Qui vous dénonce ? Explosion des signalements à Tracfin
Par Charles SANNAT
Évidemment, nous avons un véritable problème avec le terrorisme. Mais nous avons également un véritable problème de fond dans la discrimination des contrôles effectués par les banques qui ressemblent à peu près à un immense n’importe quoi !
Dans un monde politiquement correct à souhait et dégoulinant de bien-pensance, nous sommes tous “terroristes”, potentiellement s’entend bien évidemment.
« Une année historique » résume Tracfin dans son rapport d’activité annuel.
« L’année 2016 a été marquée par une hausse sans précédent du nombre d’informations reçues par le service : 64 815 informations (+43 % par rapport à 2015 et +69 % par rapport à 2014), soit la plus forte hausse constatée depuis la création du service. La réception et la gestion de 20 000 informations supplémentaires a eu un impact considérable sur l’activité du service et des agents » indique le rapport.
En dix ans, le nombre d’informations reçues a été « approximativement multiplié par 4 » et le nombre de transmissions à l’autorité judiciaire et aux administrations partenaires par 4,5 selon le rapport.
Si l’on sait que les banquiers, les comptables ou encore les casinos sont des délateurs zélés, il y a aussi de nouveaux acteurs comme les établissements de paiement comme Compte Nickel (qui a fait tout de même plus de 5 100 délations), mais aussi les établissements de monnaie électronique comme les start-ups de la Fintech type Lemon Way ou les cagnottes en ligne, sans oublier les sites de financement participatif (crowdfunding).
Autre élément passionnant du rapport de Tracfin, les évolutions de dénonciations en hausse de 54,5 % chez les experts-comptables, de 50 % chez les commissaires aux comptes et de 88,4 % des administrateurs judiciaires et mandataires judiciaires. Chez les “professionnels du chiffre” comme on dit, ce sont les notaires qui restent de loin les premiers de cette catégorie à signaler des cas suspects.
Beaucoup de dénonciations… pour rien du tout !
En effet, le nombre de dossiers transmis à la justice reste stable à 448, ce qui reflète imparfaitement la réalité car « la part des affaires d’une grande complexité mettant en jeu d’importants montants financiers et nécessitant de nombreux actes d’investigation n’a cessé d’augmenter ».
En clair, sur presque 65 000 dénonciations, il y a seulement 448 dossiers relevant de la justice, alors franchement, disons-le, les déclarations Tracfin sont faites dans deux cas : pour se couvrir quand on ne comprend rien ou que réfléchir est trop difficile (et je sais de quoi je parle comme ancien banquier), soit tout simplement pour emmerder un client pénible, ou pour assouvir quelques jalousies.
Voilà la très triste réalité.
Pour le reste, globalement, on sait qui triche et aussi qui risque d’avoir envie de poser quelques bombes…
https://insolentiae.com/qui-vous-denonce-explosion-des-signalements-a-tracfin/
Voir aussi:
http://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/blanchiment-et-terrorisme-explosion-d
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oui, mystère……
Pour revenir sur cette chronique dont la conclusion est « on sait qui triche » ….je me dis qu’on peut tout de même se demander par quel tour de passe-passe un certain golden boy et néanmoins young leader a pu escamoter 3000K€ (en 2 ou 3 ans …) que je ne parviendrai pas à gagner en toute une vie d’honnête labeur, et ce, sans laisser la moindre trace ?…..
Pour en revenir à tracfin, (que je découvre), je pensais que les banques suivaient leur sacro-saint devoir de confidentialité, depuis quand ce système de délation ?
Lorsque les chinois ont envahi le Tibet , le dalai lama a été forcé de s’enfuir car il est chef d’état;Mais il déclarait aux tibétains qui venaient à leurs risques et péril le rejoindre en Inde « retournez chez vous car en partant ,vous faites le jeu de nos ennemis « . .Et ,ajoutait-il, »n’oubliez jamais que les ennemis d’ aujourd’hui seront les amis de demain » .Pensée d’un homme èvolué et sage .
Je pense souvent à cette phrase mais est-il possible de l’appliquer aux mahométans ;mon intime conviction est :non;
Alors il faut rester ;Avec l ‘intime conviction que la civilisation vaincra la barbarie ,pour la première fois dans l ‘histoire de l’humanité.Pour rien au monde je ne voudrais rater le spectacle.
Ce raisonnement n’est pas totalement faux, mais si tous les français l’appliquaient, il y a fort à penser que la France n’existerait plus depuis longtemps.
Notamment en 14, il eu été plus confortable pour les poilus de foutre le camp et de laisser la place aux boches.
Le résultat eu été le même puisque aujourd’hui c’est encore l’Allemagne qui tire les ficelles.
Mais on peut tout de même s’interroger sur les pensées que peuvent nourrir les
bâtisseurs d’un pays vis à vis des édiles qui les ont poussé à prendre la décision de partir.
Pour ma part, j’ai plus envie de les crever que de partir.
Pour moi ces gens sont des traîtres à leur pays et je voudrais pouvoir leur réserver le sort qui est celui des traîtres en temps de guerrre.
Et puis partir pour oû, en Europe, ils sont partout et USA/AUSTRALIE, bonjour les visas.
Peut être déjà prendre un billet pour la planète Mars, en espérant qu’ils n’aillent pas jusque là.
Oui, le « patriote » se fait racketter, il en est conscient et c’est pour cela entre autres qu’il se révolte, qu’il n’accepte pas de servir de vache à lait pour des dirigeants qui n’en ont rien à foutre de la France et dont les amitiés se situent toutes à l’étranger dans des intérêts partagés que ce soit la finance ou l’idéologie qui la sert.
Alors oui, le « patriote » reste sur le sol où il est né, car le Pays qu’il veut défendre et garder lui appartient. Il l’aime et refuse de le voir disparaître dans un envahissement orchestré et voulu par des apatrides.
Alors oui il n’abandonne pas. Il ne quitte pas sa maison en laissant la porte ouverte. Il ne fuit pas à l’étranger car là-bas aussi, il sait qu’il ne ferait qu’accélérer la mondialisation forcenée qui détruit les identités et les êtres. Il ne ferait que rejoindre ceux qui, se croyant à l’abri, détournent égoïstement leur regard.
Alors oui, le « patriote » résiste, par sa présence il rappelle 2000 ans d’Histoire, même si souvent il se sent bien seul, sur la terre de France, abandonnée et trahie.
Ce billet était une réponse à « PanPan », bien sûr.
Lettre d’un expatrié…
VOUS financez l’invasion
A plusieurs reprises j’ai lu des réflexions – et insultes – de certains d’entre vous disant qu’un vrai patriote ne doit pas fuir son pays. Ca, c’est de la théorie de romans à l’eau de rose, car en réalité toute personne, patriote ou non, résidant quelque part, soutient par sa présence le régime en place, en particulier financièrement. Et c’est donc grâce à ces gens que le régime se maintient, finance l’invasion, paye les allocations et logements de la racaille immigrée, etc etc.
Sans parler des impôts directs, à chaque achat vous payez 18% de TVA, qui va directement dans les caisses de l’état que vous déclarez haïr. A chaque litre d’essence vous donnez 85% du prix à l’état que vous déclarez haïr.
Les « patriotes » pleins de bonnes intentions fustigent aussi les entrepreneurs qui « délocalisent » en les traitant de « traitres ». C’est tout à fait le contraire: En délocalisant, les entrepreneurs mettent leur savoir-faire à l’abri du fisc français et donc cessent de financer le gouvernement de salopards et l’invasion de votre pays.
Alors bien sûr, en délocalisant l’entrepreneur crée du chômage en francarabia. Eh bien oui, et c’est une excellente chose car ce chômage génère des baisses de revenus pour l’état (un chômeur paye moins d’impôt que lorsqu’il travaillait), et génère une augmentation des dépenses de l’état (un chômeur reçoit des allocations). C’est donc gagnant puisque ça contribue au déséquilibre budgétaire et donc à terme va contribuer à la chute du gouvernement.
En attendant, si vous avez un gramme de bon sens. quittez le pays et cessez de financer, par votre seule présence, ceux qui vous agressent, violent, égorgent, ceux qui n’ont pour but que de détruire notre civilisation. Si vous restez, vous êtes vous aussi responsables de la situation.
SOS-R, Golfito
Pas faux du tout ; c’est la logique du phénomène de la boule de neige qui grossit en roulant dans une pente .
désolée panpan mais partir c’est fuir ses responsabilités et d’un, et de deux encore faut-il savoir où aller et quoi y faire (ça demande de la logistique, logement, langue, travail, école, etc…);
Quant aux délocalisations, elle n’ont d’avantages que pour le patronat qui préfère donner du travail en tunisie, algérie, maroc et afrique , défiscalisations et avantages en tous genres.
Nous avons un pays et nous devons le reconquérir en arrêtant les autres de s’en emparer, cela demande du courage et de la volonté sachant les risques encourus, y compris et surtout la vie;
Désolée mais pas d’accord avec vous.