Ho, Macron, CCIF, Licra, LDH… les enfants des écoles coraniques obligés de mendier, pas de souci ?

C’est aussi ça l’islam.
Les enfants mendiant pour les maîtres des écoles coraniques: Résultats d’une étude menée en Afrique de l’ouest et centrale.
Et ce n’est pas un rapport Tasin, c’est un rapport de l’UNICEF datant de 2012… que vous pouvez télécharger Document_d_information_no_5_-_les_enfants_mendiant_pour_les_maitres_des__ecoles_coraniques   ou lire en ligne ici :http://sro.sussex.ac.uk/43320/1/Document_d_information_no_5_-_les_enfants_mendiant_pour_les_maitres_des__ecoles_coraniques.pdf
Quelques passages intéressants, mais l’ensemble vaut le détour.  Il permet de comprendre le poids de l’islam, sans lequel rien ne se fait, sans lequel il n’y a ni reconnaissance sociale, ni ascenseur social…
Bref, cela devrait faire comprendre à nos bobos ahuris ( les politiques savent, eux, mais ils s’en tapent le coquillart ) ce qu’est l’islam et son caractère totalitaire. Cela devrait leur faire comprendre pourquoi et comment le communautarisme se développe partout où il y a l’islam et pourquoi ce dernier menace de mort notre civilisation, notre héritage et nos libertés.
Il n’est évidemment pas question ici de se préoccuper de l’enfant, de ses intérêts. L’enfant est un moyen d’obtenir pour la famille une réputation, un statut, voire la compensation de son origine d’esclave.

Des rapports avancent que les parents pauvres envoient leurs enfants loin de chez eux, notamment pour étudier dans des daaras, afin de réduire le nombre de bouches à nourrir au sein du foyer[15, 44, 46]. Ceci est une opinion utilitaire mais trop simpliste de la circulation des enfants et des pratiques de placement qui ont des origines lointaines.

Ce point de vue réduit les décisions familiales à des décisions purement économiques sans considérer l’importance pour les enfants et les parents de renforcer les alliances sociales, les perspectives éducatives[24, 34, 38] et, dans certaines communautés, de se dissocier de la stigmatisation associée au fait d’être des descendants d’esclave[28]. L’explication de la pauvreté suppose que les enfants sont des consommateurs et non desproducteurs[34]. Bien que les parents citent souvent la pauvreté comme une raison d’envoyer leurs enfantsdans des écoles coraniques, celle-ci ne peut être utilisée comme facteur explicatif de manière isolée. La décision d’envoyer un ou plusieurs enfants dans une daara est étroitement liée aux normes religieuses et morales, aux convictions pédagogiques et à l’expérience des parents, ainsi qu’à des processus plus générauxde marginalisation et d’exclusion[3]. De plus, tous les talibés n’appartiennent pas au quintile le plus pauvre[17, 26].

Dans le Sahel, où l’histoire de l’Islam est très ancienne, de nombreux parents ont accordé la priorité à l’étude du Coran et le système des daaras est essentiellement basé sur le nombre de personnes pensant à l’éducation[5, 15, 16, 28, 44]. Les motivations des parents pour envoyer un enfant dans une école coranique distante font partie de leurs croyances religieuses. En assurant la reproduction des pratiques religieuses et en sacrifiant les bénéfices associés au fait de garder les enfants à domicile, les parents espèrent être récompensés par Allah[17, 34]. Leur position religieuse vis-à-vis de leur communauté locale de musulmans peut également influencer les choix d’éducation, la position sociale de la famille pouvant s’améliorer si ses enfants étudient avec succès le Coran ou entretiennent de bonnes relations avec un puissant marabout[17, 34]. Enfin, les parents sont motivés par leurs aspirations pour leurs enfants, car ils estiment que les talibés acquièrent des compétences de vie et se rapprochent d’Allah en étudiant le Coran[3]. Ceux qui progressent dans les études islamiques gagneront le respect et accumuleront une richesse symbolique et matérielle en dirigeant les prières, écrivant des envoutements, fabriquant des amulettes protectrices, et en faisant partie de réseaux dynamiques et influents d’érudits musulmans[34, 38].

Ça c’est l’école coranique tout court, mais il s’accompagne pour nombre d’écoles coraniques de l’obligation de mendier…

Les talibés qui mendient dans la rue parcourent à pied de longues distances pour se placer à des carrefours, devant des mosquées, passer devant des restaurants, des marchés, des banques et des arrêts de bus où ils espèrent recevoir l’aumône sous forme de nourriture ou d’espèces[3, 5, 34, 46]. Les talibés peuvent également travailler dans l’économie informelle urbaine ou ramasser du bois de chauffe qu’ils vendent pour le marabout. Les talibés interrogés par Human Rights Watch en 2010 ont indiqué que tandis que certains talibés ne mendiaient que deux heures environ, d’autres mendiaient jusqu’à 10 heures presque tous les jours[22].

Certains marabouts au Sénégal définissent des quotas de mendicité que leurs élèves doivent respecter. Ces quotas incluent du riz, du sucre ou de l’argent[22]. Les sommes que les talibés gagnent par le biais de la mendicité sont relativement faibles et peu de marabouts en tirent d’importants bénéfices, bien que dans certaines des daaras de très grande taille, le nombre même des talibés signifie que certains marabouts gagnent plus que ce qui est nécessaire pour entretenir la daara[15].

Certains marabouts exigent des quotas plus élevés les jeudi et les vendredi afin de tirer parti de la piété des personnes se rendant dans les mosquées, ce qui exige des talibés qu’ils mendient jusqu’à 16 heures ces jours-là[22].

Cela s’appelle de l’exploitation… avec les sévices qui vont avec :

Les talibés peuvent subir des sévices à de nombreux niveaux. Plusieurs études indiquent qu’envoyer des enfants dans des écoles coraniques revient à leur faire subir des sévices en raison

Bénin. 46,2 pour cent des talibés suivaient également une éducation formelle, et parmi eux 68,5 pour cent étaient soutenus par leur marabout, tandis que 24,3 pour cent étaient soutenus par d’autres personnes, 2,8 pour cent voyaient leurs frais de scolarité payés par une ONG et 2,2 pour cent payaient eux-mêmes leurs frais de scolarité[3, p. 16].
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de la mendicité impliquée, du fait que de nombreux talibés sont sales et portent des loques lorsqu’ils mendient dans la rue, et du recours par les marabouts au châtiment corporel[13, 15]. De plus, il est indiqué que de nombreux talibés sont victimes de la traite[cf 17]. De telles généralisations sont inutiles car elles ignorent la diversité des expériences des enfants. Tandis que certains talibés trouvent les conditions de vie dans la daara si déplorables qu’ils rentrent chez eux ou choisissent de vivre dans la rue, d’autres estiment être traités convenablement même s’ils sont punis de temps à autres[17, 22, 40].

L’acceptation par les parents de différentes formes de souffrance doit être comprise dans son contexte local. Premièrement, les parents qui perçoivent la mendicité comme un travail[34] ne se préoccupent pas nécessairement du fait que leurs enfants passent plus de temps à travailler qu’à étudier, en particulier si les enfants gardent une partie de l’argent qu’ils gagnent. En revanche, les parents qui s’opposent à la mendicité des enfants[17] ne choisiront probablement pas une daara dans laquelle la mendicité a cours.

Deuxièmement, la question de l’apparence peut résulter de mauvaises conditions de vie et de la négligence du marabout[22], mais elle peut également constituer un « code vestimentaire » pour les mendiants en général afin d’augmenter leurs chances de recevoir l’aumône.

Il y en a 20 pages comme ça, qui se lisent vite et facilement…

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6 Commentaires

  1. Ont-ils besoin de mendier alors que l’abattage halal rapporte en France 6 milliards aux associations musulmanes ?
    Ah oui, mais c’est prévu dans les écritures divines, vous n’avez pas à venir contrarier l’observance de nos rites religieux….
    T’en foutrais moi d’envoyer des gosses mendier !!!!!!……….
    C’est facho ?

  2. La révolution est un acte de liberté, la rébellion mondiale contre les tyrans du monde pour en être libre.
    La religion comme la démocratie doivent nous rendre tous libre pour développer notre civilisation commune et pas l’inverse.
    Civilisation égale liberté!, pas l’esclavage!, pas de soumission!. ( un chouette slogan )

  3. L’Islam c’est l’école de l’esclavage à l’obéissance à des maîtres et de les supplier, d’accepter le supplice, la soumission complète, un véritable lavage de cerveau.
    C’est de diminuer constamment la condition humaine, sans oublier les maltraitances, d’être frappé, des punitions corporels, voir même tués et la pédophilie couramment pratiqué sur les enfants, pas étonnant de voir des adultes chez les musulmans d’accepter les punitions corporels.
    La peur des enfants doit être constante dans les pays musulmans, la peur doit être couramment utilisé, comme j’ai entendu parler, faire peur aux enfants, la peur de la tombe, de l’égorgement, la peur de l’enfer s’ils n’obéissent pas.
    Ceux qui pratiquent les manipulations mentales comme les MK ultra, pratiquent la peur, pour créer des doubles personnalités, des bons petits robots obéissants loin des regards.
    Toutes les dictatures pratiquent la soumission des peuples, avec les mêmes techniques de la peur ils gouvernent.
    La France comme dans les autres pays européens, ont connu la mendicité provoqué par les dirigeants, souvent de la part des Monarques, la mendicité, les punitions corporels, jeter des enfants à la cave, la pédophilie sont des signes de soumission du peuple par des esclavagistes, en arabe on dit Islam.
    Sur terre il y a ceux qui créent les conditions de pauvreté, qui diminue les défenses du peuple à l’avantage des hautains, un peuple affaiblis a difficilement les moyens de se défendre contre ses bourreaux.
    Et il y a ceux qui les combattent ces escrocs imposteurs, ces Monarques minables et stupides qui se pètent de haut.
    Ce qui avait été le cas pour la France de se débarrasser de ses bourreaux, que seuls les rares pays au monde ont pu instaurer les droits de l’homme et du citoyens, liberté, égalité, fraternité, grâce à une France libéré de ses bourreaux, qu’il aurait été impossible autrement.
    Que la langue française, est la langue des gens libres et qui a pu se développer que en étant libre, la France avait un boum! dans le monde entier avec sa révolution française, un bout de liberté.
    Bravos! les français, beau parcoure de liberté franchi après tant d’épreuves, aujourd’hui c’est au monde entier que doit faire la révolution mondiale pour être libre des bourreaux mondialistes.
    Vous pouvez être fière d’être français, amis résistants de la liberté français, quand je dis français, çà sent la liberté pour moi, quand je dis musulmans, çà sent l’esclavage le contraire de la liberté, la soumission à des esclavagistes.
    Aujourd’hui nous appelons cela de la maltraitance, car nous avons adopté depuis un bon bout de temps de libertés gagnés, les mots qui vont avec et la liberté de les dires les maltraitances subies, comme seuls les pays ont acquis la liberté.
    Pour les musulmans le mot liberté n’existe pas en arabe, il y a bien houria, mais qui veut dire affranchi, le politiquement correct musulmans interdit les plaintes par des excuses bidons du blasphème, insultes à l’Islam, donc peur de se plaindre et obliger de mentir pour s’en sortir, d’être hypocrites avec les siens.
    La langue arabe est la langue des esclavagistes, sans les mots qui parlent de liberté dans le quotidien, point de liberté, pour désigner la liberté, il faut les mots pour le dire.
    En fait les musulmans nous haïssent par peur que nous pourrions faire tomber la foudre la colère d’Allah, tellement qu’ils en ont peur.
    Le Dieu des musulmans est un tyran ou des tyrans, les musulmans ont peur de la liberté, car la liberté c’est désobéir à Allah.
    les musulmans ont peur constamment de tout, peur de fauter, peur que les autres peuvent fauter, peur des voisins qui peuvent les accuser d’avoir fauter, la peur doit être permanente chez eux.
    Dans de tels conditions, l’espèce humaine ne peut pas se développer, aucune ascension est possible, la peur empêche de réussir.
    Seul la liberté le permet, seuls les pays libres peuvent créer et faire des voitures et technologie, développer la science et autres.
    L’humain n’est pas un esclave, mais un créateur comme le créateur, car Dieu ne crée pas des esclaves, des créateurs qui crée à son niveau, pas au niveau de Dieu bien sûr, ils nous manque pour cela le vrai contact divine qui nous sommes privés par les esclavagistes.
    Et donc il y a des esclavagistes qui empêchent les créateurs de se développer grâce à la liberté.
    C’est la liberté qui enrichi, pas l’esclavage.
    C’est en observant l’histoire de chaque pays au monde que vous voyez les signes de soumissions et d’esclavage sous plusieurs formes et différentes bannières, et cela remonte de très très loin, regardez le parcoure de l’histoire humaine et celui de tous les tyrans.
    Nous sommes sur une planète prison avec des barreaux et des chaines mentales invisibles, la liberté commence en nous tous.

  4. Le »maraboutage » est une des voies commerciales les plus répandues de l’Afrique de l’Ouest :exploitation des enfants, assurance de subsides locaux, racket des familles, usage de la « magie » et des « sorts » (assortis de pressions diverses et d’intimidations publiques avec appel au allah.. etc .. etc..)
    Ce maraboutage a cours en France pas seulement dans le 93 mais aussi à Paris, et surtout dans les collectifs de migrants et de ceux installés depuis 20 à 25 ans avec un fond de commerce underground florissant. Tout ça sous le drapeau de l’islam et du système africain largement matrilinéaire des chances pour la France ou l’Europe…Mendier pour les écoles coraniques ou les « frères » est un business aussi répertorié que les appels à cotisation de nos ONG ou associations « sans but lucratif »!!! (déductible des impôts..)

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