Les Schtroumfs aussi, une oeuvre raciste ?

Les Schtroumpfs seraient une œuvre raciste selon un Maître de Conférence en sciences sociales

Initialement publié en 1959 dans un supplément au journal Spirou, l’épisode des Schtroumpfs noirs est la première histoire qui met en scène les effets d’une variation catastrophique au sein de la tribu, qui conduit à sa division en deux camps ennemis.

S’agit-il d’un schéma raciste? Malgré l’antagonisme des deux groupes par l’opposition des couleurs noir/bleu, un facteur ne semble pas respecter le stéréotype raciste: celui de la transmission épidémique du caractère «noir», qui fait toute la dynamique du récit, puisque le seul Schtroumpf atteint au début par la mutation finit par contaminer l’ensemble de la population, malgré les contre-mesures imaginées par le Grand Schtroumpf, menaçant in fine d’extinction les lutins bleus. (…)


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Cette dynamique peut être comparée au motif raciste du «grand remplacement», qui décrit une menace invasive substituant une population allogène à une population originelle. Mais ce motif est lié en Europe à l’histoire de l’antisémitisme, et sa transformation en conspiration arabo-musulmane est récente.

Extrait du blog d’André Gunthert, Maître de conférences de l’EHESS (École des hautes études en sciences sociales)

https://www.suavelos.eu/schtroumpfs-soupconnes-detre-oeuvre-raciste-negrophobe

Note de Christine Tasin

On lira aussi avec attention l’article ci-dessous, publié le 16 décembre dernier, qui examine le procès de racisme fait à Peyo… Tant le « racisme « est LE sujet majeur en France ! On y apprend que tout serait la faute des Etats-Unis, qui auraient perverti l’image plutôt anodine au début du Schtroumpf noir. Et ce serait cette image, venue d’Amérique, comme bien des maux, qui amènerait cette lecture débile de l’oeuvre de Peyo.

Où l’on découvre que les Schtroumfs noirs ressembleraient à la représentation des Noirs dans « l’Europe coloniale » ( où ça ? quand ça ? )…

Où l’on découvre de l’antisémitisme dans la représentation du sorcier Gargamel ( et je n’avais pas vu ça non plus ! )…

Où l’on découvre que la schtroumphette serait sexiste (diantre, cela m’avait échappé )… « Sexisme aussi indéniable que celui de Tintin au Congo« . Ah bon ? Me voilà rassurée.  Je peux continuer de lire les aventures des Schtroumpfs et de Tintin. Leur hystérie… Je m’en bats l’oeil. Au contraire, même elle me conforte dans la réussite des différents personnages et albums.

J’ai toujours adoré les schtroumfs, je continue de les adorer… et voir que cette création croquignolesque n’échappe pas aux ciseaux des petits intellos péteux idéologiquement pervertis me donne des envies de les rouler dans du goudron et des plumes. Et encore, c’est gentil. Fort heureusement, pour le moment, ils ne sont pas protégés par la loi Pleven, on a donc le droit de les haïr. Par contre, méfions-nous, peut-être qu’un procureur tordu osera nous poursuivre avec le raisonnement suivant :  » vous haïssez un tel, vous le dites, vous incitez donc ceux qui vous lisent à la haine… Or, si certains les haïssent peut-être seront-ils tentés de régler leurs comptes avec eux… et hop « provocation à la violence », direction la 17ème Chambre. On vit une époque formidable.

Ne perdez pas de temps avec le paragraphe sur le syndrome emblématique de la représentation de la femme… Il est quasiment incompréhensible et c’est voulu.  Certains intellectuels se gardent bien de vulgariser pour conserver leur pré carré.

Les Schtroumpfs noirs, une œuvre raciste?

Les Schtroumpfs noirs1 sont-ils une œuvre raciste? Depuis la parution du Petit Livre bleu. Analyse critique et politique de la société des Schtroumpfs (2011) d’Antoine Bueno, ouvrage parodique, mais souvent lu et chroniqué au premier degré, la question semble entendue. Si la dénonciation de l’univers créé par Peyo comme un «archétype d’utopie totalitaire empreinte de stalinisme et de nazisme» prête à sourire, en revanche, le racisme de l’album de 1963, qui oppose deux groupes, l’un violent et invasif, l’autre pacifique, par la couleur de l’épiderme, paraît plus convaincant. A sa suite, plusieurs articles détaillent les rapprochements entre les traits des Schtroumpfs noirs, agressifs, dépourvus de langage, voire dotés de penchants cannibales, avec la représentation caricaturale des Africains dans l’Europe coloniale, déjà largement illustrée par Tintin au Congo (1931)2. Pour faire bon poids, la critique ajoute volontiers dans la balance le sexisme de la Schtroumpfette, ou encore l’antisémitisme présumé du dessin du sorcier Gargamel.

L’essentiel de cette relecture s’explique par les effets d’un déplacement et de l’éclairage d’un nouveau contexte culturel: celui des Etats-Unis, qui accueillent les aventures des lutins belges à partir de 1980, dans une adaptation en dessins animés produite par Hannah-Barbera – qui impose dès cette version la modification de la couleur des Schtroumpfs noirs, devenus Purple Smurfs pour le public américain. Cet ajustement, repris par l’éditeur Papercutz pour l’édition anglaise de 2010, indique toutefois que le racisme supposé de l’album se limite à l’apparence des personnages, puisque le passage au violet suffit à en gommer toute trace, le récit restant inchangé.

Dessin animé, Purple Smurfs, 31 octobre 1981, NBC.

Un mot sur la Schtroumpfette, dont le sexisme est aussi indéniable que le racisme structurel de Tintin au Congo. La qualité de syndrome emblématique de la représentation de la femme dans la culture populaire que lui attribue la critique féministe découle de la loi qui régit la tribu de Peyo, et qui peut se résumer par la combinaison de deux principes: 1) une règle de similarité (tout le monde est a priorisemblable), modalisée par 2) une règle d’essentialisation de la variation (tout caractère secondaire devient un idéal-type). Cette loi qui s’applique de la même façon aux sept nains de Blanche-neige, semblables par leur petite taille, mais individualisés par un trait de caractère, explique pourquoi il est si facile de produire une lecture structurale de l’univers de Peyo.

Walt Disney, Blanche-neige et les sept nains, 1937.

Initialement publié en 1959 dans un supplément au journal Spirou3, l’épisode des Schtroumpfs noirs est la première histoire qui met en scène les effets d’une variation catastrophique au sein de la tribu, qui conduit à sa division en deux camps ennemis. S’agit-il d’un schéma raciste? Malgré l’antagonisme des deux groupes par l’opposition des couleurs noir/bleu, un facteur ne semble pas respecter le stéréotype raciste: celui de la transmission épidémique du caractère «noir», qui fait toute la dynamique du récit, puisque le seul Schtroumpf atteint au début par la mutation finit par contaminer l’ensemble de la population, malgré les contre-mesures imaginées par le Grand Schtroumpf, menaçant in fine d’extinction les lutins bleus.

[…]

Cette dynamique peut être comparée au motif raciste du «grand remplacement», qui décrit une menace invasive substituant une population allogène à une population originelle. Mais ce motif est lié en Europe à l’histoire de l’antisémitisme, et sa transformation en conspiration arabo-musulmane est trop récente pour pouvoir s’appliquer aux Schtroumpfs noirs4. De nombreux lecteurs rapprochent avec plus de vraisemblance l’album du récit de zombies, basé sur un effet de contamination biologique.

Le modèle du genre, le film de George Romero, Night of the Living Dead (La Nuit des morts-vivants), date de 1968, trop tard pour inspirer l’album. En revanche, la plupart des éléments du récit des Schtroumpfs noirs correspondent à l’intrigue du roman publié en 1954 par Richard Matheson, I am Legend5, source inaugurale de la mythologie de l’apocalypse zombie.

Chez Matheson, les personnages de morts-vivants sont des vampires, qui se réveillent la nuit pour attaquer les humains, expliquant la couleur des Schtroumpfs noirs, mais aussi la contamination par morsure, ainsi que l’agressivité ou la perte du langage. Plus encore, la structure apocalyptique du roman, où le dernier survivant de l’espèce humaine, Robert Neville, est assailli par des hordes de vampires, jusqu’à succomber sous le nombre, est reprise dans le scénario de l’album, où même le grand Schtroumpf subit la mutation. On y retrouve également les expériences scientifiques pour remédier à l’épidémie, le motif du camouflage d’un des Schtroumpfs noirs, inspiré du personnage de Ruth, ou encore celui du spectaculaire assaut final.

Source étonnante pour une histoire destinée aux plus petits, le roman de science-fiction américain cadre bien avec les goûts littéraires d’Yvan Delporte, le rédacteur en chef de Spirou à l’origine de l’idée du supplément détachable, et scénariste des Schtroumpfs noirs, comme de nombreux récits des lutins dessinés par Peyo. Co-inventeur du personnage de Gaston Lagaffe avec Franquin en 1957, Delporte collabore également aux premiers pas de l’anti-héros dans les pages du magazine. Il sera ausi l’inspirateur, dans le cadre du supplément Le Trombone illustré, du volume des Idées noires dessiné par Franquin en 1977, autre exemple d’un humour au vitriol dont il coscénarise plusieurs planches.

Franquin/Delporte, Idées noires, 1977.

Un élément fait obstacle à l’interprétation raciste des Schtroumpfs noirs dans le contexte de la bd franco-belge des années 1960: la représentation des Africains se conforme à un stéréotype issu de la tradition coloniale, qui leur attribue non seulement une couleur de peau sombre, mais des lèvres charnues et un langage dit «petit nègre», tel celui illustré dans Tintin au Congo ou dans Asterix. On retrouve par exemple ces caractères en 1959 dans l’album de Franquin, Le Gorille a bonne mine. Si les personnages d’Africains sont pratiquement absents des histoires proposées par Peyo6, celui-ci donne en revanche une apparence de “sauvages” à ses Schtroumpfs dans l’épisode du Cosmoschtroumpf, en 1970, qui reprend le principe de la caricature ethnique par un soulignement graphique de la bouche.

Peyo, Le Cosmoschtroumpf, 1970.

Ce stéréotype, ignoré par les critiques récentes des albums de Peyo, fournit pourtant la clé pour comprendre la différence de perception qui affecte les Schtroumpfs noirs dans le contexte américain. Dans la tradition coloniale, incarnée par le tirailleur sénégalais de la publicité Banania en 1915, l’Africain n’est pas un personnage menaçant ni susceptible de se substituer à la population blanche, mais une caricature comique, sujet de moqueries paternalistes, comme dans les sketches de Michel Leeb. Ce n’est qu’au sein de la tradition issue de l’esclavagisme et de la violence raciale des Etats-Unis qu’un récit montrant l’opposition de deux groupes, dont l’un marqué du caractère “noir”, peut être interprété comme la projection d’une situation sociale. La recontextualisation américaine des Schtroumpfs racialise le signifiant “noir”, imposant son éviction.

Si l’on en croit le témoignage des lecteurs, la modification de la couleur des personnages dans les adaptations américaines n’a pas attenué la peur provoquée par un récit terrifiant7. Même du point de vue du racisme structurel, et malgré la conflictualité élevée associée à ce thème, qui justifie la prudence des éditeurs, le succès des Schtroumpfs outre-Atlantique confirme le caractère bénin des reproches adressés à Peyo. Première adaptation visuelle de la mythologie de l’apocalypse zombie8, Les Schtroumpfs noirs demeure une œuvre graphique exceptionnelle, marquée du sceau de l’humour noir – celui qui parie sur l’intelligence de ses lecteurs.

Version rédigée du séminaire du 14/12/2017.

  1. Peyo, Yvan Delporte, Les Schtroumpfs noirs, Paris, Dupuis, 1963. []
  2. Célia Sadai, «Les Schtroumpfs noirs de Peyo ou l’ambiguïté problématique de la bande dessinée coloniale», La Plume francophone, 2 juillet 2014. []
  3. Les Schtroumpfs sont apparus en 1958 dans une autre série de Peyo, les aventures de Johan et Pirlouit: La Flûte à six schtroumpfs. Les Schtroumpfs noirs sont publiés le 2 juillet 1959 sous la forme d’un fascicule détachable dans le n° 1107 de Spirou. []
  4. Renaud Camus, Le Grand Remplacement, 2011. []
  5.  Richard Matheson, Je suis une légende (1954, trad. de l’américain par Nathalie Serval), Paris, Gallimard, 2001. []
  6. A l’exception d’un policier africain dans Les Douze Travaux de Benoît Brisefer, en 1968. []
  7. Chris Alexander, «Terror on TV. Gnap! Gnap! Zombies Vs Smurfs in ‘The Purple Smurfs’», Comingsoon, 25 juin 2016. []
  8. La première adaptation cinématographique de I am Legend, The Last Man On Earth, avec Vincent Price, n’est proposée qu’en 1964 par Sidney Salkow (à noter que le film Vaudou de Jacques Tourneur (1943), qui explore de manière précoce les ressources fantasmagoriques du personnage du zombie, n’est pas encore représentatif du genre apocalyptique inauguré par Matheson et Romero). []

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32 Commentaires

  1. Au modérateur, un mini-post que vous jugerez utile ou non de publier.
    —-
    Pourquoi je suis pour la censure des Schtroumpfs, de Tintin, de Miss France et de Michel Leeb !
    Ces derniers temps, la chasse aux sorcières antiraciste n’a pas connu de trève. Il ne faut plus traquer le seul propos raciste, mais également, l’arrière-pensée, le non-dit forcément raciste, et tout le contexte culturel des années 50, 60, 70, 80 (choisissez votre tranche favorite) qui ont pu laisser s’installer ces préjugés odieux.
    Il faut en finir avec le pire des racismes, celui qui ne s’aperçoit même pas qu’il l’est, car c’est bien ce racisme qui est le pire. Celui qui plante en nos subconscients les graines du mépris, de l’intolérance et de la haine.
    C’est pourquoi, je demande à tous les censeurs, à l’Etat, au Défenseur des Droits, à Cyril Hanouna, à Marlène Schiappa, à toutes les bonnes volontés de quelque bord politique qu’elles soient, de monter au créneau d’urgence contre une oeuvre littéraire odieusement raciste. Je vous en donne un extrait :
    30. LES JUIFS disent : « Uzayr est fils d’Allah » et LES CHRETIENS disent : « Le Christ est fils d’Allah ». Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. QU’ALLAH LES ANEANTISSE! Comment s’écartent-ils (de la vérité)?
    Il y a ici un appel explicite au meurtre ciblé de personne eu égard à leur race ou à leur croyance religieuse.
    Ce scandale doit cesser, et le contexte culturel ne saurait être invoqué pour justifier l’injustifiable.
    J’espère que les personnes de bonne volonté, de quelque bord qu’elles soient, se lèveront toutes unanimement pour exiger la censure et la purge de ce verset odieux.

    cf : Sourate 9, At Tawba – Le repentir, verset 30
    ( http://www.coran-en-ligne.com/Sourate-009-At-Tawba-Le-repentir-francais.html )

  2. Ces polémiques actuelles incessantes sur le noir et le blanc me laissent à penser qu’elles ne sont pas dues au hasard ni à une mode, mais qu’elles ont été pensées et imaginées par un petit groupe, dans le but de semer la zizanie et nous affaiblir.

  3. . . . bon je vous quitte , je m’attelle à l’écriture de mon « Noire-olive » et les sept pygmées ; je vais faire un tabac !

  4. il ne travaille pas à la EHESS mais à la EHECC
    Ecole des Hautes Etudes en Connerie Congénitale

  5. Quand les imbéciles se prennent pour des intellectuels profonds, et plus grave, que les médias leur accordent ce statut, et que du coup ils prennent le pouvoir, on ne peut aboutir qu’au chaos et au grand n’importe quoi, à l’absurde tous azimuts qu’on observe aujourd’hui
    Ce que j’appelle l’ère de la bêtise, bêtise généralisée et totalitaire.
    Le problème est que d’une part les journalistes sont pour la plupart des Bouvard et Pécuchet de la culture, des rantanplans limités du bulbe qui se prennent pour de grands intellectuels, qui s’entichent de bonimenteurs à la graisse d’oie, ceux à leur niveau, et d’autre part qu’ils prennent leurs zauditeurs zet lecteurs aussi pour des imbéciles à qui on peut faire avaler n’importe quoi, à commencer par ces bouillies intellectuelles de pseudo-penseurs « engagés ».
    Et après on s’étonne que la France régresse, avec de telles zélites « intellectuelles », que le monde entier nous (envie) laisse bien volontiers.
    Le seul critère de sélection est que ça ait l’air de gauche – en réalité gauchiste, de ce gauchisme communautariste, libertarien, et fasciné par les minorités visibles ou invisibles soi-disant opprimées dont il faut absolument prendre la défense pour s’inventer une cause bidon et avoir l’impression d’exister et d’œuvrer pour le bien.
    Mais comme dit le dicton, qui veut faire l’Ange fait la Bête, et ici le gros bêta.
    C’est un travail de Sisyphe, un tonneau des Danaïdes, vouloir vider l’océan avec une petite cuillère, mais il n’y a pas d’autre choix que celui de rappeler inlassablement à chaque nouveau tsunami de sottise de leur part que c’est justement de la pure sottise, et que ces hurluberlus ahuris sont des imbéciles sans intérêt, rien d’autre.
    Leur légitimité intellectuelle dans le débat public est nulle de chez nul. De triste Trissotins, des Précieux complètement ridicules.
    A force, ça va finir par passer, par devenir une évidence pour tous, un lieu commun et ils vont disparaître dans le vide sidéral de leur (absence de) pensée, dans le trou noir qui leur tient lieu de cerveau.
    Au fait, trou noir, ce serait pas un peu raciste comme expression? Eh oui, il faut dire « trou de couleur ». A moins qu’il ne s’agisse tout bonnement de trous du cul.

  6. Je n’arrive plus à trouver du cirage NOIR pour mes chaussures NOIRES quelqu’un peut il me dire où en acheter .

  7. vite..cachez vos dvd des barbapapa…des fois qu’ils tombent dessus…car je veux pas dire, mais barbamama est noire et a un cul d’éléphant….et gribouille dispose d’une crinière de lion….

    • On va finir par en arriver à revivre l’Inquisition…. mais une Inquisition « laïque ».

  8. Moi voyez-vous je suis comme ce maitre de conférence, je pense qu’il y a trop de racisme j’en vois partout c’est vrai pourquoi dans les fictions les romans, les séries , les films, les BD est-ce qu’il n’y a jamais de « méchants » noirs ou autres diversités?
    Halte à la discrimination, ces gens ont besoin de travailler c’est vrai quoi sous prétexte de ménager la sensibilité de certaines catégories on leur refuse certains rôles, qu’ils pourraient interpréter à la perfection puisque pour certain ce serait du vécu, ils n’auraient même pas besoin de composer!
    On pourrait monter des fictions formidables, se basant sur du réel, comme par exemple un film sur le gang des barbares ou sur cette histoire que j’ai connu puisqu’habitant dans le quartier d’un tout jeune Malien que les parents laissaient dès l’âge de 3 ans errer dans les escaliers parce que le père passait plus de temps à la mosquée et au pmu qu’à l’éducation de ses enfants. Ce garçon est devenu un caïd qui s’est distingué en torturant dans les caves d’autre jeunes pour de sombres histoires de drogue!
    Aujourd’hui les metteurs en scène tourne en rond dans les mêmes milieux sociologiques comme la série « plus belle la vie » dont on ne peut s’empêcher de penser malgré le succès rencontré, que le Marseille qui y est représenté est très édulcoré . C’est un Marseille fait pour rassurer le bobo de Paris qui se pointe en 3 heures par le TGV. Ce n’est pas celui de la porte d’Aix ni des quartiers Nord!
    Lorsque les auteurs auront surmontés psychologiquement leur réflexe de politiquement correct, ils pourront commencer à faire des choses intéressantes surtout que les Français avaient, il y a longtemps, une tradition de savoir-faire littéraire et cinématographique ancrée dans le réel et le psychologique comme Clouzot Chabrol Renoir Autant Lara Zola Hugo etc
    Ils pourraient bénéficier de nombreuses anecdotes et témoignages des gens qui ont habité ces quartiers ainsi que de celui des protagonistes eux mêmes qui se feraient un plaisir de raconter leurs « exploits » moyennant finance évidemment.

  9. Ce n’est qu’un début.
    Aujourd’hui on s’attaque aux paroles, aux écrits, aux manifestations culturelles ou religieuses.
    Demain nous serons condamnés pour usage de saucisson et consommation ou détention de vin.
    Je ne plaisante pas.
    Pour l’instant, ils se contentent de nous imposer le halal.
    Demain ils nous interdiront tout ce qui n’est pas halal.
    Ce sera peut être à ce moment que les fusils de chasse tireront autre chose que les lapins.
    Mais il sera un peu tard.

  10. On pourrait également faire une autre lecture des Schtroumpfs noirs : ceux-ci ont été contaminés par le politiquement correct et l’antiracisme névrotiques. A leur tour, ils contaminent les autres qui doivent résister à cet assaut de bêtise. Parmi ceux non encore contaminés et qui luttent de toutes leurs forces contre ces idéologies mortifères, la schtroumpfette Christine Tasin et le grand schtroumpf Pierre Cassen.

  11. Ces gens qui voient du racisme partout, Ils sont tellement pourris dans leurs cerveaux qu’ils voient du mal partout là où personne le voit.
    Ils sont prêts à critiquer des simples bandes dessinés qui tuent personne, de racistes, mais vous voyez personne quand c’est pour les attentats que là il y a des vrais morts.
    C’est là que ce mesure leurs intelligences au niveau zéro, tellement qu’ils sont stupides.
    Ils sont tellement stupides qu’ils vont bien trouver que les sept nains de blanche neige sont raciste contre les nains et de préférence musulmans et donc islamophobe, car discriminés, en plus que l’arabe n’est pas parler, encore toujours les mêmes discriminés.
    Et les dessins de Walt Disney raciste car il y pas de blanche neige noir et des nains noir et Asiatique pour la diversité et le vivre ensemble.
    Nos escrocs imposteurs utilisent toutes les différences qu’ils trouvent pour exploiter toutes leurs manipulations d’escrocs qu’ils les avantages..

    • Les studios Disney se rattrapent parce que maintenant, leurs dessins animés sont bourrés de propagande pro-minorités.

  12. Londres : accusée de racisme, une université s’excuse pour avoir parlé de « campus blanc » au sujet de la neige tombée
    Y-a-t-il une section connerie dans cette université ?
    Quid de la place Blanche, la maison Blanche,le pain blanc, Blanche Neige et les 7 nains ?
    Les CSA va-t-il imposer une BD de Blanche Neige avec au moins un nain noir ?
    http://www.fdesouche.com/922663-londres-accusee-de-racisme-universite-sexcuse-parle-de-campus-blanc-de-neige-tombee
    ———–
    ATTENTION je trouve aussi que Schtroumpfette a une crinière de lion !!!!!
    Donc je suis raciste !

  13. Moi aussi j’adore les Schtroumpfs et du coup, envie de les relire tiens. Et Tintin aussi. Et je sens que je vais me racheter une croix.
    Il faut se moquer de ces imbéciles et ne pas tenir compte de leur bêtise. Le problème c’est qu’on relaie leurs conneries.

  14. Ce racisme vu partout vire carrément à la paranoïa… On est dans la pathologie c’est sûr.

  15. On va quand même pas toujours broyer du noir . Mais c’est vrai que dans l’édition il y a du boulot / avec la collection « Série noire » comme  » fleuve noir  » le roman noir a du soucis à se faire .. comme d’ailleurs les chats noirs et le groupe noir désir risque de dé chanter aussi .. , va savoir ? Il va falloir bosser comme des noirs pour rebaptiser tout çà

  16. c’est vraiment du délire.pierre cullifort dit peyo est un des piliers de la bd franco-belge.vu mon pseudo je ne peux que réagir.son univers emprunt de magie et d’aventures chevaleresques m’a bien fait voyager enfant .donc comme dit dans l’article les schtroumpfs apparaissent dans l’album numero 9 de johan et pirlouit la flute à six schtroumpfs.peyo très sollicité par leurs arrivés dans la série se laissera aspirer par la demande grandissante pour les schtroumpfs.il signera le dernier album de johan et pirlouit en 73 et le dernier schtroumpfs le numero 16 le schtroumpf financier en 92.ceux qui voient du racisme dans son travail sont simplement des crétins .

  17. Tous ces baltringues qui voient du racisme partout commencent à devenir indécents et ridicules, dommage d’ailleurs que le ridicule ne tue pas çà les calmerait.

  18. Quad on pense qu’une université de Londres a dû récemment faire des excuses parce qu’elle a demandé à ses élèves s’ils aimeraient avoir un campus blanc pour Noël. Elle parlait évidemment de la neige parce que les derniers relevés météorologiques prévoyaient la neige. Eh bien des abrutis ont crié au racisme Il faut vraiment être con pour ne pas avoir compris l’allusion à la météo.

      • Oui, qu’ont ils donc à s’excuser après . C’est la neige qui doit s’excuser d’être
        blanche.

  19. Jusqu’où la France va-t-elle descendre dans le fin fond de l’idiotie ? Après Miss France, voilà les Schtroumpfs !! A qui le tour ?

  20. Il n’y a plus de limite dans la connerie. Celle là elle est monumentale. S’attaquer à des BD qui ont bercé notre enfance, c’est débile. Pauvres collabos, si cons, ils doivent souffrir;

    • Des intellectuels ? Bien sûr que non….. Pas très intelligents et bien névrosés oui.

  21. Cette obsession de voir le racisme partout est une vraie pathologie. Elle est à la mode afin de rapporter de l’argent aux auteurs de polémiques, leur assurer une petite célébrité et déconsidérer tout ce qui a fait la grandeur de nos Anciens et leur œuvre positive envers le monde entier. Si Tintin n’était jamais allé au Congo, celui-ci n’existerait même pas ; si il n’avait jamais été dit « Y’a bon Banania » cela voudrait dire que les richesses de l’Afrique n’auraient jamais été autant utilisées pour le bien de l’humanité.

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