Reims : les étudiants priés de laisser la place aux clandestins, merci à l’UNEF, officine du défunt PS

Les militants de l’UNEF une fois de plus, ont montré leur souci d’autrui, passant après leur raison d’exister ( aider et défendre les étudiants… socialistes de préférence, pour le grand bonheur des socialistes quand ils étaient au pouvoir notamment ).

Pour l’heure, ces dégénérés ont trouvé malin d’aider des clandestins à occuper le campus de Reims, pensant ainsi obliger les pouvoirs publics à s’occuper de ce qui ne les concerne pas, le sort de délinquants puisque venus sans autorisation et sans visa chez nous.

Le Président d’université a joué sa partie, interdisant le campus aux étudiants par mesure de sécurité. Ce qui est justifié mais qui va aussi dans le sens des étudiants de l’UNEF, puisque cette interdiction va obliger, forcément, Mairie, Région, Etat… à prendre les choses en mains.

Et les prendre en mains ce sera, comme le veulent les dégénérés de l’UNEF, s’occuper de loger, nourrir, blanchir… les clandestins.

http://www.20minutes.fr/societe/2134635-20170918-reims-campus-universite-ferme-apres-installation-migrants

Le Président de l’université de Reims, Guillaume Gellé a saisi le tribunal administratif pour occupation illégale du domaine public… Qui sa plainte va-t-elle toucher ? Les clandestins ? Les responsables de l’UNEF ? Personne, assurément, on connaît la chanson. Et que va faire le tribunal administratif ?

 Le campus universitaire Croix-Rouge, à Reims, est fermé jusqu’à nouvel ordre « pour des raisons de sécurité », annonce son président Guillaume Gellé. Cette décision radicale fait suite à l’installation, dimanche, d’une quarantaine de migrants, dont des enfants, sur les espaces extérieurs du campus de l’université de Reims Champagne-Ardenne.
[…]

Les réfugiés qui se sont installés dimanche sont les mêmes qui campaient depuis plusieurs mois dans le parc St John Perse, juste à côté, indique France-Bleu. « Des migrants qui se savaient sous la menace d’une expulsion. Ils ont donc décidé de prendre les devants et de quitter les lieux pour aller à quelques centaines de mètres seulement, sur le site du campus de Reims« , écrit la radio sur son site.

Le syndicat étudiant Unef appelle pour sa part « à la solidarité envers ces réfugiés » et justifie l’installation dans l’université par la nécessité de faire pression sur les autorités…

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/migrants/20170918.OBS4774/l-universite-de-reims-fermee-apres-l-installation-d-une-quarantaine-de-refugies.html

Bref, je conseille à tous les SDF de venir s’installer avec armes et bagages, à 40, sur les campus universitaires, histoire de voir ce qui se passera, pour demander hébergement, chauffage, nourriture, argent de poche, femmes de ménage….

L’UNEF ne bougera pas. L’UNEF qui a conseillé les clandestins se moque de nos SDF, seuls les intéressent ceux qui viennent d’ailleurs et qui leur donnent le sentiment d’encore exister…

Rappels :  L’UNEF ou le tremplin, – avec SOS racisme – des responsables PS

L’Unef, un tremplin politique vers le PS

Manuel Valls, premier ministre, Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’État aux relations avec le Parlement, Laurence Rossignol, ministre des familles, et Harlem Désir, secrétaire d’État aux affaires européennes : tous ont été, dans les années 1980, adhérents de l’Union nationale des étudiants de France – Indépendante et démocratique (Unef-ID), née de la scission de l’Unef dans les années 1970. Harlem Désir et Laurence Rossignol ont aussi milité au sein de l’association SOS Racisme, au côté de Julien Dray.

http://www.la-croix.com/France/Politique/Les-anciens-Unef-aujourd-pouvoir-dans-situation-inconfortable-2016-03-10-1200745863

 

Il y a certes bien des questions à se poser sur « l’affaire des diplômes » (ou plutôt de l’absence de) du Premier secrétaire du PS. Que « Camba » ait obtenu sa licence en forgeant un faux (la thèse de Mauduit) ou en obtenant une « dérogation » (la thèse de Camba), l’histoire est peu reluisante. Elle rappelle comment fonctionnait l’extrême gauche de l’époque, fascinée par les « révolutionnaires professionnels ». Certains militants passèrent plus de temps à distribuer des tracts et à haranguer les amphis qu’à bûcher leurs cours. C’est ainsi qu’émergèrent bien des « leaders étudiants » dont les rides trahissaient qu’ils avaient passé l’âge d’être en fac… On pouvait ainsi être dirigeant de l’Unef et sacrément cancre ! Certains le payèrent ensuite en redoublant d’efforts pour décrocher leurs examens, d’autres « se démerdaient » dans une Université, qui, à l’époque, était souvent bonne mère, et pas qu’avec les gauchistes… Apparemment « Camba », n’était pas parmi les bûcheurs. Lui même avoue son peu de goût pour les études : passer une licence après dix années (!) de fac, « cela me faisait suer », déclare-t-il…

https://www.marianne.net/politique/valls-cambadelis-le-guen-la-bande-de-la-mnef-aux-affaires

 

On ne compte plus les « affaires  » dans lesquelles les socialistes et l’UNEF ont été mêlés, et le premier d’entre eux, Cambadélis… L’UNEF étant très pratique pour les emplois fictifs de permanents socialistes…

Après Jean-Marie Le Guen, ancien patron du PS à Paris, Jean-Christophe Cambadélis, ex-numéro deux du parti, a été mis en examen dans une affaire d’emploi fictif. L’Unef-ID et SOS Racisme sont aussi poursuivis comme personnes morales.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-scandale-de-la-mnef-se-resserre-sur-le-ps-09-06-2000-2001428484.php

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11 Commentaires

  1. Hongrie : les murs anti-migrants ont permis une baisse de 99,7% de l’immigration clandestine
    :: https://francais.rt.com/international/43382-hongrie-murs-anti-migrants-ont-permis-baisse-immigration-clandestine
    19 sept.

    La Hongrie se vante d’avoir réussi à réduire drastiquement l’immigration clandestine depuis 2015. Elle met en avant l’efficacité de ses murs barbelés anti-migrants construits le long de ses frontières, sur lesquels l’UE porte un jugement très sévère.

    Les chiffres avancés par la Hongrie en matière de lutte contre l’immigration clandestine sont impressionnants : depuis 2015, l’afflux de migrants a diminué de 99,7% selon les autorités, qui soulignent l’efficacité des barrières construites aux frontières avec la Croatie et la Serbie.

    «Le nombre de tentatives réussies de franchissement illégal de la frontière est passé de 391 000 en 2015 à 18 236 en 2016 et seulement 1 184 en 2017», s’est félicité Gyorgy Bakondi, conseiller à la sécurité du Premier ministre hongrois lors d’une conférence de presse marquant le deuxième anniversaire de la fermeture de la frontière serbo-hongroise, le 15 septembre.

    VIDEO : Croatia: Hungary seals off its Croatian border to refugees
    :: https://youtu.be/Frd2LVnLz7A
    DURÉE : 1425s

    «Le système de barrières techniques est la clé du succès de la sécurité aux frontières, et sans cela, il serait impossible de contenir l’arrivée massive de migrants», a-t-il martelé.

    En juin 2015, face à l’afflux de migrants et de réfugiés qui tentaient de rejoindre l’Europe par la route des Balkans, la Hongrie – regrettant que l’Union européenne (UE) se montre «trop lente à agir» – avait fermé ses frontières avec la Serbie et entrepris de construire une barrière.

    VIDEO : Chaos à la frontière serbo-hongroise : Des migrants forcent un barrage policier
    :: https://youtu.be/9PMxBNr635o
    DURÉE : 1’34s

    Longue de 175 kilomètres, et haute de 4 mètres, elle avait permis de détourner temporairement le flux migratoire vers la Croatie voisine.

    Mais la Croatie avait alors ramené les migrants à la frontière hongroise, poussant Budapest à approuver la construction d’une seconde barrière en septembre 2015. En moins d’un mois, un mur de 348 kilomètres de long avait été érigé, détournant le flux migratoire cette fois vers la Slovénie.

    Lire aussi : La Pologne et la Hongrie vent debout contre la nouvelle jurisprudence européenne sur les migrants
    L’UE ne compte pas payer

    Un chantier pour lequel le Premier ministre hongrois Viktor Orban a réclamé une compensation financière auprès de l’UE de l’ordre de 400 millions d’euros, soit la moitié du coût total. Dans une lettre envoyée fin août au président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker, le dirigeant a fait valoir que les barrières avaient été entièrement financées par les contribuables hongrois, mais protègent aussi les autres citoyens de l’UE et permettent d’éviter une catastrophe migratoire.

    La #Hongrie exige 400 millions d’euros de l’#UE pour la construction de son mur anti-migrants
    ➡️ https://t.co/upMWv1ZNWD#migrantspic.twitter.com/Q0Ts65ady2— RT France (@RTenfrancais) 1 septembre 2017

    Mais l’UE ne partage pas la position de Budapest en matière de politique migratoire, et c’est donc sans surprises que Jean-Claude Juncker a rejeté cette demande. Ce dernier a au contraire dénoncé la manque de solidarité dont fait preuve la Hongrie envers le reste de l’Europe, par son refus de se plier au quota d’accueil de migrants mis en place par l’UE.

  2. Ce gouvernement fait absolument tout le contraire de ce qu’il faudrait faire dans l’intérêt des français.
    Toute dernière « niouze » ou « scoupe » : gratuité des visas pour les comoriens désireux de se rendre à Mayotte !!!!!!!…….
    Ont-ils demandé l’avis des mahorais ?…
    Certainement pas car ils connaissaient par avance la réponse…
    Avec leur xénophilie maladive ils vont réussir à « foutre la m….  » jusque par là !!!
    A vos machettes !!…

  3. Les migrants en question : tchétchènes, albanais, angolais et arméniens. Des réfugiés syriens, on vous dit !
    Albanais, tchétchènes, c’est vrai qu’il vaut mieux protéger les étudiantes!
    Puisque ces gens s’installent, on peut être sûrs qu’il y a aura des travaux après leur départ. Quant aux couillons qui les aident, ils ne sont pas si nombreux, mais on montre qu’eux dans nos médias.
    Ca fait plus « humanitaire ».

  4. Préférer les clandestins présents illégalement sur notre sol plutôt que nos SDF est une honte totale. Faudra-t’il aussi un jour que nous abandonnions nos propres logements à ces étrangers en situation irrégulière, et aller nous-mêmes coucher dans la rue? Et puis quoi encore?

  5. Les ptits dans le dos ,ça continu de + bel a tout les étages de ce qui reste de notre France. – Petit Fils ce jour en lycée , voie ingénieur informaticien du tarn et garonne , place limitée et bien voila ti pas qu’ils viennent d’etre rejoint par une dizaines de jeunes migrants ne parlant pas notre langue et n’ayant aucune connaissance pratique sur ordi et déja étalent leurs moeurs + demande des profs a nos ptits bachelier s’ils peuvent en hébergé dans la famille + vétements. – Devant se grand lycée vente de drogues au vu et su tout les jours pour les vitamines ainsi qu’a l’interieur . Les profs complice du bordel des chances pour la France, quand aux gens d’armes sur le terrain , aux abonnés absent., sauf qu’en l’un de mes petits en a éclater un , plainte , convocation d’office et tribunal. VIVE LA FRANCE

  6. La déliquescence sociétale dans toute sa splendeur…avec comme fers de lance la gauchiasserie niaiseuse et inconsciente qui prône sous culture (inculture ) et acculturation…
    Ils oberent toute chance d’ascenseur social via des études dignes de ce nom pour des Français désireux d’apprendre .

  7. La logique aurait été de demander l’expulsion de ces migrants ….ET de l’appliquer … mais qui ne dit mot, consent ! On est très mal face à ce mal de l’immigration, la faiblesse de la France et de ses réactions montre que ces clandestins font le bon choix pour eux, mais pas pour nous !

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