Anna Holligan, de la BBC, voudrait nous faire pleurer sur le sort des Marocains au pays de Geert Wilders

Discréditer Geert Wilders

 C’est dur d’être Marocain aux Pays-Bas. Demandez donc à la BBC.

10 mars 2017 par Bruce BawerBruce Bawer est l’auteur, entre autres, de « While Europe Slept” (Pendant que l’Europe dormait), “Surrender” (Reddition).

http://www.frontpagemag.com/fpm/266036/warping-truth-about-wilders-bruce-bawer

À partir du moment où il est devenu évident que l’islamisation du monde occidental était une catastrophe potentielle de proportions historiques, les grands médias, dans leur effort pervers de défendre l’indéfendable et de refuser de regarder le bateau couler, ont fait usage sans honte de leur propre interprétation de faits évidents. Un des premiers exemples de cette pratique dont je me souviens a vu le jour en 2003, lorsque le gouvernement norvégien fanfaron a fait du terroriste résident Mullah Krekar le premier exemple de nombreuses épisodes de déportation. Depuis que Mullah Krekar, dans son pays d’origine, était devenu responsable de la mort violente d’innombrables innocents, enfants inclus, il n’était pas facile de lui accorder la moindre sympathie (même si certains médias l’ont essayé).

De nombreux journalistes ont alors choisi l’angle de la famille : Mullah Krekar pouvait être un sale type, mais qu’en était-il de sa pauvre femme et de leurs enfants ? À plusieurs reprises, les journaux ont publié des gros plans de sa femme et des photos d’elle l’embrassant. Un article a fait toute une histoire de la confiscation par les services de renseignement de son livre de recettes auquel elle tenait tant, trésor de famille depuis des générations et qui contenait les recettes de tous les plats préférés de Mullah. Le journal Dagbladet, pour sa part, avait publié une de ces belles histoires à faire pleurer nous disant que lorsque les enfants de Krekar avaient appris par la télévision que papa avait été libéré de la garde à vue et allait rentrer à la maison, ils avaient embrassé l’écran du téléviseur. C’est ce même journal qui avait publié ce charmant article sous le titre « Mes enfants attendent chaque jour d’entendre parler de papa« . En fait, l’article commençait par ces phrases : « La femme de Mullah Krekar (39 ans) a peur. Elle craint pour ses quatre enfants et pour l’avenir ».

Et ainsi de suite. Vous avez compris. Si vous essayez d’obscurcir la vérité, de défendre l’indéfendable et de salir les braves types, foncez dans le mur pour le pur effet de style. C’est ainsi que, alors que nous sommes à quelques jours des élections législatives du 15 mars aux Pays-Bas, Anna Holligan de la BBC, dans un effort de dépeindre Geert Wilders, tête du Parti de la Liberté (PVV), comme raciste incitant à la haine, a publié un article le 7 mars à La Haye en portant son attention sur un de ces Marocains hollandais que Geert Wilders, comme elle l’a dit, avait « accusé … de rendre les rues dangereuses ». Inutile de le préciser, Anna Holligan s’est bien gardée d’interviewer l’un des nombreux Marocains hollandais qui ont abandonné l’école et vivent des prestations sociales ; elle n’a rien dit non plus de ces jeunes hommes originaires du Maroc qui, à raison d’à peu près 50 % d’entre eux, sont des adeptes de ce merveilleux rap dont on connaît les rimes.

Non, elle a parlé à une musulmane, Hafsa Mahraoui, qui est « l’image de la quintessence, de la musulmane moderne encapuchonnée dans son hijab ». (Ah mais oui, on dira bientôt « moderne» comme un hijab !). Hafsa Mahraoui, ainsi l’a précisé Anna Holligan, se considère comme « une vraie fille d’Amsterdam ». Mais la vie a été dure pour elle dernièrement : « le ton de la campagne » l’a abattue. « Ils disent que l’islam n’est pas normal, il n’appartient pas à la société néerlandaise, et que de porter le hijab signifie que je suis une personne opprimée », a déploré Hafsa Mahraoui. « C’est fatiguant parce que nous sommes toujours mis en vedette et qu’on doit se défendre ». Comme si tout cela ne suffisait pas, Hafsa Mahraoui s’est plainte, voulant clairement faire savoir, se donnant comme exemple, comment les Néerlandais traitent les musulmans, que son voile lui avait été « arraché juste après le meurtre du cinéaste Theo van Gogh ». Apparemment, elle en frissonne encore, non pas du souvenir du meurtre, pensez donc, mais de ce souvenir remontant à une douzaine d’années : s’être fait arracher son voile.

Ainsi, le meurtre de Theo van Gogh devient une référence de passage dans un article sur les Néerlandais qui n’ont rien d’autre à faire que de rendre la vie difficile aux musulmans. Peu importe le meurtre lui-même, qui a eu lieu dans une rue animée d’Amsterdam et a été commis par un certain Mohammed Bouyeri, Hollandais de parenté marocaine qui, avant le meurtre, était considéré par des amis et relations comme quelqu’un de pleinement intégré dans la société néerlandaise, en effet, il aurait pu se décrire comme « un vrai garçon d’Amsterdam »). Oui, c’est regrettable que quelqu’un, à la légère, ait arraché le voile de Hafsa Mahraoui. Mais il est encore plus regrettable que, simplement parce que Theo van Gogh avait publié un court métrage attirant l’attention sur l’oppression systématique et les abus brutaux des femmes sous l’Islam, Mohammed Bouyeri, né et élevé aux Pays-Bas, ait été là, au bon moment, pour tirer huit fois sur Theo, puis l’ait égorgé pour tenter de le décapiter, le poignardant finalement et utilisant un deuxième couteau pour épingler sur la poitrine de sa victime une lettre ouverte adressée à la collaboratrice du cinéaste, Ayaan Hirsi Ali. La lettre louait Allah et Mohamet, citait abondamment le Coran et se terminait ainsi : « Je sais avec certitude, ô Amérique, tu seras  vaincue. Je le sais bien, ô Europe, tu seras vaincue. Je le sais bien, ô Hollande, tu seras vaincue. Je le sais bien, ô Hirsi Ali, tu seras vaincue. J’en suis sûr, ô fondamentalistes infidèles, vous serez vaincus ».

C’est le meurtre de Theo van Gogh, et non quelqu’acte aléatoire d’arrachage de voile, qui est l’acte emblématique ultime des Pays-Bas d’aujourd’hui. Mais ce n’est pas en écoutant la BBC ou en lisant la plupart des grands médias occidentaux que vous le saurez.

Si Anna Holligan avait été plus honnête, et plus courageuse, elle n’aurait pas présenté, comme si c’était une vérité inexpugnable, la vision des Hollandais par Hafsa Mahraouri comme des intolérants du hijab et les Marocains Hollandais comme des victimes innocentes de leur préjugé. Elle aurait plutôt interviewé quelqu’un comme Salman Ezzammoury, 57 ans, apostat de l’Islam, arrivé du Maroc au Pays-Bas à l’âge de 23 ans et qui, dans une récente interview, a fait une image du Néerlandais qui est exactement le contraire de ce qu’en dit Hafsa Mahraouri. Salman Ezzammoury considère les Pays-Bas splendides, merveilleux, et qualifie les Hollandais de tolérants et gentils. Les seules personnes dans son orbite qui ne sont ni tolérants ni gentils sont, devinez qui ?, ses voisins musulmans. Les musulmans hollandais se sont délibérément isolés de la société hollandaise, tandis que les Hollandais, dans leur naïveté, leur donnent toutes les occasions de répandre leurs idées « diaboliques ». Que pense Salman Ezzammoury de Geert Wilders ? Salman Ezzamoury, lui, est un homme de gauche, mais au fond, lui et Geert Wilders partagent « la même idéologie », dit-il sans hésiter.

Alors, qui a interviewé ce courageux monsieur, cet ancien musulman qui est bien informé, et si rafraîchissant de vérité, à la fois sur l’Islam et les Néerlandais ? Le New York Times ? Le Guardian ? CNN ? Cherchez encore : son entrevue a paru dans un journal local de Barneveld, ville de 30 000 habitants de la province de Gelderland, en grande partie rurale. Laurent Obertone a fait le point sur son propre pays, la France, dans son livre de 2013 « La France Orange Mécanique », ce qui est vrai pour de nombreux autres pays, les Pays-Bas inclus : quand vous voulez connaître les faits de l’impact redouté de l’islam sur L’Occident, ne perdez pas votre temps à lire les principaux médias nationaux ; consultez la presse régionale, où des journalistes obscurs et mal payés qui n’appartiennent pas à l’élite du politiquement correct vous donneront des aperçus de la vérité alors que leurs collègues dans le vent, ceux des grandes villes, comme Anna Holligan de la BBC, font de leur mieux pour cacher la vérité au grand public. (Note du traducteur : consultez en premier les sites patriotes).

 

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3 Comments

  1. Geert Wilders à raison et c’est pour quand que la France fera pareil hein ?
    chez Geert Wilders ont aime le fromage GOUDA mais pas la Tadjine hé hé hé !

  2. cela rejoint la vidéo du canadien : les grand média tenus par le capital et pro-mondialisation-islamisation

  3. Ben, vous voyez Madame Tasin, Geert Wilders est un vrai gauchiste comme vous, comme les vrais gauchistes qui sont toujours du côté du vrai peuple, comme ceux des vrais droites, les autres sont des imposteurs, des escrocs, ceux du système pourri qui abusent des peuples européens.

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