Dans la famille Traoré, je voudrais les frères. J’ai déjà Adama et Bagui ; le premier, mort après sa fuite lors d’un contrôle policier ; le second, en détention provisoire dans le cadre d’un enquête pour tentative d’homicide. Voilà que, bonne pioche, je tombe sur Yssouphou (ou Youssouf, comme c’est parfois écrit, que de complications, et si on l’appelait Robert ?) et Cheikne. Vingt-deux et vingt-sept ans. Motif de leur nomination par les merdias ? Rien de spécial, ils auraient juste cassé la figure à un jeune homme qui avait porté plainte contre Adama, pour viol.
Un troisième larron, toujours de la fratrie Traoré, s’est rendu à la gendarmerie lundi après-midi.
Du coup, je poursuis, c’est bien ça la règle des sept familles, non ? C’est parti. Je deviens accroc à ce jeu, moi.
Rappelons, pour ceux qui débarquent à l’instant de la planète mars, qu’Adama Traoré est mort lors de son interpellation par les forces de l’ordre. Sa sœur prétend depuis que les agents l’ont « aidé à mourir », les policiers répondent que le jeune homme s’est éteint sans leur intervention. Où est la vérité ? Nulle part.
Quoique si, elle réside en une question : combien de temps faudra-t-il aux autorités pour comprendre que le virage dangereux que prend la sécurité en France nécessite une recomposition de l’appareil législatif, administratif et judiciaire ? Mais les banquiers n’ont pas l’air de trouver que les petites frappes posent problème, donc, que voulez-vous, les politiciens s’en accommodent aussi. Quant aux habitants des banlieues qui n’en peuvent plus, eh bien, qu’ils glissent leur bulletin pour Marine, tant qu’elle ne dépasse pas les 40% au second tour, les meubles sont saufs.
Une touche de féminité, maintenant : la sœur de Bagui, Assa, continue à parler d’un « acharnement de la justice » (même phrase que lors de la garde à vue de Bagui, manqueraient-ils de dictionnaires des synonymes à SOS Racisme ?).
Reprenons toutes les cartes en main. Donc Adama, dix-sept procédures au compteur, incarcéré jusqu’à un mois avant sa mort, aurait violé son codétenu l’an passé. Son grand frère Bagui, lui, bien connu des services de police (extorsion, port d’arme…) a été condamné à six mois de prison (trois ferme) pour des violences à la sortie d’un conseil municipal, en décembre dernier. Il est actuellement mis en examen pour tentative d’homicide. Ne riez pas : il entame une grève de la faim pour exiger sa libération. Pas sûr que tous les matons l’empêchent d’aller au bout de son idée.
Et maintenant, trois de ses frères en garde-à-vue pour un bolossage bien en règle. Évidemment, dans le quartier, les riverains sont bien malheureux. Voyez un peu les témoignages livrés à Valeurs actuelles, qui illustrent combien leur manquent les frères Traoré :
« La vérité, c’est que tout le monde a peur des frères Traoré ici »
« Ce sont des caïds, un clan, c’est Bagui, la tête de réseau »
Quelle couverture de fond les merdias accorderont, s’ils ne noient pas le poisson, à cet énième volet de l’affaire Traoré ? Pour mémoire, Assa avait eu les honneurs de toute la presse, Médiapart lui laissant même présenter des vœux présidentiels (remarquez, par les temps qui courent, ce n’est pas un cadeau). Le joyeux poilu rond Mouloud Achour l’avait même embauchée au « Gros journal ». Quant à Youssouf, il avait carte blanche à Canal Plus, toute victime qu’il était (citations : « J’ai fait de la prison pour rien », « Je n’ai rien fait, c’est un complot », « J’ai toujours été quelqu’un de bien »).
Il semble toutefois un peu contradictoire que des gens qui crient au complot et à la violence policière, vocifèrent que leur frère a été victime d‘une bavure, arguent qu’ils sont des personnes respectables, soient pris la main dans le sac à plusieurs reprises en l’espace de quelques mois et exigent maintenant que la Justice fasse sont travail. Ils ont tout de même eu droit à tous les plateaux télé et les unes de magazine, alors que plusieurs rapports ont conclu qu’Adama est mort asphyxié, cause d’une fragilité particulière, après sa cavalcade pour échapper à un contrôle. Parce qu’il se savait sous la menace d’une plainte pour viol ? En tout cas, après des émeutes, des blessés et les menaces de mort, les journaleux laissent toujours entendre que les policiers seraient les premiers coupables dans cette histoire.
Moralité : rien ne sert de courir, il faut parler des poings.
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D’où vient cette famille traoré ?
S’agit-il de réfugiés politiques?
De poètes persécutés par un dictateur ?
De quoi vivent-ils ?
Une famille de délinquants qui se plaignent d’être importunés par la police et présentés sous un jour favorable par nos merdias !!!
DEHORS ! A coups de pieds au cul !
Je connais un petit commerçant qui travaille 60 h /semaine avec une famille de 4 enfants, la banque vient de lui refuser un prêt, alors qu’il traverse une passe difficile, une grande surface vient d’ouvrir à proximité,
Les banques ne font rien pour aider les travailleurs français honnêtes, on croirait même que ça leur ferait plaisir de le couler
cela ne m’étonne pas que les banques aiment bien se genre de racaille ( entre racaille) ils sont meme plus sympathique avec ces ordures de trafiquant en touts genres que avec des honnêtes français comme vous et moi qui gagnons le smic . dans quel monde de merde vivons nous , du changement et vite , pour ça espérons que les français votent bien cette fois !
Nous aussi on voudrait bien que la justice fasse son travail, par exemple qu’ elle mette hors d’ état de nuire ces bandes ou fratries de racailles sans attendre qu’ ils aient un casier long comme le bras.
Même qu’on voudrait que le gouvernement fasse son travail en ne laissant pas le pays se faire coloniser par ces populations de parasites nuisibles et foutent dehors ceux qui ne nous respectent pas.
On voudrait aussi que les journalistes fassent leur travail: Informer et non pas faire de la propagande en faisant passer ces cassos pour des victimes ou des exemples….
Une famille modèle adule par la gauche et les associations anti française
https://francais.rt.com/international/35199-merkel-rutte-conclu-accord-refugies-turquie
Merkel et Rutte auraient conclu un accord secret avec la Turquie sur les quotas de réfugiés
14 mars 2017, 11:22
Merkel et Rutte auraient conclu un accord secret avec la Turquie sur les quotas de réfugiés© Bart Maat Source: AFP
Angela Merkel, Ahmet Davutoglu et Mark Rutte
Angela Merkel et Mark Rutte se seraient entendus pour accueillir chaque année des centaines de milliers de réfugiés venant de Turquie mais n’en auraient pas informé les autres dirigeants de l’UE, selon le livre d’un journaliste allemand.
En mars 2016, la veille du sommet UE-Turquie, deux dirigeants de l’Union européenne, la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre néerlandais Mark Rutte, auraient rencontré le Premier ministre turc de l’époque, Ahmet Davutoglu, pour discuter des détails de l’accord sur les réfugiés entre l’UE et la Turquie. Les détails de cette rencontre secrète lors de laquelle l’accord aurait été conclu ont été révélés dans un nouveau livre intitulé Die Getriebenen : Merkel und die Flüchtlingspolitik (Les Amateurs : Merkel et la politique des réfugié) d’un journaliste de Die Welt, Robin Alexander.
Lors de la rencontre, Angela Merkel et Mark Rutte seraient tombés d’accord sur les principales dispositions du futur accord UE-Turquie présentées plus tard au sommet comme une initiative spontanée de la Turquie, selon l’auteur. Ils auraient notamment approuvé l’idée que l’Europe accueille chaque année entre 150 000 et 250 000 réfugiés venant de Turquie, même si l’afflux massif de demandeurs d’asile et de migrants en Europe se réduisait.
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Cette disposition particulière n’a pas été incluse dans le texte officiel de l’accord et reste une «entente à l’amiable» entre Angela Merkel, Mark Rutte et les autorités turques, écrit Robin Alexander en citant des responsables anonymes «impliqués directement dans les négociations» la veille du sommet.
Cette partie de l’accord n’a jamais été divulguée ni aux autres dirigeants de l’UE, ni au public allemand, selon son livre. D’après Robin Alexander, le texte officiel de l’accord entre l’UE et la Turquie a été complété avec la formule : «Une fois que les franchissements irréguliers entre la Turquie et l’UE prendront fin ou que leur nombre aura été substantiellement et durablement réduit, un programme d’admission humanitaire volontaire sera activé. Les États membres de l’UE y contribueront sur une base volontaire.»
Cette disposition a été approuvée par tous les dirigeants de l’UE lors du sommet de mars 2016. Mais l’accord prévoyait la participation volontaire de pays de l’UE à ce programme d’admission, ce qui explique l’obstination d’Angela Merkel à imposer un quota obligatoire de réfugiés, selon Robin Alexander. Si tous les Etats membres de l’UE refusaient d’accueillir des réfugiés venant de Turquie, l’Allemagne et les Pays-Bas auraient dû les accueillir eux-mêmes.
Autre grande concession faite par Angela Merkel et Mark Rutte : qu’Ankara décide de quels réfugiés seraient envoyés en Europe dans le cadre du système négocié de quotas de réfugiés. Le ministère turc de l’Intérieur aurait été chargé de rédiger la liste de réfugiés qui devaient être envoyés dans l’UE. «Les diplômés ou les professionnels compétents ne figuraient pas dans ces listes. Il y avait même peu de gens en bonne santé dans les trains partant pour l’Europe : les Turcs ont permis seulement aux réfugiés gravement blessés ou traumatisés de se déplacer», lit-on dans le livre de Robin Alexander.
L’accord UE-Turquie a été conçu comme une «solution complète» à la crise migratoire mais que, «à Bruxelles, Merkel ne luttait pas pour les frontières ouvertes ou fermées mais pour maintenir sa rhétorique politique», estime le journaliste. Selon lui, sa politique se base sur les concepts d’un «impératif humanitaire» et un «manque apparent d’options». Il ajoute que «les frontières ne peuvent être fermées non plus à l’heure actuelle».
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Néanmoins, Robin Alexander suppose, dans son livre, que l’accord officiel n’était en lui-même pas nécessaire. «Au lendemain du sommet, le 9 mars 2016, la Slovénie, la Croatie, la Serbie et la Macédoine ont décidé de laisser entrer les seuls réfugiés qui avaient des papiers d’identité crédibles et voulaient demander asile dans l’un de ces pays», ce qui a pratiquement fermé la route des Balkans, via laquelle les migrants passaient en Allemagne et en Autriche. «Le 10 mars, le poste frontalier autrichien de Spielfeld [à la frontière avec la Slovénie] a annoncé qu’il n’y avait plus de réfugiés», explique-t-il, alors que l’accord entre l’UE et la Turquie n’est entré en vigueur que 11 jours plus tard.
International
Lou Mantély, vous me plaisez beaucoup et vous me faites toujours rigoler ! Continuez ! Quant aux traoré, comme théodule au fondement élargi par une vilaine matraque policière, comme le furent, en leur temps, les coulibaly, merah et d’autres pourritures, savoir que ces racailles sont les chouchous des merdias, me met en rage. Mais patience ! La roue tourne et le boomerang est en train de prendre son élan !
Des bonnes tête de bon Français non ??????quoi j’ai rien dit de mal ?