Pourquoi est-ce qu’il se gênerait ?
Il est né en Angola il y a seulement 32 ans, il n’est pas français, il y a 22 mentions à son casier judiciaire… et il est toujours là, en France, à taper sur sa compagne, et à injurier le juge.
Comprenne qui pourra. Moi j’y perds mon latin.
A moins que je ne comprenne trop bien, à moins qu’ils ne fassent exprès de faire entrer et laisser en liberté des immigrés (1) pour nous faire peur et nous pousser soit à partir soit au pétage de plombs…
30 mois de prison pour violence et menaces de mort à Villerupt. Laffaire, jugée hier à Briey en visio-conférence, a accouché dun spectacle étonnant
Cest une conséquence du mouvement de grogne observé hier encore dans les prisons françaises : hier, Ewing Juyer na pas pu être extrait de Metz-Queuleu pour comparaître au tribunal de Briey. Son affaire, renvoyée le 4 janvier dernier, a donc été examinée par visio-conférence. La justice en mode télé-réalité ? Un spectacle qui sest terminé de façon ahurissante, avec insulte à la présidente et menaces de mort à la victime, présente en chair et en os, elle, dans la salle daudience.
A lorigine de ce pétage de plombs en règle ? La peine prononcée par la présidente, Ombline Parry, à lencontre du prévenu de 32 ans et comptant 22 mentions au casier judiciaire, soit 36 mois de prison, dont six avec sursis et mise à lépreuve pendant deux ans, interdiction dapparaître dans les départements de Meurthe-et-Moselle, Moselle, Meuse et dentrer en contact avec la victime, le tout assorti dun maintien en détention. Conforme en tout point aux réquisitions du ministère public.
« J’ai perdu le contrôle »
Né en Angola en 1985, arrivé en France à lâge de 6 ans, Ewing a été reconnu coupable de violences aggravées et de menaces de mort sur son ancienne compagne, des faits commis à Villerupt. Le 1er janvier dernier, la petite amie en question avait terminé la journée à lhôpital, souffrant dune fracture du nez, dun traumatisme facial et de nombreux hématomes. Dans son dossier, un certificat dincapacité totale de travail de 15 jours attestant de la violence des événements.
« Jétais là le 4 janvier, le jour où laffaire aurait dû être jugée Je noublierai jamais le visage défiguré de Madame. » Sophie Martin-Bahuon, procureur, a le ton grave. « Elle ne doit son salut quà lintervention dun voisin qui est venu sinterposer après avoir appelé la police. »
Ewing reste dans le déni. « Je jure devant Dieu que je ne lui ai pas mis de coup de poing au visage. Je lui ai juste mis une gifle parce quelle est sortie de lappartement après mavoir volé mon téléphone et de largent. Jai perdu le contrôle. » Le prévenu se réfugie, entre autres, derrière le cocktail alcool/cocaïne absorbé ce soir-là dans lappartement villeruptien.
Le propre avocat du prévenu relèvera « la difficulté de la tâche » dont il a hérité avec ce dossier. Lissue de laudience lui donnera raison. « Tu veux niquer ma vie ! Nique ta mère la juge ! » A l’énoncé de sa peine, Ewing a perdu le contrôle. Une fois de plus.
http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-briey/2018/01/23/nique-ta-mere-la-juge
(1) On notera que, dans la même ville, avait lieu il y a peu le procès d’un détenteur de cannabis pour une valeur de 3000 euros… Lequel détenteur, prénommé Salah, a déjà 10 mentions au Casier judiciaire.
Un sursis de 6 mois planait au-dessus de sa tête… Le sursis n’a pas été révoqué afin qu’il puisse bénéficier de soins à sa sortie, il sortira donc au bout de 18 mois ; il va coûter un maximum à des médecins, psychologues, services de désintoxication…
Y a-t-il un service efficace contre la délinquance et la haines d’autrui ?
Y a-t-il un service efficace contre la connerie, celle de nos politiques et celle de nos juges ?
Son passé ne plaide en effet pas en sa faveur. A 37 ans, Salah Bellot possède déjà un casier chargé : pas moins de 10 mentions depuis 1999, essentiellement pour des affaires de stupéfiants. Il vient d’ailleurs à peine de quitter le tribunal de Briey, le 4 juillet dernier, pour une affaire similaire. Un sursis de 8 mois de prison plane au-dessus de sa tête. « Je demande une peine avec une fermeté suffisante : 24 mois de prison et la révocation du sursis. »
« Mon client craint pour lui, a rétorqué l’avocate de la défense. C’est pour ça qu’il ne donne pas les noms. » Rappelant qu’il a envie de s’en sortir – il a entrepris des soins –, elle a tenu à préciser qu’il ne doit être condamné que pour les faits qui lui sont reprochés et non sur un éventuel trafic. « Je vous demande la clémence avec une peine assortie partiellement d’un sursis. »
Le tribunal l’a finalement condamné à 18 mois ferme avec mandat de dépôt. Mais son sursis n’a en revanche pas été révoqué afin qu’il puisse bénéficier de soins à sa sortie.
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Une seule solution : déchéance de nationalité et retour à la case départ sans espoir de retour….
« Né en Angola en 1985, arrivé en France à lâge de 6 ans,
que c’est mimi!! l’ âge idéal pour etre mis dans un sac en jute et plongé dans la rivière -ou le puits- le plus proche!
a la campagne, tout le monde noyait les portées de chatons dans une vieille bassine couverte a ras bords d’ une planche taillée en rond, avec un poids dessus…
vétérinaire ?? et puis quoi encore! même pour le vêlage c’était confié a un vieil éleveur qui en avait vu…un variété de rebouteux pour animaux « utiles »
en général ça prenait moins de trois minutes
Pas mal non plus le procès de Hafid Mallouk qui s’est ouvert le 22 janvier à Nancy pour le meurtre (ou plutôt l’assassinat) de sa compagne infirmière Julie Martin dont le corps a été retrouvé calciné dans un bois.en 2014
Dans leur appartement, le plat à tajine a volé en éclat.
voir « l’Est Républicain » du 26 janvier: Nancy Assises: » Affaire Julie Martin: Hafid Malouk est dans la nasse ».
Mais qu’est-ce qu’elles ont toutes à vouloir vivre avec des nord-africains?
Et combien d’autres vivront le rêve brisé des mille et une nuits, conte révélateur de la soumission des femmes ?
Et bien oui comme d’habitude nos crétins aux pouvoirs donnent des cartes d’identité tout est permis à des immigrés depuis des années pour faire ce qu’ils veulent en France et en Europe, car ils connaissent bien l’impunité total et le laxisme criminel par les dirigeants, ils le savent pour oser défier une juge qu’ils prennent pour de la merde.
Et oui, le mur des cons se retourne contre les magistrats maintenant, bravos la dictatures des juges pour mur des cons.
Messieurs Dames les magistrats n’oubliez pas vos bunkers et la visioconférence pour vous protéger.
J’approuve totalement votre commentaire.
Au tour des magistrats de honte de craindre !!!!
Il ne coûtera rien du tout en termes de suivis médicaux pour la seule et unique raison est qu’il ne s’y présentera pas, ou si peu, une fois sorti de prison. Mais au final, peut-être bien quand même, puisqu’il y serait inscrit, la note payée qu’il soit ou non venu, et tant pis pour les patients qui ont vraiment d’aide car il prend la place de quelqu’un qui en aurait bien besoin. Bref, encore de l’argent jeté par la fenêtre pour ces racailles… et payé par le con-tribuable.
honteux ce jugement LA RELAXE STOP RACISME http://www.afrik.com/article15766.html
Un service efficace contre la délinquance et la haine d’autrui : oui, cela s’appelle la REMIGRATION. Sans les parasites, les prisons seraient vides aux deux tiers (selon Jean-Yves Le Gallou, les chiffres datent un peu maintenant ça doit être pire). Et même chose en ce qui concerne nos écoles transformées en garderies pour racailles, les hôpitaux, les transports…
LACHETE OU AUTRE CHOSE ou bien les deux. Car ne pas faire repartir les « inadaptés » et les laisser exercer leur dangerosité dans notre chère France, ça peut cacher un autre but. Comme celui de nous déstabiliser, de nous mettre dans le désarroi.
Pendant qu’on « occupe l’angoisse des gens » on peut s’occuper de faire passer toutes sortes de lois « liberticides » qui sont censées nous soumettre peu à peu.
N’est-ce pas?