C’était Johnny, vraiment, qui avait un vocabulaire limité, vraiment ?
On a pu lire dans la presse soviétique des articles prétendant que notre grand Johnny avait un vocabulaire limité. Ceci est contredit par les nombreux entretiens télévisés et radiophoniques accordés aux médias, dans lesquels Johnny s’exprimait avec aisance, employant le vocabulaire du plus grand nombre. Mais il est vrai que l’électorat de Marine Le Pen était sans doute le plus présent aux obsèques du grand Johnny, dont elle-même fut exclue, ceci expliquant peut-être cela… Il est bien connu, pour les médias soviétiques, que le beauf moyen héritier de Dupont-Lajoie a un vocabulaire limité…
Pourtant, qu’entendons-nous à longueur de temps dans ces mêmes médias ?
Par exemple à propos des patriotes que nous sommes : « Fascistes », « Racistes », « Xénophobes », « Cocardiers », « Extrême-droite », ainsi que « repli sur soi » et autres « propos de haine ».
Par exemple, à propos de la Palestine : « Territoires occupés », « Colons juifs », « Constructions illégales », « Peuple palestinien », « État palestinien » … On ne sort guère de ces termes.
Europe-Israël nous rappelle, dans sa dernière édition, que contrairement à la propagande gauchiste pro-palestinienne, la Palestine d’avant la création de l’État d’Israël avait déjà pour drapeau l’emblème du peuple juif :
J’apporte ici confirmation, s’il en était besoin, de cette information.
Ayant récupéré un vieux dictionnaire à l’abandon (et malheureusement avec une couverture abîmée) édité en 1940, j’ai photographié la page des drapeaux, comme illustré ci-dessus. L’Étoile de David était déjà bien présente sur le drapeau de la Palestine avant la création de l’État hébreu. Alors, le vocabulaire des gauchos, ah que il est plus limité que celui de Johnny !
Rappelons aussi que le terme « Palestiniens » était autrefois utilisé pour désigner les habitants légitimes et historiques de la Palestine que sont les Juifs, et aussi les habitants non-juifs de cette même Palestine. C’est depuis 1970, année où Yasser Arafat, terroriste international, s’est publiquement autoproclamé « Palestinien », que les médias ont repris en chœur cette expression usurpée. En effet, Yasser Arafat était né dans la bande de Gaza, à l’époque territoire égyptien. Et, surtout, le « Peuple palestinien » des revendications d’aujourd’hui n’a jamais existé, composé qu’il est en fait de citoyens jordaniens et syriens, voire égyptiens, ou de leurs descendants maintenus dans des camps par leurs pays d’origine. Les habitants légitimes de l’État d’Israël, juifs et non-juifs, se voient donc depuis lors opposer un « Peuple palestinien » illégitime, agressif, perpétuellement assisté -et pour cher- dont un nombre important de membres est enrôlé dans des milices guerrières ayant pour but avoué la destruction de l’État d’Israël.
Sami Aldeeb nous gratifie d’un remarquable article, dans son dernier bulletin « Savoir ou se faire avoir », dans lequel il développe notamment la limitation du vocabulaire utilisé par les médias pour limiter aussi, par conséquence, la possibilité de pensée individuelle :
https://blog.sami-aldeeb.com/2018/01/28/le-spectre-effrayant-du-totalitarisme-rampant/
Mais cet article de Sami Aldeeb est fort intéressant à plus d’un titre. Il exprime, comme je l’avais écrit dans un article précédent, que l’islam n’est pas une race et que le terme « racisme » ne saurait donc s’appliquer au rejet de l’islam dans une société libre de pensée.
« Islamophobe » nous catalogue comme des malades, tout comme aussi « déséquilibré » définit des produits de l’islam présentés comme exceptionnels. Si l’on se conforme à ces deux définitions, tout va très bien dans le meilleur des mondes où Vigipirate, blocs de béton, militaires en armes dans les rues, poubelles transparentes, consignes automatiques supprimées et autres fouilles pour visiter un musée sont devenus la norme. Une jeune fille me demandait récemment si nous avions vraiment connu un autre mode de vie sociale… Puisque nous sommes des malades et que les auteurs d’attentats individuels issus du seul islam le sont aussi, c’est que la société multiculturelle est la panacée de toutes les civilisations présentes et passées.
Extrait : « Néanmoins, l’idée fondamentale de ces néologismes, oxymores, euphémismes, associations linguistiques contradictoires ou corrompues (qu’on présente comme vraies) est de supprimer les nuances afin de ne conserver que des dichotomies ou de fausses vérités, car le discours manichéen ou affirmatif et positivé permet d’éliminer toute réflexion sur la complexité : si tu n’es pas pour, tu es contre ; il n’y a pas de juste milieu. Ce type de dialectique binaire permet de favoriser les raisonnements à l’affect et ainsi d’éliminer tout débat, toute discussion, et donc toute potentielle critique. »
Justement vient le temps où, à force d’y pousser les citoyens français, il ne sera plus fait dans la nuance : on sera pour ou contre l’invasion de l’islam, l’acceptation de la charia et tout ce qui va avec. On sera pour ou contre notre civilisation, notre Patrie et notre République Qu’on se le dise !
581 total views, 1 views today
Moi, je ne suis pas islamophobe, je suis islamorépugnant.
Ce n’est pas condamnable et tout aussi expressif
et toujours sur arafat
http://www.leparisien.fr/une/sa-fortune-est-estimee-a-300-millions-de-dollars-10-11-2004-2005443913.php
« Sa fortune est estimée à 300 millions de dollars »
mais aussi
Mahmoud Abbas s’offre un jet privé à 50 millions de dollars !
https://www.dreuz.info/2018/01/28/les-palestiniens-meurent-de-faim-et-mahmoud-abbas-soffre-un-jet-prive-a-50-millions-de-dollars/comment-page-1/
ET
vous vous étonnez que TRUMP veut réduire ses versements aux terroristes
70 ans de falsification de l histoire , de terrorisme et d ‘escroquerie $$$$
C’est là que passe l’argent des subventions internationales, là et dans le paiement aux familles des terroristes assassins, du prix du sang de l’ennemi,
Plus aucun centime ne devrait être distribué à ces tueurs islamiques
Islamophobie est un néologisme, formé à partir de la sémantique médicale,
Bien entendu, ce mot n’a pas de valeur réelle,
la phobie étant une maladie psychique bien définie, elle représente une PEUR IRRAISONNÉE d’un objet du quotidien , objet la plupart du temps inoffensif,
J’ai connu une personne qui avait la phobie des plumes, la seule vue d’une plume d’oiseau lui faisait prendre ses jambes à son cou en hurlant, et en soulevant les bras dans tous les sens, cette personne était par ailleurs tout à fait censée, et son comportement devant une plume ne pouvait absolument pas s’expliquer
Islamophobie a été créé par les admirateurs inconditionnels du coran et de l’islam pour dénigrer les personnes ayant reconnu l’islam pour ce qu’il est :
un DANGER RÉEL pour la civilisation et la culture, une religion intolérante et réductrice, un dogme de soumission à des règles archaïques fondées sur l’ignorance., une négation de l’individu, de son libre arbitre et de sa liberté
Après avoir usé abondamment du terme « raciste », et comme on a fini par arriver à leur faire comprendre que l’islam n’est pas une race, ils ont trouvé un terme à l’allure « savante », et propre à dévaloriser ceux à qui il s’appliquait, les assimilant à des malades psychiques
Pauvres go-chiottes ! ils ont inventé un terme « placard » à l’image de leur esprit bien formaté,
Patriotes ! ne vous laissez pas enfermer dans le placard !
Merci pour cette correction. Yasser Arafat était bien né au Caire.
Petite histoire, sachant qu’il est mort en France :
Il se réveille une première fois du coma et demande où il est.
On lui répond : « À l’hôpital de Villejuif ». Il retombe dans le coma.
Il se réveille une seconde fois et demande qui est en face de lui.
Le professeur répond : « Je suis Lucien Israël ». Il retombe dans le coma.
Il est alors demandé au personnel de ne parler que de la pluie et du beau temps, afin d’éviter toute retombée dans le coma.
Il se réveille une troisième fois et dit : « Il fait bien sombre ici, quel temps
fait-il dehors ? »
Et l’assistance, en chœur : « Maussade ! »
Bonjour,
Très joli !
Excellent !
Pollett Daniel
On approuve totalement votre article et quel fou rire avec votre histoire… Merci !
Yasser Arafat est né au Caire. Par contre, son certificat de décès, établi complaisamment par la France, donne comme lieu de naissance Jérusalem…
erreur donc dans l’article, à rectifier.
L’islamophobie se définit étymologiquement comme la peur ou la crainte de l’islam, mais le sens a été déplacé vers la notion d’une « hostilité envers l’islam et les musulmans1 ». De création récente, la définition de ce mot varie suivant les milieux et les périodes. De nombreuses divergences quant à son origine existent, et certains y voient une manipulation sémantique visant à empêcher toute critique de l’islam. La presse francophone, ainsi que des institutions et des organisations internationales de lutte contre les discriminations, utilisent le terme pour désigner un phénomène de stigmatisation sociétal à l’encontre des musulmans. extrait de la définitions dans le Wikipédia
je retiens et souligne ici la phrase : » certains y voient une manipulation sémantique visant à empêcher toute critique de l’islam »
tout semble dit un mot servant à empêcher toute critique de l’islam !!
de même que le mot raciste consiste à faire taire toute personne qui critique le multiculturalisme et l’invasion des migrants
le sens que vous évoquez est une création récente des musulmans qui veulent empêcher la critique de l’islam, hors de question de marcher dans leur délire, l’islamophobie n’est pas un délit mais une opinion et de la légitime défense
semantique
Chaque fois que j’entends ou je lis le mot « islamophobie » j’ai les poils qui se dressent sur tout le corps. En effet la phobie est une maladie qui se présente soit a la naissance soit par accident, personnellement je suis agoraphobic ce qui fait que je ne sors pas beaucoup, puisqu’il n’y a guère d’endroit où je vis avec des grands espaces vides de monde. Je le suis depuis la naissance. Généralement les gens qui n’aiment l’islam c’est parce qu’ils l’ont étudié donc ce n’est pas une phobie, c’est une analyse critique.
Le peu de véritable islamophobes le sont devenus parce qu’ils ont souffert d’une manière ou d’une autre de l’islam.
Faux, une phobie est d’abord, étymologiquement, une peur. Qui peut être fondée. Ou irrationnelle et dans ce cas devenir une pathologie. La xénophobie n’est pas une maladie l’islamophobie non plus
Bien raisonné Madame Tasin, je suis pour la pensée libre et donc de penser par soi même, j’accepte aussi que d’autres ne pensent pas comme moi et même les critiques constructives, sans insultes biens sûr, qui peuvent mêmes remettre en cause notre perceptions de la réalité, je suis contre les croyances figés comme avec l’Islam et autres qui emprisonnent l’esprit des gens dans des croyances, je préfère remettre en cause les croyance et d’avancer en corrigeant nos erreurs, plutôt que d’être enfermé dans des croyances prisons mentals et enchaînent.
Notre manière occidental de penser et d’appréhender les choses, qui nous libèrent des carcans de certaines religions, politiques et autres trop prenants, qui nous ont bien fait avancé la technologie et la science, pour un monde plus vrai, sans fards, sans masques et sans artifices, le genre de vérité qui nous libèrent, à mon avis, avec des variables, qui correspond le mieux à la mentalité Occidental.
Seul les gens malhonnêtes refusent de remettre en cause leurs croyances.
je n’ai pas de croyance au sens du terme personnellement comme font les croyants, je ne suis même pas croyant moi même, mais de l’amour pour la liberté et le respect mutuel, ainsi que du libre arbitre, qui m’interdit d’agresser les autres pour des croyances.
« Généralement les gens qui n’aiment l’islam c’est parce qu’ils l’ont étudié ».
Mais ceux qui l’adorent (gauchistes, écolo, néoféministes…) ne l’ont pas étudié non plus.
Je pense que l’on a pas besoin d’étudier à fond l’islam et lire en entier le Coran pour rejeter cette religion. Ceux qui le font ont plus d’arguments, c’est vrai.
Mais je pense aux gens modestes confrontés à une population imprégnée d’islam radical et qui n’ont pas les moyens de fuir ces endroits : l’insécurité culturelle est totale.