Autriche : pour être élu, Kurz aurait fait un virage à 180 degrés sur l'immigration

http://resistancerepublicaine.com/2017/10/23/autriche-kurz-chasserait-soros-tu-as-28-jours-pour-partir/

Heureusement que vous avez mis un conditionnel ! Sebastian Kurz n’est pas du tout ce que vous croyez : il est membre du « European council on foreign relations » : http://www.ecfr.eu/council/members#austria dont l’un des membres fondateurs et financier n’est autre que George Soros.

En 2014, alors qu’il était Ministre fédéral de l’Intégration, des Affaires européennes et internationales, Kurz prônait la « Culture de bienvenue aux réfugiés » et l’ »ouverture des frontières ». Mais, pour se faire élire, il a changé de discours et a adopté une partie du programme du FPÖ. Si vous parlez allemand, je vous invite à visionner la vidéo suivante intitulée « L’autre visage de Sebastian Kurz »:


https://www.youtube.com/watch?v=NEtXgFMrqvg

Traduction pour Résistance républicaine par Jean Schoving

L’autre visage de Sebastian Kurz

Une nouvelle assemblée  nationale (Nationalrat) a été élue en Autriche. Le nouveau Parti Populaire Autrichien ÖVP en est sorti comme vainqueur avec 31,5% des voix. Puis suivent le Parti Social-Démocrate d’Autriche SPÖ (Sozialdemokratische Partei Österreichs) avec 26,9% des voix et le Parti Libéral d’Autriche (FPÖ) avec 26%. Outre ces partis, les NEOS et la Liste Pilz (de l’ancien député des Verts, Peter Pilz) ont également réussi à entrer au Parlement.

Ce dernier vendredi Sebastian Kurz, en tant que chef et candidat principal du nouveau Parti Populaire, a été chargé par le Président fédéral autrichien de former un gouvernement. La bataille électorale a été principalement dominée par un sujet : la politique en matière de réfugiés.  C’est ainsi que la Radio et Télévision Suisse SRF a titré sur sa page Internet : « La question des réfugiés a décidé des élections. » Âgé de  31  ans, Sebastian Kurz était le plus jeune de tous les candidats de pointe en lice, et depuis des années, il est la star politique des médias autrichiens. Au cours de la bataille électorale, il  a demandé textuellement : « Nos frontières extérieures sont à protéger, l’immigration illégale est à stopper et il faut proposer plus d’aide sur place. De plus, il faut accueillir et subvenir aux besoins des migrants sur des îles aux frontières extérieures de l’UE. »

Comme la population autrichienne se prononce majoritairement contre l’immigration illégale et contre les frontières ouvertes, ces déclarations ont largement contribué au succès électoral de son parti. Étant donné que Sebastian Kurz soutenait une toute autre politique migratoire au cours des années précédentes, il y a lieu de supposer que ce changement de cap de la part de Kurz avait pour seul objectif de remporter la bataille électorale. À cet égard, voici encore  autres indices : Kurz est membre de la cellule de réflexion élitaire « European Concil of Foreign Relations » cofondée et financée par Georges Soros. Soros agit comme grand stratège global et pilote des flux migratoires vers l’Europe.  En 1979, il a créé les « Open Society Foundations », une association de fondations et d’organismes non gouvernementaux, que Soros utilise pour déstabiliser les pays et diriger l’immigration de masse vers l’Europe.

En novembre 2014 – soit un an avant le début de l’immigration de masse vers l’Europe –  Sebastian Kurz déclarait en sa qualité de ministre autrichien pour l’Immigration et les Affaires étrangères : « L’Autriche a trop peu de culture de bienvenue, ce qui fait que beaucoup d’immigrants ne se sentent pas encore chez eux. » Principalement au cours de l’année 2015, il a soutenu toutes les démarches du gouvernement autrichien dans sa politique des frontières ouvertes. Le contenu d’un papier stratégique que Sebastian Kurz et son équipe ont rédigé en 2016 montre qu’il s’agit dans le cas de son subit changement d’opinion plutôt d’une tactique calculatrice. Il est indiqué dans ce papier que dans l’optique d’une issue victorieuse lors des élections au Parlement national, il fallait absolument reprendre jusqu’à cette date les thèmes du parti en tête dans tous les sondages, le FPÖ. Ceci comprenait par conséquent l’exigence d’une politique sévère en matière d’immigration. Cette stratégie s’est révélée payante.

C’est surtout la demande de Sebastian Kurz de reprendre le modèle dit « modèle australien », lequel signifie d’intercepter les migrants dès la Méditerranée et de les héberger sur des îles près des frontières extérieures de l’UE, qui a rencontré un franc succès dans la population autrichienne. Son soutien de la fermeture de la route des Balkans  et de la protection aux frontières extérieures de l’UE l’a rendu de plus en plus populaire. Mais Kurz n’a pas présenté de telles exigences pour arrêter ou bien ralentir l’afflux de réfugiés. Non, à présent, il demande simplement l’immigration par une autre voie. Quant à ce que sera cette voie, Kurz l’explique ainsi : « Si nous amenons des personnes en Europe, nous devrions aller les chercher directement dans les régions en crise à l’aide de « Resettlement Programmen » (en français : « programmes de transplantation »). Sebastian Kurz souhaite donc encourager la migration simplement par un autre chemin, par exemple le transport aérien. Dans ce contexte, Kurz a expliqué : « En Autriche, l’arrivée de 10 000 à 15 000 personnes est supportable par an. » En dix ans, cela ferait déjà près de cent mille réfugiés supplémentaires – indépendamment de leurs descendants et du regroupement familial des arrivants. Avec cette politique d’immigration, Kurz est en symbiose avec les demandes de Georges Soros, que celui-là a adressées aux États membres de l’Union européenne en 2016 : « L’UE doit  regagner le contrôle sur ses frontières. Peu de choses effraient autant l’opinion publique que des scènes de chaos. […] L’UE doit aller récupérer un nombre conséquent de réfugiés directement dans les pays en première ligne, à savoir de manière sûre et ordonnées. Cela serait plus acceptable pour l’opinion publique. »

Conclusion : les annonces de Sebastian Kurz en direction d’un endiguement du flot de réfugiés et de l’immigration massive sont à mettre en question aussi longtemps que des démarches et des actions claires ne seront pas mises en œuvre. Il faut par conséquent observer ses actions et son comportement avec plus de précision et les mettre en lumière de manière détaillée contrairement au silence des médias bien-pensants.

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21 Commentaires

  1. si ,j en crois l’article , donc encore un faux cul……………
    j’avoue être déçu , malheureusement une fois de plus.

  2. Mais qu’est-ce qu’il leur passe par la tête à vouloir coute que coute organiser cette invasion ????

  3. Kurz, c’est le nom du personnage principal de  » Au coeur des ténèbres » de Conrad, version ciné :  » Apocalypse now »

  4. Il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis.
    Une fois les millions reçus de Soros, il aura montré son vrai visage anti-sharia?
    On verra bien ce qu’il fera concrètement maintenant.

  5. Finalement, c’est la même méthode que sarko …
    maqueron par contre avait annoncé la couleur …
    On est mal parti pour régler ce problème par les voies démocratiques …

  6. « Nos frontières extérieures sont à protéger, l’immigration illégale est à stopper et … »
    ce genre de discours me fait toujours sourire
    l’immigration illégale
    mais toute immigration est devenue illégale dans le contextes actuelles et toute immigration est à stopper
    il n’y a plus à spéculer sur d’éventuelles quotas
    et toute personne qui est pour les migrant est un criminel

    • exactement ! toute immigration est illégale, on ne peut plus rien absorber, on est déjà submergé,
      celui qui veut stopper l’immigration « illégale » , est celui qui va organiser une immigration « légale », et là, c’est encore pire, c’est la politique du vieux saurien,Sauron, le maître du Mal

  7. kurtz est un manipulateur , il ne jettera certainement pas la fondation de soros hors de l’Autriche ,ce gugus est cul et chemise avec le vieux débris sénile de soros .Encore un salopard qui à manipulé le peuple autrichien .

  8. Démocratie , démocratie , où es-tu , où te caches-tu ?
    Dans la première moitié des années ’60 , je me souviens vaguement , qu’assez souvent des ministres donnaient des justifications quant à leurs actions et à leurs futures actions . Je n’y comprenais évidemment rien , je n’avais que 6 ans .
    Tout à bien changé , certainement depuis le début des années ’70 ; PLUS QU’ AVANT , les politiciens ne cherchent qu’à être élus pour prendre le pouvoir et ainsi profiter le plus possible des culs et des écus .
    Qu’elle est loin La Grande Politique prônée par Nietzsche !

    • Ces ministres belges qui se justifiaient , c’était donc sur l’unique chaîne de télévision , la RTB ( Radio Télévision belge ) .

  9. Je vois de plus en plus qu’on peut rien espérer de cette pseudo- démocratie, les grandes révolutions de l’histoire non pas passé par le vote , en plus une partie de notre population est lâche et veille que par leurs propres problèmes du quotidien et juste faire partie du système de consommation et c’est tout , la seule chose qui peut mobiliser hélas c’est un drame qui peut toucher tout prés ou la vrai misère .

  10. Très déçue aussi. Son intention de rallier le groupe de Visegrad est-elle aussi un leurre pour les infiltrer et parvenir à les faire accepter les « migrants » ?
    Reste à voir si l’extrême-droite autrichienne le laissera jouer sa partition.

  11. Pourriture je suis dégouté,chaque jour on nous trahi
    Je comprend maintenant le silence des médias sur cette élection
    C est vraiment un petit bâtard

    • yes ! bastard !
      encore un élu au double visage ! il me rappelle qqun que nous avons bien connu,
      ces jeunes requins aux dents longues, qui trahiraient père et mère, pour grimper au haut du podium

  12. Es war zu schön, um wahr zu sein / C’était trop beau pour être vrai

  13. Reste à espérer que H-C Strache aurait un poste digne de ce nom et saura corriger les déviances

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