Migrants : quand Chahdortt Djavann dézingue l’imposteur Marjane Satrapi, c’est jouissif…

http://resistancerepublicaine.com/2017/09/29/brulez-persepolis-et-renvoyez-marjane-satrapi-en-iran-avec-ses-chers-mollahs/

Laissons la parole à une vraie militante ant-islam qui dézingue Sartrapi : http://www.lepoint.fr/societe/chahdortt-djavann-les-islamistes-ont-piege-les-debats-24-11-2016-2085398_23.php(article payant)
Extrait de l’article repris en entier par Europe-Israël http://www.europe-israel.org/2016/11/lessayiste-francaise-dorigine-iranienne-chahdortt-djavann-les-islamistes-ont-piege-les-debats/:
« Vous allez jusqu’à critiquer Marjane Satrapi. Mais Persepolis est le récit d’une émancipation des islamistes !

Quelle émancipation ? Vous projetez vos idées sur ce que vous n’avez pas vu dans le film. Et vous ne voyez pas ce qui est dans le film ! Dans Persepolis de Marjane Satrapi, personne n’a voulu voir qu’il n’y avait pas une seule image de Khomeiny ! Il n’est même pas nommé dans une bande dessiné absolument réaliste, qui prétend raconter la révolution islamique pour des jeunes lecteurs occidentaux, alors qu’il en a été le guide suprême ! Imaginez-vous un film réaliste sur l’Allemagne nazie qui n’évoquerait jamais le nom d’Hitler !? Jamais de « Heil Hitler « ! Elle a fustigé la loi de 2004 contre les signes ostentatoires à l’école. Et quand on lui pose la question sur le statut des femmes en Iran, elle répond que, contrairement à l’Arabie saoudite, les femmes conduisent et que 70 % des étudiants sont des femmes ! D’où sort-elle ce chiffre ? C’est impossible puisqu’il y a des quotas en Iran pour les filles. En médecine, c’est 40 % maximum pour les filles, et 30 % dans les filières d’ingénieurs. Ce sont des propagandes du régime.

Dans Perspolis, Marjane Satrapi ne raconte aucun des slogans qu’on nous faisait aboyer à l’école dans les années 1980, les « À bas l’Amérique ! » et « À bas Israël ! ». Elle montre des bouleversements inhérents à toute révolution et elle écrit que « ce n’est qu’une période de transition ».

Alors que, comme elle prétend l’avoir fait dans Persepolis, c’est impossible que quelqu’un puisse répondre aux agents de la morale « vous n’avez qu’à ne pas regarder mon cul ! » et continuer son chemin. Elle aurait été tabassée à mort ! Ou de se lever et critiquer le régime à l’école ou à l’université. Pour beaucoup moins que ça, des étudiantes, des adolescentes ont été arrêtées et torturées.

Dans sa bande dessinée, les Occidentaux, et notamment les bonnes sœurs, sont des menteuses, des vindicatives, des racistes, et des « ex-putes ». Mais elle ne dit jamais que les mollahs sont des pédophiles qui ont baissé l’âge du mariage à 9 ans pour les filles. Les mollahs, Satrapi ne connaît pas. Après le Shah, l’Iran n’a pas de dirigeants. Montrez-moi une phrase de Satrapi où elle condamne vraiment le régime ! Oui, les femmes conduisent en Iran, sont dans les universités, mais quand à votre avis ont-elles obtenu ces droits ? Avant le régime de Khomeiny bien sûr. »

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8 Commentaires

  1. Encore une qui a bien su profiter du système. Elle a raconté à sa sauce sa petite histoire iranienne, en se faisant passer pour une victime mais pas trop (faut pas déconner) et surtout sans trop charger le régime des mollahs (encore de la famille en Iran peut-être ?). Musulmane ? donc attention à ne pas trop en faire sur sa pseudo religion. Oui, effectivement je suis assez déçue. J’avais bien aimé Persépolis. Dorénavant je pratiquerai le boycott des oeuvres de Satrapi. Maintenant elle a montré son vrai visage. Désolée Satrapi, je ne vois pas ce que viennent faire tous ces « réfugiés » qui ne sont que des clandos, et ne me saoule pas avec tes « il ne devrait pas y avoir de frontières, les gens sont libres de circuler » parce qu’ils ont un pays et qu’ils devraient retrousser leurs manches, le remettre en état (du moins pour ceux qui viennent de pays en guerre) quant aux autres l’améliorer et le construire. Je suis prête à accueillir ceux qui sont réellement en danger chez eux, car il y en a, mais ils sont une infime minorité (que les pouvoirs publics se gardent bien de donner). La plupart sont des clandestins économiques lorsqu’ils ne sont pas de sombres assassins comme à Marseille. Donc tes leçons de moral je te conseille de les garder. Et si tu es honnête intellectuellement tu retournes dans ta belle patrie l’Iran puisque c’est si formidable. Que fais-tu encore en France ? Marre des donneurs/donneuses de leçons à la Satrapi !

  2. c’est la marjane sur la photo ? j’ai cru que c’était la duflot…un peu grossie, d’accord…

  3. Encore une « spice di counasse » comme disait le regretté Oussama. (celui des guignols, j’entends bien).

  4. « Arrêtons de les appeler migrants , parlons de réfugiez »
    Quel que soit le nom qu’on leurs donnent
    les problèmes qu’ils apportent seront toujours les mêmes !!

    • Il n’y a ni migrants ni réfugiés. Il n’y a que des clandestins ou des déserteurs.
      Aucun pays du Maghreb n’est en guerre et pourtant 80% viennent de là.

  5. Un «poison» infectant la cohésion nationale : Hamon et Mamère dénoncent la loi antiterroriste
    :: https://francais.rt.com/france/43931-dans-tribune-hamon-romagnan-mamere-denoncent-loi-antiterroriste
    29/09/2017

    «Si, dans tout système démocratique, *****la sécurité des citoyens est une exigence centrale, elle ne doit jamais se poursuivre au prix du reniement de nos valeurs fondamentales.*****» Ce sont les mots écrits par le fondateur du Mouvement du 1er juillet Benoît Hamon l’ancienne députée socialiste du Doubs Barbara Romagnan et l’ex-député écologiste de Gironde Noël Mamère, dans une tribune parue le 29 septembre dans Libération { http://www.liberation.fr/debats/2017/09/28/contre-la-loi-de-securite-interieure_1599615 }.

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