Se débarrasser de l'islam ? Il existe des mesures préalables avant d’envisager une guerre intérieure

Chère Eva,
Je ne suis pas vraiment d’accord avec vous, malgré, comme d’habitude, la qualité du texte que vous avez écrit. Il faut éviter une guerre civile – ou une guerre intérieure, si l’on préfère – dans un premier temps, en prescrivant des mesures simples d’intégration, simples mais efficaces.

Le « Y’a qu’à se taper dessus » ou « faut qu’on se fasse la guerre » sont des discours inquiétants quand on songe à leur mise en pratique. Peut-être êtes-vous une « Xéna la Guerrière » (ou une « Athéna », si l’on veut être plus fidèle aux personnages imaginaires qui ont façonné notre civilisation), mais n’oublions pas que nos concitoyens, pour un grand nombre :* regardent « Plus belle la vie », « les feux de l’amour », les « 12 coups de midi » ou/et « money drop » ;* jouent au « Candy crush », aux « sudoku », à « Pokemon go » ou à la tablette électronique ;* s’esclaffent devant Nabilla ou Hanouna ; bref, ne se préparent pas du tout à taper sur la tronche d’un ennemi dans un avenir plus ou moins proche !

Une guerre intérieure est nécessairement une catastrophe. La situation serait extrêmement embrouillée. La population est majoritairement soumise ou indifférente. De plus, une guerre intérieure serait nécessairement chaotique et les premières victimes seraient logiquement les plus vulnérables : enfants, personnes âgées, handicapés… Or, la République doit tout faire pour protéger chacun, y compris les plus faibles. Elle doit donc proposer des solutions avant d’en arriver là. Les pouvoirs publics pourraient-ils prendre le parti d’une fraction de la population et la soutenir ?
Le pouvoir royal a pu assiéger la cité protestante de la Rochelle au XVIIème siècle : https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_La_Rochelle_(1627-1628)
Or, on ne pourrait faire la même chose aujourd’hui avec les « territoires perdus de la République ». Un tel siège n’a été possible qu’en monarchie absolue. En République démocratique, il y aurait lieu à trop de « bla-bla » avant de passer à l’action. C’est inconcevable. Voit-on BFM Tv l’annoncer, le Parlement débattre quelques mois, quand on sait que le simple débat sur la déchéance de nationalité a duré des mois pour finalement offrir le spectacle pathétique d’une pantomime ne menant à rien ? De plus, on ne concevrait pas qu’il puisse y avoir dans le lot des innocents, des victimes pro-France qui en fassent les frais. Il y en a bien quelques-unes dans les « cités ». Ce serait contraire à tous nos principes : unité et indivisibilité du territoire et de la France, droits de l’homme, même dans leur conception de 1789… On ne concevrait pas de les sacrifier pour l’intérêt général. Il serait, au surplus, difficile d’identifier les uns et les autres, sans doute.

Seuls des moyens non républicains et démocratiques pourraient permettre de défendre des finalités républicaines et démocratiques, si l’on veut éviter à la fois la guerre civile et les accommodements raisonnables, à moins de réduire ces derniers à la portion congrue. C’est peut-être entre autres pour cela que Majid Ouchaka déclare que la démocratie pose problème… il est rare qu’un athée anti-islam déclare cela, même si j’ai le souvenir d’avoir lu, sauf erreur, Christine Tasin écrire qu’elle était davantage républicaine que démocrate. Les propos rapportés dans le premier article sont plus directs : c’est une limite du modèle républicain et démocratique.

L’auto-gestion des territoires perdus de la République aurait pour seul avantage, à mon avis, de permettre aux agents publics français de ne plus être tenus d’y intervenir, compte tenu des agressions qu’il y subissent, tant, du moins, qu’ils ne se verraient pas octroyer des moyens de lutter efficacement contre ces dernières. Même les prestataires de service privés pourraient bénéficier de cette mesure, ce qui leur permettrait d’échapper à l’incrimination du refus de vente ou de fourniture d’une prestation de service. C’est tout un pan de l’économie et des services publics qui serait libéré.
Si l’on envisage la « partition », dans toutes les occurrences, il demeurerait des partisans de la charia contre la loi républicaine en dehors des territoires perdus de la République, jusque dans les beaux quartiers parisiens ou de la Riviera même. Ces derniers n’accepteraient pas de quitter leurs villas et appartements cossus pour aller vivre en Seine-saint-Denis, par exemple. La thèse de la partition a pour défaut majeur d’envisager les relations humaines comme de la chimie, comme si tel être humain allait migrer à la façon d’un liquide se séparant naturellement d’un autre. Ne pas se rassembler peut, au contraire, être pour eux un moyen de lutter à des fins de conquête. La guerre intérieure serait forcément désordonnée et ses acteurs incertains, à la vérité.

Quant aux solutions, en revanche, des mesures simples pourraient être adoptées, pour commencer :
imposer la laïcité intégrale dans l’espace public et les entreprises, en interdisant les signes religieux, physiques (signes matériels ostensibles) ou intellectuels (revendications), étant donné les difficultés de coexistence entre et avec les religions en France. Tant pis pour les Juifs, Chrétiens, Bouddhistes. etc. : sont-ils prêts à accepter le sacrifice, afin que, dans les moments de vie commune où on ne choisit pas son prochain (collègue, passant dans la rue, etc.), on ne sache qui a telle religion et qui n’en a pas et que les conflits à cet égard se fassent oublier ?
moratoire sur les constructions de nouveaux bâtiments religieux, quels qu’ils soient et quel qu’en soit le financement, sans discrimination… pour éviter l’embrasement de la France, un risque sérieux si on ne visait que l’islam, là encore. Un front républicain pourrait alors s’opposer au front religieux auquel on assiste (le « retour du religieux ») – un laïque authentique n’imposant pas aux autres ses croyances religieuses. Chacun pourrait pratiquer sa religion dans les édifices existants, sauf les mesures prises dans le cadre de l’état d’urgence (fermeture de mosquées, dissolutions d’associations…), qui doivent être pérennisées même quand (ou si?) l’état d’urgence prendra fin, dès lors que les personnes concernées ont été prises « la main dans le sac », ou bien la pratiquer chez soi. Même question : tout le monde est-il prêt à l’accepter ?
– il va sans dire que ces deux premières mesures devraient être complétées par l’abolition des monstruosités juridiques que sont le bail emphytéotique administratif cultuel (abolition prévue par le programme du FN), la jurisprudence administrative relative à l’obligation, pour les collectivités locales, de mettre à disposition des salles pour les fêtes religieuses (basée sur la CEDH), etc.
une politique ferme des prénoms : chaque Français devrait porter un prénom français, défini selon une loi de 1972 (donc, normalement, compte tenu de la sociologie à cette époque). Les prénoms évoquant l’origine de la personne ne devraient être tolérés que comme seconds prénoms, voire prohibés. A défaut, le procureur de la République pourrait imposer d’office un autre prénom. Ce dernier dispositif, prévu actuellement pour la naissance d’un enfant en cas de prénom contraire à son intérêt, serait donc à généraliser, sous réserve de recours juridictionnel aux frais du demandeur (sans aide juridictionnelle pour un enjeu de si faible importance). Une mesure simple, mais si chaque porte un prénom français, il me semble qu’il est plus disposé à penser qu’il appartient à la France.
– La double nationalité devrait être interdite ; c’est déjà le cas pour les navires, qui ont eux aussi une nationalité, comme les personnes, alors pourquoi pas pour ces dernières aussi ? La jurisprudence évoque bien, de temps en temps, le « loyalisme » à l’égard de la France. Or, on peut difficilement être loyal à l’égard de plusieurs Etats, dont les intérêts sont toujours susceptibles d’entrer en conflit.
Cette solution poserait cependant le problème de la déchéance de la nationalité quant au risque de faire des apatrides. On pourrait dénoncer les conventions internationales à ce sujet, mais cela ne suffirait pas, car la question du lieu vers lequel l’apatride devra être expulsé se poserait toujours.
L’ostracisme pourrait alors compléter la déchéance de nationalité, pour qu’immigrés et non immigrés soient sur le même plan et, surtout, ne pas perturber le bon ordre des relations internationales en imposant à nos voisins d’accueillir les personnes déchues de leur nationalité. En effet, le problème de l’égalité est factice, car binationaux et nationaux ne sont pas dans la même situation en réalité. Le vrai problème est celui de savoir ce qu’on fait de ceux qui ont été déchus de leur nationalité française quand il n’est pas possible de les renvoyer à un expéditeur, dans la mesure où celui qui n’est plus Français n’a plus le droit de séjourner en France. Il reste les zones de non souveraineté pour l’expulser, mais elles sont concrètement invivables, ce qui revient à condamner, de facto, le déchu à la peine de mort (haute mer, pole nord, etc.)
Décider d’exiler les récalcitrants est possible tant que nous sommes majoritaires. C’est une République autoritaire qui déciderait cela, mais peut-on imaginer autre chose au moment où notre modèle est attaqué de front ?
Il faudrait naturellement rétablir les frontières nationales pour éviter que l’exilé ne revienne.
L’exil n’aurait pas la vertu préventive de l’actuelle assignation à résidence. Il devrait être substitué à cette dernière, certes, mais après avoir caractérisé un délit ou un crime en la personne exilée : notamment, l’apologie du terrorisme ou l’intelligence avec l’ennemi en temps de guerre, quitte à réformer le texte prévoyant cette infraction, plutôt que de chercher midi à quatorze heures à ce sujet, dans le but bien évidemment de discréditer Marine le Pen (http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2016/06/15/juger-les-djihadistes-pour-intelligence-avec-l-ennemi-la-fausse-piste-de-marine-le-pen_4950903_4355770.html). Cette condition serait nécessaire pour permettre, comme sanction, la déchéance de nationalité qui en serait le complément indispensable.
Compte tenu de l’impossibilité de construire un nombre suffisant de prisons ou d’hôpitaux psychiatriques et de leur donner les moyens suffisants de fonctionner, la surpopulation carcérale et l’explosion de la délinquance imposent de toute façon, désormais, d’autres solutions.
Demeureraient néanmoins des difficultés :
> à quelles conditions matérielles l’exil pourrait-il être imposé ?
L’exil (ostracisme) des éléments dangereux pour la République pourrait avoir lieu alors dans un territoire d’outre mer actuellement non habité : peut-être les terres australes et antarctiques françaises, encore qu’elles aient actuellement une utilité pour la France (https://fr.wikipedia.org/wiki/Terres_australes_et_antarctiques_fran%C3%A7aises) ? Les conditions de l’exil resteraient à déterminer : installation de gibier sur le territoire d’accueil, à charge pour l’exilé de le chasser ? Mise à disposition de bois pour construire des cabanes ? Sinon autant sortir la guillotine, puisque cet exil serait la mort. Or, précisément, les Grecs distinguaient ostracisme et peine de mort ; leur emprunter l’ostracisme supposerait de respecter ce trait caractéristique en mettant en place des moyens de survie. Ce serait un peu coûteux, mais susceptible d’être accepté politiquement. Cela supposerait un exil dans une île habitable, de plus.
Autre solution : exproprier à des conditions avantageuses une île d’outre mer habitée, pour cause d’utilité publique, avec un rapatriement en métropole garanti pour chaque habitant et même la mise en place de priorités d’emplois afin de tenir compte du sacrifice imposé à ces populations a priori innocentes (la déclaration de 1789 exigeant alors une juste et préalable indemnisation) ? Cette île pourrait alors être mise à disposition des exilés, mais les conditions seraient sans doute trop avantageuses pour eux. Cette solution serait à écarter, donc, comme je l’expliquerai en conclusion.
> l’ostracisme serait-il admis politiquement parlant ? Eviterait-on des émeutes, voire un début de guerre civile ?
Il convient de remarquer à cet égard que les assignations à résidence de personnes liées aux réseaux djihadistes (entre autres, puisque des écolos en ont aussi fait les frais), fermetures de mosquées et autres dissolutions d’associations musulmanes ne suscitent pas de violentes réactions dans les banlieues actuellement. On peut s’en réjouir, quand on sait que l’état d’urgence avait été au contraire activé en 2005 à la suite d’émeutes en banlieues… et donc envisager d’aller plus loin.
L’exil ayant lieu dans des territoires d’outre mer agréables à vivre, la « pilule » pourrait mieux passer…
– s’inspirer de la journée « défense et citoyenneté » (https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F871) pour faire passer à tous ceux qui sont officiellement de nationalité française des tests, qui puissent être réussis même par des personnes ayant un faible niveau d’éducation, afin de vérifier qu’ils acceptent les valeurs fondamentales de la République française.
Une telle condition est en effet exigée pour être naturalisé Français.
Elle ne l’a pas toujours été, d’où des différences injustifiées selon la date à laquelle le dossier de naturalisation a été étudié.
Cependant, même des Français de naissance peuvent vomir la République sous cet angle. Faudrait-il expulser tous ceux qui n’adhèrent pas à la République, y compris les monarchistes qui l’appellent « la gueuse » ? Question difficile à régler, puisque la portée des principes républicains est elle-même parfois floue. Tout le monde n’est pas d’accord, par exemple, sur la portée du principe d’égalité…
La condition d’adhésion aux principes de la République française, posée pour la naturalisation il y a une dizaine d’années, suscite donc des difficultés à cet égard. Seules les questions qui ne sont pas susceptibles de controverses devraient donc être abordées (exemple : l’égalité de l’homme et de la femme).
En cas de résultat négatif au test, l’exil et la déchéance de nationalité pourraient être prononcés par une commission administrative impartiale, avec audition de l’intéressé et recours possible devant la juridiction administrative. Naturellement, cela n’exclurait pas le maintien du contrôle des services de renseignement, afin de neutraliser le risque de fraude consistant à dissimuler ses intentions réelles et pour les cas les plus graves d’entente avec l’ennemi en temps de guerre.
– Les exilés disposeraient alors du principe de libre administration de leur collectivité territoriale et d’un statut à part dérogeant à toutes les normes françaises. Leur communauté serait responsable sur le plan international et la France exonérée de leurs agissements. Néanmoins, le territoire appartiendrait toujours à la France. Les exilés n’en disposeraient qu’en vertu d’une mise à disposition temporaire.
A première vue, la mise à disposition pourrait être gratuite ou payante selon les cas.
* En cas d’affectation dans une zone initialement inhabitée, la mise à disposition gratuite du territoire rendrait l’exil attrayant et donc susceptible d’être accepté politiquement.
* En revanche, en cas d’affectation dans une zone précédemment habitée, mais préalablement expropriée, la mise à disposition pourrait être payante, pour que l’Etat récupère l’argent dépensé pour indemniser les expropriés, au moins en partie, sous réserve alors de disposer de garanties particulières de paiement. Dans la plupart des cas, on peut craindre que de telles garanties n’existent pas ou soient impossibles à réaliser (la partition ayant notamment pour effet de permettre aux huissiers français de ne pas se rendre sur l’île en question).
La meilleure solution semble donc l’ostracisme dans une île initialement non habitée avec mise à disposition gratuite du territoire et de moyens sommaires d’existence. La partition serait ainsi extra-territorialisée.
L’ensemble du processus devrait dépendre du respect de l’Etat de droit (c’est-à-dire le respect de procédures déterminées à l’avance et garantissant les droits légitimes du citoyen) et d’appréciations judiciaires confiées à des juges experts : ceux des juridictions administratives de Nantes, dont j’ai souvent salué la qualité de la jurisprudence rendue en matière de naturalisation, pourraient être affectés à cette tâche qui leur est familière… d’autant plus que, si les vannes de l’immigration sont alors fermées, ces juges se trouveront sans attribution. Recyclage, en somme.
L’ostracisme ultramarin serait largement plus protecteur des Français que l’assignation à résidence. L’assignation à résidence sur le territoire français ordinaire (zones habitées de la métropole et d’outre-mer) doit en effet être supprimée et remplacée par une mesure plus efficace car elle n’empêche aucunement un individu de commettre un attentat.
Les exilés ne bénéficieraient plus, par ailleurs, des avantages de la nationalité française : la déchéance de nationalité serait inéluctable de ce point de vue, mais aménagée pour éviter de perturber la cohésion internationale en octroyant le droit au déchu de sa nationalité de pouvoir vivre dans le lieu d’exil réservé par la France à son profit.
Tout cela est bien compliqué, quand on songe à la déchéance de nationalité et l’exil (ostracisme) : si l’on veut faire plus simple, il suffit de rétablir la peine de mort et l’instituer comme sanction de l’entente avec l’ennemi en temps de guerre. Ça aurait sans doute semblé parfaitement normal à nos ancêtres ; je ne suis pas sûr que ça le soit pour un certain nombre de nos contemporains. On voit pourtant l’importance que la peine de mort peut avoir dans le dispositif pénal si l’on veut s’éviter des complications interminables en cas de présence d’ennemis intérieurs sur notre territoire.
Pour le reste, c’est-à-dire pratiquement quand on n’a pas affaire à des gens effectivement inscrits dans un réseau terroriste, la question se poserait des manquement répétés aux règles sur la laïcité notamment (voire à la réglementation du choix des prénoms). C’est peut-être dans ce cas-là que l’exil combiné à la déchéance de la nationalité serait le plus approprié. Même répétés, il ne s’agirait pas de manquements assez graves pour mériter la peine de mort, contrairement à l’entente avec l’ennemi en temps de guerre, dès lors qu’il n’y aurait pas d’ambition terroriste à court ou moyen terme révélée par des indices. Cette solution serait plus efficace que les amendes, dont on sait parfaitement qu’elles peuvent être prises en charge par une personne fortunée qui s’offre le luxe de permettre la violation de la loi française, et l’emprisonnement, compte-tenu de la surpopulation carcérale, ainsi, bien sûr, que les gadgets pénaux comme le bracelet électronique.
Il faut en effet réserver la prison aux infractions ordinaires, celles qui ne sont pas motivées par un désir de vivre autrement, mais par un comportement effectivement dangereux, commis ponctuellement par quelqu’un qui ne rejette pas fondamentalement le modèle français, et dont il faut néanmoins préserver la société. Le choix de vivre sous une autre loi que la française, révélé par les violations répétées des principes fondamentaux, doit être respecté, au contraire, mais il ne peut être concrétisé parmi les Français en France, c’est l’évidence.
On peut enfin espérer que la politique d’assimilation forcée, liée à la neutralité identitaire imposée, serait amenée à porter ses fruits pour compléter l’ensemble de ce dispositif. Il ne faut pas forcément être pessimiste de ce point de vue : pourquoi ne faudrait-il pas croire en la France et la République française ?
Il existe donc heureusement des mesures préalables avant d’envisager une guerre intérieure menée par les citoyens et non pas les forces de l’ordre et militaires ; des mesures susceptibles d’être acceptées sur le plan politique, pour éviter la guerre intérieure, sans capituler pour autant.

 

Note de Christine Tasin

Merci à Maxime pour cet énorme travail et liste quasi exhaustive des solutions qui nous restent pour éviter la guerre civile. Mais on est obligé de le mettre au conditionnel, les solutions qui nous resteraient…  parce que, si l’on évoque à présent une guerre, qu’on l’appelle civile, intérieure ou de conquête, c’est bien parce que depuis des lustres nos différents dirigeants ont refusé de prendre des mesures comme celles que préconise Maxime. Et eu égard au nombre de musulmans  installés dans notre pays il n’est pas certain qu’un autre pouvoir politique puisse prendre ces mesures sans générer protestations, émeutes… et déclenchement de cette fameuse guerre. Pire encore, si par malheur en 2017 nous gardions les mêmes islamo-collabos, aucune mesure ne serait  prise… ce qui mènerait obligatoirement à la dite guerre.

Si Pierre, dans son débat avec Majid Oukacha, a pu évoquer la guerre, c’est parce que désislamisation et remigration sont obligatoires mais ne se feront sans doute pas toutes seules, des millions de musulmans estimant que, non seulement ils sont chez eux, mais que, en sus, ils auraient le droit d’imposer l’islam à toute la population.  Face à ces gens-là, il faut être les plus forts ou se soumettre. Eva a fort bien expliqué que la guerre est préférable à la soumission. Il se trouve que personne ne veut la guerre mais qu’elle semble de plus en plus inévitable pour préserver notre pré carré, notre civilisation, et protéger nos filles du voile, injure suprême faite aux femmes.

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37 Commentaires

  1. la guerre, ils l’ont bien déclarée, et sur le territoire, car tous ces massacres, ce n’est pas une déclaration de guerre ?
    que vous faut-il de plus, même l’âne bâté l’a reconnu au lendemain des attentats, et à la télé, est-ce que vous avez raté ça ?
    la guerre est déclarée partout dans le monde, partout où ils ont réussi à s’installer, et dès qu’ils sont suffisamment nombreux, ils passent à l’attaque

  2. fermer toutes les mosquées sans exception, y compris la grande mosquée de paris, la plus grosse erreur de l’histoire française, ce phare qui depuis sa construction n’a cessé d’attirer les muslim
    la cathédrale de Casablanca a bien été transformée en université, alors autant faire un musée ou autre chose de ce magnifique bâtiment construit sur nos impôts, donc qui nous appartient

  3. La paix se décide à deux. On sait tous qu’avec l’islam on n’aura pas la paix. Bon, c’est clair. Mais la guerre “ouverte”, déclarée, se décide également à deux. Et la grande majorité des Européens ne la mèneront pas, en se payant de mots et de faux espoirs. Les islamistes seront plus malins qu’Hitler : ils n’envahiront pas la Pologne. Il y aura une succession de petites annexions minimalistes, et des séries d’accommodements prétendument mineurs concédés par les politiques. Ce sera la politique de l’eau tiède qui augmentera doucement en température. Des attentats auront lieu, pour maintenir la pression, mais à intervalles suffisamment éloignés pour ne pas déclencher de réaction de défense majeure au niveau de l’Etat. Et on fera marcher le padamalgam pour que ça puisse continuer sans anicroche. Ce scénario est de loin le plus vraisemblable et l’élection de Juppé le favorisera grandement. Dans ces conditions, quelle pourrait être la réaction de défense des patriotes ? Une résistance armée précipiterait la collusion entre le pouvoir d’Etat kollabo (Juppé et ses clones) et les factieux islamistes (Frères musulmans en l’espèce), et les Résistants seraient vus comme les seuls fauteurs de troubles. A la différence de 1940, il n’y a pas d’Angleterre derrière pour fournir armes et appuis logistiques. Un Pétain (Hollande maintenu ou Juppé parvenu) “ferait don de sa personne à la France pour atténuer ses malheurs” et obtiendrait le Nobel de la Paix ; il rencontrera Tariq Ramadan près de Montoire et aura la reconnaissance de la Patrie pour avoir maintenu la paix vaille que vaille… Il obtiendra que les fillettes n’aient pas à porter le voile, en tout cas pas avant 16 ans, et que l’amende pour ceux qui ne se rendraient pas à la prière soit proportionnée aux revenus des contrevenants. Des milices Antifa sillonneront la campagne, kalachnikov en bandoulière, pour traquer ceux qui auront pris le maquis… C’est un mauvais rêve, oui, mais comment empêcher qu’il ne devienne réalité ?

    • “Les islamistes seront plus malins qu’Hitler : ils n’envahiront pas la Pologne. Il y aura une succession de petites annexions minimalistes,”
      C’est le gros problème: Une guerre déclarée, une invasion franche nette, comme en 40 mobilise la plus grosse partie de la population, à armes égales, ce qui est le cas, et ne l’était pas en 40 le gouvernement traquait les résistants.
      Mais la prise de conscience, au moins était collective en 40: Ici c’est à petites doses que ça se passe, des doses qui passent inaperçues à la grande masse de la population, mais qui font avancer inexorablement la cause islamiste.
      Réveiller les consciences dans ce contexte s’avère difficile tant que les médias la grande masse des collabos et les français endormis sont contre nous et que toute acte de résistance sera diabolisé.
      Sans une aide conséquente des français, ou à moins d’un gouvernement décidé, quitte à embraser temporairement le pays, le combat sera non seulement très long mais complètement inégal.
      Les résistants ne seraient pas long à se retrouver à l’ombre pour un moment.
      La solution Marine reste une condition incontournable pour la réussite.

  4. Aux conquêtes , arrogances , exigences de l’ islam , répondons sans faillir , par reconquêtes , arrogances , exigences ….au soit disant ” amour , paix et tolérance de l’ islam ” alors que nous savons pertinemment que c’ est ” haine, guerre et intolérance ” répondons par la haine de cette politico-religion , la guerre défensive et l’ intolérance sans concession envers cet islam et toutes ses composantes , halal , charia etc… .Controns le jeu sordide lancé par l’ islam sur nos terres , passons nous des politiques …un Peuple doit désobéir , lorsqu’ il n’ est plus écouté , a plus forte raison , lorsqu’il est en danger .

  5. C’est Christine qui a raison. Même si les mesures préconisées par Maxime peuvent s’avérer efficaces, elles ne le seront pas . Les musulmans se révolteraient et finalement, la guerre s’imposerait d’elle-même. Non, personne ne veut la guerre, mais cette guerre-là, ce n’est pas nous qui la voulons, elle nous EST imposée !

  6. Le remède est simple il suffit que nos élus votent ce texte
    -“toute religion incompatible avec notre démocratie est interdite en France .en premier l’Islam!
    -tout signe extérieur doit étre banni!
    -toute personne ne respectant pas ces critères sera déchue de sa nationalité.
    -tout acte contre les représentants de l’état de droit idem!
    -ceux qui refusent de quitter notre Pays seront exilés nous ne manquons pas d’iles du bout du monde.
    VOILA LE PROBLEME EST RESOLU!!!
    C’est si simple n’est-ce pas ,sur leur ile ils vivront comme ils veulent pas de policier ni de pompiers pas de gardiens de prison ,pas de prisons a entretenir que d’économies etc..
    Ils appliqueront la Charia et s’entretueront comme ils savent très bien le faire
    D’ailleurs a part critiquer que savent-ils faire Bref que du bonheur!!
    Je vous

  7. alors oui , bel article, gros travail sans nul doute ! mais avec des si ..et ces si ne sont pas au RDV de nos politiques ! faut il ENCORE le démontrer ?
    Il est très clair pour moi, que ce n’est pas possible d’envisager une guerre civile, car nous n’étions pas dans cette optique ou projet de vie pour notre pays ! oui et alors ? je n’accepte pas la soumission non plus et toutes les solutions que vous donnez sont évidentes ( j’ai lu en diagonale car vraiment c’est évident et beaucoup de RR RL etc le savent !) , peut être aussi un autre travail peut être fait, c’est lister ce que nos politiques, nos concitoyens ont abandonnés depuis quelques années à cause de l’islam et ces populations ! et donc peut être, sans doute un conflit se prépare.. car je ne vois pas Juppé ni même qui que se soit relever le défit ! il reste le peuple très divisé (comme en 1940 .) Alors je pense que certains, vous Maxime peut être aurait pu rencontrer, c’est le moment à cause des éléctions, un de ces hommes politiques en listant ces solutions, en ayant bien entendu un collectif derrière vous, en insistant sur le fait qu’il y va ,en effet, de la possibilité d’un conflit .. c’est un gros travail aussi; mais je crois que l’inaction dont nous faisons preuve décourage toutes les bonnes volontés ! et le découragement fait que certains veulent passer à l’action, en parlant de cette chose dramatique qu’est la guerre civile …

    • Oui, c’est une excellente idée ! En espérant que l’homme politique en question soit prêt à écouter, mais comme vous dites, en période électorale…
      De toutes façons, le travail de Maxime est excellent. Visiblement, le débat entre Pierre et Majid a encouragé les vocations et c’est une très bonne chose.
      Bien que me creusant la tête depuis plusieurs années, je n’avais jamais pensé à ces îles inhabitées. Le climat des Kerguelen n’est pas idéal, mais ça reste habitable, et l’énorme avantage est que c’est très loin de toute autre terre habitée, et qu’il n’y a pas d’arbres, donc pas de bois pour construire des radeaux.
      Continuons, idée après idée, à force de se creuser la tête, on finit par trouver…

  8. pas d accord avec vous MAXIME….
    je suis meme pressé de commencer la baston….
    et c est toute l europe qui doit rentrer dans ce mauvais reve que nous apporte cette fausse religion….
    il n y a plus a tergiverser maintenant…faut accepter aussi de perdre son petit confort materielle et tous ses programmes télé a la con…
    guerre totale qu elle qu en soit le prix a payer si nous voulons nous liberer de l emprise islamique….
    il n y a plus a chercher midi a quatorze heure…

    • parce que vous croyez que vous , nous , ne perdriez qu’un confort matériel ?
      je ne suis pas contre , et c’est mieux que la soumission , ok , mais alors avez vous pensez à mettre à l’abri femme et enfants ? je peux vous dire que certains ” rament ” pour faire entendre cela, même des RR !!

    • “Nous ne céderons pas un pouce de terrain” : Général Gamelin, 1940.
      Retraite sur 300 km (prévue pour aller jusqu’à la Seine) : Général Joffre, 1914.

  9. On a qu’a les envoyer à Mayotte…..premier département français islamiste ils seront entre eux. Et la France aux français

  10. Cette laïcité républicaine qui met sur le même pied la religion catholique et l’islam est la cause première de nos problèmes. La nature a horreur du vide : en se laïcisant – en fait en haïssant notre fond chrétien – la France a perdu ses repères culturels. Exclure le religieux chrétien de la sphère publique, ou d’autres religions qui sont là depuis “toujours” et/ou ne posent aucun problème notable (juifs, autres chrétiens, bouddhistes), ne va nous protéger de l’islamisme, bien au contraire… Je ne pense pas que la république française puisse tenir aussi longtemps que la monarchie, justement du fait de son vide spirituel et de sa haine anti-chrétienne. Mais peu importe le régime : seule compte la culture, la civilisation ; c’est d’avoir oublié cela qui fait que notre monde (qui était la Chrétienté, terme culturel plus que cultuel, que nous désignons désormais sous terme flou d’Occident) est en train de crever.

    • Bonjour Eric,
      non, la France n’a pas perdu ses repères culturels avec la laïcité ! On peut ne pas avoir de religion et ne pas être déraciné pour autant !
      Notre héritage païen est très riche. J’aime lire des textes sur la Grèce antique quand je me sens vide spirituellement (c’est mal dit mais je pense que ça se comprend), d’autres ouvriront la Bible, chacun son truc, tant qu’on n’impose à personne de faire pareil.
      Quant à mettre toutes les religions sur le même plan :
      1/ pour un texte publié sur la toile, on n’a pas trop le choix quand il s’agit de proposer des mesures concrètes, vis-à-vis du “flicage” restreignant la liberté d’expression ;
      2/ Ce n’est pas discriminant, donc cela passe plus facilement. Les solutions proposées doivent être acceptables politiquement et médiatiquement (puisque les médias sont un pouvoir fort de notre époque), sinon elles ne peuvent déboucher sur rien de concret.
      De ce point de vue, mes hypothèses sur l’exil peuvent paraître farfelues, mais à part construire des prisons partout, que peut-on imaginer d’autre ? De plus, les prisons restreignent la liberté, alors que les individus concernés peuvent ne pas avoir d’intention délictueuses réelles. Je me suis efforcé de déterminer ce que ça pourrait donner, même si, sur ce point, il y aurait sans doute des difficultés de réalisation.

      • Bonsoir Maxime,
        Vous remarquerez que j’ai parlé de Chrétienté, qui plus est en précisant que ce terme était culturel plus que cultuel. S’inscrivent dans cette notion ceux qui adhèrent à certaines valeurs que portent la civilisation chrétienne : y compris donc des athées, des agnostiques, des juifs etc… Pensez-vous que cela soit pur hasard que des concepts comme la démocratie (qui n’est pas synonyme de “république”,et qu’on réduit un peu trop au seul héritage athénien)…, les droits de l’Homme (avec l’abolition de l’esclavage, du servage, les droits des femmes et des enfants etc..) soient, par pur hasard apparus en terre chrétienne? Idem pour la plupart des ONG. Je ne nie en rien notre héritage païen : le christianisme en est d’ailleurs très imprégné ; ce dont témoignent la plupart de nos fêtes (dates comme rituels, ex: la Chandeleur, qui est une fête romaine où on offrait des galettes pour célébrer Cérés me semble-t-il, déesse des moissons), nos représentations de la divinité. Le christianisme a très tôt était largement imprégné de philosophie grecque ; les couvents durant les “âges sombres” furent les lieux de conservation du latin et de la culture greco-latine etc… l’Eglise est d’ailleurs dite “romaine”. Enfin, la laïcité, on devrait le dire plus souvent, est un concept chrétien ! La séparation de l’Eglise et de l’Etat relève de “rendez à César, ce qui est à César”. Dès le début l’empereur et le pontife étaient séparés.
        Le problème est la laïcité républicaine française : elle est restée largement figée dans sa haine du religieux, spécialement chrétien, elle abhorre tout ce qui lui rappelle l’Ancien Régime, selon le terme républicain pour désigner des siècles de monarchie qui firent que nos frontières sont à peu près les mêmes depuis Louis XIV. La déchristianisation – à distinguer d’une nécessaire limitation de l’Eglise dans les affaires temporelles – a provoqué une rupture dans la conscience d’appartenir à une culture, à une histoire, à une patrie chrétienne. Il ne s’agit pas de violer le consciences en imposant une croyance, mais d’avoir un minimum d’adhésion à une identité commune: c’est bien une église qui trône au milieu du village depuis 1500 ans, pas une mairie ou une mosquée.
        Petite anecdote : assistant, en Catalogne, à une procession des Rois Mages, j’assistai à une fête populaire, imprégnant l’identité d’un peuple catalan attaché à ses racines sans être bigot ou agressif, où tout le monde venait et communiait au sens premier: c’était joyeux, amusant et tout simplement si naturel ! Et j’ai été marqué de voir des familles marocaines suivre avec enthousiasme ce parcourt : à la fin, les femmes et les enfants (musulmans selon toute vraisemblance) entrèrent dans l’église (les hommes préférèrent attendre dehors: ce qui veut déjà dire qu’ils ne s’opposèrent pas aux femmes) les mères firent se tenir droits leurs enfants et cette scène de respect pour une autre religion me renforce dans l’idée qu’assumer son identité, religieuse en particulier, est bien le meilleur moyen de voir celle-ci respectée par la population musulmane.
        Bon, désolé pour le pavé !

        • Je suis d’accord avec toute la première partie de votre commentaire, et la fin, mais en ce qui concerne la laïcité républicaine, elle ne comporte en elle-même aucune haine vis-à-vis de ce qui est religieux ou sacré.
          C’est le laïcisme qui veut voir disparaître les églises et les cathédrales. Or, il est vrai que ce sont souvent parmi les plus beaux monuments du patrimoine français, qu’il y a de la grâce dans tout cela, quelque chose qui élève une personne, une civilisation, je suis bien d’accord avec vous. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est légitime que la loi de 1905 permette d’entretenir ce patrimoine culturel, civilisationnel.
          La laïcité permet au contraire aux citoyens de décider librement de leur devenir. D’ailleurs, la laïcité n’a pas fait table rase du passé, puisque de nombreuses règles qui s’appliquent encore de nos jours ont des sources religieuses. La laïcité permet le progrès et d’échapper aux lubies du pape François ! Sans la laïcité, sa parole serait loi, ce serait inacceptable. Quand on voit que pour le rassemblement dans les Yvelines, une ligne du tract rappelle les paroles du pape François lorsqu’il a mis de l’eau dans son vin, pour que les cathos se sentent autorisés à manifester, c’est désolant.

          • Je pense que nous sommes sur des lignes proches: nous différons simplement sur des mots et leur interprétation. Merci pour cet échange.

    • Désolé, mais je constate que les catholiques ne font pas de différence entre leur doctrine et celle de l’islam puisqu’ils mettent sur le m^me pied : le coran et les évangiles ! Alors…
      Je suis laïque et je ne hais pas “notre fond chrétien”
      Enfin, j’ai le regret de vous signaler que la religion catholique n’est pas là depuis toujours : La conversion de Constantin n’est qu’un symbole. Il ne faut pas en déduire que tout l’empire romain était converti. Par ailleurs, QUE FAITES VOUS DES PROTESTANTS ?

      • Bonsoir Villeneuve : je pense avoir répondu quant à la laïcité dans ma réponse à Maxime qu’il a eu la gentillesse de me faire. En soi, laïcité et religion ne sont pas opposés, mais sa version républicaine issue de la révolution, si !
        Pour ce qui est des cathos – fusse le premier d’entre eux- qui mettent sur le même pied islam et christianisme, ce sont de pauvres inconscients ; qu’ils demandent aux chrétiens d’Orient… J’ai bien conscience (là aussi, voir ci-dessus) de notre héritage d’avant le christianisme ; certains historiens considèrent que la France n’est devenue vraiment chrétienne que vers le XIIe s. : ce fut un processus long, au début essentiellement urbain (paganus = païen et paysan) et qui repose sur un certain syncrétisme. ” Depuis toujours” était entre guillemets : pour souligner que c’était un certain sentiment, celui d’une durée de temps très longue, tout a un début… quant aux protestants ils étaient désignés par “autres chrétiens” tout comme les orthodoxes, les églises arméniennes etc…

        • Bonsoir Villeuneuve et Eric
          Je ne suis pas antichrétien non plus mais je suppose que beaucoup de cathos intégristes se reconnaissent dans l’homophobie, et la soumission de la femme à l’homme inhérente à l’islam.
          Concernant les chrétiens de gauche, c’est leur tolérance, certes louable en temps normal, qui les empêchent de condamner l’islam.
          On est pas sortis de l’auberge..

          • En effet… d’où l’intérêt des témoignages des chrétiens d’Orient ou de ceux du Kosovo.

  11. Bonjour,
    Oui, merci Maxime pour ce travail.
    Quand “notre” Président a le culot de parler de “partition”, c’est que nous sommes englués dans une situation d’une gravité totale.
    J’aimerais que vous appliquiez votre méthode au problème encore plus immédiat du retour des jihadistes chez nous.

    • Bonjour Antiislam,
      merci de votre intérêt. Dans ce système, la peine de mort serait à prononcer, s’agissant d’intelligence avec l’ennemi en temps de guerre. Au lieu de cela, actuellement, on les laisse en semi-liberté sur le territoire dans les limites d’une assignation à résidence qui n’a rien de très contraignant (ne pas sortir des limites d’une commune, qui peut être grande, et pointer 2 ou 3 fois par jour au commissariat, en gros). On va même leur interdire de sortir du territoire, alors qu’il serait préférable de les déchoir de leur nationalité et les expulser… mais vers où, à nouveau ? Tel est le problème.

      • Bonjour,
        Ne pensez-vous pas qu’une justice d’exception, des tribunaux militaires ou je ne sais, qui existaient encore dans les années 70, seraient à restaurer devant ce péril nouveau du terrorisme musulman.
        Comment verriez-vous les choses ?

  12. S’il était possible de dialoguer avec l’islam, cela se saurait depuis 1400 ans. Nous avons les preuves sous les yeux que l’islam n’est pas une religion mais un système totalitaire. On ne discute pas avec l’islam pas plus qu’avec le communisme, le socialisme ou le fachisme, on l’éradique.
    Encore un excellent travail de Maximus Justinius mais je crains que le droit ne puisse jamais s’opposer au coran.

    • Ah ah ah ! Vous avez réussi à dérider Justinien… Il ne devait pas être commode, quand on voit l’air pincé qu’il se tape sur la mosaïque 🙂

  13. Maxime : Je trouve votre article intéressant et surtout plein de raison et de bon sens . Le soucis c’est que notre gouvernement actuel n’en a aucun … J’aimerais qu’il raisonne comme vous .

  14. L’analyse de Maxime est très intéressante et plein de bon sens, mais ce que suggère Maxime pouvait encore se faire il y a 20 ans au moins, si nous avions eu à l’époque des politiciens courageux pour remettre de l’ordre et défendre notre civilisation. Ce qui s’est passé ça été le contraire. Soumission, traîtrise, endormissement de nos élites et le résultat aujourd’hui, nous nous réveillons pour certains d’entre nous face à une réalité cauchemardesque. Personne ne veut la guerre, du moins la plupart des français mais il faut bien comprendre que l’on ne nous laisse plus le choix, que les solutions politiques seront extrêmement difficile à mettre en place et si toutefois nous avions la chance d’avoir une Jeanne dArc en 2017, les résolutions pour le redressement du pays se fera dans l’affrontement. Il y a qu’à voir ce qui se passe actuellement dans la police, c’est du jamais vu, nous sommes au bord de l’insurrection. Nous les patriotes, nous savons ce qui va se passer grâce à nos efforts d’analyses, d’ouverture d’esprit, de notre très chère Christine qui oeuvre tous les jours, sans relâche pour nous informer du présent et de l’avenir avec des informations réelles. Le mot guerre est dans toutes les bouches en ce moment avec un déclenchement plus ou moins long, donc se préparer n’est plus de l’absurdité, c’est vital, ceux qui ne comprennent pas, tant pis pour eux, ils se souviendront de ce que vous leur avez dit à une certaine époque. Moi aussi je préfère le combat à la soumission et ce que dit Eva dans son article est la réalité. Vivre avec les Juifs, les orthodoxes, les boudistes, les protestants ne pause aucun et jamais de problèmes mais l’islam c’est la terreur incarnée partout où il s’installe dans un pays à l’origine non musulman, et cela se termine systématiquement en guerre civile de religion, de conquête de territoire. Maintenant si quelqu’un a une idée plausible pour éviter cette guerre, je serais à ces côtés. Nous sommes arrivés à la fin d’une époque de paix qui aura durée plus de 70 ans et qu’il faut maintenant avoir confiance en nous et affronter avec courage notre destin. Une personne m’a dit un jour que la manière de vivre des musulmans coûtaient beaucoup moins cher que la manière de vivre des occidentaux, c’est pour cela que nos dirigeants poussent à l’islamisation de notre pays et de l’Europe. Cela permet à nos élites de gagner plus d’argents encore. Certes ce n’est pas totalement faux mais les musulmans aujourd’hui surtout dans la jeunesse aiment bien le confort occidentale, ( portable, console, écran plat,….), nous leur apportons une évolution de vie qu’il n’ont pas dans leur pays. Ils sont incapable de créer, sauf la guerre et le désordre, alors s’il y a des candidats pour un retour au moyen âge je leur laisse ma place. En un siècle nous avons pratiquement tout créer, aviation, train, voiture, industrie, électricité, cinéma, architecture ….. eux qu’on t’il fait en 14 siècles ? Pas grand chose !!!!

    • recu 5:sur 5 tres bonne analyse que jadopte demblee si tout le monde en france reagissait a cette facon de voir le probleme serait vite resolu!!!

  15. Très bon texte sur la base d’un excellent balayage des divers possibilités , très bonnes et lucides réponses de Christine ( ce soir je vais tout relire c’est très important . Mais mon premier sentiment est que je pense que nous n’aurons pas le choix l’histoire va nous embarquer sans nous demander notre avis charge a nous de pré-développer des capacités utiles et efficaces pour mieux survivre en situation de Chaos et d’isolement voulus ou imposés .A partir de là nous verrons quelles orientation les choses vont prendre et la part active ou passive que nous pourrons adopter pour servir au mieux les intérêts de notre pays et de ses citoyens . A mon niveau je suis incapable a ce jour d’imaginer ce qui va se passer dans ce pays ,un chose est sure c’est que ça ne peut plus durer longtemps seul dieu pourrait nous en dire plus hélas je n’est pas son n° de téléphone et comme je ne fait pas confiance a Rome je préfère attendre de voir .

  16. Les musulmans ne se soumettrons jamais, Ils ne partirons jamais de leur plein grès. Ils sont là dans le but précis d’islamiser la France et de combattre tous les non musulmans avec nos femmes et nos filles comme butin de guerre. Ils sont près à nous faire la guerre par tous les moyens. Ils n’on pas peur de mourir car le paradis les attend, Nous si on a peur de mourir, mais vivre avec ces ordures satanique jamais, pour nos enfants, foutons les dehors avec perte et fracas et soyons impitoyable car eux le serons.

  17. déjà supprimer toutes les allocations nombreuses et diverses
    faire comme l ‘Australie
    faire comme la Thaïlande , pas d ‘aide et alloc , pas d ‘école , pas de soins gratuits pour les étrangers . Si pas de Visa >> prison , amendes , expulsion , black list .
    Pas de laxisme . Tags >> Prison
    Emplois réservés aux nationaux
    Impossibilité d ‘ acquérir la terre , etc

  18. Oui vous avez entièrement raison
    ( pour les prénom j’opte pour les femmes prenomee fatma dorénavant elles s appeeront PEGUI)

  19. complètement d’accord avec ta réponse Christine !
    Soit ont nettoie notre pays de tout ces sectaires et cette saloperie de secte sanguinaire islam une bonne fois pour toute ou alors la France avec ces centrales atomiques aura la dévastation que ces salopards ont déjà filmer par les drones ce qui veut dire leurs prochains objectifs est de s’attaquer aux centrales atomiques qui ne sont pas proteger comme il ce doit ! alors que font tout nos politiques à ce sujet hein ?

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