Oumma.com repasse les plats pour un deuxième service. Nous avions repris de son site la diatribe contre l’ imposture algérienne d’une ex haute personnalité de l’ Etat (on hésite sur la majuscule) algérien.
Voici ce deuxième service qui pronostique l’effondrement économique de l’Algérie à court terme (deux ans).
Décrire l’Algérie musulmane comme un Etat failli (et même en creux TOUS les « Etats musulmans » comme faillis) est une évidence pour nous à RR.
Ce qui est beaucoup plus inquiétant, c’est cette prévision de l’effondrement économique à court terme de l’Algérie qui aurait les conséquences que nous devinons et dont nous ne voulons à AUCUN PRIX : l’immigration supplémentaires de millions de musulmans algériens particulièrement hostiles à la France, vu leur échec total, chez nous.
Le gang macronesque de clowns économicistes qui nous « gouverne » est-il seulement conscient de ce péril monstrueux ?
En tous les cas un texte à lire absolument et à méditer.
L’impact produit par ma précédente contribution (« Une fausse nation ») m’a surpris par son ampleur.
Plusieurs lecteurs m’ont reproché mon « pessimisme » ou m’ont appelé à quitter le stade du constat pour passer à celui des solutions. Ce n’est pas moi qui suis pessimiste, ce sont la réalité et les perspectives inquiétantes qu’elle laisse entrevoir qui y poussent.
Est-ce être pessimiste que de prendre acte de faits objectifs, de faire parler des chiffres, d’attirer l’attention sur des évidences que la plupart connaissent mais dont peu se représentent les implications sur la vie de la majorité des Algériens dans un avenir qui se rapproche inexorablement ?
Parmi ces implications, pour ne considérer qu’un aspect des choses, il y a le fait que si notre pays continue à financer ses besoins d’importations en biens et services sur ses fonds propres (les réserves de change), il n’en a les moyens que pour deux petites années.
L’année d’après, et même si notre Brent se vendra à 50 dollars le baril, il faudra emprunter à l’étranger autour de 40 milliards de dollars pour équilibrer nos dépenses et nos ressources en devises.
Où les trouver ?
Que faire les années suivantes ?
Ce sera le début de la perte de contrôle de notre destin national.
J’ai eu tort de parler de « fausse nation » ?
Une vraie nation ne lie pas son sort à la fluctuation du prix d’une matière première.
Elle ne dépend pas de l’étranger pour ses armements, son blé, son carburant, ses médicaments, ses produits finis, ses équipements industriels, la construction de ses infrastructures et de ses logements, sans oublier les soins médicaux de ses hauts dirigeants.
On ne la trouve pas parmi les derniers, mais parmi les premiers dans les classements mondiaux.
Ce n’est pas s’auto-flageller que de rappeler notre dépendance absolue de facteurs extérieurs et de retournements de situation qu’on ne maîtrise pas.
La définition de « fausse nation » s’applique à tout pays construit sur des calculs à court terme, sur l’espérance de vie de son président, sur des institutions de bric et de broc et sur une mentalité populaire tiraillée entre le passé et l’avenir, le ciel et la terre.
Le marteler de manière récursive n’est pas dévaloriser ou insulter ses compatriotes, mais chercher à provoquer une réaction décisive contre un risque d’effondrement économique et social imminent.
Les vieilles nations sont celles qui se sont levées tôt dans l’Histoire, qui ont entamé leur labeur à l’aube des temps, qui ont inventé des idées et des techniques pour améliorer leur vie et faire briller leur prestige dans le monde, qui ont bâti des édifices, des ouvrages d’art, des infrastructures durables et parfois extraordinaires, qui ont créé des institutions vénérables et développé une culture, un savoir-vivre et une joie de vivre ensemble parmi leurs membres.
Une vraie nation n’a pas commencé sa vie à un âge tardif comme un analphabète qui entreprend de s’instruire à un âge avancé.
Quoi qu’il fasse, il gardera les stigmates et les manières frustes de l’ignorant.
Elle ne peut pas inaugurer sa carrière en l’an 1962 sans susciter des interrogations sur son retard, sur une grasse matinée qui ressemble fort à un coma.
Dans ce cas, elle doit procéder à une introspection, à une autocritique, à un examen de conscience pour élucider le mystère de son retard par rapport aux vieilles nations.
Ce devrait être le travail de vrais intellectuels mais les nôtres ont été à l’école du nombrilisme.
Nous aurions pu faire chez nous ce qu’a fait l’Egypte ancienne comme élever des pyramides grâce à un savoir inégalé, ou être à la place de la Grèce antique qui a donné naissance à des figures emblématiques comme Pythagore, Socrate, Solon, ou la Rome de Romulus qui nous a colonisés pendant plusieurs siècles…
Pourquoi pas ?
Nous aurions pu, dans les années soixante-dix, prendre le chemin de la Corée du Sud, de Singapour, de la Malaisie, de la Chine ou des Emirats arabes.
Pour prétendre au titre de nation, il ne suffit pas d’avoir des terrains vagues, du sable et des terres incultes en guise de territoire, du peuple à la place d’une société, un pouvoir au lieu d’un Etat, et des forces armées dont la principale mission est la protection de ce même pouvoir.
Au-dessus de ces éléments doit planer l’esprit, la culture, la vision, les idées qui leur donnent une signification publique et une vocation historique.
Le territoire doit servir de base à une économie productive et compétitive ; le peuple doit être éduqué, formé au civisme, productif et ingénieux ; l’Etat doit être irréprochable, compétent, sélectionner les meilleurs pour exercer des responsabilités ; les forces armées doivent être au service de la défense du pays et non de la défense de régimes despotiques, corrompus ou défaillants.
Et si cette nation a l’islam pour religion d’Etat, les valeurs religieuses ne doivent pas être opposées aux valeurs de la modernité et la charia opposée aux lois des hommes.
Un pays où on pense naturellement que c’est Dieu qui donne et retire tout dans les moindres aspects de la vie, que l’on travaille ou non, dont les habitants sont constamment hantés par les questions de halal et de haram, de djinns et de « chaïtan » (Satan), est un pays qui ne veut pas, ne peut pas devenir une nation.
C’est un peuple démissionnaire et son pays un lieu où l’acte de penser et de bâtir est superflu.
Un grand nombre d’Algériens n’est pas encore acquis à l’idée de nation comme l’a démontré un récent sondage.
Ils rêvent d’une Oumma islamique qui ne verra jamais le jour.
Là où ces conditions ne sont pas réunies, le résultat de ce qui se fait ne peut être qu’une fausse nation, un semblant de nation.
Comme quand on construit avec de la tôle et de la bouse de vache un gourbi et le présente comme étant une maison.
Le gourbi et la fausse nation sont les produits de l’esprit du douar qui, quand il veut ériger un Etat, institue un pouvoir fantaisiste ; quand il désire se doter d’une économie se retrouve dans un cloaque informel inextricable ; quand il veut répandre la religiosité, livre le douar à un charlatanisme anachronique.
Là où règne l’esprit du douar on trouve ses produits, ses petits et ces aberrations.
La nation à laquelle nous devrions aspirer, que nous sommes tenus de construire si nous ne voulons pas retourner à l’indigénat ou finir sous la botte de quelque calife surgi du néant, n’est ni la fausse nation que nous sommes encore, ni la nation islamique mythique à laquelle croient les islamistes véhiculant le « ilm al-qadim », mais un Etat-nation moderne.
Si nous ne sommes pas encore une vraie nation, nous pouvons le devenir et c’est le but de mes contributions à la réflexion sur ce sujet depuis près d’un demi-siècle.
Il est à la fois simple et difficile de devenir une nation, mais il faut d’abord avoir intégré l’idée que nous sommes à la fois le problème et la solution.
Celle-ci ne tombera pas du ciel ni ne viendra de l’étranger, nous devons en accoucher dans la douleur, la fabriquer de nos mains, avec nos idées, le plus tôt possible.
Pour devenir une vraie nation il faut disposer d’un Etat démocratique transparent et efficient, d’un système d’enseignement véhiculant des idées modernes, d’une économie productive, autosuffisante et compétitive pour procurer les devises nécessaires au paiement de ce qui doit être importé, d’une vie intellectuelle créatrice de savoir technologique et de lumières humanistes, d’un droit rigoureux pour dissuader le mal et honorer le bien, d’une Constitution au-dessus de tous et d’abord du président de la République.
Une vraie nation ne peut pas être l’otage d’un homme ou d’un clan.
Son avenir n’est pas calculé en fonction de l’espérance de vie de ses dirigeants ou constamment un sujet de devinettes et d’intrigues, il doit être clair, visible et prévisible.
Une vraie nation n’est pas dirigée par sa lie mais par sa crème intellectuelle, politique et technocratique.
Une vraie nation n’astreint pas ses femmes à un modèle obscurantiste dont la principale fonction est de peupler le pays sans perturber les bas instincts de l’homme dans l’espace public, un homme qui, s’il ne maîtrise pas ces instincts n’en est pas un mais une bête qui ne mérite pas de vivre dans une nation, même fausse.
Comment réaliser le passage de l’état de fausse nation à celui de vraie nation?
Certainement pas en se contentant de jeter à la volée des constats, des diagnostics ou même des idées-solutions.
Il faut une prise de conscience générale de l’importance vitale de cette problématique et non pas restreinte à une partie de la population comme les intervenants sur les réseaux sociaux.
Il faut prendre acte froidement et objectivement de notre état et manifester notre volonté d’en sortir.
Il faut s’engager, se grouper autour de ces idées-solutions, de la cause qu’elles forment pour les transformer en feuille de route, en projet de société, en organisation politique légale.
Ce devrait être l’idéal rassembleur des nouvelles générations, leur mission, le chantier où s’exercera leur génie et leur amour de leur pays.
On le sait, le faux est le contraire du vrai, il est même son ennemi.
On fait faux quand on n’est pas capable, ne sait pas ou ne veut pas faire vrai parce que c’est plus facile ou plus bénéfique à ses intérêts propres.
Ce n’est pas que le mal attire mais parce que faire le vrai, le bien, requiert de l’intelligence, de la compétence, de l’organisation, des vertus morales, de l’altruisme, du désintéressement personnel, toutes choses que n’avaient pas la plupart de ceux qui nous ont dirigés depuis les années cinquante.
Ceux-là n’étaient pas une élite mais les plus déterminés parmi les « chatrine » et les « kafzines », ceux que ne retenait aucun scrupule dans leur désir de s’emparer du pouvoir pour imposer leur suffisance, leurs insuffisances, leur mépris des autres et de toute valeur morale.
Nous pouvons, devant les sombres perspectives qui se dessinent, nous emburnousser dans notre dignité, l’air renfrogné, et nous écrier comme faisait jadis Boumediene : « Nous mangerons l’herbe ou la terre, mais nous ne marchanderons jamais notre souveraineté ! ».
C’est touchant, c’est héroïque de le clamer en levant le poing et en fronçant les sourcils, mais les générations actuelles ne sauraient se résigner à brouter de l’herbe.
Ce n’est ni dans leur mentalité ni de leur temps. Elles préfèreront tenter le tout pour le tout comme mourir en mer en harraga (migrants illégaux) ou brûler le pays dans un irrépressible désir de vengeance ou un scenario de suicide collectif.
Boumediene avait beau dire, il a laissé une dette de 14 milliards de dollars pour 14 millions d’habitants qui a doublé avec Chadli et atteint les 35 milliards à l’arrivée de Bouteflika.
C’était un secret d’Etat qui était connu des seuls experts, mais la vérité est que notre socialisme était en faillite à l’intérieur et l’Algérie endettée à l’extérieur.
Pareillement, ce sont les effets de la chute des prix du pétrole en 1986 qui ont précipité les évènements d’octobre 1988, conduisant à des centaines de milliers de morts.
Nous étions 24 millions d’habitants contre 40 aujourd’hui.
Une population qui double tous les dix ans ne peut pas devenir une nation développée.
Un cycle de hausse des prix du pétrole et du gaz nous a tirés d’affaire in extremis et permis miraculeusement de nous désendetter, mais tout de suite après nos dirigeants mal éclairés ont renoué avec leurs anciennes et mauvaises habitudes : populisme effréné, effacement des dettes des entreprises publiques déficitaires et des agriculteurs pour éviter la grogne des travailleurs, recapitalisation des banques publiques, engloutissement de centaines de milliards de dollars dans des politiques sociales sans discernement, détournement de sommes faramineuses au titre de la corruption, dons capricieux à des pays « amis » et j’en passe…
On a effacé et recommencé avec les mêmes hommes et les mêmes idées alors que le monde a profondément changé entretemps.
Ceux qui ont commis les erreurs inaugurales de 1962 président toujours à celles d’aujourd’hui.
Ce n’est pas normal, ce fait à lui seul, montre combien la vraie nation reste pour nous un idéal lointain, et que nous sommes plus près de sombrer dans le chaos suicidaire que de le réaliser.
Il y a quelque temps le FMI publiait une note sur les perspectives financières de certains pays pétroliers où il est affirmé que notre pays devra bientôt retourner sur le marché des crédits.
Cette prévision concorde avec les conclusions de la dernière Tripartite où autorités et partenaires socio-économiques ont convenu que le « nouveau modèle économique » en cours d’élaboration reposera sur l’amplification de l’endettement intérieur et la recherche de crédits extérieurs « préférentiels », comme si on avait le loisir de faire la fine bouche devant un riche étalage de sources de financement.
La norme universelle en matière de déficit budgétaire est de 3% du PIB ; la nôtre a déjà dépassé les 15%.
Recourir à l’endettement extérieur en utilisant les réserves de change comme garantie nous donnerait un peu de répit, un sursis de deux ou trois années, mais il ne nous ne sauvera pas du choc frontal avec la cessation de paiement, autrement dit le moment où nous ne pourrons plus financer les importations et les dépenses de fonctionnement de l’appareil étatique et de sa principale composante, les salaires, avec nos ressources endogènes.
Quelles institutions multilatérales, quelles banques, quels fournisseurs de biens ou de services vont nous consentir des crédits de l’ordre de 40 milliards de dollars la première année, 50 la deuxième, 60 la troisième et ainsi de suite… Les marchés financiers vont-ils nous ouvrir leurs coffres-forts en nous priant de nous servir par égard à notre qualité de « peuple des miracles » ? En contrepartie de quoi ? Que nous rembourserions avec quoi ?
Avons-nous des îles qu’on pourrait mettre en vente comme on l’a demandé à la Grèce quand elle est tombée en cessation de paiement il y a quelques années ?
Les Grecs sont les héritiers d’une culture qui est à la base de la civilisation occidentale, et c’est à eux qu’a été appliqué pour la première fois le qualificatif de « miracle » (le miracle grec) pour saluer le génie de ce peuple qui a tout inventé : la philosophie, les sciences, les sports, l’art, la démocratie, alors que nous n’avons même pas inventé, ainsi que l’a noté Bennabi, le manche à balai dont avaient besoin nos grands-mères pour balayer dans la station debout car nos valeureux « argaz », tout à leur virilité, n’y avaient pas songé.
Quelques dizaines de milliers d’habitants dispersés sur un confetti d’îlots ont créé non pas une nation mais une des plus brillantes civilisations de l’histoire humaine. Aujourd’hui, ils sont onze millions de citoyens en voie de sous-développement parce qu’ils ont vécu au-dessus de leurs moyens et que leur économie est largement souterraine, quoique moins que la nôtre.
On ne nous recevra pas sur les places financières en bienvenus, mais nous toisera comme des mendiants enguenillés mais arrogants.
On nous soumettra à des conditions drastiques auxquelles nous serons forcés de nous plier, à des plans d’austérité et d’ajustement structurel qui dégraisseront l’administration, les entreprises publiques et privées et lamineront le pouvoir d’achat populaire.
Nous serons obligés d’hypothéquer ou de vendre des puits de pétrole ou des gisements de gaz naturel ou de schiste, de donner des terres agricoles en concession, d’accorder des permis de pêche, etc, sans que cela ne nous rapporte les 40 milliards de dollars par an nécessaires à notre survie. Nous ne poserons plus aucune condition à personne.
Et comme cela ne suffira pas, nous sommes condamnés à retourner au mode de vie des années cinquante sous la colonisation.
Sur ces entrefaites, un malheur en liaison avec le réchauffement climatique ou un gros tremblement de terre pourrait encore s’abattre sur nous, compliquant les choses.
Ce qui est difficile, ce n’est pas de concevoir des solutions mais de les appliquer à un milieu hétérogène culturellement et réfractaire politiquement.
Ce que l’islamiste voudra, le démocrate le refusera et vice versa. Autrement, elles sont dans le simple remplacement des insuffisances caractérisant une fausse nation, décrites ici par les conditions à réunir que je viens d’esquisser.
Une nation c’est les morts, les vivants et ceux qui ne sont pas encore nés. C’est un passé, un présent et un avenir.
Le présent résulte du passé et détermine à son tour l’avenir.
Avec quoi se désendetteront les générations auxquelles nous allons laisser une dette colossale ?
Note d’Antiislam
Tout cela est vrai.Mais il reste quand même un dernier mensonge que l’auteur ne liquidera jamais et qui est pourtant le seul en cause : la nature musulmane de l’Algérie qui fait d’ailleurs que la situation des pays environnant l’Algérie n’est guère meilleure.
L’auteur ment . Cette partie de l’Afrique du Nord a été grande : quand elle était catholique, elle a, simple exemple, donné au Monde un génie universel, le Berbère Augustin.
Un autre mensonge que l’auteur ne liquidera jamais est que l’Algérie « marchait » parfaitement sous la présence française. Les infrastructures , pour ne parler que de cela (les ponts, les routes, les gares etc ), contrairement à ce que l’auteur prétend, profitaient à tous, c’est bien évident.
Mais pour dénoncer ces deux mensonges, le mensonge musulman, le mensonge « colonial », il faudrait un courage que l’auteur n’a pas (encore) !
Complément de Conan
Merci d’avoir repris ce nouveau pavé balancé à l’oumma via oumma.com
L’issue catastrophique qui est évoquée consisterait, selon l’auteur,
« au retour du mode de vie des années 50, sous la colonisation » …
Je trouve qu’il est bien optimiste dans son catastrophisme….Dans les années 50 tout le monde mangeait à peu près à sa faim en Algérie, ce qui va devenir de plus en plus difficile avec le baril qui vient encore de chuter à 67$, des réserves en voie d’épuisement, une agriculture fichue par terre par une révolution agraire à la fidel castro et une explosion démographique incontrôlée et incontrôlable…
Tous éléments conduisant inexorablement à la pénurie et celle-ci à la barbarie, car, contrairement à ce que dit encore l’auteur, hormis le fait kabyle, le peuple n’est pas d’une culture hétérogène.
Il est au contraire, majoritairement, d’une culture très homogène, celle de l’islam qui a pour principe de régler les problèmes par la violence et la loi du talion.
Nous pouvons donc aisément imaginer le programme qui se prépare….
Nous n’avons pas à subir les conséquences de la mauvaise gestion de ce pays qui n’est plus auto-suffisant ! Nous ne pouvons plus absorber son chômage et sa natalité exponentielle !
D’ailleurs, pour quelles raisons devrions-nous sacrifier notre bien commun, sachant que l’hymne national de l’Algérie désigne nommément l’ennemi : la France !!!… Ainsi du reste que cela est rabâché dans leurs écoles….
Notre gouvernement serait bien inspiré de revoir de fond en comble son programme migratoire qui est inacceptable !
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Merci d’avoir repris ce nouveau pavé balancé à l’oumma via oumma.com
L’issue catastrophique qui est évoquée consisterait, selon l’auteur,
« au retour du mode de vie des années 50, sous la colonisation » …
Je trouve qu’il est bien optimiste dans son catastrophisme….Dans les années 50 tout le monde mangeait à peu près à sa faim en Algérie, ce qui va devenir de plus en plus difficile avec le baril qui vient encore de chuter à 67$, des réserves en voie d’épuisement, une agriculture fichue par terre par une révolution agraire à la fidel castro et une explosion démographique incontrôlée et incontrôlable…
Tous éléments conduisant inexorablement à la pénurie et celle-ci à la barbarie, car, contrairement à ce que dit encore l’auteur, hormis le fait kabyle, le peuple n’est pas d’une culture hétérogène.
Il est au contraire, majoritairement, d’une culture très homogène, celle de l’islam qui a pour principe de régler les problèmes par la violence et la loi du talion.
Nous pouvons donc aisément imaginer le programme qui se prépare….
Nous n’avons pas à subir les conséquences de la mauvaise gestion de ce pays qui n’est plus auto-suffisant ! Nous ne pouvons plus absorber son chômage et sa natalité exponentielle !
D’ailleurs, pour quelles raisons devrions-nous sacrifier notre bien commun, sachant que l’hymne national de l’Algérie désigne nommément l’ennemi : la France !!!… Ainsi du reste que cela est rabâché dans leurs écoles….
Notre gouvernement serait bien inspiré de revoir de fond en comble son programme migratoire qui est inacceptable !
Merci j’ajoute à l’article
Qu’ ils occultent ou qu’ ils nient serait plus approprié Nemesis.
Quand vont’ils arréter de faire des gosses avec 4 femmes et plus ,cela entraine une surpopulation et obligatoirement des guerres sans fin voir le proche orient et l’Afrique leur principale occupation c’est de s’entretuer car il n’y a pas assez de place et de ressources ,Alors ils exportent leur problème de musulman en Europe au lieu de se battre pour leur liberté ils fuient en laissant femmes et enfants !
mais nous les civilisés ne pouvons rien pour eux ,leurs problèmes viennent en grande partie de leur religion d’un autre temps et a leur manque d’évolution du a celle -ci
ils doivent résoudre leurs problèmes chez eux et se battre comme nous avons gagné notre liberté .aprés avoir fait de leur pays un champ de ruines ils ne feront pas mieux chez nous .car si ils sont trop nombreux c’est nous qu’ils tueront car cela ils savent le faire Ca en sera fini de notre civilisation comme a fini celle des romain en accueillant des gens qui ne se sentaient pas du tout romains!Il faut que nos élus suivent des cours de rattrapage en histoire et ça urge!!
Ces gens sont étranges : chez eux ils ne disent rien et laissent faire. Lorsqu’ils sont en France ils dénigrent, accusent, insultent grave, font des attentats. Méchamment je dis ils ne fonctionnent qu’avec le bâton ET la carotte. Qu’ils crèvent !.Car eux, s’ils font constamment des reproches aux autres il ne se rappellent pas leur passé (pas très ancien) fait d’horreurs qu’ils occultent complètement.
J’ai entendu dire que leur momie-président est crevé ; est-ce vrai ?
Antiislam,
Texte très intéressant, et d’abord VRAI, mais je retiens la fin, la note que tu mets, les MENSONGES qui sont – encore – véhiculés sur le rôle de la France, alors que l’Algérie « fonctionnaient » certainement mieux avant 1962 qu’après !!
Merci pour cet article, ami Patriote !! :-)))
Bonjour,
Dans l’article précédent l’auteur parle d’une administration française « efficace et compétente » (sic) mais, emporté par son élan il modère tout de suite son propos en disant qu’elle était « conçu(e) pour servir les intérêts des exapatriés français ».
C’est peut-être vrai en partie mais comme je le dis la généralisation est totalement idiote : les équipements collectifs, par définition, (ponts, gares, postes, routes etc etc) servaient à tous …
Superbe article !
merci Antiislam.
Bonjour,
Merci.
Je rougis :=)
le RAMADAN va durer 6 MOIS DORENAVANT JOUR ET NUIT https://algeriepart.com/2017/06/17/document-crise-financiere-algerie-se-transformer-crise-alimentaire/
ci la fote a n ALLAH L IMPUISSANT https://www.youtube.com/watch?v=kTa0DaOvpSI
Bonjour.
Supers ..commentaires…..(analyse)
et, même si elle n’était… ( ne pouvait.)..être complet ..cet aveu….
explique l’avenir de ce pays…… qui fût magnifique .
MERCI Antiislam
Bonjour,
Merci pour votre compliment qui me va droit au coeur :=)
Quel courage Antiislam de lire Oumma.com !
Un fait divers suffit à se faire une idée de la dépendance du Maghreb vis-à-vis de la France. Force est d’observer qu’en plus de l’Union Européenne, il existe de fait une « Union méditerranéenne » qui permet une large immigration du Maroc, de l’Algérie ou de la Tunisie vers la France pour profiter de nos services publics et de ce qui reste de nos structures économiques :
http://www.centre-presse.fr/article-582606-l-emotion-apres-la-mort-de-bilal.html
« des amis de Bilal Issoussi (Note : décédé lors d’un accident en France) s’activent pour aider ses proches à organiser les obsèques compliquées par le rapatriement du corps au Maroc.
« On a lancé une cagnotte sur Internet », explique Nabil, un ami de la victime. « Ses parents vivent au Maroc, sa soeur est à Poitiers mais il a aussi de la famille vers Lille. Il faut financer le rapatriement, il faut payer le voyage et le logement de la famille.
(…) Après avoir fait sa scolarité à Jeumont près de Maubeuge, dans le Nord, Bilal avait rejoint Poitiers voilà un an et demi. « Il venait souvent là pour les vacances scolaires chez sa grande soeur », explique un copain. « Il vivait chez elle dans le quartier du Patis. Il suivait des études en BTS au lycée du Bois d’Amour. »
Le jeune homme suivait un cursus « négociation et relation client ».
(…) Le jeune homme avait stoppé ses études depuis le mois de novembre, selon la direction du lycée.
(…) il devrait être inhumé au nord du Maroc près de Nador ».
Bref il a vécu toute sa vie ou presque en France si l’on comprend bien mais il porte un prénom arabe et se fait enterrer au Maroc…
« …Pour prétendre au titre de nation, il ne suffit pas d’avoir des terrains vagues, du sable et des terres incultes en guise de territoire, du peuple à la place d’une société, un pouvoir au lieu d’un Etat, et des forces armées dont la principale mission est la protection de ce même pouvoir.
Au-dessus de ces éléments doit planer l’esprit, la culture, la vision, les idées qui leur donnent une signification publique et une vocation historique.
Le territoire doit servir de base à une économie productive et compétitive ; le peuple doit être éduqué, formé au civisme, productif et ingénieux ; l’Etat doit être irréprochable, compétent, sélectionner les meilleurs pour exercer des responsabilités ; les forces armées doivent être au service de la défense du pays et non de la défense de régimes despotiques, corrompus ou défaillants… »
Si la France continue à être gouvernée par des traîtres, nous allons sur ce même chemin de manque à tous les niveaux.
Vous avez entièrement raison, mais ce sont des analyses de personnes civilisés comme vous qui analysent, dotés d’intelligences que ne permet pas l’Islam.
Des personne comme vous ne peut pas avoir sa place avec l’islam sans démolir votre intelligence.
L’islam ne permet aucune révision possible pour se remettre en question et de se développer et s’en sortir, l’Islam enferme dans des croyances et empêche de faire sortir ses pratiquants de l’Islam, sans tomber dans le blasphème prison et peine de mort.
Le véritable destructeur c’est de par l’islam qui détruit tout et par les pratiquants musulmans qui sont dirigés par les croyances complètement débiles et destructeurs et eux mêmes destructeurs de toutes avancés technologiques et scientifiques qui pourraient les sortir de la merde dans lequel ils sont tous les musulmans.
Après avoir été islamisé, les musulmans sont incapables de s’en sortir par eux mêmes, nous l’avons vu avec l’Egypte, avec l’ancien Président Morsi qui avait voulu instaurer l’Islam total en Egypte, qui a été une catastrophe dans tous les domaines, qui avait amené la révolution en Egypte.
Comme l’Egypte, l’Algérie est incapable de s’en sortir seul sans nous les peuples européens, ils viennent chez pour survivre eux mêmes de leurs propres destruction car Islam, mais en nous insultant aussi.
Les grandes civilisations pré-islamiques des pays d’Orients ont été détruite par l’Islam et n’a jamais rien rapporté de bon, l’Islam est un destructeur de civilisation qui enseigne la destruction des civilisations aux musulmans.
Voir l’ampleur des dégâts dans les pays d’Orients par l’Islam et les conquêtes musulmanes.
Et je suis persuadé qu’il y a des musulmans qui doivent s’en rendre compte qu’avec l’Islam rien ne peut marché, mais alors rien!.
Si nous ne voulons pas tomber dans la destruction comme les pays d’Orients, nous devons farouchement rejeter l’Islam et les destructeurs musulmans de civilisations par tous les moyens humainement possibles ou nous seront dans le même état qu’eux.
Mais le plus grave, ce sont nos dirigeants qui aident cet islam destructeurs et embellissent avec des louanges l’Islam, qui paraissent être intelligents pourtant, pas du tout, ils refusent de voir la réalité et continuent leurs folies et punissent tous ceux qui vont contre leurs démarches suicidaires.
Qui démontre un manque de discernement et d’empathie de la part de nos dirigeants, un manque d’intelligence, ils en ont que les apparences en tous les cas, accepter l’Islam en Europe, n’est certainement pas un signe d’intelligence, loin de là.
L’islam n’est juste capable que de rendre esclave les humains sur terre et rien d’autres.
C’est donc nos dirigeants qui sont nos premiers ennemis et destructeurs de notre civilisation Occidental à combattre en premier lieux, qui eux ont encore les moyens que les musulmans n’ont pas, nous et nos moyens qu’ils se servent.
Nos dirigeants sont mêmes les ennemis des musulmans qui pourraient sortir de l’Islam, nos dirigeants les enferment encore plus dans cette saloperie d’Islam et nous l’imposent avec.
Et c’est là, par ces comportements de nos dirigeants inadmissibles et incroyables, qui dépassent l’entendement, qui me font penser qu’ils ont la maîtrise total de l’islam, et non par les musulmans, mais par des moyens encore peu connu de la plupart des peuples du monde, qui commencent à se dessiner et à ce faire percevoir pour ceux qui savent voir.
Nous devons connaître ces moyens absolument que ces dirigeants là utilisent, si nous voulons prendre le dessus et gagner cette guerre d’invasion destructeur de notre civilisation Occident, et peut être aussi de pouvoir remettre la civilisation Oriental aux orientaux pour ne pas subir leurs invasions, mais aussi une nouvelle manière de faire la guerre contre cet ennemi d’intérieur qui nous terrasse, qui se dresse devant nous, c’est notre défi à tous et à toutes pour notre survie civilisationnelle mondiale.