Traite des Africains en Libye : en 2017, l’islam retrouve ses fondamentaux
Depuis le VIIème siècle, peu après la mort du prophète Mahomet et jusqu’à nos jours, l’islam n’a jamais cessé de soumettre (islam = soumission) des peuples entiers. En Afrique, ce furent les populations noires principalement. Ainsi, ce fut une longue et douloureuse traite négrière qui saigna l’Afrique noire jusqu’à la fin du XIXème siècle.
Mais, allez dire cela autour de vous et vous allez vous faire (très) mal voir ! L’islam, vous répondra-t-on, est une religion de paix et de concorde…
Pourtant… En Libye aujourd’hui, au XXIème siècle, on assiste à nouveau à une traite massive des noirs africains… Retour aux fondamentaux du Coran !
Le Coran, texte sacré de l’islam, entérine l’existence de l’esclavage, notamment dans la sourate XVI (Les abeilles) et le premier muezzin désigné par le Prophète pour l’appel à la prière est un esclave noir. Il s’appelait Bilal et était originaire d’Éthiopie. Et comme les haut-parleurs n’existaient pas à l’époque, on comprend bien que l’organe du pauvre bonhomme fut vite détérioré à force de rameuter les disciples alentour. Mais c’était du matériel – humain – ! Qui s’en souciait ?
C’est la loi islamique ou charia, s’appuyant sur le Coran depuis sa création et qui, notamment par les haddith-s, autorise la réduction en esclavage de quiconque provient d’un pays non musulman.
On assiste en cette période de conquêtes musulmanes à la création d’une économie basée sur une main d’œuvre issue en grande partie de l’esclavage. Alors qu’en Occident l’esclavage se voyait freiné par une résistance de plus en plus forte, il connaissait en Afrique une croissance importante avec le trafic des esclaves noirs, notamment du fait des grandes smalas musulmanes qui profitaient de leurs conquêtes pour augmenter leurs cheptels.
On avance, dans les milieux avertis, le nombre faramineux d’environ vingt millions d’individus africains victimes de la traite musulmane au cours du dernier millénaire, entre le VIIème et le XXème siècle.
« Suivant d’abord les routes transsahariennes, des caravanes vendent, à Tombouctou par exemple, des chevaux, du sel et des produits manufacturés. Elles en repartent l’année suivante avec de l’or, de l’ivoire, de l’ébène et, donc, des esclaves pour gagner le Maroc, l’Algérie, l’Égypte et, au-delà, le Moyen-Orient. Au XIXème siècle se développe aussi la traite maritime entre le port de Zanzibar (aujourd’hui en Tanzanie) et les côtes de la mer Rouge et du Golfe persique. » (Source Hérodote – Alban Dignat)
Pour souligner l’extrême violence de cette traite massive des Noirs par les musulmans, il faut également évoquer la castration des hommes – jeunes et moins jeunes – qui entraîna une mortalité tellement importante que l’on la qualifierait aujourd’hui de génocide. Il semblait bien y avoir là une intention qui n’était plus seulement économique – s’agissant d’une main d’œuvre gratuite – mais bien également d’une véritable éradication d’une partie de la population africaine. Le sort des femmes n’était pas plus enviable. Celles qui, blanches et originaires du Caucase, d’une très grande beauté, avaient la “chance” d’être adulées pour remplir les harems. Je vous laisse imaginer le sort des autres, Noires africaines, qui étaient razziées avec leurs maris et leurs enfants.
Le mépris des musulmans, pour l’avoir constaté dans de nombreuses situations en Afrique du Nord, est une constante. Et cela dans tous les milieux sociaux. Combien de fois, en Tunisie, au Maroc, ai-je vu ou entendu les autochtones s’épancher sur l’infériorité des Noirs africains. Combien de fois ai-je pu constater la violence des propos à leur encontre… Mais déjà, deux siècles avant que ne débute la traite des Noirs par les Occidentaux – qui est, on s’en accorde, un crime de la pire espèce – le philosophe Ibn Khaldoun (1332 Tunis – 1406 Le Caire), au XIVème siècle, bien avant l’esclavage occidental transatlantique, écrivait : « Il est vrai que la plupart des nègres s’habituent facilement à la servitude; Mais cette disposition résulte, comme nous l’avons dit ailleurs, d’une infériorité d’organisation qui les rapproche des animaux. D’autres hommes ont pu consentir à entrer dans un état de servitude, mais cela a été avec l’espoir d’atteindre aux honneurs, aux richesses et à la puissance » (Les Prolégomènes). Pour une fois, les musulmans peuvent se targuer d’avoir inventé quelque chose !
Que l’on ne vienne pas aujourd’hui nous reprocher une certaine aversion pour les musulmans à la lecture de cela. Ils la méritent bien et ce qu’il se passe en Libye aujourd’hui nous montre qu’ils n’ont pas évolué dans le sens de la sagesse des peuples, occidentaux ou asiatiques notamment, mais bien dans celui, fortement rétrograde et désastreux, des barbares de toutes époques.
Deux sujets qui font l’actualité aujourd’hui : la place des femmes dans la société occidentale et l’inadaptation chronique des musulmans dans cette même société. Faut-il voir dans cette double actualité un signe caché ? Celui d’un avenir qui s’annonce plutôt sombre ? Chassez le naturel, il revient au galop. Sur un cheval arabe !
Qui, parmi nos brillants philosophes, politiques, artistes ou journalistes va monter au créneau pour nous parler de cet islam ?
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Un falasha peut être ????
vous devriez citer plus souvent Ibn Khaldoun
Bilol ?????
ça veut dire qu il faut rigoler deux fois ??
Il suffit de lire un très beau livre de Tidiane N’Diaye « le génocide voilé » tout y est écrit noir sur blanc, mais les Africains pour bcp ne savent pas l’origine de l’esclavage c’est toujours les occidentaux qui sont pointés du doigt!!!!!!!!