Du Figaro Vox:
Drapé dans les couleurs de la France après sa victoire en boxe Muay thai, l’athlète Patrice Quarteron s’est attiré les foudres d’une partie des réseaux sociaux, qui l’ont qualifié de « traître » et de « bounty». Pour Fatiah Boudjahlat, cela révèle la haine de la France d’une partie des enfants d’immigrés.
Patrice Quarteron a remporté une victoire importante dans la discipline de boxe Muay thai. Il a exprimé une joie légitime, en se revêtant du drapeau français. Mais selon ses détracteurs qui se sont déchaînés sur les réseaux sociaux, il a eu le tort de mêler les couleurs nationales à sa victoire, il a eu le tort d’afficher et de verbaliser son patriotisme. Il leur a répondu par un post des plus intéressants:
«Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit «bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: «t’es un chien, un putain de facho». Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France.»
Le ton virulent est propre aux réseaux sociaux, il est aussi dû au caractère de ce sportif, ainsi qu’à la nature et à la véhémence des insultes essuyées.
Afficher les couleurs nationales, aimer son pays, assumer sa fierté d’être français ont valu à Patrice Quarteron de se faire traiter de facho, mais aussi, et il y a plus à en dire, de «bounty» et de traître. Ces insultes sont devenues classiques quand il s’agit de désigner les enfants d’immigrés bien dans leurs baskets françaises et aimant la France. Elles sont complétées par celles de «harki», de «collabeur», de «nègre de maison», termes dont j’ai été moi-même gratifiée. Elles renvoient à une trahison supposée: celle de son vrai pays, celui des origines, au bénéfice de son faux pays, celui où l’on vit. Elles sont les manifestations des métastases indigénistes et gauchistes de l’identité qui n’ont rien à leurs symétriques identitaires.
La violence se déchaîne parce qu’il est noir. Et un bon noir, un vrai noir digne, qui s’assume, ou un bon arabe n’est pas censé aimer la France sauf à avoir une mentalité d’esclave. Il est question d’authenticité. On est un vrai arabe, un vrai musulman, un vrai enfant d’immigré etc quand on vante le bled et que l’on cultive l’indifférence voire le mépris à l’endroit de la France. Puisqu’eux brandissent l’accusation de trahison, il faut convenir que le vrai sujet est celui de I’allégeance, ce terme désuet qui désigne la fidélité que l’on doit au souverain. Et en République, c’est le peuple qui est souverain. Refuser l’allégeance au pays dans lequel on est né, dans lequel on vit et dans le même temps la réserver à celui dans lequel on ne va qu’en vacances, avec un pouvoir d’achat européen, c’est faire de la France un simple guichet de services.
Patrice Quarteron a raison de dénoncer l’hypocrisie de ses détracteurs.
Le patriotisme est brocardé, dénoncé, moqué, criminalisé quand il concerne la France, mais il est respecté, vanté, normalisé quand il concerne le pays d’origine. Houria Bouteldja, égérie du Parti des Indigènes de la République, écrit ainsi dans son ouvrage Les Blancs, les Juifs et Nous: «J’ai laissé mon pays libre, comme une étoile scintillante. Je suis allé au pays des impies, le pays de l’obscurité» , et plus loin, avec un talent poétique certain: «Ô mes frères, mes soeurs, Ô mes frères mes soeurs, des Français je suis dégoutée. J’accepte de ne porter qu’un tricot mais je ne veux pas qu’on m’appelle «bicot». O mon Dieu, ma foi est meilleure que la leur. Celui qui critique le pays [l’Algérie], que la rivière l’emporte.» Que n’entendrait-on pas si ces mêmes propos avaient été tenus à l’endroit de ceux qui critiquent la France! Et il faut être honnête, je n’ai jamais vu un élève asiatique afficher le drapeau du pays de ses parents, alors que tant de mes élèves affichent sur les écrans des ordinateurs du collège, sur leurs carnets de correspondance les drapeaux des pays du bled, Afrique du Nord et Afrique noire.
La nostalgie entretenue par les parents et par les pairs se vit sur le mode du combat, du conflit de loyauté. Cette volonté obsessionnelle de déraciner ces enfants est pourtant «la plus dangereuse maladie des sociétés humaines.» . Ce n’est pas anecdotique, c’est politique et c’est donc emblématique. Ceux là-mêmes qui voient du nationalisme quand il s’agit du drapeau français ne sont en rien gênés par l’esprit cocardier de ces jeunes, pourvu qu’il se fasse au bénéfice d’un pays autre que la France. Ce n’est donc pas le patriotisme en lui-même qui est rejeté, c’est la France. J’ai pris l’habitude d’exiger de ces élèves qu’ils dessinent ou affichent un drapeau français de la même dimension que celui dessiné. Autant il est difficile de leur faire verbaliser le fait qu’ils sont français et que la France mérite tout autant d’être respectée et aimée que les pays du bled, autant ils réalisent combien leur attitude pose problème quand on inverse les pays: si une personne née et vivant en Algérie d’origine Française n’affichait que le drapeau français, clamait qu’elle n’était pas Algérienne, ne cessait de critiquer l’Algérie, tout cela en y vivant, comment régiraient les Algériens? Mal, les élèves en conviennent.
Patrice Quarteron a raison: c’est le drapeau Français qui est honni, quand ceux du bled ou de la Palestine fleurissent dans les manifestations festives, sportives ou politiques. Ce n’est pas le drapeau qui gène, c’est la France.
Quand c’est un autre pays, c’est un patriotisme sain et juste. Quand c’est la France, c’est l’expression d’un nationalisme destructeur d’altérité. Un élu de Saint-Denis, Madjid Messaoudène, a fait la promotion sur son compte twitter de boîtes de mouchoir aux couleurs de l’Algérie. Jamais il ne lui serait venu à l’esprit d’avoir le même esprit cocardier vis-à-vis de la France. Il se dit binational comme une immunité diplomatique, mais ne dit jamais de bien de la France, n’affiche jamais ses couleurs, au contraire de l’Algérie. La binationalité consiste dans son cas et dans le cas de beaucoup de ceux qui ont insulté Patrice Quarteron à lier une nationalité de raison, la nationalité française, celle que l’on subit, à une nationalité de cœur, celle du pays des parents, qui suscite tendresse et nostalgie. L’allégeance ou le patriotisme ne se vit pas sur le mode de l’alternative pourtant: on peut aimer les deux pays et on ne trahit pas l’un en aimant la France.
Les contempteurs de Patrice Quarteron se dépêchent de préciser qu’ils sont Français, comme une bravade. Qu’ils sont donc ici chez eux. Chiche. Qu’ils en tirent toutes les conséquences: être ici chez eux implique un sentiment d’appartenance, pas une rente viagère. Mais ils ajoutent qu’ils n’ont pas choisi d’être français, qu’ils n’ont pas choisi de naitre et de vivre en France. Ont-ils plus choisi d’avoir des parents algériens ou marocains? Cela ne les empêche pas d’afficher les couleurs de ces pays. Ils présentent le fait de vivre en France comme une fatalité, une souffrance. Mais il y a pourtant un opting out, un droit de sortie de la France: les frontières sont ouvertes. Pourquoi ne pas l’exercer, puisque la vision de Français d’origine étrangère et aimant la France les insupportent à ce point? Houria Bouteldja répond dans le même livre, à la page 109: «Ce sera notre éternel dilemme: rester et subir l’humiliation, partir et crever la dalle». Mais alors, leur patriotisme, leur amour de leur pays tient à peu de choses: au pouvoir d’achat et au standing. Il est vénal. Eux construisent le dilemme, l’alternative. Eux construisent un conflit de loyautés qui empoisonne la vie des jeunes.
C’est à eux de questionner leurs sentiments patriotiques à l’égard du pays de leurs parents, ce n’est pas à nous de remettre en cause ceux que nous éprouvons vis-à-vis de la France. Dans notre République, ce n’est pas la souche, l’ancienneté de la présence qui compte, c’est l’enracinement permis par le consentement. La communauté nationale repose sur deux éléments selon Renan: «L’une est la possession en commun d’un riche leg de souvenirs ; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage que l’on à reçu indivis.» Indivis: le noble et l’ignoble, le glorieux et le honteux. C’est en se tenant sur ces deux pieds que naît le sentiment d’appartenance. On ne l’attend pas d’immigrés de travail, mais comment ne pas l’attendre de leurs enfants nés et vivant en France? Comment trouver normal l’appartenance à une communauté internationale comme l’oumma, ou à celle au pays de ses parents et rejeter l’appartenance à la communauté dans laquelle on vit?
La République n’est pas qu’un cadre juridique, axiologiquement neutre. Il convient de nous interroger tous. Pourquoi n’afficher nos couleurs que lors des victoires sportives? Pourquoi ne tolérer et ne goûter l’hymne nationale que lors des rencontres sportives? Pourquoi a-t-il fallu attendre la série d’attentats meurtriers pour oser, timidement, pavoiser les façades de nos logements de nos couleurs? La République est aussi un contenu en termes de valeurs qu’une catégorie de l’imaginaire qui se nourrit de symboles. Il faut, comme l’écrit JP Salazar, convenir que «la République est une forme forte de politique, une violence même faite au vivre-ensemble». La République ne peut plus être le lieu neutre du «venez comme vous êtes». L’État a trop mis en avant sa neutralité. Au point de ne plus offrir de contenu éthique, de chemin vers la vie bonne. Au point de ne plus offrir de vie collective riche, de ne plus constituer une transcendance. Celle là même qui permet de se dépasser et d’être meilleur. Il faut enseigner et assumer la vertu civique, dont Vauvenargues écrit qu’elle se confond avec «la préférence de l’intérêt général au particulier.» C’est l’exemple que nous offre la joie de Patrice Quarteron. La joie de faire gagner son pays. Mais il est vrai que l’État Français a été trop laïque vis-à-vis de lui-même, autorisant et protégeant tous les cultes sauf celui de l’État, et que, réduit à un guichet de prestations et à un ensemble de procédures, il ne peut susciter affection et allégeance. Laissons le french bashing aux ennemis de la France, assumons d’aimer la France. Le patriotisme républicain s’apprend, s’il s’enseigne. Associons-le à la bravoure, à la victoire. Il faut redonner le goût d’aimer la France, ailleurs que lors des veillées funéraires. Apprenons à servir plutôt qu’à se servir, au sens de Bernanos, c’est-à-dire en «gardant vis-à-vis de ce qu’on sert une indépendance d’esprit absolue. C’est la règle des fidélités sans conformisme, c’est-à-dire des fidélités vivantes.» Dans le même ordre d’idée, Mark Twain définissait le patriotisme comme le fait de «défendre son pays en toute circonstance, et son gouvernement, seulement quand il a raison.» Au final, soyons humbles. Contentons nous de demander pour la France ce que Houria Bouteldja ressent et exige pour l’Algérie.
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Tous les hargneux mécontents et anti-France, DEHORS !
Finis les allocs et les clubs sportifs, les kinés, les entraineurs, les bons de la CAF, les logements gratis….
RENTREZ CHEZ VOUS !!!
la jalousie les étouffe, ils voudraient entrainer dans leur merde le maximum d’enfants d’immigrés ou autres personnes de couleur
Bravo Patrice Quarteron, vous êtes un modèle pour tous les jeunes français !!
oui Patrice Quateron a l’air d’être un mec bien d’après se que je viens de lire , en ce qui me concerne 1 individus comme lui est assimilé donc français … par contre pour les autres retour dans leurs pays et confiscations de » leurs » bien et de l’argents qu’ils ont volés a la France donc aux français !car de l’argents toute ces racailles de cpf n’en manques pas , avec leurs trafics, vols et arnaques a la caf …. des sous ils en ont les crevures .
Ce qui enrage ces beurs hargneux, c’est de ne pas pouvoir s’en sortir par eux-même,
sans les allocs, ils ne sont rien, comme elle le dit si bien, ce sont des crève-la-faim,
Alors, le succès d’un Patrice Quarteron, les met face à leur petitesse, face à leur vie ratée,
C’est facile d’insulter celui qui réussit, et de ressortir toujours les mêmes rengaines des pauvres stigmatisés, et voir une réussite leur prouve une fois de plus qu’ils vivent dans le mensonge et l’apitoiement sur soi hypocrite,
C’est le chien hargneux qui mord la main qui le nourrit,
Bien connu le proverbe » caresse un chien hargneux, il te mordra »
Patrice QUARTERON : un homme à la stature haute de par son exploit sportif et ensuite en sa qualité de patriote qui envoie au tapis tous ceux qui l agresse verbalement sur sa couleur de peau qui devrait l orienter autrement que de se définir comme patriote à son pays ! Là réside toute sa forçe bravo à lui de gagner dans son camp sportif auréolé du drapeau Francais, d en être fier ! Et de donner une bonne leçon à toute çette racaille bouffeuse de la C.A.F. !!! Patrice vous êtes notre héros Français à la face du monde et l’assumez on ne peut mieux : le drapeau tricolore vous va si bien !!!
Je préfère l’attitude sensé de ce sportif , plutôt que celle de cette moukère peroxydée (pour faire croire qu’elle est occidentale?) :
http://lesobservateurs.ch/2017/07/31/dix-petits-negres-la-chanteuse-laam-denonce-le-titre-de-la-serie-juge-raciste/
Attitude sensée . Plutôt.
Les Fatima et autres Mohamerde, au lieu de japper de loin comme des chiens, allez donc dire vos ordures de vive voix à ce champion, dans un coin tranquille, sans témoin. Vous serez frappés et pas que par son patriotisme….
un certain BRAHIM ASLOUM champion du monde et olympique de boxe venant d algérie et naturalisé Français,avait tenu des propos un peu similaire a PATRICE QUATERO que je ne connaissais pas jusqu a aujourdhuie…
PATRICE ET BRAHIM…BRAHIM ET PATRICE…MILLE MERCI…
… ok pour Patrice Quatero , parce que Patrice … par contre Brahim Asloum il ne s’appelle pas Bernard, toute la différence est là et en plus il ait plutôt appréciés chez les cpf ce dernier .
De toute manière pour faire un sport en compétition dans tout pays, il faut obligatoirement être affilié à une fédération nationale dudit sport. Du coup, en compétition on se bat aux couleurs de la fédération concernée. en l’occurrence pour ce monsieur..la France…donc normal de se battre pour les couleurs qu’on défend. Vous imaginez vous par exemple des joueurs de foot ne portant pas le maillot de leur club, mais un de l’Algérie, l’autre des USA, etc…ça serait un peu le bordel quand même. Et qu’il soit fier d’être français est au demeurant normal.. cette société est un peu bizarre quand même. il faut être fier de tout sauf d’être français…
Le gros problème des « jeunes de banlieues » c’est qu’ils ont été nourris dès la naissance par la haine de la France instillée par leurs parents. Les mensonges et la désinformation dans le cercle familial et communautaire n’ont fait que l’entretenir. Le « groupe » s’auto-alimentant et le prétexte étant tout trouvé pour « jouer la révolte de l’opprimé ».
Pourtant ils devraient savoir que leurs grands-parents et arrières grands-parents, pour une grande majorité d’entre-eux ont aimé la France…
La trahison et les discours mensongers des adeptes de la culpabilisation et de la repentance n’ont fait qu’aggraver le mal. Il ne faut plus s’étonner du résultat.
Merci à Patrice Quarteron, il nous fait Honneur !
Bonjour,
Vous avez raison : une bonne partie du problème réside dans la société d’accueil …
Ce n’est pas avec des Plenel et Cie qu’on fera de ces personnes des Français …
Oh combien Moka votre commentaire me fait plaisir et je dis aux autochtones un peu trop durs de bien regarder ce que certaines personnes comme vous Moka, vous leurs en mettez plein les yeux de votre patriotisme. Marine a raison même si on ne l’aime pas beaucoup et dit <> la couleur du cœur est identique à tout être humain c’est la seule qui prédomine. Merci et bravo .
Merci à vous reader .
Ce n’est pas la première fois que P. Quarteron démontre ainsi son amour pour la France et fustige sur les réseaux sociaux les CPF qui crachent dessus. Il est bien plus digne de nous représenter que certains sportifs. Quand on pense que toute la racaille veut que Benzema revienne en équipe de France… Je préfère un million de fois Patrice Quarteron.
Et oui ,chez nous Avons aussi nos fachos ,mais c est plus facile de traiter l homme blanc de sale racistes ou les blacks (trop intégrés ) quand on ne cède pas à leurs exigences ou que l on ne manifeste pas assez la culture afro.Le blanc est foncièrement raciste .Ingrats !Qui vous a sorti de la merde alors que vous étiez entrain de crever.Combien de fois je ne me suis pas fais insulter de bounty,traîtresse .Je ne comprend pas le racisme de certains blacks ,alors que ils devraient êtres heureux de vivre dans un pays où ils ne manquent de rien.Ou était ton pays et qu a il fait quand tu manquais de tout?Ils crachent sur leur pays d accueil ,et oubli la raison qui leur a fait quitté l Afrique alors que l Europe leur a donné ce dont ils ne pouvaient obtenir.
Et bien ceux qui n’aiment pas les français autochtones, sont des racistes et ces gens là, retour aux pays pour faire leurs devoirs de lutter contre la pauvreté chez eux, comme d’arrêter d’abuser de l’hospitalité du pays comme des escrocs, qui serait plus honnête de leurs parts.
Nous n’avons pas demander qu’ils viennent chez nous et vive l’indépendance, dehors!.
Il y assez qui attendent leurs tours à Lampedusa pour venir chez nous et d’abord nos pauvres avant eux.
Cette homme est un vrais français , bravo à lui .
a+
alain
ps :
Le roi est nu, l’islam est une saloperie, tout le monde le sait !
Patrice Quarteron….De Généro
vieille noblesse française selon l’ insupportable de Gaulle 😆
Tous ces dégénérés de l’anti-france n’ont qu’à quitter la France.
Ils profitent des bienfaits et des allocations de ce pays généreux qu’est la France, mais à la moindre occasion, ils n’hésitent pas à cracher sur la France qui , pourtant les a vu naitre, les nourrit , les soigne, les protège jusqu’à la tombe.
Dans les commentaires odieux et insultants vis-à-vis de notre compatriote patrice quarteron, j’ai remarqué que ceux qui l’insultaient avaient tous un patronyme à consonance moyen-orientale.
Les ramollis du bulbe au quotient intellectuel à 1 chiffre ne sont que les stigmates visibles, résultant de 35 ans de propagande anti-française de la part de toutes ces associations qui ont communautarisé la France.
Ils veulent à tous prix en faire un Noir quant c’est un tricolore ; ce sont eux les racistes !