Le combat de nos vies
Un nouveau film documentaire expose les menaces grandissantes pour l’Occident (Il s’agit d’un film documentaire qui sort aux États-Unis, lundi 19 février à Santa Monica, Californie, sous le patronage du Centre de la liberté de David Horowitz. À quand un tel film en France ?)
9 février 2018 par Mark Tapson
« Les civilisations, les empires, les grandes puissances, peuvent s’effondrer très vite. L’effondrement peut venir soudainement, comme un voleur dans la nuit. Et nous devrions être particulièrement circonspects à la pensée que notre civilisation, la civilisation du début du XXIème siècle occidental, nous poussera progressivement vers le déclin ».
Cet avertissement du célèbre historien Niall Ferguson est l’ouverture et le thème du nouveau documentaire vital « The Fight of Our Lives » (textuellement : Le combat de nos vies) : « Vaincre la guerre idéologique contre l’Occident », par la cinéaste Gloria Greenfield.
(Cette vidéo résume le thème de ce documentaire :
Traduction de la video pour Résistance républicaine par Denis
Nial Ferguson, PhD
— Les civilisations, les puissances grandes ou petites, peuvent s’écrouler très rapidement.
Cela peut se produire très vite comme un voleur agissant nuitamment.
On devrait prendre conscience de notre responsabilité du déclin de la civilisation occidentale du 21 ème.
Melanie Phillips
— Je pense que l’Occident fait face à deux menaces et elles sont reliées entre elles. On a une menace interne et une menace externe [à la civilisation occidentale]. La menace extérieure est extrêmement potentialisée par la menace intérieure.
Alan M. Dershowitz
— Le fascisme qui s’installe, à l’instar d’un brouillard léger, sur bon nombre de nos universités fait planer un énorme danger sur [nos jeunes], parce que [ce fascisme] fait pression sur les éducateurs qui sont justement responsables de la transmission de nos valeurs occidentales.
Brooke Goldstein, JD
— On ne combat une mauvaise idée que par la prolifération de bonnes idées et on doit laisser [le débat s’installer] idée contre idées. Le politiquement correct corrompt le débat d’idées en disant « vous ne pouvez pas parler de cela parce que c’est blessant ».
Robert L. Paquette, PhD
Il y a plusieurs programmes éducatifs qui ne sont pas conçus pour enseigner « comment penser » mais « ce qu’il faut penser ».
Victor Davis Hanson, PhD
On va remonter dans l’histoire et on va chercher les gagnants et les perdants en fonction de critères de genre et de race. Peut être pas demain ou après demain, mais en tout cas, on changera les noms, on portera un autre regard sur les arts. On va tout faire pour que toutes les personnes passées entrent dans le moule d’aujourd’hui en terme de genre et de race.
Erik Stakelbeck
— Il y a une tendance dans les media dominants de minimiser la menace. Ils donnent l’impression que tout cela ne relève que d’actions criminelles [ordinaires]. « D’accord, c’est une attaque terroriste mais ce n’est pas une entreprise de plus vaste ampleur ». [NDT: des attaques terroristes sont citées en exemple].
Ayaan Hirsi Ali
— Les musulmans sont des islamistes qui pensent que la société doit être régie par la loi islamique, c’est à dire, la charia. Ils ne tolèrent ni les personnes qui ne sont pas musulmanes ni qui ne se réclament d’aucune religion du tout.
Robert Nicholson, JD
—En Occident on dit « écoutez, ce n’est pas une guerre de religion, ce n’est pas un conflit entre chrétiens, juifs et musulmans ». Mais, pour beaucoup, beaucoup, beaucoup de musulmans, des millions, même s’ils ne représentent qu’une minorité du monde musulman, sont convaincus que c’est bel et bien une guerre de religion.
Rachel Raza
—Ça n’a rien à voir avec la gauche ou la droite. Nous sommes tous concernés. C’est le futur de nos enfants, de nos petits enfants et le monde qui est en jeu.
Ruth Wisse, PhD
—Selon moi, le nœud du problème de la civilisation occidentale est la préservation de la confiance morale. L’avez-vous, la sentez-vous, la comprenez-vous ? Pouvez-vous expliquer ce que cette civilisation a créé de si précieux et devrait être préservé ?
Slogan apparaissant sur l’écran en fin de vidéo :
« Vaincre la guerre idéologique menée contre l’Occident doit être notre raison de vivre »
Les travaux de Gloria Greenfield comprennent notamment Body and Soul – The State of the Jewish Nation en 2014, Unmasked Judeophobia en 2011 et The Case for Israel – Democracy’s Outpost en 2009. Gloria Greenfield est Présidente de « Doc Emet Productions ». Contrairement à la présence démagogique du propagandiste Michael Moore dans ses films tels que « Fahrenheit 9/11 », la réalisatrice Greenfield se débarrasse de sa présence et façonne ses récits sur l’antisémitisme, l’histoire, les valeurs judéo-chrétiennes, la liberté et la démocratie à partir d’arguments impérieux et articulés de nombreux intellectuels qui apportent leur expertise à ses projets.
Tel est le cas de son dernier documentaire, qui présente des observations et des idées convaincantes d’historiens, de journalistes et de penseurs tels que Niall Ferguson, Victor Davis Hanson, Ayaan Hirsi Ali, Alan Dershowitz, Mélanie Phillips, Bruce Thornton, Raymond Ibrahim, Brooke Goldstein, Ibn Warraq, Alan West et beaucoup d’autres commentateurs respectés du milieu universitaire, des organisations de défense des droits de la personne et des groupes de réflexion. [Déclaration de l’auteur de l’article, Mark Tapson : « Je fais partie des conférenciers, tout comme les membres du Centre de la liberté dirigé par David Horowitz, Bruce Thornton et Raymond Ibrahim ».]
The Fight of Our Lives aborde les diverses menaces internes et externes auxquelles la civilisation occidentale est confrontée aujourd’hui, et nous prévient que si nous ne reconnaissons pas ces graves dangers maintenant et que si nous ne nous efforçons pas de les surmonter, il n’est pas exagéré de dire que l’Occident, tel que nous le connaissons aujourd’hui, ainsi que Niall Ferguson nous en avertit, disparaîtra rapidement et inexorablement.
Le film répartit les sujets de réflexion en sept chapitres : « Masques utopiques » (sur les menaces internes subversives du relativisme culturel et du multiculturalisme), « L’éboulement des tours » (sur la radicalisation politique de l’université), « Faire de l’identité une arme » (sur le genre), puis « Défoncer les portes » (sur la menace du suprématisme islamique mondial en Occident, que ce soit par le terrorisme ou la subversion), « Les gens du Livre » (sur la persécution islamique et le génocide des chrétiens et des juifs), « Valeurs durables » (sur les assauts contre les valeurs qui ont rendu l’Occident grand, comme la liberté d’expression). Il se termine par le chapitre intitulé « Relever le défi », qui nous exhorte, nous les héritiers de la tradition occidentale, à repousser nos ennemis et à défendre notre héritage et notre avenir.
Niall Ferguson parle des conséquences culturelles du récent tsunami des migrants et des prétendus réfugiés des pays musulmans en Europe, le cœur de ce qu’on appelait la chrétienté. Selon lui, cette civilisation pourrait bien disparaître avant la fin du siècle, ou bien elle aura tellement changé qu’elle sera méconnaissable. Les États-Unis, avec leur population islamique en croissance rapide et l’afflux d’étrangers illégaux à travers notre frontière méridionale, font face à une transformation démographique similaire.
Mais nous faisons face à une menace plus importante par le biais d’une attaque idéologique subversive. « La menace interne vient des gens qui veulent saper la base de la civilisation occidentale », explique la journaliste Melanie Phillips. Elle souligne que la génération des baby-boomers a été fortement influencée par le philosophe politique Antonio Gramsci, qui a exhorté les révolutionnaires à s’infiltrer dans les organes de la culture : les médias, l’université, le divertissement, et à « tourner l’esprit de l’Occident contre lui-même ». L’endoctrinement, comme le précisent d’autres commentateurs dans le documentaire, s’est avéré un succès choquant, en particulier dans nos établissements scolaires et universitaires.
L’avocat Alan Dershowitz, par exemple, dénonce « le léger brouillard du fascisme qui semble descendre sur les universités » et qui représente un énorme danger pour l’avenir des valeurs occidentales. « Dans les universités, il y a presque une sorte de masochisme intellectuel, le sentiment que nous ne devrions pas être fiers des valeurs que nous défendons, que nous devrions même nous engager dans une sorte d’auto-flagellation », explique Kenneth L. Marcus du Centre Louis D. Brandeis. « Il y a trop peu d’enseignements dans nos universités sur les aspects admirables de la tradition occidentale », déclare Jeffrey Herf de l’Université du Maryland.
L’influence du multiculturalisme, comme le soulignent l’historien Victor Davis Hanson et Brooke Goldstein du projet « Lawfare » (Législation), a entraîné un relativisme moral et un effet paralysant sur la liberté d’expression, toute critique des cultures non occidentales étant désormais considérée comme une incitation à la haine. Raheel Raza, du Conseil des musulmans face à demain, souligne la vérité dérangeante selon laquelle toutes les cultures ne sont pas égales ; une culture qui soumet les homosexuels à des exécutions macabres et les femmes aux mutilations génitales et aux crimes d’honneur n’est pas sur le même plan moral que celui qui défend les droits individuels, la liberté et l’égalité des sexes. Mais c’est désormais un jugement inacceptable à faire dans notre culture actuelle du relativisme.
Des conférenciers comme Ruth Wisse du Fonds Tikvah, Philip Carl Salzman de l’Université McGill et moi-même parlons de la façon dont la politique identitaire a fragmenté la société en conflits tribaux entre les races et entre les sexes. Le féminisme radical, par exemple, mène une attaque contre les relations du genre et la masculinité qui a contribué à l’éclatement de la cellule familiale, à un déclin alarmant du taux de natalité en Occident et à une société émasculée trop timide pour se défendre contre la menace d’une sous-culture islamique agressivement dominée par les hommes au sein de l’Occident, une culture dont la démographie est en train de nous déborder.
Ayaan Hirsi Ali de l’Institution Hoover et l’expert sur le terrorisme de TBN (Chaîne internationale de télévision chrétienne) Ernie Stakelbeck, parmi bien d’autres, présentent le danger de refuser d’identifier l’islam comme une idéologie suprématiste voulant détruire l’Occident et voulant le remplacer par un califat mondial. En même temps, des autorités telles que Shimon Samuels du Centre Simon Wiesenthal et Raymond Ibrahim du Centre de la liberté déclarent qu’un génocide est en cours au Moyen-Orient contre les chrétiens et les juifs, qui sont également visés en Europe et aux États-Unis, alors que l’Occident se débat, en vain, contre le dégoût de soi et l’aveuglement volontaire.
Il y a bien d’autres choses dans ce documentaire. Avec The Fight of Our Lives, Gloria Greenfield a lancé un appel tonitruant fascinant et troublant, mais en fin de compte éclairant et inspirant, pour que le monde occidental se réveille et inverse son cours décadent avant qu’il ne soit trop tard. Son message d’urgence mérite d’être entendu par le plus grand public possible.
Dans le film, Niall Ferguson rappelle l’observation d’Edmund Burke selon laquelle la civilisation est un pacte entre les morts, les vivants et ceux qui ne sont pas encore nés. Je ne saurais trop insister sur l’importance de voir The Fight of Our Lives, de prendre son message à cœur et d’honorer ce pacte en nous levant quand et où nous pouvons défendre l’Occident.
Traduit pour Résistance républicaine par Jack
https://www.frontpagemag.com/fpm/269274/fight-our-lives-mark-tapson
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des actions, enfin, https://youtu.be/o1wGfv9nG9o
Il est grand temps que nous nous mobilisions avec intelligence, détermination et fermeté dans la France entière,
Comme l’ont fait les riverains d’un village de Bretagne qui a décidé de faire respecter leur opinion et s’est opposé au centre de migrants. Cette opposition était, est légitime, un droit que tout citoyen peut et doit exprimer.
L’union fait la force, pour faire respecter les choix et volontés du peuple.
Ce droit nous a été enlevé depuis des décennies, il est temps de remettre les choses en ordre.
Qu’ attendons nous ,en France, pour sauver aussi notre civilisation ? Que les américains nous viennent en aide ? Décidément , plus le point de non-retour approche plus, les « français » sont soumis, et sont des collaborateurs, à leur propre génocide.
C’est bon pour nous, les intellectuels se lèvent enfin un peu partout, nous ne sommes pas seul et renforce bien que l’Islam est un véritable danger mortel pour l’humanité toute entière.
Il faut rester en contact avec ces intellectuels, ils faut répandre le plus possibles ces connaissances sur les dangers de la peste verte Islam en Occident et dans le monde et jamais sous estimer cette peste verte musulmane, bien des innocents l’ont payé très cher de leurs vies.
Nous devons jamais renier nos valeurs de liberté, de les défendre avec force et en rester fière, ne jamais se laisser emporter par la haine de soi.
Nous devons démonter les excuses bidons du racisme, Islamophobie et autres escroqueries inventés de toutes pièces par des escrocs manipulateurs imposteurs aux pouvoirs.
Nous devons combattre cette guerre idéologique totalitaire extérieur comme intérieur, cette saleté du politiquement correct qui a déjà fait pas mal de ravage dans les esprits des européens, qui corrompe toute critique et vrais débats, tel le venin du serpent avant la prise finale.
Merci Madame Tasin pour ce billet, cela remet un peu de tonus et de courage, les choses avances.
Et avec le Donald Trump au pouvoirs au USA ce sera une aide appréciable, il laissera ces intellectuels se propager partout dans le monde.
Partagez amis résistants.
OUF !
Formidable que des gens se dressent outre-atlantique pour nous sauver de nous-mêmes , de l’apathie, de l’accablement, de la résignation…
Notre civilisation occidentale ne doit pas mourir sous les coups de boutoir de l’islam,
Elle a créé et produit tant de belles choses, et tant de choses utiles…
Elle ne serait remplacée que par l’obscurantisme, la crasse, l’incompétence, le laisser-aller, la régression vers la barbarie la plus stupide et la plus cruelle qui soit
Merci Christine, Bises
Merci pour l’annonce de ce film, pourra t’il paraitre traduit ou avec un sous titre pour le comprendre. Pour moi c’est comme un souffle d’optimisme qui s’annonce par le courage d’hommes et de femmes qui dénoncent les vérités que le mondialisme fossoyeur nous cache. Que ce vent d’espoir souffle sur la France, fasse réagir les idiots utiles pour sauver notre histoire, nos racines et ce qui est le plus cher, un avenir pour nos enfants. Merci à ces gens
Cette nuit vers 1h , on a frappé à ma porte.
Merci Christian pour ce témoignage que l’on va publier demain, courage à Jacky età toi bises
670 millions de morts : l’islam est la religion du génocide
PUBLIÉ PAR DREUZ INFO LE 11 FÉVRIER 2018
Plus de 670 millions de non-musulmans ont été massacrés depuis la naissance de l’Islam. Les chiffres continuent d’augmenter tout le temps– le dernier en titre étant la Syrie, avec un nombre estimé entre 400 000 et 480 000 morts, tandis que d’autres massacres oubliés de l’histoire ne cessent d’être ajoutés.
Merci, pour éviter des commentaires trop longs il vaut mieux ne mettre que le début de l’article et le lien pour le lire en entier
ET OUI, parce que ce livre « qu’est le CORAN » que l’on dit porteur de spiritualité est aussi UN LIVRE DE GUERRE. Donc, toujours « de bon conseil », pour ceux qui auraient du mal à gérer leurs pulsions agressives.
Certains humains préfèrent se soulager dans les arts martiaux qui subliment les pulsions, mais dans certaines cultures rien n’est développé pour aider à la sublimation des pulsions.
Sur ce plan l’ISLAM est dans une grande pauvreté. Mais on se demande si ceux qui ont participé à l’écriture de cette religion n’ont pas préféré cette orientation vers LA GUERRE afin de nourrir leur soif de conquête de territoires. Pratiquer l’expansionnisme en utilisant « une religion incitant à « l’agression » approuvée par un Dieu, quel outil « extraordinaire »!.
Le travail que ne fera jamais l’ISLAM : Rédiger d’un côté : le livre de la spiritualité et d’un autre côté : le livre de la guerre, dont les textes s’appliqueraient à proposer des tactiques défensives. Le droit de réagir face à l’envahisseur ou l’oppresseur
Tant qu’existera le terrible PATRIARCAT musulman, cela sera impossible.. Car ce serait le priver de sa nourriture.
Attention à Dreuz, c’est un site pro-Israël, ce que je ne condamne pas sauf quand ça confère au fanatisme, et Dreuz n’est pas du tout pro-France.
Merci Denis pour la traduction de la vidéo. Je deviens un peu tire-au-flanc sur mes vieux jours et n’aime pas traduire les vidéos…
Y aura-t-il une version français ou au moins sous-titrée ? Il faut effectivement que le plus de gens possible voient ce documentaire.
Les Occidentaux doivent se réapproprier leur culture et cesser le politiquement correct. ça passe par l’éducation des parents qui doivent contrer l’endoctrinement de l’enseignement proposé de nos jours. Il n’est pas normal que des Blancs soient d’accord quand ils se font dire qu’ils doivent disparaître pour que le monde aille mieux. C’est aberrant.
En France, l’oligarchie intellectuelle et gouvernementale se lève pour défendre la civilisation islamique. Cherchez l’erreur.