Tin-Tin en Afrique, avec Obono, Nour et Laetitia Avia, ça vous dit ?

J’aurais bien une idée pour la Obono : on la colle dans le musée de l’esclavage que vient de décider de construire la mairie de Paris après une demande du Cran de Tin.

« C’est une grande joie, c’est un grand jour », se félicite le CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires) sur son site internet. Le Conseil de la Mairie de Paris a en effet voté, ce mardi 26 septembre, la création prochaine d’un Musée de l’esclavage dans la capitale française, sur proposition du groupe PCF-France Insoumise.

Un projet mûri de longue dâte

Tout est parti d’une affiche du XVIIIe siècle Rue Mouffetard, dont le retrait avait été voté par le Conseil de Paris en raison de son caractère raciste et colonialiste. « Le groupe PC m’a appelé pour savoir ce qu’on voulait faire de cette affiche. Je lui ai répondu que sa place était dans un musée, un Musée de l’esclavage. Or, ce musée n’existe pas. Le groupe communiste a donc décidé de formuler une proposition en ce sens, qui a été retenue », déclare Louis-Georges Tin, le président du CRAN interrogé par 20 Minutes.

Nicolas Bonnet, adjoint PCF au maire du 12e arrondissement est à l’origine de cette proposition. « Dans une période de montée du racisme, il est fondamental de rappeler l’époque de l’esclavage. La lutte contre la xénophobie et la discrimination doit passer par un travail culturel et pédagogique », préconise-t-il.

Louis-Georges Tin est soulagé par cette décision : « Nous réclamons la création de ce musée depuis 2013. En 2016, le président François Hollande s’était déclaré favorable à ce projet, mais il n’y avait pas de majorité au Conseil de Paris. Jusque-là, c’était plutôt la mairie qui bloquait » déplore-t-il. « Cela fait un moment que la ville est favorable à la création d’un site mémoriel », se défend la Mairie de Paris. La décision finale reviendra en revanche au gouvernement : « Nous sommes en attente de la position du gouvernement, plus particulièrement de celle de la ministre des Outre-mer, Annick Girardin », déclare-t-on à la mairie.

lire la suite de l’article ici :

http://www.20minutes.fr/paris/2141371-20170929-paris-vers-ouverture-musee-esclavage-capitale

Et puis, comme le Tin suggère :  » pourquoi pas un musée-bateau ?  »

Reste à savoir où ce musée sera situé. La Mairie de Paris annonce mener des études pour établir la localisation du site. Plusieurs pistes sont d’ores et déjà envisagées, parmi lesquelles l’Hôtel de la Marine, place de la Concorde, qui accueille les locaux de la Fondation pour la mémoire de l’esclavage. « Ce lieu serait très adapté, mais sinon pourquoi pas un musée-bâteau ? Une péniche serait aussi appropriée », propose Louis-Georges Tin.

Avec ce musée, le président du CRAN entend « revisiter l’histoire de France et raviver cette idée républicaine de liberté, d’égalité et de fraternité. Les esclaves incarnent ces valeurs et les ont, par leur libération, rendues universelles ». « Ce musée, ce n’est pas seulement une victoire pour le CRAN, c’est une belle victoire pour la France », se réjouit-il.

OK !
La Obono, la Nour, Laetitia Avia, député qui avait mangé l’oreille d’un chauffeur de taxi, le Tin, et tous ceux ( et celles, pour parler dans la norme ) du même acabit ,
hop, dans le bateau !
Et retour aux sources : en Afrique !
Nous pourrions même faire généreusement don de ce  » musée-bateau  » à toute l’Afrique.
Tin-Tin en Afrique !
 

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22 Comments

  1. Quand les descendants d’esclaves sont représentés par des Sonia Nour ou un Tin , qui vivent sur la repentance éternelle de la France et plutôt mieux que les gens qui vont subir les conséquence des lois travail des gouvernements Hollande et Macron, je trouve qu’ils manquent totalement de dignité d’exploiter ce filon ad vitam aeternam.
    j’espère que Tin ne se prend pas pour le révérend Martin Luther King car lui a risqué sa vie pour les droits civiques jusqu’à la perdre alors que ce gros benêt lui se vautre dans le multiculturalisme ambiant et son métissage obligatoire!

  2. Je n’ai pas lu tous les commentaires,mais l’idée de lester le bateau de statues de Colbert me semble très intéressante .

  3. ne soyons pas injustes….
    le noir Franco-Béninoix de coco , Stellio Capochichi, alias Kémi Séba (et même trés trés bas…) a bien tenté de retourner vivre au pays de ses ancêtres, au Sénégal
    mais, là, les Sénégalais, moins cons que les Français n’ en n’ ont pas voulu et l’ ont expulsé en … France 😆 début Septembre de cette année
    le bougre subventionné par des officines trés discrètes agé de 37 ans est hélas de retour en France
    ou il se présente ouvertement comme raciste anti-blancs,juifs,leucodermes,lui même converti a l’ Islam au cours d’une de ses incarcérations….
    ce serait chouette qu il fasse connaissance avec Ron-Ron, Canigou, sous forme de croquettes exotiques…
    l’ exemple même de nuisible, incapable de vivre dans son continent d’ extraction et qui vient etre vêlé a Strasbourg ou il apprendra a utiliser des « mots difficiles » pour épater sa galerie…en inventant des expressions invendables qui vont éblouir ses « partisans » et au fond de tout ça: un gros malheureux, affolé d’ être né Noir, et ne sachant plus comment s’ en sortir…la malédiction de Cham…….

  4. Oui ce que je n’ai jamais compris, c’est que les Africains extraits de leur Pays contre leur gré au nom de l’esclavage une fois libres, ne soient pas retournés dans leur-dit pays si douloureusement quitté…..
    Pourtant, malgré l’abolition de l’esclavage depuis des lustres qu’aucun de nous n’a connu, certains de leurs descendants en parlent encore, mais il n’est pas trop tard, l’Afrique aurait bien besoin de leur amour et de leur investissement personnel ne serait-ce qu’au nom de leurs ancêtres.
    La « réparation », s’il ressentent qu’elle doit être, est là il me semble.
    Chaque peuple a vécu dans son Histoire des moments sinistres, je ne comprends pas du tout leur obstination à se loger (bien confortable) actuellement, dans leur statut de victimes, surtout quand on voit l’état de leur pays d’origine.

      • Un pays avait été fondé au profit des descendants d’esclaves : le Libéria, en 1822.
        Les descendants d’esclaves à peine arrivés :exploitation et colonisation des autochtones.
        Depuis, des années de guerre civile.
        La dernière  » s’est achevée  » en 2003. En attendant la prochaine.
        Alors, les leçons de morale des Tin ……

      • Je n’avais pas vu votre commentaire Christine. Je veux bien mais je ne me sens pas forcément très au fait de l’Histoire à ce sujet qui n’est pas mon domaine, je vais voir.

      • Christine, je vous ai adressé, comme convenu, un article à l’adresse donnée.

    • j’avais écrit un article dans ce sens, on doit pouvoir le retrouver sur Riposte Laique
      L’Afrique a un cruel besoin de ses talents qui se gaspillent à l’étranger. J’avais cité comme exemple le président de la banque Crédit Suisse,, voilà les hommes qu’il faut pour gérer l’Afrique !

  5. Pour l’instant ce n’est plus Tintin au Congo mais le Congo chez Tintin !!

  6. Pourquoi pas installer le musée en Afrique, c’est sa place avec nos obono, tin tin , nour et tous les sympathisant du projet sans espoir de retour et en soulignant bien sur que les premiers à faire dans l’esclavage des noirs c’est les musulmans.

  7. Il y avait déjà le parc zoologique de Paris, ça en fera un de plus… la visite sera-t-elle gratuite ?

  8. Ce musée de l’esclavage, les Blancs devraient y aller et demander où se trouve la section consacrée à la traite arabo-musulmane. Comment, il n’y en a pas ? Publicité mensongère alors.
    Voilà comment ça devrait se passer. Ils croient que nous sommes incultes, il faut leur prouver le contraire.

    • @ J
      Ne pas oublier non plus la section de la traite d’esclaves entre tribus ethniques subsahariennes qui ont vendu leurs captifs aux Blancs, et ce sera complet… 😉

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