Dawa : l’ensemencement des graines de la haine
Ce qui suit est extrait d’un long article du 4 novembre 2017 par Judith Bergman publié sur Gate Stone Institute : https://www.gatestoneinstitute.org/11283/islamic-dawa-hate
Ayaan Hirsi Ali, apostat de l’islam, originaire de Somalie (photo par Elisabetta Villa/Getty), domiciliée sous protection aux États-Unis, vient de publier un livre pour expliquer la « Dawa »: « The Challenge of Dawa: Political Islam as Ideology and Movement and How to Counter It » (Le défi de la dawa : l’islam politique en tant qu’idéologie et mouvement et comment le combattre)
Alors que l’Occident est préoccupé par la lutte contre les « discours d’incitation à la haine », « l’islamophobie » et les « groupes suprématistes blancs », il semble plus que disposé à ignorer la culture du discours de haine musulman et les attitudes de suprématie envers les non-musulmans.
C’est une culture qui se produit particulièrement dans le processus de la dawa, la pratique musulmane de la sensibilisation islamique ou du prosélytisme, dont les résultats semblent avoir été montrés dans la récente attaque terroriste à New York. Le terroriste, Sayfullo Saipov, originaire d’Ouzbékistan, n’a été radicalisé qu’après son installation aux États-Unis. La mosquée qu’il fréquentait au New Jersey était surveillée par le NYPD (la police de New York) depuis 2005. Selon un rapport de 2016, les ressortissants ouzbeks « étaient les plus susceptibles de se radicaliser lorsqu’ils travaillaient comme migrants à l’étranger », selon le Ministère des Affaires étrangères des États-Unis.
En surface, la dawa, ou sensibilisation, en personne ou en ligne, paraît comme une activité missionnaire bénigne sur la conversion de non-musulmans. Légale dans les sociétés occidentales, elle permet de procéder sans être dérangée par les médias ou le gouvernement. La dawa attire généralement peu d’attention, sauf quand les membres d’une organisation de sensibilisation apparaissent soudainement dans les manchettes des journaux en tant que djihadistes à part entière.
Les politiciens et médias occidentaux semblent préférer considérer l’islam uniquement comme une religion et non comme un système politique qui, selon les critiques, cherche à imposer ses propres lois et règlements, à savoir la charia, sur le monde, alors qu’en fait, la dernière chose qu’une société désire sont des groupes qui masquent leur activité politique dans des pratiques religieuses protégées selon le principe de la liberté de religion.
Traduit pour Résistance républicaine par Jack
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il faut diffuser le plus possible cette notion : l’islam n’est pas une « religion » au sens que nous donnons au mot « religion » il s’agit d’une idéologie qui ne doit pas avoir de « liberté de culte »