Vous êtes certainement une femme très courageuse, Anne Nivat, votre parcours journalistique de « reporter de guerre » m’en apporte la preuve et même aussi le fait d’être la femme de Jean-Jacques Bourdin et d’avoir eu un fils avec lui.
Durant les dix années au cours desquelles vous avez « arpenté » les pays en guerre, logeant chez l’habitant, vêtue comme une femme locale, en totale immersion, vous avez donné la parole à l’autre, au djihadiste, au combattant de l’islam, au Taliban, à croire que dans tous ces pays traversés il n’y avait qu’eux à consulter !
Le livre que vous auriez dû écrire c’est « Dans quel monde on vit » et non pas « dans quelle France ».
À la lecture de votre cheminement à travers les mondes en guerre et les journaux avec lesquelles vous collaborez (Herald tribune, Washington Post, New-York Times, Libération…) il est vrai que vous n’avez pas eu souvent l’occasion de vous pencher sur les Français et c’est ce que vous avez tenté de faire dans votre récent ouvrage : donner la parole aux « Français oubliés », « qu’on ne va jamais rencontrer », « que l’on accuse de mal voter », ces Français « que l’on entend si peu, voire jamais ».
Et pour votre enquête en immersion, auprès de ces Français où les réflexions sonnent vrai, c’est-à-dire dans six villes choisies parce qu’elles étaient vierges de « toute couverture médiatique et journalistique » (Eh oui ! Il paraît qu’elles existent en France, ces villes ! Anne Nivat en a découvert six. Et moi qui pensais que cela n’existait pas, même à In Salah ou Tamanrasset, dans le fin fond du désert saharien).
Donc dans ces six villes : Évreux, Laon, Laval, Montluçon, Lons-le-Saunier, Ajaccio, totalement coupées de la civilisation, entre juin 2015 et juin 2016, vous avez déniché des familles pour vous loger, chaque fois trois semaines, qui vous ont ouvert leurs portes, quelquefois grâce à Jean-Jacques, et fermé d’autres portes, à cause de Jean-Jacques (fort heureusement), et vous en avez tiré quelques conclusions, par exemple « le racisme qui refuse de dire son nom » ou encore « Quand on regarde l’autre, on a peur ».
Nul doute que, pour vous, « Ne pas vouloir accueillir toute la misère du monde », comme disait Rocard, ou refuser que des centaines de milliers de « migrants » (pas de demandeurs d’asile) envahissent la France et l’Europe, et parmi eux des djihadistes, des combattants de l’islam, des talibans, chez lesquels vous vous êtes « immergés », c’est être raciste et ne pas l’avouer !
Oui, Anne Nivat, en France, quelquefois « quand on regarde l’autre » on a peur, et l’on peut avoir peur, tout dépend de qui l’on regarde : si c’est « l’extrême gauche » qui brûle les policiers dans leurs voitures, les « casseurs » qui détruisent tout, les « dealers » qui occupent les porches de nos immeubles et, surtout, quand on regarde celui qui, sans qu’on le sache, vous enfoncera un couteau dans le ventre, ou fera exploser une bonbonne de gaz.
Oui, ces Français que vous n’avez pas rencontrés ont peur quand ils regardent l’autre.
Ces Français qui, selon vous, ne se sont jamais racontés, qui ne comptent pour rien, ces femmes seules, généreuses, ces voix inaudibles, ces invisibles, celles qui « vous charment et vous émeuvent »,peuvent, enfin, se faire entendre grâce à vous, Anne Nivat.
Nous vous avons entendu, jeudi soir à l’émission politique faire judicieusement la promotion de votre livre, expliquer ces familles que vous avez croisées dans le quartier de la Madeleine, à Paris, des Arabes (ce n’est pas une surprise) et même une famille « Tchétchène » (celle-là il fallait la découvrir), qui vivent parfaitement « leur identité propre », donc pas celle de la France, ni de ses valeurs républicaines et laïques.
Nous vous avons également entendu affirmer : « Les femmes ont, aujourd’hui, le droit de dire non ! ». Allons, Anne Nivat, les femmes ont toujours eu le droit de dire non et nombreuses l’ont payé de leur vie. D’autres femmes diront non demain et le paieront encore de leur vie, justement dans les pays que vous avez parcouru, les pays arabo-musulmans.
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certain sont des traitres nés,c’est dans leur nature comme les serpents ont leur nature.Ils sont froids et calculateurs,mais pafois,ils tombent sur un os,plus dùr que leurs dents.Si on lit,ce livre »REMY,MEMOIR D’UN AGENT SECRET DE LA FRANCE LIBRE » On voit,tout le chemin,infernal, parcouru vers la liberté,les souffrances indicibles,les sacrifices,les familles brisées,aucun mot ne pourra jamais retranscrire ce qu’ils ont vécu dans les camps(ceux qui sont revenus),loin des regards du monde (civilisé).Donc tout ça,foutu en l’air par une bande de trous du cul tannés ,avide, individualistes, égoïstes,hypocrytes et se croyants superieur à tout et à tous,sans conscience aucune,sans aucun scrupule,ils ne sont rien d’autre qu’une ligne de compte en banque.Que du vide,le néant,l’obscurité totale.
Âne NIVAT, les femmes ont le pouvoir de dire NON. Tout dépend à qui elles le disent. Comme Katia BENGANA, assassinée par vos amis à 17 ans parce qu’elle avait dit non au voile musulman. Combien d’autres comme elle n’avez-vous pas rencontrées et qui sont mortes aussi pour avoir dit non. Affligeant !
Entre Bourre-Dingues et Bourre-Mou nous v’là ben informés ….
Un couple parfait représentant de la chienlit médiatico-gauchiasse, là pour servir la soupe à un pouvoir déliquescent et fossoyeur de l’identité Française
Les Bourdin-Nivat sont les profiteurs d’un système qu’ils dénoncent : bref des pas grand-chose hypocrites
Je voudrais ajouter que s’il y avait une Reconquista cette stupide devrait être dans la liste des traîtres , et la seule solution ce serait comme dans l’époque de la résistance des années 40 en France contre les collabos.
Il y aura
Journaliste de l’oligarchie mondialiste qui veulent nous imposer l’immigration musulmane avec le soutien des dollars de Soros
Etre maquée à un beauf de type Bourdin n’est pas une preuve d’intelligence:ce type est infect et sa pouffe ne doit guère valoir mieux;quant à se baguenauder dans des pays en guerre,ça les excite et si ils ou elles en reviennent,c’est la gloriole assurée.Pauvres caves.
très bon article, bien » analysé » ,
» nous sommes tous pigeons, tous les peuples …c’est très gros ! bien bien .
elle a du culot cette dame : les femmes ont le droit, aujourdh’ui de dire NON !
elle vit où ? dans sa bulle dorée , car oui une femme peut toujours dit NON , je n’ai pas eu l’impression que ces femmes en Allemagne aies eu le temps ni le LOISIR de dire NON, quand elles ont été violées, et en France quand une femme veut pouvoir gagner sa vie et celle de ses enfants il n’y a pas grand chose qui arrête certain de leur « supérieur « .. Mais enfin !! oui avant,il y a peu des hommes ne violaient pas « en réunion » comme à Cologne et ailleurs, le harcèlement dans les rues de Paris , MAIS AUJOURD’HUI ! il y a eu récemment,aussi un procès d’une jeune de 13 ans qui « aurait » été consentante !!! on va où ?
Alors cette dame qui a le temps d’écrire de façon tendancieuse, car ne travaille pas à l’usine, ( on ne va pas lui reprocher, mais je me méfie de…) devrait ouvrir les yeux sur la régression des droits des femmes, pas seulement au moment où une affaire d’un producteur de film fait parler de lui.., dans cette « fausse démocratie » dans cette « fausse liberté » , dans le Droit inexistant, dans cette « fausse justice » !
Certaines ont payé de leur vie, aujourd’hui nombreuses sont celles qui sont détruite dans leur tête !
Oh! les belles apparences de respectabilités, c’est saint Thomas et sainte tomates, le gourdins de la France, eu! Bourdin, pas boudins! de la France, désolé.
Et les français votent tellement mal que nous avons des escrocs imposteurs aux pouvoirs maintenant.
Et cette championne du journalisme, Anne ni va nul part sans jamais son manuel du parfait petit politiquement correct vert rigolos, ne rencontre jamais des pauvres en France!, dix millions de pauvre en France devraient déjà être vu depuis longtemps, eux non, ta vu toi, non!.
Ils voient la pauvreté dans le monde entier!, mais pas chez nous en Europe et dans le monde dentier sans dents!.
L’escroquerie habituel quoi!, les escrocs cachent leurs coups fourrés, c’est bien connu, la vérité, surtout pas avec ces escrocs imposteurs aux apparences trompeuses de respectabilités préfabriqués pour la cause, les bouffons du système.
Pour les musulmans et tous les extra Européens, çà leurs coûtent très cher leurs cartes d’identités chez nous, le racisme, l’islamophobie, la xénophobie, la haine de l’autre et la peur trompes l’oeil, avec toutes leurs matières premières qui leurs sont volés, c’est énorme d’être les plus grands pigeons de la planète!.
Mais nous aussi les peuples européens sommes des pigeons/ système, çà nous coûte aussi très cher leurs racisme à deux balles et tout le reste.
Nous sommes tous pigeons, tous les peuples du monde, c’est très gros!.
Collaboration familiale et gros sous ! rien de bien nouveau.
Urgence Boycoot des ces deux margoulin du système.
???
Mme Nivat malgré certaines critiques mal intentionnées! Vous concernant ! Vous êtes une femme de terrain Non pas pour la parade! Vous êtes courageuse! Vous avez le courage de vos mots!! De vos actes Je vous dis un grand bravo !!! Continuez ainsi ! Soutenu par un époux que j’apprécie ! Par son verbe sa simplicité !! Bien sûr pour votre couple très complice !! Continuez tous les deux ! Bien sûr ! Toute vérité n’est pas pas bonne à dire , et vous persistez ! Je sais que vous ne baisserait ps les bras ! Et c’est bien
Bonjour,
Anne Nivat, c’est l’incarnation du politiquement correct : il fallait voir comment Zemmour l’a superbement écrabouillée, il y a quelques mois.
Elle a eu un fils avec lui ? Elle a commis une bourde, hein !
les porches 🙂
Paragraphe 8 de l’article :_ coquille : les porches, et non les proches
Merci, corrige !
Je ne supporte pas Bourdin ni sa femme pro-islamiste à en vomir. Elle a été « grand reporter de guerre » mais toujours pro-islamiste.
A-t-elle été en Syrie et dans tous les pays où les Chrétiens sont tirés comme de lapins ?
Qu’elle arrête d’écrire des insanités et ouvre les yeux sur nôtre vrai vie, celle que des milliers de français qui ont dit oui à la France (quel qu’ils soient) vivent aujourd’hui (et depuis pas mal d’années) avec les envahisseurs.