et pour se garer dans les villes où le stationnement devient un racket pur et simple, quant à l’entretien des voies préparons nous a voir des catastrophes du genre Brétigny sur Orge très régulièrement car l’entretien des voies sera minimisé pour que les actionnaires et les dirigeants puissent grassement se remplir les poches.. Voila la France de merde que nous prépare Macron et ses copains européistes, Les seuls a tirer leur épingle du jeu seront les mahométans et migrants de toutes sortes qui eux n’ont pas a se lever pour aller bosser et vivent très confortablement grâce à la fiscalité confiscatoire que nous assènent les Macrons et autres salopards de son espèce
Solution simple pour que la SNCF redevienne un « service public » : virer la direction, c’est-à-dire les syndicats. Qui devraient d’ailleurs être interdits dans toute la fonction publique. Pepy n’est que l’épouvantail qui cache les corbeaux.
oui j’ai été étonnée car un responsable CGT a dit lors d’une émission que des permanents syndicaux cherchaient juste une place !! si c’est lui qui le dit !!!
De toute façon, ces idées de privatisation c’est pour faire sortir le personnel qui, en vieillissant coûte trop cher à la boîte car mieux rémunéré grâce à l’ancienneté mais peut-être moins performant qu’un jeune banlieusard ayant un BTS; et qui sera payé au SMIC ça aussi, c’est du grand remplacement, car, contrairement à un artisan qui apprend le travail à son fils, on ne prend plus dans ces entreprises les enfants du personnel .Mais schuuuut!! faut pas le dire.
Et puis bien sûr, faire des économies sur les réseaux en ne desservant plus les villages et les petites villes.
Plus rentable de louer ou vendre à un opérateur la fibre optique qui court le long des voies ferrées.
Voilà le printemps, peut-être des rénovations, restauratins…
Peintures : gare à la MIT, puissant allergène
::: https://www.60millions-mag.com/2018/02/26/peintures-gare-la-mit-puissant-allergene-11622
La plupart des peintures à l’eau contiennent de la méthylisothiazolinone. Or, les risques de réactions allergiques sont réels.
Une femme passe un rouleau à peinture sur un mur
iStock
Sans relâche, 60 Millions traque la présence de la méthylisothiazolinone (MIT), un conservateur très allergisant, dans les produits de consommation courante.
Après les cosmétiques, les produits d’entretien ou encore les lessives, pour la première fois, c’est dans des pots de peinture que nous avons recherché la présence de ce conservateur. Au total, nous avons analysé 48 pots de peinture { https://www.60millions-mag.com/kiosque/banques-les-moins-cheres } dans notre magazine de mars.
Verdict : la méthylisothiazolinone et la benzisothiazolinone (BIT, une autre substance de la même famille) sont bien présentes dans la quasi-totalité des peintures testées – et à des concentrations non négligeables, même dans des peintures affichant un label écologique !
::: Autorisée depuis 2005 dans les cosmétiques :::
La MIT bénéficie d’un vif intérêt auprès des fabricants, notamment de cosmétiques, depuis quelques années. Ils l’utilisent pour son action antimicrobienne en substitution aux parabènes, devenus source de méfiance chez les consommateurs.
>>>>>> À LIRE AUSSI : Encore trop d’allergènes dans les lessives ! { https://www.60millions-mag.com/2018/01/25/encore-trop-d-allergenes-dans-les-lessives-11551 }
Depuis 2005, la réglementation européenne a en effet autorisé dans les cosmétiques le recours à la méthylisothiazolinone seule (elle était jusque-là autorisée en associant un autre conservateur de la même famille) jusqu’à une certaine concentration : 0,01 % du produit fini ou 100 parties pour million (100 ppm = 100 mg/kg). Une concentration qui paraît faible, mais qui n’écarte pas le risque de sensibilisation.
::: « Épidémies d’allergies » à la MIT :::
Pour preuve, partout en Europe, dermatologues et allergologues doivent faire face à une recrudescence d’allergies de contact provoquées par la méthylisothiazolinone. Certains spécialistes n’hésitent plus à parler « d’épidémie d’allergies » à la MIT.
>>>>>> À LIRE AUSSI : Allergies, tous menacés ! { https://www.60millions-mag.com/kiosque/allergies-tous-menaces }
En France, la proportion de personnes dites « sensibilisées », c’est-à-dire qui développent une réaction allergique (le plus souvent un eczéma de contact) après avoir été exposées à cette substance, est estimée de 2 à 4 % de la population, voire davantage. Car les chiffres diffèrent selon les sources.
::: Interdite dans les cosmétiques sans rinçage :::
Face à la situation, les autorités de santé européennes ont réagi a minima. Depuis le 12 février 2017, la MIT est interdite dans certains produits cosmétiques { http://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/?uri=celex:32016R1198 }, en l’occurrence ceux qui s’utilisent sans rinçage comme les crèmes et les laits pour le visage ou le corps.
Mais elle reste autorisée dans tous les cosmétiques qui se rincent (gels douches, shampoings, etc.) ainsi que dans beaucoup d’autres produits de consommation courante.
::: Pas toujours annoncée dans la liste des ingrédients :::
Or, les personnes déjà sensibilisées à la MIT via les cosmétiques risquent de développer des réactions en étant en contact avec d’autres produits. D’où l’intérêt de s’intéresser à la composition des peintures.
>>>>>> À LIRE AUSSI : Les allergies aux chaussures continuent { https://www.60millions-mag.com/2017/09/04/les-allergies-aux-chaussures-continuent-11326 }
D’autant que la présence de MIT (ou d’autres thiazolinones) dans ces produits reste largement inconnue du grand public. Notre étude montre qu’elle n’est pas systématiquement annoncée dans la liste des ingrédients, même quand elle devrait l’être. La réglementation exige, en effet, de l’indiquer au-delà d’une certaine concentration.
De plus – et c’est l’un des enseignements majeurs de notre étude –, les doses de thiazolinones mesurées peuvent varier, d’un pot à l’autre, de un à dix… Quand on sait que ces peintures sont destinées à être appliquées du sol au plafond, dans toutes les pièces de la maison, ces résultats posent forcément question sur les risques.
Victoire N’Sondé. Ingénieur : Emmanuel Chevallier.
et patati et patata , Mme Le Pen ..les petites lignes supprimées, on en sait rien dans l’immédiat et vous avouerez que l’on peut avoir recours à des bus voir de petites voitures de train.. j’ai fait la connaissance d’un chauffeur de TGV , dans le train, mais rassurez vous , il ne conduisait pas .. qui m’a dit franchement, que les employés de la SNCF exagéraient beaucoup, ils demandaient beaucoup alors qu’ils étaient bien payés , qu’ils étaient très revendicatifs, mais bon que cela marchait .( la revendication ) ..qu’ils avaient encore la prime charbon alors que à priori, il n’y avait plus de charbon pour faire avancer les locomotives !
D’autre part ce soir un invité sur LCI résident suisse, disait que ce qui se passe à la SNCF ne serait pas arrivé en Suisse car les dirigeants français ont pris des décisions lamentables concernant le fonctionnement de ce service public et que les employés ne sont pas responsables ! ben oui ! il n’existe pas malheureusement de possibilité de faire « payer » les dirigeants, comme ceux d’AREVA et aussi des portiques d’écomouv ! ( et ce n’est pas fini ) , c’est bien le problème car qui paye ne recommence pas les erreurs !! en attendant je crois que, malgré tout il faut mettre un peu d’ordre, mais je suis de tout coeur avec les employés qui ne sont pas responsables .
Bonjour,
La prime charbon n’existe plus depuis les années 70.
Areva, il est scandaleux qu’on ait bombardé une personne qui n’avait jamais fait ses classes d’ingénieur, mais seulement de la politique, à la direction d’un groupe de haute technologie …
Le mot « national » dans SNCF est odieux à nos élites, à commencer par les trotskystes qui ont infiltré la direction des syndicats : ils aimeront mieux voir crever les salariés que de paraître les défendre, au nom de l’idée nationale, contre des exigences qui sont, en fait, celles de l’ U « E » …
merci Antiislam, oui à l’époque j’avais trouvé que Sarkozy avait été courageux sur ce coup là ,car c’est lui qui s’est séparé de Anne Lauvergeon ( présidente de Aréva ) , cela avait fait un sacré ramdam..nous avons vu après, une émission avec l’interview d’ingénieurs qui avait soulevé ce point de sa non formation d’ingénieur, et d’une construction d’une centrale , je crois en Finlande, au point mort depuis plus de 20 ans …un scandale
Oui les exigences de l’U.E., pour la SNCF ,c’était clairement dit !
pour avoir vu la rediffusion sur LCI , le résident suisse est en fait Richard Werhy le correspondant suisse du magazine Le Temps, qui a été surpris par les ordonnances, soit , mais aussi dit que le Président cherche le conflit, et qu’il prend le parti des usagers , des citoyens, contre les professionnels et ça c’est pas bien ! ( ce n’est pas nouveau, nous l’avons déjà vu )
le but de la secte et de ce complot : tout détruire et ruiner les gens petit à petit, en douceur
Youssef Macron, fils spirituel d’Ali Juppé ! 23 ans après, le foutoir complet !!!