Pour qui s’intéresse au suicide français, la PQR (presse quotidienne régionale) représente un succédané aux grands titres parisiens, peu enclins à rapporter les petits malheurs de la France périphérique, grande perdante de la mondialisation heureuse.
Non pas qu’il manque d’entreprises performantes à l’export et que les nouvelles technologies y soient absentes. Mais la question identitaire y est plus prégnante que dans les grandes villes de l’archipel métropolitain : on tient à ses paysages, à ses traditions et souvent à sa langue.
Question identitaire dédaigneusement méprisée par les zélateurs de la religion progressiste : pour eux, l’autochtone n’est que tristesse quand le migrant nous apporte, lui, sa « richesse ».
A Paris, la PQR, ce sont les rubriques « des chiens écrasés », les pages nécrologiques et les comptes-rendus des tournois de rugby ou de pétanque. Pas du vrai journalisme.
La Dordogne Libre du 12 février traite pourtant de 3 sujets d’actualité : l’explosion de la petite délinquance, l’arrivée des « migrants » et l’abandon de la ruralité par l’État.
Délinquance : hausse spectaculaire des cambriolages en 2017
+ 21,8% de cambriolages (par rapport à 2016) soit 2203 faits recensés
+ 35,2% en zone gendarmerie
+ 50% dans la périphérie des villes (+72% à Bergerac !)
« Les forces de l’ordre notent que ce type de délinquance est particulièrement marqué le long de l’A89 (NDA : Bordeaux-Lyon). Elle serait donc davantage l’œuvre d’équipes de malfaiteurs internationaux ou sévissant sur la région. »
Le vocable « malfaiteurs internationaux » permet d’éluder la question des origines. En l’absence d’une mafia périgourdine, pourrait-on soupçonner une certaine population issue de Roumanie et de Bulgarie ?
Le journaliste ne s’y risquera pas, préférant évoquer les recommandations de la représentante de l’État, Mme Anne-Gaëlle BAUDOUIN-CLERC :
« Pour contrer ce phénomène récent, la préfecture compte encourager la constitution de dispositifs citoyens comme Voisins vigilants et Participation citoyenne […] Enfin, la préfecture appelle les Périgourdins à faire preuve d’une certaine prudence élémentaire comme fermer à clé son habitation… Ce qui n’est pas toujours un réflexe dans les campagnes. »
http://www.dordognelibre.fr/2018/02/12/cambriolages-hausse-spectaculaire-2017/
Une trentaine de migrants accueillis à Clairvivre ?
« Il s’agira de réfugiés « réinstallés » […] C’est-à-dire dans le cadre d’un nouveau dispositif voulu par le président de la République, Emmanuel Macron, qui consiste à aller chercher les réfugiés potentiels directement en Afrique […] »
Rappelons que la cité de Clairvivre, créée dans les année 30, est la première cité sanitaire française conçue pour traiter les tuberculeux tout en accueillant leur famille.
http://www.la-cite-clairvivre.com/Historique.html
A la fin des années 30, la cité accueillait les blessés de la guerre d’Espagne puis des réfugiés Alsaciens (1939-1945). C’est désormais un établissement médico-social pour personnes handicapées adultes.
Avec l’arrivée en Europe des populations africaines les plus indigentes, la cité et son sanatorium, (fermé depuis 1980) retrouveront peut-être leur vocation première.
Le journaliste, là aussi, ne s’attarde pas sur la réaction des habitants, du personnel et des familles de personnes handicapés, côtoyant bientôt des populations nigériennes.
Comme l’ancien Premier ministre Raffarin (Ouest-France), l’État souhaiterait peut-être régénérer des campagnes abandonnées par ses services, en apportant du sang neuf africain et mahométan à une vieille population de souche rancie.
Rappelons également que le Niger a la« croissance démographique est la plus élevée du monde, à +3,9 % par an […] Son PIB par habitant est très faible, et une partie importante de la population (56,1 % en 2011) vit dans un extrême dénuement » (PopulationData.net)
En somme, ce serait lutter contre la désertification des campagnes françaises en y greffant des Africains menacés par la désertification du Sahel.
Abandon de l’État :
Cette ruralité abandonnée par l’État se traduit également par la cacophonie autour des rythmes scolaires et du financement des TAP (temps d’activités périscolaires).
Les communes de Dordogne ont en effet jusqu’au 1er mars 2018 pour décider de maintenir la semaine de 4,5 jours ou revenir aux 4 jours. Et du côté des élus, c’est le grand désarroi.
Non seulement, l’État baisse ses dotations mais supprime également les contrats aidés qui assuraient les activités périscolaires.
http://www.dordognelibre.fr/2018/02/12/rythmes-scolaires-cacophonie-regne-lagglo/
Pour Pascal Protano (maire de Coursac, 2111 hab.), le choix des 4 jours est évident : le coût des TAP étaient « insurmontable (30 000€) et ne permettait pas de recruter du personnel qualifié ».
Pour Daniel Le Mao (maire d’Antonne, 1233 hab.), c’était aussi « pour des raisons budgétaires (20 000€) », mais également « pour des questions de locaux », trop peu nombreux dans les petites communes pour proposer de multiples activités.
Et puis, « c’est sur les élus que toute l’organisation repose. Quand un intervenant est absent, ça retombe sur le maire. C’est moi aussi qui gère les demandes de subventions » se plaint Alain Buffière, maire de Sarliac-sur-l’Isle (1032 hab.)
Les grosses communes de « l’agglo » (Périgueux) préfèrent, quant à elles, la semaine de 4,5 jours. Mais elles sont riches :
« 100 000€ par an et l’embauche d’une jeune femme qui dispense des animations musicales dans 23 classes, avec achat d’instruments de musique et d’une voiture pour 35 000€ » pour la nouvelle commune de Boulazac-Isle-Manoire (10 500 hab.) tandis que 130 000€ sont alloués à Chancelade (4298 hab.) et 250 000€ à Trélissac (6628 hab. et cinq entreprises parmi les cinquante premières de Dordogne).
Pour l’adjointe aux affaires scolaires de Boulazac, « les enfants ont pu accéder à l’escrime, au chant, au théâtre, à tout un tas de choses auxquelles ils n’avaient pas les moyens d’accéder. C’est une façon de mettre la culture à leur portée. »
En fait, « il y a les TAP pour les riches et les TAP pour les pauvres. Les communes riches peuvent faire de l’initiation à la musique, des trucs comme ça. D’autres ne peuvent pas se les payer » résume Pascal Protano.
L’État abandonnerait donc les pauvres ?
Pas du tout, puisqu’il va les chercher au Niger, permettant, en passant, de mettre la culture nigérienne à la portée des petites communes périgourdines sans le sou.
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Votre lucidité vous honore,mais qu’elle noirceur,quel constat d’échec un citoyen lambda peut-il faire,malheureusement,nous en sommes là,à préserver le peu de liberté qui nous reste,avant le grand chaos,inévitable,salvateur?
:
MAIS LAISSEZ MOI PLACER MA HAINE DANS LA DETESTATION DE LA FRANCE.
Ainsi s’exprime un anti-France et nous lui laissons la parole :
J’aime quand la France, grâce à Schengen devient un couloir des vents pour oiseaux migrateurs en tout genres.
J’aime quand la France confie son destin à Bruxelles, qu’elle y laisse toutes les plumes de la république et qu’elle y perd son âme, son indépendance d’esprit.
J’aime quand la France invite ses nouveaux arrivants multicolorés à devenir les enfants gâtés de la CAF, à leur apprendre le « désamour du travail ».
J’aime quand les enfants gâtés de la CAF deviennent des rappeurs de » haut niveau » et vomissent sur la France qui ne leur a pas assez donné.
J’aime quand nos amis penseurs, écrivains, philosophes encouragent les esprits à démolir le peu de dignité qui reste à la France. Leur amour de la désintégration française m’émeut à pleurer.
J’aime quand l’Etat fait de la France un pays à squatter et quand il abandonne le citoyen à son destin de squatté, jusqu’à lui faire perdre sa maison lorsqu’un jour des occupants non autorisés, la lui prennent pour des années.
J’aime quand la France médiatique abreuve le citoyen de belles phrases humanistes sur la chance » pour la France des chômeurs » de voir arriver des millions de nouveaux travailleurs de pays lointains
J’aime la France d’en haut quand elle délocalise parce que bonne mère fortune a failli lui échapper, mais que les petits chinois vont lui permettre de la récupérer 100 fois plus afin que le futur yacht dernier cri puisse trouver acheteur.
J’aime la France quand elle fait descendre l’école jusqu’au plus bas niveau et qu’elle produit une bonne somme d’illetrés par année « pour le prêt à jeter d’inadaptables au futur.
J’aime la France quand elle renie son histoire, sa civilisation et qu’elle apprend aux enfants » l ‘HISTOIRE DU VIDE » pour en faire des petits zombies adaptables au monde sans âme de demain.
J’aime la France quand elle fait entrer des dizaines et des centaines de cultures et de systèmes de penser, dans lesquels elle va y perdre sa boussole.
J’aime entendre parler assez souvent, du bouillonnement de ces 140 nations-cultures placées en prison et qui nous donnent une idée de l’entente multiculturelle harmonieuse que cela va produire dans une société ordinaire.
J’aime la France quand elle préfère que l’Etat encourage la natalité des autres et ne prennent aucune décision pour la natalité d’origine. J’aime observer ce déclin réjouissant tous les statisticiens qui pourront ainsi se projeter en chiffres dans l’avenir multicuturel
et mon interlocuteur ajouta : MERCI DE M’AVOIR LAISSER EXPRIMER EN TOUTE JOUISSANCE MA HAINE. Il fallait bien que je la dépose quelque part, n’est-ce pas?
FICTION OU PAS FICTION ? Tout détraqué éprouvant cette détestation de la France et le déclarant haut et fort aurait au moins le mérite de nous OUVRIR LES YEUX..
On laisse mourir le monde rural et tout à coup, houps ! des rentrées d’argent faramineuses pour recevoir les migrants,
eux, auront droit à tout ce que les ruraux ont attendu pendant des années,
eh oui ! fallait pas voter micron !
fallait pas voter pour la préférence étrangère, le FN vous l’avait bien dit, bandes de ploucs !
seul , le FN aurait mis en place la préférence » française », mais vous n’y avez pas cru
merci pour cet article , encore éclairant . dont les éléments que vous donnez , s’étendent à grande vitesse partout ..
» Seuls l’effondrement et l’irruption de la réalité dans le quotidien des gens permettront le sursaut que nous appelons TOUTES & TOUS de nos voeux les plus chers !!! » dites-vous !
Il n’y aurait plus sursaut. Le désastre est palpable et rien ne bouge! La France est terminée! Le peuple n’a plu l’envie de vivre, de se battre, de travailler, d’être droit dans ses bottes! Tout est léthargie!
Christine, triste constat mais il FAUT en passer par là !!
La réalité ne s’occupe pas des mensonges du gouvernement et des MERDIAS officiels,elle s’IMPOSERA à TOUT le monde à ce moment-là !!!
Seuls l’effondrement et l’irruption de la réalité dans le quotidien des gens permettront le sursaut que nous appelons TOUTES & TOUS de nos voeux les plus chers !!!
Des morts, il y a, mais ce n’est rien comparé à ce qui nous attend, mais ça, la majorité des gens qui lisent Résistance Républicaine, ou encore Riposte Laïque, ou n’importe quel site qui ré-informe…
la France profonde a toujours craché sur le FN alors rien à foutre.
doivent payer comme les autres.
???
C’est vrai que la Dordogne a longtemps voté communiste puis socialiste…
Mais les ouvriers aussi. Pour autant, faut-il leur cracher dessus ? D’autant plus qu’ils votent de plus en plus FN.
il y a bien une raison pour qu’ils votent FN non ? ils commencent à décourvrir les SUPERCHERIES DES GOUVERNEMENTS SUCCESSIFS DE DROITE COMME DE GAUCHE DEPUIS 40 ANS de laxisme et de collaborationisme qui déroulent le tapis vert de l’islam mortifère et ce n’est pas avec marine qu’ils réussitont le mieux mais avec JEAN MARIE LE PEN CANAL HISTORIQUE qui s’appelle LES COMITES JEANNE à bon entendeurs SALUT !
aucune perspective avec les comités Jeanne, vous le savez très bien, Jean-Marie le Pen a brûlé tous ses atouts
Et que dire des albanais qui sont en train de répandre le trafic d’héroïne dans les petits villages là où auparavant cette drogue n’était pas répandue ?
Entre la Suisse et Chambéry, on ne compte plus l’arrestation d’Albanais dont certains sont soi-disant des réfugiés, et qui trafiquent l’héroïne entre l’église et le cimetière et aux alentours des grandes surfaces. Certains cachent leur réserve de drogue dans les champs ou les bois.
Tout cela est révélateur d’une société qui s’effondre. Le procureur de Grenoble a même déclaré publiquement et solennellement qu’il n’avait jamais vu une ville aussi pourrie par le trafic de drogue.
Voilà ce que nous ne voulons pas dans nos campagnes !
Exact. Les albanais et les kosovars sont très présents en Suisse et de plus en plus en France voisine. Très présents aussi dans les trafics d’êtres humains (prostitution…) et les stupéfiants.
Mafia et vendetta (kanun) sont des caractéristiques de la société albanaise…
Je crois qu’en nombre, ce sont aussi les premiers demandeurs d’asile.
Désolé pour toi savoyard préoccupé, mais il ne faut pas se tromper lors des votes, la plupart des électeurs pensent blanc et puis votent noir, la réflexion est primordiale