Ajaccio : 4 mois de prison ferme pour Sabri Ouerghi, agresseur de deux commerçants

On se souvient de l’agression subie en décembre dernier par deux commerçants d’Ajaccio, agressio qui avait suscité émotion, rassemblement et avait obligé le juge à laisser en prison l’auteur des faits jusqu’à son procès.
J’étais hier après-midi devant le palais de justice en compagnie d’autres patriotes pour soutenir le propriétaire du magasin de sport “Inter Sport” d’Ajaccio.

Il y avait beaucoup moins de monde que la première fois ; environ 150 personnes dont un tiers ont pu pénétrer dans la salle d’audience.
L’agresseur a écopé de 4 mois de prison ferme… A comparer avec les 6 mois de prison ferme du malheureux qui avait simplement mis des lardons dans la boîte à lettres d’une mosquée…
Les Corses présents, à défaut de pouvoir mettre la main sur l’agresseur, s’en sont pris à son avocat, montrant ainsi qu’en Corse on s’en prend pas impunément aux insulaires et qu’on ne défend pas impunément leurs agresseurs :
http://www.corsematin.com/article/ajaccio/proces-de-lagression-du-gerant-dintersport-lavocat-de-la-defense-pris-a-partie.2108011.html

Le tribunal correctionnel d’Ajaccio a condamné, mardi 3 janvier 2017, Sabri Ouerghi à huit mois de prison, dont quatre avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve. L’homme de 26 ans avait agressé un couple de commerçants le 3 décembre dernier.

Après avoir condamné Sabri Ouerghi à de la prison ferme, le tribunal correctionnel d’Ajaccio a décidé du maintien en détention de l’accusé. Il a été reconnu coupable de violences, non aggravées, contrairement à cec que souhaitait dans son réquisitoire le procureur de la République qui avait réclamé une peine de prison de six mois.

 

Le 3 décembre dernier, deux mineurs avaient tenté de dérober différents articles dans deux enseignes de sport d’Ajaccio. Pris la main dans le sac, ils avaient alors appelé Sabri Ouerghi pour qu’il vienne régler la note. Les choses s’étaient alors envenimées.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/prison-ferme-contre-l-agresseur-de-commercants-d-ajaccio-1483506794

 

Extraits de Corse matin

Hier, c’est à cela qu’a ressemblé l’audience correctionnelle au cours de laquelle, Sabri Ouerghi, 26 ans, a été condamné à huit mois de prison dont quatre avec sursis pour des violences commises sur le gérant du magasin Intersport de la Rocade, le 3 décembre dernier.

Les faits de violence s’étaient produits après deux vols. L’un dans cette boutique, l’autre à Sport 2000, située à quelques mètres. Attrapés par le gérant, deux mineurs avaient appelé le prévenu pour venir régler le préjudice. Le lien entre ces jeunes et Sabri Ouerghi ? Difficile de l’établir, le tribunal se contentera d’un vague, “c’est un jeune du quartier”, ou d’un autre “c’est comme mon frère”. Finalement, l’audience a laissé un goût amer.

Pour renforcer cette version, on joue des chiffres. “La victime a eu 21 jours d’ITT (ndlr : incapacité temporaire de travail) et le prévenu 3 jours”, reprend la présidente.

Sabri Ouerghi, assis dans le box vitré, se déploie alors pour prendre la parole. Toute sa force coincée dans une chemise blanche, indéniablement trop serrée, il crache “sa” vérité au tribunal. Sur les ITT, tout en écorchant la langue française à chaque mot, il confie “qu’ici, en Corse, pour un personnage comme le gérant du magasin, c’est facile d’avoir des ITT plus gonflées...”

Sur les faits ? “C’est le directeur du magasin qui a mis le premier coup. Moi je venais pour sortir les petits de là car dans le quartier je suis connu pour aider, j’ai la main sur le coeur. Le gérant voulait nous mettre à l’amende en nous faisant payer sans même nous laisser la marchandise volée”, relate le prévenu devant une salle anormalement pleine.Le gérant dit l’inverse. L’emplacement des uns et des autres dans le magasin a été étudié, les témoignages ont été épluchés et les contradictions pointées. Finalement, la salle doit s’en tenir à un dossier de version contre version. On quitte les faits pour plonger dans l’arrière-plan de l’affaire.

“On va vous montrer la puissance des Arabes, ici on est chez nous, on ne paie pas”, aurait lâché le prévenu, alors qu’il était torse nu en arrivant dans le magasin, selon la première déclaration de la victime mais également d’autres témoins de la scène. Sabri Ouerghi nie : “Moi je suis Ajaccien, je suis né ici, je connais du monde”. La salle pouffe.

Les acteurs principaux ? Deux adolescents de 15 ans, à qui on ne donnerait pas plus de 12 ans. Tout en bégayant, les deux jeunes hommes, suspectés des vols qui ont précédé l’agression, ont assuré que c’était bien “le gérant qui avait frappé Sabri”. Des incohérences, pointées par l’accusation représentée par le procureur Éric Bouillard, troublent leur récit. Un peu perdus, ils éludent. L’un d’eux expliquera : “Je me suis mal exprimé en garde à vue, ça m’a donné mal à la tête”. Naturellement.

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18 Commentaires

  1. des politiques qui font l’autruche, une justice qui pense que les musulmans sont des gens comme les autres, une population qui par peur joue l’indifférence, voilà une partie des composants qui font que la France plonge inexorablement vers le chaos.

  2. Le réveil des Français de souche se fait , vaut mieux tard que jamais .
    le27décembre 2016
    Dans le train Toulouse-Agen, lundi soir, un héros s’est levé
    Lundi soir, 19 h, dans le train Toulouse-Agen, un courageux Français s’est levé pour défendre trois jeunes filles importunées par un homme de 22 ans, issu de l’immigration, monté en gare de Montauban.
    Elles ne se connaissaient pas avant ce voyage entre les fêtes mais elles avaient toutes les trois échangé, fait connaissance, créé des liens. Elles avaient entre quinze et vingt-trois ans. Et chacune allait rejoindre qui une amie, qui sa famille, qui son petit ami, pour la deuxième semaine des fêtes. Elles ne se doutaient pas qu’un lien plus fort les unirait à la fin du voyage.
    Elles avaient tout de suite vu que l’individu était déplaisant, pour ne pas dire plus. Elles ont, chacune à sa façon, bien réagi, évitant d’attiser, essayant de trouver la parade, la meilleure façon de tenir, de chercher l’issue. Dire non quand il s’est imposé à côté d’elles ? Ne pas lui répondre quand il questionnait et provoquait ? Se lever toutes les trois et changer de place ? Pas facile…
    Et après ? Il devait descendre à Agen. Deux d’entre elles aussi …
    Mais avant cela, il y avait long de Montauban à Agen – plus de trente minutes à tenir avec cet individu agressif, dangereux.
    La rame de ce Téoz était loin d’être vide. Il y avait d’autres passagers. Il y avait aussi d’autres places libres mais il avait tout de suite foncé en direction de ces trois jeunes filles. Pour s’imposer. Pour en découdre. Jusqu’où ?
    Le « dialogue » dura dix très très longues minutes.
    Puis un homme de 44 ans, un Toulousain, grand, que j’imagine volontiers père de famille, comme le père de ces filles, comme moi, s’est levé.
    Il a poliment demandé aux jeunes filles si elles étaient « embêtées ». Et le « oui » a fusé ! Comme un cri, un appel au secours !
    Notre jeune Montalbanais a alors violemment insulté leur sauveur, puis s’est levé, a sorti un couteau et a poignardé ce héros anonyme.
    Les autres passagers ont alors fait leur devoir. Un interne en médecine, une infirmière, les agents de sécurité.
    Sur le quai de la gare, les policiers étaient là pour interpeller l’importuneur de jeunes filles au couteau, actuellement soupçonné de « tentative de meurtre », selon le quotidien Sud-Ouest.
    « L’individu passablement connu des services judiciaires pour des faits de violence et d’outrages, en état d’ébriété, a été en placé en garde à vue. Il est auditionné depuis ce mardi matin sur les faits qui l’ont conduit à frapper un homme de 44 ans, domicilié dans la banlieue de Toulouse, à l’aide d’un couteau. »
    Ce soir du 26 décembre 2016, on apprenait que l’auteur du triple meurtre de la Drôme avait commis une nouvelle agression « à l’arme blanche », et que le braqueur de Bordeaux serait bien l’auteur de la décapitation de Clamart.
    À Agen, dans ce train, ce ne fut « qu’ » une tentative de meurtre.
    Mais cette nouvelle guerre sans nom s’était soudain considérablement rapprochée de nous : c’était la gare de nos enfants, ces jeunes filles avaient leur âge et leur sauveur a le mien.
    En les attendant anxieusement, je croisai le coupable entre les policiers, et la victime, chemise déchirée, qui remerciait l’infirmière.
    Qu’il sache que nous sommes très nombreux, pères de famille comme lui, à le remercier, lui aussi, et à espérer avoir, le jour venu, le même courage.
    http://www.bvoltaire.fr/dominiquemonthus/dans-le-train-toulouse-agen-lundi-soir-un-heros-sest-leve,302482

    • Moralité : plus de voyage en transport en commun sans un 38Special , surtout dans les territoires occupés !

    • En lisant ce récit, je sens reconnaître le schéma classique du “déséquilibré”.


  3. Suite à l ‘affaire de la plage de Sisco dans la région de Bastia l’été dernier, le FNLC avait déclaré qu’il pourrait passer à vitesse supérieure si les choses s’aggravaient :
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/28/01016-20160728ARTFIG00035-le-flnc-du-22-octobre-menace-les-islamistes-radicaux-d-une-reponse-determinee.php
    Donc, il me parait peu probable que le dénommé Sabri Ouerghi,, puisse envisager l’avenir sous les meilleurs auspices après sa sortie de prison…
    et en tant que pratiquant du bouddhisme ZEN ésotérique, c’est très rare que je me fourvoie….
    Donc, comme en Birmanie..AFFAIRE A SUIVRE .

  4. “Je suis connu pour aider”, “je connais du monde”, blablabla. Comme quoi tout est affaire de services et de contre-services, de connaissances, de relations qu’on ne nomme pas. Tout est sur le mode affectif, tout est dans le sous-entendu. C’est une rhétorique mafieuse.
    Et les gamins de quinze ans, pas futés mais déjà bien dans le moule, sont allés chercher le grand frère qui a le coeur sur la main (NB. le coeur sur la main, ça veut dire casser la gueule).
    Quatre mois de congés payés, le Sabri. Bon eh bien voilà, au printemps il sera dehors.

  5. Pas cher payé effectivement, voilà comment on les encourage à passer aux étapes supérieures, ils se croient invincibles car surprotégés et impunis par l’Etat et la justice.
    Bon, ailleurs il aurait été remis illico presto en liberté, la pression des Corses a donc, malgré tout, été en partie récompensée, et c’est déjà mieux que rien.
    Nous devrions nous aussi, les prendre pour exemple, pour faire fléchir les décisions des juges qui adoptent des comportements anti-blancs.
    Mais, restons confiants, à sa sortie, le gugus pourra même plus aller s’acheter un slip au marché, je suis même sûre qu’il réservera, avant sa libération, le billet sur le premier ferry pour vite rejoindre son pote de Sisco-burkini…

  6. Sabri Ouerghi, 28 ANS “le cœur sur la main” (mais il distribue des gnions) Né en FRANCE, ne sais pas parler le français !!!
    Il travaille cette racaille ????
    PROBLÈME OU PAS PROBLÈME ????
    BEIN SUR QU’IL YA UN SÉRIEUX PROBLÈME;
    cette racaille n’a rien à foutre chez nous

  7. C’est pas grand chose comme condamnation au vu des visages de ces deux commerçants. Sans compter ce que l’on ne voit pas.

  8. Il s’en sort à très bon compte ce voyou Je cite :
    “Il a été reconnu coupable de violences, non aggravées…”. Vraiment ?
    Et ce pauvre commerçant avec sa minerve, aura-t-il des séquelles, aura-t-il des céphalées de tension et des problèmes de cervicales par la suite qui aggraveront son cas? Non aggravées ???
    Bref ! Et cette femme avec le nez cassé, “non aggravées” ? Taper sur une femme !!! Sans entrer dans le jargon de la justice – je laisse la maîtrise à Maxime”, je pense que les circonstances sont graves, même très graves. Car il y a toujours des récidives dans ces cas. La quotidien est là pour nous le rappeler.
    Quelle honte ! il se peut qu’il fasse un mois et qu’il soit relâché pour “bonne conduite” !

  9. Les juges rouge, 4 mois de vacances a nos frais,( en milliers d’euros) les demandes d’entrées sont surchargées.

  10. Ce sont des choses comme celle là qui font que la coupe est pleine et qu’on attend mai 2017 pour voir ou faire la St.Barthelemy n°2. Désolé de ne plus être en France pour participer concrètement. J’choui déjà foutu le camp avec mon pognon.

  11. Pas cher payer, il manque la déchéance de nationalité et l’expulsion via son pays d’origine ou celui de ces parents. Et l’expulsion de toute la famille aussi ça fera de l’air.

  12. Comme quoi les Corses se déplaçant en nombre au tribunal ont fait plier le juge , mais pas assez . C’est ce que nous devrions faire nous les continentaux nous les Patriotes, se déplaçer en nombre quand un des nôtres est au prise avec la justice .

  13. Pas cher payé !
    Disons que le juge ne pouvait pas faire moins au risque d’atteinte à l’ordre public ! :-))

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