Des dirigeants sans enfants mènent une Europe somnambule à l’abîme

Vivre pour aujourd’hui : les dirigeants les plus importants d’Europe sont sans enfants ; parmi eux, la chancelière allemande Angela Merkel (à gauche) et Mark Rutte (à droite), Premier ministre des Pays-Bas. (Source image: le ministre-président Rutte / Flickr)

14 mai 2017, par Giulio Meotti 


Traduction du texte original: Europe’s Childless Leaders Sleepwalking Us to Disaster

https://fr.gatestoneinstitute.org/10362/europe-sans-enfants

  • Les dirigeants européens n’ayant pas d’enfants paraissent n’avoir aucune raison de s’inquiéter de l’avenir de leur continent ?
  • « L’Europe aujourd’hui n’a pas envie de se reproduire, de se défendre ni même de prendre parti pour elle-même dans un débat ». — Douglas Murray, The Times .
  • « Se découvrir soi-même’ devient plus important que de bâtir un monde ». — Joshua Mitchell.

Jamais l’Europe n’a été dirigée par autant de politiciens sans enfants. Ils sont modernes, ouverts, multiculturels et savent que « tout finira avec eux ». À court terme, être sans enfant est un soulagement car cela implique zéro dépense pour la famille, aucun sacrifice et personne pour se plaindre d’un avenir mal préparé. Comme l’indique un rapport de recherche financé par l’Union européenne : « Pas d’enfants, pas de problème ! ».

Etre mère ou père vous oblige à vous projeter dans l’avenir du pays dont vous avez la charge. Mais les dirigeants les plus importants d’Europe ne laisseront aucun enfant derrière eux. La chancelière allemande Angela Merkel, le Premier ministre néerlandais Mark Rutte et le président français Emmanuel Macron sont sans enfants. La liste s’allonge avec le Premier ministre suédois Stefan Löfven, le Premier ministre luxembourgeois Xavier Bettel et le Premier ministre écossais Nicola Sturgeon .

N’ayant pas d’enfants, les dirigeants d’Europe donnent le sentiment de n’avoir aucune raison de s’inquiéter de l’avenir de leur continent. Le philosophe allemand Rüdiger Safranski a écrit:

« Pour les personnes sans enfants, penser en termes de générations futures n’est guère pertinent. Par conséquent, ils se comportent de plus en plus comme s’ils étaient les derniers, le dernier maillon de la chaîne ».

« L’Europe se suicide. Ou du moins ses dirigeants ont décidé de se suicider », a écrit Douglas Murray dans The Times. « L’Europe aujourd’hui n’a pas envie de se reproduire, de se défendre, ni même de prendre parti pour elle-même dans un débat ». Murray, dans son nouveau livre, intitulé The Strange Death of Europe, baptise le phénomène : « une fatigue civilisationnelle existentielle ».

Angela Merkel a pris la décision fatidique d’ouvrir les portes de l’Allemagne à un million et demi de migrants pour enrayer l’hiver démographique de son pays. Ce n’est pas un hasard si Merkel, qui n’a pas d’enfants, a été appelée « la mère compatissante » des migrants. Merkel se moque de savoir si cet afflux massif de migrants ne risque pas modifier la société allemande en profondeur, et pour toujours.

Dennis Sewell a récemment écrit dans le Catholic Herald : Cette idée de « civilisation occidentale » rend plus épineuse la panique démographique. Sans elle, la réponse serait simple : l’Europe n’a aucune inquiétude à avoir sur le nombre de jeunes qu’il faut trouver pour soutenir ses personnes âgées dans leurs années de déclin. Plein de jeunes migrants cognent aux portes, grimpent sur les barbelés ou s’embarquent sur des fragiles esquifs pour atteindre nos rives. La seule chose à faire est les laisser entrer.

Le statut de femme sans enfant d’Angela Merkel est le reflet de la société allemande : 30% des femmes allemandes n’auront pas d’enfants indiquent les statistiques de l’Union européenne, et ce ratio passe à 40% chez les diplômées de l’Université. La ministre allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, a déclaré que, sauf à redresser le taux de natalité, le pays devra « éteindre la lumière ».

Selon une nouvelle étude publiée par l’Institut national d’études démographiques, un quart des femmes européennes nées dans les années 1970 n’auront pas enfants. Les leaders européens ne sont pas différents. En 1940, une femme sur neuf née en Angleterre et au Pays de Galles était sans enfant à l’âge de 45 ans, mais en 1967, ce pourcentage est passé à une femme sur cinq.

Le nouveau président français Emmanuel Macron a rejeté l’idée exprimée par l’ex-président François Hollande que « la France a un problème avec l’islam ». Il est contre la suppression de la nationalité française pour les djihadistes et affirme avec insistance, et contre toute évidence, que l’Etat islamique n’a rien d’islamique: « Ce qui pose problème n’est pas l’islam, mais certains comportements dits religieux qui sont imposés aux fidèles de cette religion ».

Macron prêche une sorte de déjeuner-buffet multiculturel : il évoque le colonialisme comme un « crime contre l’humanité », prône « l’ouverture des frontières », et affirme contre toute évidence qu’il il n’y a pas de « culture française ».

Selon le philosophe Mathieu Bock-Coté, Macron, âgé de 39 ans, marié à son ancien professeur de théâtre elle-même âgée de 64 ans, est le symbole d’une « bonne mondialisation libérée de la mémoire de la gloire française perdue». Ce n’est pas un hasard si « Manif Pour Tous », un mouvement qui a lutté contre la légalisation du mariage homosexuel en France, a appelé à voter contre Macron en tant que « candidat antifamille ». Le slogan de Macron, « En Marche ! », incarne les élites mondialisées qui réduisent la politique à un exercice, une performance.

C’est pour conquérir l’Europe que le leader turc Erdogan exhorte les musulmans à avoir « cinq enfants » et que les imams musulmans exhortent leurs fidèles à « élever des enfants ». Les suprémacistes islamiques travaillent à produire un conflit de civilisations au cœur de l’Europe ; ils dépeignent les pays qui les accueillent en Occident comme des civilisations sur le point de s’effondrer, sans population, sans valeurs et ne portant plus aucun intérêt à leur propre culture.

A voir Merkel, Rutte, Macron et tous les autres, les suprémacistes islamiques auraient tort de se gêner. Nos dirigeants européens nous mènent comme des somnambules vers la catastrophe. Que peut bien leur faire qu’à la fin de leur vie, l’Europe ne soit plus l’Europe ? L’essayiste Joshua Mitchell l’a très bien expliqué, « se trouver » devient plus important que construire un monde. La longue chaîne des générations a déjà fait le travail. Maintenant, jouons ! ».

 Giulio Meotti, journaliste culturel à Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.

 

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13 Commentaires

  1. Lancement de l’ONG « Défend l’Europe » pour bloquer les bateaux des migrants.

    Chaque semaine, chaque jour, chaque heure, une invasion se déroule sous nos yeux.

    Des bateaux remplis de clandestins affluent sans cesse en direction de l’Europe.

    Cette immigration massive change le visage de notre continent. Notre futur est en jeu.

    Tout commence ici, aux frontières de l’Europe. C’est ici que les clandestins arrivent. C’est ici que les ONG et autres trafiquants d’êtres humains font leurs affaires sur le dos des clandestins. C’est ici que nos gouvernements ont échoué et nous ont trahi par leur laxisme et parfois leur complicité. Et puisque tout a commencé ici, c’est également ici que cela doit prendre fin.
    Venant de toute le continent, nous nous sommes rassemblés en Sicile et notre mission est simple : Défendre l’Europe.

    Nous voulons démasquer l’imposture des ONG : elles agissent à l’unisson avec les trafiquants humains qui vivent de la misère des hommes.

    Nous voulons protéger nos pays de l’immigration illégale et si besoin tenir tête en mer aux bateaux des ONG tel que l’Aquarius.

    Nous préparons une grande mission de sauvetage en Méditerranée, une mission pour sauver l’Europe de l’immigration clandestine. Nous voulons rassembler une équipe de professionnels, affréter un grand bateau et naviguer sur la mer Méditerranée pour contrecarrer les bateaux de ces contrebandiers humains. Si nous rencontrions des clandestins en détresse, nous leur viendrions bien évidemment en aide en les raccompagnant jusqu’aux côtes africaines. Pour commencer notre mission, nous avons besoin de votre aide. Les ONG bénéficient de beaucoup d’argent de la part les gouvernements et organismes pro-immigration. Nous ne dépendons que de vous pour financer cette mission et participer à la sauvegarde de notre civilisation.

    Defend Europe

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  2. Les pays Résistants se trouvent menacés.

    Les Observateurs
    mardi, 16 mai 2017.
    +
    Migrants: Bruxelles menace la Hongrie et la Pologne de procédures légales en juin

    Article publié le 16.05.2017
    Strasbourg – La Commission européenne a menacé mardi de lancer des procédures d’infraction contre la Hongrie et la Pologne si elles refusent toujours d’ici juin d’accueillir des demandeurs d’asile depuis l’Italie et la Grèce, comme l’impose un plan européen adopté en 2015.

    « Si rien n’est fait avant notre prochain rapport en juin, la Commission n’hésitera pas à utiliser ses pouvoirs en vertu des traités et à ouvrir des procédures d’infraction », a déclaré le commissaire aux Migrations, Dimitris Avramopoulos, lors d’une conférence de presse au Parlement européen à Strasbourg.

    Face à l’afflux extraordinaire de demandeurs d’asile en Italie et en Grèce, les pays de l’UE étaient convenus en septembre 2015 de se répartir de manière exceptionnelle jusqu’à 160.000 personnes en deux ans depuis ces deux pays vers le reste de l’Union.

    Mais ce plan temporaire dit de « relocalisation », censé incarner la solidarité européenne, a surtout illustré les divisions entre Etats membres, qui ne l’ont appliqué qu’au ralenti, voire pas du tout pour certains. Au 16 mai, seulement 18.418 demandeurs d’asile ont ainsi été répartis, a indiqué mardi la Commission.

    « J’appelle la Pologne et la Hongrie, qui n’ont pas encore relocalisé la moindre personne à commencer à le faire immédiatement », a insisté M. Avramopoulos, en désignant en particulier ces deux pays les plus récalcitrants.

    Selon la Commission européenne, ils sont avec l’Autriche « les seuls Etats membres à ne pas avoir encore » accueilli le mondre demandeur d’asile selon les quotas décidés en 2015, manquant ainsi « à leur obligation juridique et aux engagements pris à l’égard de la Grèce et de l’Italie ».

    L’Autriche, qui avait demandé une exemption temporaire à ce plan, « s’est toutefois formellement engagée à relocaliser 50 personnes depuis l’Italie, une décision saluée par la Commission », qui l’appelle aussi « à commencer à le faire pour la Grèce.

    L’exécutif européen a également pointé du doigt mardi la République tchèque qui n’a pas contribué aux relocalisations depuis « près d’un an ».

    Source

  3. Le travail, la famille, la patrie. On connaît les mots d’ordre du maréchal Pétain, mais ces mots dévoilent une vérité profonde. Malgré sa collaboration honteuse avec l’Allemagne nazie cet homme avait bien compris que le travail, la famille et la patrie sont les fondements sur lesquels s’érige l’édifice d’une nation. Tout redressement national passe nécessairement par l’affirmation de ces trois principes structuraux et leur mise en application. Si on enleve un ou même deux piliers a l’édifice, celui-ci va s’écrouler. Et aujourd’hui, qu’est-ce qu’on voit? Partout, la patrie est vilipendée, ridiculisée, soupconnée de « crimes contre l’humanité ( les propos du (Macr)con de l’Elysée selon lesquels la France aurait commis des crimes contre l’humanité lors de la guerre d’Algérie tandis que les crimes du FLN auraient été l’oeuvre de quelques enfants de choeur sont assez révélateurs a ce sujet) et les tenants de la bien-pensance mondialiste veulent nous faire gober que le colonialisme blanc était ipso facto mauvais et néfaste pour les Africains et les Maghrébins.
    Et la famille? Le taux de natalité est en chute libre depuis des décennies et combien y a-t-il des foyers détruis, de divorces, de familles monoparentales et d’enfants perturbés? La famille, c’ est une terre brûlée, un champs délaissé, une plaie béante sur un corps social en décomposition. En quarante ans, le libéralisme outrancier, l’auto-culbabilisation des Occidentaux, l’individualisme hédoniste et irresponsable et la pensée destructrice des soixante.huitards ont réussi a défaire la charpente sociale et politique de nos societés occidentales.

  4. On dirait que tous ces dirigeants là aux pouvoirs agissent comme s’ils devaient partir obligatoirement de la planète en laissant la terre brûlé partout sur terre.

  5. Ce sont des traîtres et j’espère qu’un jour ils et elles seront jugés pour traîtrise et pour intelligence avec l’ennemi et la sentence sera la mort.

  6. Marine Le Pen redevient présidente du Front national
    :: https://francais.rt.com/france/38352-marine-pen-redevient-presidente-front-national
    15 mai 2017

    Steeve Briois, président par intérim du Front national pendant la campagne d’entre-deux-tours a rétrocédé la présidence du parti à Marine Le Pen. Le parti se met en ordre de bataille pour les législatives.

    Après avoir assumé la présidence par intérim du Front national (FN), Steeve Briois a annoncé sur Twitter que Marine Le Pen reprenait son poste de présidente du parti.

    Fier de la confiance que @MLP_officiel m’a accordée. Elle retrouve aujourd’hui la présidence du @FN_officiel ! Cap sur les législatives— Steeve Briois (@SteeveBriois) 15 mai 2017

    Le maire d’Henin-Beaumont avait remplacé le 28 avril 2017 à la présidence par intérim du FN Jean-François Jalkh. Ce dernier, nommé au lendemain du premier tour de la présidentielle avait dû démissionner, mis en cause pour des propos négationnistes tenu en 2005 dans la revue Le Temps des savoirs. En plateau sur BFMTV ce même 28 avril 2017, Louis Alliot avait réfuté ces accusations { https://francais.rt.com/france/37664-presidence-par-interim-front-national }.

    Au lendemain du premier tour, Marine Le Pen avait abandonné temporairement la présidence du FN, afin, expliquait-t-elle de se présenter devant les Français libre de toute attache partisane. «J’ai toujours considéré que le président est le président de tous les Français et qu’il doit rassembler tous les Français», avait déclaré la candidate frontiste le 24 avril, «c’est une conviction, mais il faut passer des paroles aux actes».

    Avec en ligne de mire les législatives, Marine Le Pen reprend ainsi la direction des opérations alors que le FN doit affronter des turbulences. Outre le retrait de la vie politique de Marion Maréchal Le Pen pour raisons personnelles { https://francais.rt.com/france/38188-marion-marechal-le-pen-devrait-annoncer-retrait-politique-figaro }, le torchon brûle entre la ligne incarnée par Florian Philippot, farouche partisan de l’abandon de l’euro, et Gilbert Collard.

    Lire aussi : Le recours à Hitler, l’ultime arme des soutiens de Macron ?
    :: https://francais.rt.com/france/37709-apres-visite-macron-oradour-point-godwin-et-nazisme-sinvitent-au-second-tour

  7. Article un peu simpliste quant à sa conclusion car il sous entend qu’il faut avoir des enfants pour se soucier de leur avenir
    Je rejoins Jacquelin……ce n’est pas une vérité absolue. Ce soucier de l’avenir c’est avoir une conscience civilisationnelle.

    Certains sans enfants l’ont, d’autres avec enfants, une majorité semble-t-il au vu du résultat de cette dernière élection, ne l’ont pas.

    La réalité est abordée rapidement par la formule  » l’Europe aujourd’hui n’a pas envie de se défendre  »
    Oui se défendre c’est concevoir l’idée de la guerre et les dirigeants européens actuels sont pour la plupart des vieux dont la psychologie est le produit de la guerre passée, et sa cohorte d’abomination.

    Les peuples européens sont infantilisés par la culture consumériste et par le discours politique qui se veut vendeur d’une « assurance sérénité » sur l’avenir…..souvenons nous du slogan débile de 2005 sur l’Europe qui nous a protégée de la guerre….ce qui sous entend la fin de l’Histoire sur le continent et donc une incapacité à se projeter dans l’avenir autrement qu’en occultant le tragique de la perspective existentielle. ( à ce titre, toute personne allant à l’encontre de ce schéma mental « obligatoire » sera traitée de fasciste ! )

    Il est évident que l’Allemagne est un pays en perdition dans lequel le conditionnement à la haine de soi et le suicide culturel est encore pire qu’en France.

    C’est un fait que la perspective de sortir de l’UE dominé par une Allemagne décadente est à privilégiée ou a tout le moins une perspective de reprise en main de notre souveraineté territoriale une nécessité impérative dans un proche avenir.

    • @Claude, Non, ce n’est pas une vérité absolue.
      En revanche pas d’accord avec ce que vous écrivez: « Oui se défendre c’est concevoir l’idée de la guerre et les dirigeants européens actuels sont pour la plupart des vieux dont la psychologie est le produit de la guerre passée, et sa cohorte d’abomination. »
      Les dirigeants européens actuels, et c’est prouvé par les études et les sondages,( y compris pour le dernier en date Macron), ne sont jamais élus par les « Vieux ». Mais par cette tranche intermédiaire acculturée des 40/55ans boboïsée depuis son entrée dans l’âge adulte et l’U.E.Cette tranche d’âge intermédiaire n’a connu ni les guerres coloniales, ni les guerres mondiales, et c’est sans doute la tranche d’âge la plus lâche de tous les pays européens.

      • Fomalo vous m’avez lu ? alors mal compris.
        Je n’ai pas écrit que c’étaient les électeurs des dirigeants actuels qui étaient vieux mais les dirigeants eux mêmes !

        Ceux qui sont au sommet de la pyramide du pouvoir, entre autres Jean Claude Juncker, Angela Merkel tous deux nés en 1954…et héritiers de ceux qui ont vécus la seconde guerre mondiale.

  8. -« Des dirigeants sans enfants mènent une Europe somnambule à l’abîme »-

    En effet ! Personnellement j’ai souvent pensé à celà et à autre chose.

    Les critères pour exercer la politique devraient correspondre aux attentes communes de la majorité des peuples et lui ressembler.

  9. je comprends cet article dans le cadre de la réflexion sur la responsabilité des parents en rapport avec les enfants qu’ils ont procréés mais , je tiens à rajouter que pas mal de gens et des patriotes , n’ont pas d’enfants ,et ce n’est pas pour cette raison qu’ils ne s’inquiètent pas de l’avenir et ne luttent pas pour le rendre humain, je rappelle également que le fait d’avoir des enfants est une décision prise par un couple , voir l’adoption , cette responsabilité est engagée au moment de la prise de décision donc se doit d’être assumée, faire des enfants est en aucun cas , une obligation, alors merci de bien vouloir ne pas mettre en place une forme de ségrégation

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