La réforme de l’université n’a qu’un point positif, c’est la fin du tirage au sort pour les affectations dans les Universités les plus demandées.
Mais le tirage au sort est remplacé par une usine à gaz
Un nouvel outil d’orientation va voir le jour en janvier 2018. Son nom n’est pas encore connu mais une chose est sûre : c’est la fin de l’algorithme APB, qui reposait sur l’ordre des vœux de chaque bachelier et sur le critère de son lieu d’habitation. Désormais, le lycéen devra faire moins de dix vœux de formations – contre 24 possibles actuellement – et il ne les classera plus. Chacune de ses candidatures sera examinée par les équipes pédagogiques des filières d’enseignement supérieur demandées. Il devra ensuite choisir la formation qu’il souhaite rejoindre, parmi les réponses favorables.
Z’ont que ça à faire, en fac, se transformer en équipe d’admission comme c’est le cas pour les classes préparatoires en lycée… sauf que ce n’est pas, pas du tout, le même nombre de dossiers et d’étudiants.
Quant à la gestion… ça va être carabiné. L’étudiant demande 10 formations et il choisir où il veut aller parmi les réponses favorables… Comment les Universités vont-elles gérer leur nombre de places disponibles ? Si elles disent oui à 250 dossiers pour 150 places et que les 250 veulent aller dans cette dite université ?
Je dis ça, je dis rien. Mais je n’ai pas fait l’ENA, c’est sans doute pour cela que je ne comprends rien et que je ne saurais pas faire.
Pour le reste, aussi zéro pointé. Ce n’est pas avec ça qu’on va former nos futures élites...
Un seul mot, un maître mot : « aider » les futurs étudiants et les étudiants.
Si, de 16 à 20 ans, vous n’êtes pas fichu de trouver votre voie malgré les nombreux et coûteux salons réservés aux lycéens, les nombreux Conseillers d’orientation, l’accès libre à Internet et donc au monde entier, il y a du souci.
Quand on ne sait pas quelles études choisir, c’est qu’on n’a pas trouvé sa voie ou qu’on ne l’a pas cherchée. Inutile donc d’user ses fonds de pantalon sur les bancs universitaires pendant des années, il vaut mieux se lancer dans la vie active, faire des petits boulots, passer par l’intérim, pour mieux savoir et mieux comprendre ce que l’on est, ce que l’on veut, ce que l’on peut… Et ensuite suivre une formation par alternance, par exemple.
Parce que l’Université coûte très cher au contribuable, pour un taux d’échec ahurissant.
60 pour cent des étudiants quittent la fac sans diplôme.
Or, ce que propose Blanquer, c’est un cautère sur une jambe de bois.
La proposition la plus ridicule ? 2 professeurs principaux en Terminale… 2 ! Du délire. A 18 ans. Les deux vont se marcher sur les pieds, non ? J’imagine la parade qui a sans doute été trouvée, ajouter des heures de réunionnite, de concertation… aux deux professeurs qui, comme chacun sait, n’ont que ça à faire en Terminale. Quoique… vu le niveau du Bac, vu les consignes données au correcteur, même plus besoin de bosser pour l’avoir, ce fichu sésame pour entrer en université. Alors on peut bien utiliser les précieuses heures d’enseignement à faire de l’orientation… En Terminale !
On rappellera au passage que figure dans le programme de Macron la disparition des épreuves de bac, remplacées par le contrôle continu…
La proposition la plus stupide et qui va coûter cher au contribuable ? Des parcours personnalisés dans l’enseignement supérieur selon le profil du bachelier
On va payer des gens pour prendre par la main de grands dadais, des glandeurs de 20 ans, pour leur offrir un « parcours personnalisé « .
Le dossier du lycéen candidat est si mauvais qu’aucune fac ne veut de lui ( mais il aura quand même son bac, cherchez l’erreur ) ? Pas de souci. La fac devra lui proposer son aide et une formation adaptée, voire même une année de préparation à la filière choisie. Et oui, chez Blanquer on ne redouble pas une année déjà faite, on ajoute des années préparatoires pour faire deux années pour une.
Mieux encore, on va augmenter sensiblement les filières qui accueillent ceux qui ne veulent rien faire, à part du militantisme politique à la mords-moi-le-noeud, réservées en priorités aux gauchos, comme psycho…
Bref, pas d’inquiétude, on casera toujours les glandus et les tordus.
« Dans le second cas, elle lui proposera un parcours personnalisé, en fonction de la nature de son bac (général, professionnel ou technologique), de sa motivation, de son projet. Même ses activités extrascolaires pourront appuyer sa demande. Si l’université considère que le candidat ne répond pas aux attendus pour accéder à telle ou telle formation, le lycéen pourra, par exemple, rejoindre une année préparatoire intégrée dans la filière choisie. Dans les filières dites « en tension » (Staps, psychologie…), le nombre de places sera en outre augmentée dès la prochaine rentrée. »
La proposition la plus démago ?
Le zozo est partout en liste d’attente, il n’a pas d’idée, pas de formation ? Des hommes éminents vont se réunir, prendre en compte ses aptitudes, ses résultats, voire ses activités de macramé pour lui proposer, obligatoirement, une formation
Pour un bachelier qui resterait en liste d’attente à l’entrée des licences demandées à l’issue de la procédure d’admission, une commission sous la présidence des recteurs avec des enseignants du secondaire et du supérieur sera réunie. A partir des résultats du bac et en fonction de son projet d’études, elle devra lui faire une proposition de formation.
Bien entendu on comprend que le but est double :
1, faire baisser les chiffres du chômage en obligeant les gens de 18 à 25 ans à être dans la case « formation » et non « sans emploi ».
2 Continuer de décourager les Français d’apprendre un métier manuel. Ben oui il faut bien laisser du boulot aux immigrés qui arrivent en masse.
Elémentaire, mon cher Macro-con.
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Mon ainé passera le bac l’année prochaine. Il paraît que si il trouve la salle et sa place il aura d’office la moyenne. A mon époque c’était un peu plus dur.
Oui vous résumez à peu près bien la situation et vous qui avez probablement passé un bac qui avait une véritable valeur ça doit vous désoler comme beaucoup d’entre nous
@ Amélie Poulain.
Oui ça a changé la démagogie n’a aucune limite , j’ai vu de mes yeux vu des notes remontées malgré la réticence du correcteur si bien qu’aujourd’hui certains d’entre eux rendent des copies corrigées mais non notées vu que l’on outrepasse leur autorité.
Pour ce qui est du numérus clausus j’aurais du présenter ça comme une possibilité supplémentaire après bac dans les cas où malgré un bac qui soit un véritable bac des filières se retrouveraient avec trop de candidats, j’ai connu ça dans des universités ou un numérus clausus officieux existait. Mais je vous rejoins sur ce point car il est vrai que si on avait un bac suffisamment sélectif il y a de fortes chances pour que ça suffise a résoudre le problème. Cependant, rien n’est parfait et quand il y a plus de candidats que de places disponibles pour dispenser un enseignement correct il faut bien faire quelque chose. Ceux qui se sont plantés à ce moment là recommencent l’année suivante et s’ils sont au niveau ça passe.et se retrouvent dans la formation qui convient et qui permet de s’épanouir.comme vous dites.
@Charles Martel 02
Oui incroyable que cela ait changé à ce point, aucun respect même envers les professeurs comme vous dites. Ils essaient en fait de colmater mais cela ne suffira pas. Le problème demeure tant que le fond n’est pas traité.
Sinon, oui bien sûr, pour le numérus clausus, l’étudiant qui aurait raté le concours peut le repasser l’année suivante (quoique…. on se demande parfois comment est faite la sélection même là, il y a eu des questionnements au niveau de la Médecine dans certaines facs du moins, je le sais). Cependant, tous les étudiants n’ont pas les moyens financiers d’attendre l’année suivante et cela retarde l’entrée dans la vie active.
C’est un autre contexte de « fuite des cerveaux » finalement….. J’ai vu plein de jeunes qui renonçaient à passer leur thèse faute d’argent ou faute de reconnaissance française des diplômes de haut niveau, et d’autres, doctorants, partir aux Etats-Unis ou occuper des postes qui n’ont rien à voir avec leur niveau car très inférieur.
Et, à coté de cela, il est extrêmement difficile de trouver de bons professionnels manuels, qui aiment leur métier (sauf les anciens). Et que l’on ne vienne pas me dire que c’est à cause des salaires car cela n’est absolument pas vérifié actuellement (j’ai beaucoup d’exemples autour de moi, ce serai trop long d’en parler).
@ Amélie Poulain: Oui tous les étudiants n’ont pas les moyens mais comme je vous l’ai dit rien n’est parfait. Après, un numérus clausus ça doit évoluer en fonction des besoins et c’est à l’état et aux présidents d’université de mettre les moyens financiers nécessaires à la formation. Pour la médecine on est en pleine hérésie, il manque des médecins mais on ne module pas les numerus clausus en fonction des besoins car augmenter le nombre de place veut dire plus d’argent pour la formation et malheureusement on préfère mettre l’argent à nourrir et prendre soin des parasites qui nous envahissent et aller chercher des médecins de chèvres en Turquie, ou dans des pays africains, médecins dont la formation est plus que douteuse..
Personnellement j’entends les bons étudiants dire qu’une fois leur doctorat en poche ils envisagent de partir à l’étranger car en France ils ne voient aucun avenir pour eux, et je ne peux les contredire car la France est désormais devenu un pays en voie de sous développement
@Charles Martel 02
« Personnellement j’entends les bons étudiants dire qu’une fois leur doctorat en poche ils envisagent de partir à l’étranger car en France ils ne voient aucun avenir pour eux, et je ne peux les contredire car la France est désormais devenu un pays en voie de sous développement »
Oui vous avez raison, j’a plein d’exemples même dans mon entourage.
Excellente analyse Mme Tasin. La Fac est devenu un dépotoir ou des hordes de glandus à qui on a carrément donné le bac et fait croire qu’ils étaient très forts vont s’inscrire pour avoir une carte d’étudiant et tous les avantages que ça apporte. Pour ce qui est de bosser, je suis très bien placé pour dire que la proportion d’étudiants sérieux qui bossent et veulent réussir est de l’ordre de 15 à 20%; les autres passent leur temps à sécher ou à dormir en cours, hé oui que voulez vous ils sont fatigués ces pauvres chéris après leurs activités nocturnes. Je vois constamment des collègues enseignants se désespérer de constater que malgré les innombrables reprises et répétitions en cours TD etc les cours ne sont pas sus et que lors des contrôles les notes ne dépassent pas les 4/20 sauf pour les quelques uns qui bossent. Mais peu importe, le jour de l’examen final même si les résultats sont mauvais et que les notes sont catastrophiques, les instances dirigeantes interviennent et remontent les notes de manière autoritaire sans aucun respect pour les correcteurs qui ont passé des heures a essayer de corriger des copies nulles et, résultat des courses : les petits chéris ont quasiment tous leur diplôme et sont convaincus qu’ils sont vraiment géniaux.Le message qu’on leur envoie, c’est que le travail et l’effort ne sont pas nécessaires et qu’on peut obtenir ce qu’on veut tout en glandant voila les principes que l’on inculque à nos jeunes tout en engloutissant l’argent du contribuables dans un puits sans fond.
La solution serait simple, pas besoin de cette nouvelle usine à gaz : tout d’abord un examen du bac qui soit un véritable examen sérieux et concours d’entrée avec numérus clausus à l’entrée des universités. Et ceux qui ne sont pas à la hauteur auraient tout loisir d’aller faire une formation pro qui est tout aussi honorable qu’une formation universitaire. mais vous le devinez, quand je tiens ce genre de propos je me fais très vite traiter de facho…
@Charles Martel 02
« Mais peu importe, le jour de l’examen final même si les résultats sont mauvais et que les notes sont catastrophiques, les instances dirigeantes interviennent et remontent les notes de manière autoritaire sans aucun respect pour les correcteurs qui ont passé des heures a essayer de corriger des copies »
Cela a changé, c’est inquiétant alors car, auparavant, seul le professeur concerné pouvait changer sa note même s’il avait des pressions, Ainsi, personne d’autre n’était en droit de le faire.
« …..concours d’entrée avec numérus clausus à l’entrée des universités »
Je ne suis pas là d’accord, car on peut être intellectuellement capable de poursuivre des études universitaires et, pour x raisons, rater un concours, tout comme des moins bons peuvent le réussir (coup de chance).
D’autre part, pour certaines filières, la sélection en fin de course quand il s’agit de s’inscrire en 3ème cycle, serait plus difficile (nombre insuffisant de candidats) ou alors on en arriverait comme en Médecine où un numérus clausus en première année fait que, quoiqu’il arrive, on va jusqu’au bout des études (j’ai plein d’exemples et témoignages).
Il suffit de rétablir un vrai bac d’enseignement général (celui normalement destiné à l’université) et de nommer les filières manuelles ou technologiques telles qu’elles étaient, avant, tout simplement nommées, et l’on s’y retrouvera au lieu de tout mélanger car, comme vous le dites, une formation professionnelle est tout aussi honorable que des études universitaires.
L’important est d’être dans la formation qui convient et qui permet de s’épanouir.
Les deux maîtres-mots : ÉGALITARISME & IDÉOLOGIE. Par souci d’égalitARISME, tout le monde doit être bachelier puisque l’idéologie prétend que nous sommes tous égaux. Même le dernier des abrutis persuadé qu’il faut 2 » F » à ortograf. Et comme le bac est la clé de la fac, tout le monde doit suivre des études supérieures, même le génie pré cité ! Mais la nature se fiche de tout cela. NOUS NE SOMMES PAS ÉGAUX ! Certains seront d’excellents chirurgiens, d’autres de remarquables jardiniers. Les uns piloteront des Airbus A380 quand d’autres n’arriveront jamais à aller à vélo. Il n’y a pas d’autre solution que la sélection objective. Et celui qui se fixe un but à atteindre ET QUI EN A LES MOYENS INTELLECTUELS, il faut qu’il bosse et qu’on lui en donne les moyens logistiques.
Et ils finiront à Sciences Po et au PS avec un passage par la case UNEF. En clair, ils ne travailleront jamais car ils apprennent tout petits à vivre en parasite de la société. Ce ne sont pas les exemples qui manquent.
À vouloir et prétendre à l’éradication jugée a priori positive de toute sélection, plusieurs générations ont été sciemment sacrifiées par les élites politiques et sociétales afin que perdurent et soient amplifiés les décalages de classes sociales.
En effet,les élites demeureront et continueront à accéder toujours plus aux écoles X ,ena ..
Le peuple en situation d’inculture suite au caractère de plus en plus inopérant du mammouth éducation nationale accepte d’autant plus l’acculturation et la baisse significative à l’issue des diplômes tant bac que diplôme universitaire…
Le peuple possède désormais des diplômes assimilables aux emprunts russes et qui n’ont plus aucune valeur
Il est évident que les clivages sociaux vont s’accentuer..
Si l’Université française avait une valeur quelconque, la France ne serait pas dans l’état où elle se trouve actuellement: 10 M de personnes non employées, un système de santé archi-corrompu, archi-coûteux, et inefficace avec des milliers de morts non-nécessaires à la clé, une absence criminelle de Justice, une économie en stagnation chronique, un débat politique d’un ridicule rare, etc..et comme résultat 16 millions d’abstentionnistes aux élections. On peut conclure à l’inefficacité quasi-totale de l’université pourtant si coûteuse au contribuable. Personnellement, ayant toujours dû étudier dans des langues étrangères, je me demande encore ce que l’université française aurait-pu m’apporter comme valeur?
Il est vrai que selon la Loi du Marquis de Pareto, seulement 20% des étudiants produiront 80% de la Richesse Nationale, comme 20% des médecins soignent 80% de la population, 20% des politiciens feraient fonctionner le pays, 20% des juges et policiers produiraient 80% de la Justice, etc.. Cela veut dire que l’université publique française compte 80% de pseudo-enseignants parfaitement incompétents mais dans des sinécures bien inscrites au Budget Public, et ces 80% d’enseignants incompétents vont produire 80% de médicaillons incapables de soigner la population mais horriblement coûteux à la malheureuse In-Sécurité Sociale, 80% des juges, pauvres minables, qui détruisent la Société Civile, 80% des cadrillons qui détruisent l’économie, 80% des politicaillons qui mènent le pays à l’effondrement et, à leur tour, nommeront dans les universités, par le copinage et favoritisme, des pseudo-enseignants incompétents, etc..Avec une telle boucle, la france a un avenir assuré. Les jeunes qui préfèrent payer le prix en effort d’aller étudier dans les universités américaines classées parmi le premières mondiales l’ont compris. Faire de la propagande pour les universités françaises afin de manipuler les jeunes qui ont une valeur est bien inutile.
Le première mesure de salut public à prendre est tout simplement de tirer la chasse d’eau dans l’Université française. Préférez-vous une université pléthorique sans valeur ou une université petite mais de valeur?
Je rigole…. il y a quelques jours j’ai rencontré une cousine prof dans un lycée, elle se réjouissait déjà de ce que macron allait pondre pour remplacer l’APB, elle pensait que la sélection se ferait au mérite. Je lui ai dit qu’elle se mettait le doigt dans l’oeil, que les étudiants syndiqués veilleraient bien à ce que les glandeurs puissent continuer à prendre les places des bosseurs en toute quiétude et que macron promet tout et son contraire en rien de temps. Elle ne me croyait pas, nous y voilà.
Je vous lis avec gourmandise sur ce sujet, Christine. Vous êtes dans votre élément et parlez d’or. Continuez et oubliez un peu l’Islam…
Et s’il y a que l’enseignement pour faire peser la charge financière à faire payer aux contribuables du pays, je ne vous apprend pas que pour le reste c’est pareille.
Tout est fait pour faire peser et charger les contribuables, c’est pareille en Belgique, comme Nethys et Publifine bon pour le travail et pour le pays, vingt personnes avait été pris mains dans le sac qui touchait 500 euro à la minute, qui font 30.000 euro/heur par personne pendant plusieurs années, mais que les contribuables Belges doivent rembourser par divers taxes, bien sûr.
Des magouilles depuis des années, et personne n’a rien vu, ni l’Union Européenne!, comme par hasard!.
Comme chez vous en France, ils ont souvent les mains dans nos caisses d’états sans aucun référendums en vue et pour des bonnes raisons à chaque fois.
Ils font tout ce qu’ils veulent, ils ruinent tout, ils vont dans nos caisses d’états quand ils le veulent et souvent surfacturés bien plus qu’ils devraient l’être.
Quand le peuple n’a rien à dire sans référendums, c’est ce qui arrive.
Pour se servir, les dictatures ne demandent jamais l’avis du peuple, avec toutes les excuses bidons pour piller le peuple, c’est à çà que nous les reconnaissons les dictatures Fascistes.
Je suis persuadé que du jour au lendemain l’Union Européenne devrait être fermé définitivement, chaque européen retrouverait 1000 fois la mise journellement, si pas plus.
Je dirais même qu’un chômeur devrait avoir 100 milles euro par mois, tellement que nous nous faisons volé par nos escrocs imposteurs aux pouvoirs Fascistes de l’empire.
Il est plus que grand temps d’exiger nos référendums des peuples libres, pour les obliger à nos dirigeants de passer par le consentement du peuple pour tout, avant d’aller dans nos caisses d’états, avec un droit de regard sur tout ce qu’ils font, pour ne plus se faire arnaquer à tout bout de champs depuis des années.
Quand je pense qu’il y avait des résistants pendant la Guerre 39-45 qui avaient à peine 20 ans (voire moins) qui étaient très actifs et produisaient des écrits très élaborés et matures (j’en ai lus)…..
Finalement, j’ai remarqué qu’ il y a, actuellement, des adultes très avancés dans l’âge dit « adulte » qui sont restés des ados, alors….. Notre Société déresponsabilise tellement.
Ceci explique cela…..
Il y a déjà des dictées ….. dans les universités !
– pour les DUT ( diplôme universitaire de technologie )
http://www.univ-valenciennes.fr/FDEG/dictee-commune-pour-358-etudiants-de-dut
– pour les ingénieurs ( » ingénieurs » ? )
http://etudiant.lefigaro.fr/vie-etudiante/news/detail/article/une-dictee-pour-reconcilier-les-ingenieurs-avec-l-orthographe-1588/
et les exemples ne manquent pas ……
Bientôt, pourquoi pas, des » agents spécialisés des facultés » :
» Elle est présente tout au long de la journée, pour faciliter le déroulement de leur programme d’activités. Ses tâches sont très variées : habillage, déshabillage, lavage des mains, accompagnement aux toilettes, aide pendant les repas, coucher à l’heure de la sieste, distribution du goûter… Elle écoute, console, câline, soigne les petits bobos. »
https://www.kelformation.com/fiches-metiers/agent-specialise-des-ecoles-maternelles.php
Pour l’instant, c’est en maternelle, mais
dans 5 ou 6 ans dans les lycées
dans 10 ou 12 ans dans les universités
C’est ce qui nous pend au nez .
esprit d’escalier :
j’aurais dû terminer par :
l’ » Education » » Nationale » :
une fabrique de destruction .
Le problème se situe aussi en amont de l’entrée à l’Université : pour bien maîtriser les « flux » entrant à l’Université, il faut maîtriser les « flux » sortant du lycée. Trop de lycéens ayant le baccalauréat n’ont pas le niveau, et ce n’est pas l’introduction du contrôle continu qui va améliorer les choses. Avec le contrôle continu, pour toute une série de raisons, il y a une tendance à « surnoter ». C’est d’ailleurs ce qui se passe à l’Université : le contrôle continu permet à des étudiants au niveau plus que médiocre de valider quand même leur matière. Enseignant à l’Université, c’est la leçon que je retire de mes observations.
Haaa, un enseignant lecteur de RR, ça fait plaisir !
De toute façon, la sélection est inévitable à un moment où à un autre.
Elle ne s’effectue plus avec le bac mais un peu encore à la licence (seulement 40% des étudiants l’obtiennent au bout de trois ans).
Si ce n’est plus avec la licence, ce sera avec le « Master ».
Et s’il n’y a plus de sélection du tout (le rêve des étudiants d’extrême gauche), et bien, ce sera le patron, l’entreprise ou bien l’usager qui la fera…
Pourquoi les enseignants ne liraient-ils pas RR? Il y en a qui ne sont pas gauchos-mondialistes-immigrationnistes, j’en fais partie. Ils sont certes minoritaires mais ils existent! Puis-je me permettre de vous rappeler au passage que Christine Tasin, présidente de ce site, est professeur agrégé de lettres classiques??!!
Quant à la sélection, elle s’effectue actuellement dès la fin de la première année de fac, avec 66% d’échec dans certaines filières que je connais bien pour y avoir enseigné (par ex. la psychologie). C’est donc une sélection sournoise, qui ne dit pas son nom mais qui est bien réelle et qui coûte très cher aux contribuables.
Etant donné le taux de réussite ridiculement élevé au baccalauréat, qui n’a plus aucune valeur en dehors des mentions B et TB, il serait urgent de faire une sélection à l’entrée de l’université. (oui je sais, cela mettrait tous les étudiants dans la rue, donc on ne le fera pas)
Il serait également urgent de faire une vraie formation professionnelle, comme en Allemagne ou en Suisse, où le taux de chômage est très bas car offre et demande sont adaptées.
Mais ça, ce n’est pas politiquement correct non plus.
@ Pierre
Entièrement d’accord avec vous, puisque j’ai travaillé dans ce milieu et vu et entendu ce qui passe déjà au second degré.
Par honnêteté, je dois souligner que tous les profs ne sont pas d’accord avec ce système,mais ce sont des fonctionnaires et ils fonctionnement, mais, fort heureusement, il en existe certains – encore trop peu, hélas ! – qui encouragent leurs élèves à penser par eux-mêmes…
@Frontalier, vous avez parfaitement raison.
D’ailleurs en « psycho » on rentre au départ, certes, mais il y a une sélection drastique en 3ème cycle (dossiers et peu d’élus dans des filières très cadrées, 3O étudiants en général, pas plus) car le titre de Psychologue est protégé et structuré par la Loi et il y a des obligations de diplômes spécifiques.
D’accord avec Pierre aussi (j’ai aussi enseigné en Université).
Ce que l’on oublie en fait, on a tellement dénaturé les sens de la Fac (et là je rejoins Christine) qu’il faut normalement un QI (quotient intellectuel) de 120 (la moyenne étant 100) pour pouvoir poursuivre des études de Fac (je parle des formations fondamentales, pas des formations « adaptées » à ceux qui n’ont pas le niveau).
Sinon, tout fait d’accord avec votre article Christine, c’est n’importe quoi.
pour les glandeurs, les bons à rien et ceux qui ne savent pas quelle filière choisir, il faut rétablir le service militaire et les foutre à la corvée de chiottes!
je rappelle que de nombreux métiers manuels ne sont pas pourvus chaque année et ce ne sont pas les cpf et les envahisseurs qui iront vers ces métiers manuels!