Les enfants d’Africains commettent 3 à 4 fois plus de délits que les nôtres. Et les jeunes Maghrébins, 2 fois.
Pourquoi s’obstiner ? Pourquoi nous vendre le vivre ensemble, le monde multiculturel ? Deux mondes, deux civilisations, incompatibles. Point barre. Eux chez eux et nous chez nous. Il n’y a pas d’autre solution.
C’est la conclusion logique qui nous vient à l’esprit quand on lit l’article du Figaro intitulé Délinquance : les enfants d’Africains surreprésentés
J’en connais qui vont encore crier au racisme et à la discrimination. J’en connais qui vont nous sortir l’excuse des ghettos, du chômage, du colonialisme, de la ségrégation, de la discrimination…
Et d’ailleurs le sociologue n’ose pas aller jusqu’au bout de ses analyses…
Il dit clairement que les pères africains sont habitués à utiliser la violence pour élever leurs enfants et qu’ils sont perdus en France devant l’interdiction qui en est faite. les enfants aussi. Il n’y a pas de solution à cela, sauf le retour au pays. Chacun ses coutumes, chacun son monde. Et la France ira mieux.
Il dit clairement également qu’en Afrique l’éducation des enfants est confiée à tout le monde, à tous les adultes du clan, du voisinage… et que cette rupture avec la coutume génère pour les enfants la tentation de se laisser aller à leurs instincts.
Les imbéciles heureux vont sans doute en déduire que ce serait à nous de prendre le problème à bras de corps : peut-être encore plus d’animateurs, de psys… dans les cités. Et puis pourquoi ne pas former les parents français d’origine à devenir comme leurs homologues africains, à cuisiner dehors en bas des immeubles pour surveiller les rejetons de leurs voisins africains ? En voilà une solution qu’elle serait bonne !
Le sociologue non seulement n’ose pas, mais pointe, évidemment, la « relégation dans les quartiers ghettos »… Parce que dans un immeuble du XVIème le père pourrait compter sur les autres parents ? Plutôt parce que les enfants ne pourraient pas compter sur les autres et former une bande. Mais les malheureux qui voient arriver dans leur immeuble ou leur quartier une ou deux familles d’immigrés ignorant ou refusant de connaître et appliquer nos us et coutumes pleurent toutes les larmes de leurs corps… Et, très vite, ils fuient, laissant la place à d’autres immigrés, ce qui permet de reconstituer le clan original…
Les témoignages sur l’impossibilité de mixité venant des immigrés eux-mêmes se multiplient. Tel conseiller municipal qui raconte qu’ils ont beau mixer les logements et leurs occupants, quelques années plus tard on a un bâtiment de Maliens, un autre d’Algériens etc.
Le psy de service signale ( voir ci-dessous ) que les « médiateurs » ( payés avec nos sous ) invitent les mères africaines à aller dehors pour surveiller leurs enfants. Mais la vraie médiation serait de leur faire comprendre qu’en France on éduque les enfants à la maison et non dehors, on vit à la maison et non dehors. Et puis pourquoi devrait-on « aider les pères à exercer leur autorité » en France ? Dehors, retour à la terre ancestrale, tout le monde sera content.
Tant que l’on considèrera que leurs us et coutumes sont légitimes on vivra tous l’horreur.
Merci à Butterworth de nous avoir signalé l’article ci-dessous :
Délinquance : les enfants d’Africains surreprésentés
Un chercheur publie une enquête qui révèle l’importance des délits commis par cette population.
Novembre 2005, la France se réveille abasourdie après trois semaines d’émeutes. On évoque le malaise d’une jeunesse marginalisée. Mais tous les quartiers sensibles n’ont pas flambé. La carte des émeutes épouse celles des cités où vivent de larges familles africaines, constate à l’époque le sociologue Hugues Lagrange. Depuis, ce chercheur au CNRS a poursuivi son enquête auprès de 4 500 adolescents, de la banlieue parisienne, du XVIIIe arrondissement et d’une périphérie de Nantes. Les résultats, exposés dans Le Déni des cultures, paru la semaine dernière affinent son diagnostic : «Les jeunes Noirs français issus de l’immigration africaine, sont, à conditions sociales égales, 3 à 4 fois plus souvent mis en cause en tant qu’auteurs de délits que les autochtones. Ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus.» Surreprésentés dans la délinquance, «ces enfants de familles subsahariennes présentent également, dès la maternelle, plus de difficultés d’apprentissage des fondamentaux», précise ce chercheur au CNRS, pour justement sortir du déni.
Car la sociologie française n’aime guère l’approche par les origines ou le «facteur culturel», perçue comme l’antichambre des théories raciales. Elle privilégie l’analyse sociale.
Mais les temps changent. La démographe Michèle Tribalat vient de montrer la transformation radicale de certains quartiers en Île-de-France, sous la poussée d’une forte immigration subsaharienne. Vingt villes franciliennes présentent maintenant des concentrations exceptionnelles, avec un jeune sur cinq d’origine subsaharienne. À Grigny, dans l’Essonne, c’est un mineur sur trois.
Ces travaux restent polémiques. Hugues Lagrange souligne d’ailleurs l’importance de la ségrégation sociale et ethnique, avant de livrer un portrait de la dernière vague d’immigration africaine venue de la région du Sahel dans les années 1980. Ces familles rurales, patriarcales, souvent illettrées, ont été profondément déstabilisées à leur arrivée. Leur système d’éducation par le village, avec l’intervention de tous les adultes, plus que des parents, n’opère plus. «Les pères, souvent autoritaires, dominent leur épouse plus jeune, confinée au foyer, mais peinent avec les enfants», selon le sociologue.
Leur éducation par les coups est soudain montrée du doigt par l’école, comme une maltraitance. «Les parents se sentent impuissants. Ils ont le syndrome du numéro vert», résume le psychiatre Ferdinand Ezembe, qui s’occupe de médiation culturelle (voir ITW). Les enfants se retrouvent déchirés entre deux mondes. «Ils souffrent de voir leurs parents disqualifiés par la société, tandis qu’eux-mêmes rencontrent l’échec scolaire», détaille Hugues Lagrange. Certains entrent dans la délinquance, aspirés par les bandes des cités où ces familles sont concentrées. «Cette surdélinquance repose sur un triangle : l’organisation familiale, la relégation dans des quartiers ghettos et l’échec scolaire précoce. Ces trois facteurs sont indissociables», insiste le sociologue.
L’arrivée récente de familles rescapées de pays en guerre, comme le Zaïre ou le Congo, ajoute ses drames. «Lorsque les enfants sont délinquants, ils sont souvent dans l’hyperviolence» , affirme le sociologue. Mais si les difficultés des enfants d’Africains sont bien réelles, elles restent, rappelle Hugues Lagrange, cantonnées à l’Ile-de-France.
Trois questions à Ferdinand Ezembé
Psychiatre et spécialiste de la médiation interculturelle
Les familles africaines ont-elles des difficultés particulières d’éducation ?
Ce n’est pas leur culture en soi qui pose problème, mais les tiraillements avec la société française. Et leur situation sociale. Les pères se montrent souvent très violents avec leurs enfants, lorsqu’ils ont fait des bêtises. L’un d’eux proposait de corriger sa fille au collège devant tout le monde, en gage de soutien au proviseur, sans comprendre que cela aurait gravement humilié l’enfant. Ils ne savent pas comment s’y prendre.
Les travailleurs sociaux n’ont pas réussi à faire passer le message ?
Les villes nous sollicitent de plus en plus pour faire de la médiation interculturelle, car la rencontre d’un père malien et d’une assistante sociale tourne souvent au dialogue de sourds. Elle le considère comme l’archétype du machisme. Et lui refuse qu’une jeune femme de 23 ans lui explique comment éduquer ses huit enfants. Les institutions essaient d’ailleurs de contourner les pères, et c’est une erreur. On ne pourra pas faire sans eux. Il faut les aider à exercer leur autorité.
Quel rôle jouent les mères ?
Les femmes africaines portent le projet d’intégration, bien plus que les pères. La réussite scolaire repose sur elles. Mais il faut qu’elles se forment. Car en Afrique, l’enfant n’est pas considéré comme un partenaire. On joue peu avec lui. Il s’élève avec ses pairs et ses frères. En France, nos médiateurs demandent aux mères de rester dehors avec leurs enfants pour qu’ils ne soient pas seuls.
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J’aie découvert ce problème lors de mon séjour en Afrique avant j’étais comme tous les Français ,je gobais toutes les belles images et histoires a l’eau de rose !
Et en Afrique j’aie vu de près ces gens vivant sous le mode tribal comme il y a 2000 ans ,les gosses étaient tous dans la rue livrés a eux mémes ,les jours de marché un homme avec un fouet écartait tous ces gosses des étals et il n’y allait pas de main morte,car la-bas le vol est une institution ,c’est pour cela qu’il y en a beaucoup avec des mains et des pieds coupés le reste est a l’avenant la corruption et les magouilles régnent a tous les niveaux;Aussi quand ils arrivent chez nous ils s’éclatent car en tant que mineurs tout leur est permis .
Mais nos élus vont tripler les centres pénitenciers et les asiles psy pour parer a ce problème .moi maintenant je prends un efféralgan car a force d’étre pris pour un CON c’est le remède.
Oui vous avez raison Zipo, c’est tout à fait ça, on voit bien que certaines populations en sont restées, de façon plus ou moins marquée selon les lieux, à des fonctionnements de nature tribale (Loi du Talion, clans et rivalités entre tribus, etc…). On retrouve cela aussi du côté du Moyen-Orient et du Maghreb.
« Il dit clairement également qu’en Afrique l’éducation des enfants est confiée à tout le monde, à tous les adultes du clan, du voisinage… et que cette rupture avec la coutume génère pour les enfants la tentation de se laisser aller à leurs instincts. »
j’ ai longtemps vécu en Afrique noire et blanche
tout a fait vrai!!
ainsi les noirs sont quatre fois plus violents et les arabes(blancs) deux fois plus violents
alors si on assemble une Malienne et un Algérien on a des chances d’ obtenir des lardons café crème 6 fois plus violents qu un petit Français (un vrai)
bon! heureusement que les couples « arabe +noir » sont trés rares
les maghrébins répugnant en général s’ accoupler a des africains noirs…réputation de populations serviles, esclaves…en arabe populaire le terme « oussif » signifie un Noir, mais sans plus question connotation…aprés on rencontre Kahlouche = Négro, et plus discrètement Abid =esclave ….et pour la rigolade , ils désignent la bite du noir sous le vocable de « bétenejèle » qui signifie Aubergine.. 😆
Cela me fait rire de voir toutes ces hypothèses qui veulent expliquer des évidences.
Je me souviens d’une personne (très endoctrinée gaucho et pas très intelligente malgré son diplôme de médecin) expliquant qu’une africaine ayant épousé un français était très mal perçue par la famille du marié : après le repas, elle cachait parterre comme le voulait la coutume chez elle…. Cette personne trouvait cela normal et trouver anormal que la belle-famille ne puisse s’y adapter.
Cela montre une chose et surtout une différence fondamentale entre notre culture et la culture africaine : nous, quand nous allons à l’étranger, nous nous adaptons au modus vivendi autant que faire se peut.
Par contre, cet exemple montre que l’inverse n’est pas vrai, qu’il y a, à la base une incapacité à se mettre à la place de l’autre différent chez beaucoup d’Africains (bien sûr on ne peut généraliser mais c’est ce que l’on constate le plus souvent) et donc à le respecter.
Il y a parfois un abîme qui sépare les cultures et cela ne permet pas le « vivre ensemble » tant fantasmé par certains illuminés.
D’ailleurs, on peut s’interroger sur cet amour inconditionnel de l’Autre étranger qui doit masquer une haine plus ou moins consciente envers son pays, ses compatriotes et peut-être ses proches….. Ce serait intéressant de l’étudier.
elle « crachait »,parterre….
votre dernière phrase/ interrogation est tout à fait pertinente , voir évidente , il suffit de voir avec quel empressement nos compatriotes aide l’ Etranger ( histoire de se sentir exister et valoriser, l’exotisme en prime ) ,quand ces mêmes compatriotes ne sont pas capable d’aider leur voisin en difficulté ou un enfant , scolairement , ou des personnes âgées .. j’ai vu, pas loin de chez moi une personne ( communiste ) donner sa machine à laver à des migrants dont elle s’occupe , je me disais alors que ce n’était pas normal car certainement une femme française avec enfants, en difficulté, qui travaille et qui ne s’en sort pas, aurait été heureuse de la récupérer .. je me demandais ce qui pouvait la faire agir de la sorte et suis restée songeuse et triste
Oui Denise, et quand je dis « proches » je pense à leur propre famille. J’ai connu des gens qui étaient militants pour l’étranger africains et qui était odieux avec les membres de sa propre famille.
Régler ses comptes personnels sur le dos de la Société en fin de compte….
Il n’y a que sur RR que l’on trouve des synthèses de cette qualité.Encore merci à Christine Tasin de faire ce travail IMPARTIAL que nos ministres feraient bien de consulter.
Luc Ferry disait que c’est la famille (et non l’école) qui est la fabrique de l’idiot.
Freud quant à lui disait aux mères qui le consultaient sur la bonne façon d’éduquer un enfant : « faites comme ci ou comme ça,de toute manière le résultat est sans garantie (il se basait sur les aléas de l’inconscient).
J’avais discuté pour des raisons éditoriales avec Doc de Fun (Docteur Spitz ,pédiatre)pour écrire un ouvrage .Il me disait que les problèmes de l’enfance aujourd’hui peuvent se résumer à :no limit.On n’impose pas aux enfants assez de limites. Donc ils ont du mal à se structurer. Elémentaire ,mon cher Watson.
On ose à peine imaginer ce que dans un cerveau de père et pondeuse africains signifie le terme :structurer.
Entre vivre et survivre ,20 siècles se sont assez mal écoulés pour ces sapiens.
Et dans un cerveau de muslim ce que veut dire « se structurer », et non pas « interdit » représente la différence entre une brouette et la fusée Ariane.
Les biologistes n’ont plus droit à la parole.Ils diraient la vérité. Et celui qui dit la vérité doit être éliminé.
Je trouve Cyrulnik de plus en plus triste avec sa rengainede la résilience.Sur un cerveau non structuré ,à quoi sert la résilience,on se le demande.
Dans le déni de l’inégalité( d’évolution ) entre les êtres humains que nous vivons actuellement ,il est impossible de progresser.
Pendant ce temps l’ère des robots s’avance…….
« Je trouve Cyrulnik de plus en plus triste avec sa rengainede la résilience.Sur un cerveau non structuré ,à quoi sert la résilience,on se le demande. »
Ce qu’il veut dire dans le fond, c’est que l’environnement social n’est pas tout et c’est la stricte vérité : il y a des gens qui ont vécu des enfances catastrophiques …. et qui trouvent les ressources pour s’en sortir et même très bien, et même en Afrique (j’avais vu un documentaire édifiant à ce sujet et il y a des exemples vérifiables)….
On sait que le traumatisme (les faits) n’est pas en soi ce qui agit, mais la façon dont le sujet va réagir et penser ce traumatisme, et il y a plein de cas qui le prouvent.
Question d’intelligence ? Même s’il n’y a peut-être pas que cela, on peut se poser la question mais bien sûr, comme en France on est « tout social », sociologues à gogo, ce genre d’hypothèse dérange…..
ET OUI, ce Monsieur a raison, l’éducation en Afrique se fait à l’aide du GROUPE, tribal ou familial.
Quand ces familles, composées seulement de deux parents éducateurs arrivent en Europe et qu’elles n’ont connu que l’éducation par le GROUPE, forcément ça déraille.
PARCE QUE L’EDUCATION EN GROUPE, ça repose. Les tempéraments paresseux en sont bien contents.J’ai pu le constater dans mes visites en pays du tiers monde. Et je me suis dit « heureusement que le groupe est là, parce qu’avec les parents inconsistants qu’ont certains, ces gosses iraient naturellement vers la délinquance.
Mais il ne faut pas oublier que « le petit enfant est un ange mais aussi UN VRAI PETIT MALIN. Qui sait profiter de toute faiblesse éducative. Quand il est éduqué par le groupe, il sait se faire discret. Mais quand peu de regards se posent sur lui, « vive la liberté »!
La chose la « plus intelligente » que devraient faire les parents africains dans les cités, c’est de se GROUPER et de reproduire ce modèle éducatif GROUPAL. Mais curieusement, ils deviennent individualistes. Tiens, tiens!
TOUT CA NOUS PROMET DE BEAUX JOURS. Car beaucoup d’enfants d’origine africaine, sont au-delà de la délinquance, mais atteignent des niveaux impressionnants de BARBARIE.
« Car beaucoup d’enfants d’origine africaine, sont au-delà de la délinquance, mais atteignent des niveaux impressionnants de BARBARIE. »
Oui question de construction de la personnalité, l’ensemble aggravé par l’assistanat social français que l’on s’obstine à poursuivre sans réflexion aucune pour éviter les pleurs (les démunis et bla-bla comme s’il y avait des êtres humains sans capacités aucune)… et on n’y peut pas grand-chose sauf à agir, au moins, sur l’assistanat social bien sûr (je pourrais témoigner d’enfants porteurs de syndrômes autistiques sans pour cela être autistes mais simplement carencés éducatifs….).
c’est sûr , il y a aussi le fait qu’ils habitent en France un habitat qui n’est pas le leur, en Afrique noire comme en Afrique du Nord , où les habitations (peut être plus maintenant , je ne sais pas .;) étaient disposées en carré , tout le monde ayant le vis à vis de l’autre , tout le monde habitant chez l’un , chez l’autre et bien sûr avec les personnes plus âgées .. j’ai vu un kabyle dans un village reproduire le même type d’habitat ! Ce jour , je sais qu’en France , la porte d’entrée de leur maison n’est pas fermée et les familles rentrent sans sonner ..
Ce sont des façons de vivre, en effet , qui posent chez nous de réels problèmes et une inadaptabilité que nos élites n’ont même pas appréhendé ! quand on lit des articles où les plus grands à peine ados, gardent et entrainent les beaucoup plus petits à mettre le feu dans l’ école, je me disais que jamais nous ne laissions nos enfants seuls ..et nous savions aussi que nous ne pouvions en faire 8 ou 10 !
Ce que vous dites est une évidence bien sûr, trop de différences culturelles.