Pour l'Armée Révolutionnaire Bretonne, on n'hésite pas encore entre Soukhoï Su-35 et Rafales

Oui, Daniel Pollett,

Tout ça c’était avant. Un autre monde, dites-vous. Recevant une rétrospective de la vie avant et pendant la Grande Guerre concernant une petite commune aujourd’hui faisant partie du « Grand-Paimpol », il me vient l’idée de la faire partager.

http://bevaneplounez.pagesperso-orange.fr/documents/14-18/tome1.pdf

Elle vaut, dans ses premières lignes dans l’éducation des enfants de notre pays à l’incompréhension de ce qui se passe aujourd’hui.

On comprend aussi ce qui fut la Bretagne et qui nous a été enlevé… Pour quels résultats tous ces sacrifices culturels et de sang versé. Pour voir la République nous faire envahir de ses allogènes, et bientôt nous apprendre l’arabe quand nos parents ont dérouillé pour deux mots en breton en classe?

Jamais avant ces jours que nous vivons je n’aurais songé parler ainsi. Cela ne faisait pas partie de notre fond ; tout à la maison (71 balais) nous avait éduqué « Français »… Et il y avait eu la Guerre et le comportement de certains concitoyens collabos. Le comble est qu’à présent, ceux qui nous redonnent honneur de notre Bretagne en combattant l’islam qui nous ronge, sont les héritiers d’un titre qu’il nous fut appris à honnir ! Tandis qu’en face en nouveaux collabos nous trouvons la Gauche et ses extrêmes.

Enfin, nous n’en sommes pas encore à hésiter pour l’Armée Révolutionnaire Bretonne entre l’achat de Soukhoï Su-35 ou de Rafales, ni à négocier l’Ile-Longue avec la France pour en faire une sorte de Gibraltar. Pour les Retraités de la SNCF, j’ignore ce qui est prévu, j’ai pas les statuts.

Allez, bonne journée et « Cours Camarade, le vieux monde est derrière toi ! ».

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5 Comments

  1. Renforcer les pouvoirs municipaux (les prochaines élections municipales sont en réalité plus déterminantes que la présidentielle à venir), créer un maximum de bastions sur le total des 36000 communes, ensuite, mettre tous ces pouvoirs municipaux patriotiques en réseaux entre eux sur les , 547 030 km2 de la surface cadastrale du pays.
    Pour bloquer le processus de partition par l’invasion à jets continus il faut créer un maillage de plus en plus réactif aux déplacements hostiles ou non des musulmans qui obéissent à la logique grégaire du regroupement, remplacer l’institution autrefois si utile des RG par une forme décentralisée mais en réseaux du renseignement et de la résistance.
    La connaissance géographique de notre propre territoire sera déterminante pour procéder à une éradication.

  2. bien d’accord avec vous ! je viens de lire l’article de Daniel Pollet , cela me rappelle un monde (que j’ai pas connue) celui des films avec Jean Gabin ou le pays que me raconté mon feu grand père. j’ai eu la chance enfant d’allé tout les étés et hivers en vacance dans les alpes et a cette époques fin 70 débuts 80 il y’avais encore de beau restes dans nos petites contrés . il y’a 4 ans je me suis retrouvé a la gare de château du loir , je me souvient il pleuvé et j’étais allé boire un verre au café en face de la gare il y’avais que des gens du terroir, c’étais sympas ça me ramené a des souvenirs d’enfance et la gare elle étais tout en bois a l’ intérieur comme dans les vieux films , c’étais propres les gens calme comme dans un livre de Louis Guilloux .quand mon train est arrivé , j’ai quitté cet endroit avec un pincement au cœur , en fait je voulais pas partir , j’étais bien . c’étais il y’a 4 ans château du loir dans la Sarthe . ( inutile de vous dire que arrivé au MANS j’ai déchanté )

  3. voir l’en-tête complet
    L’armée française se préparerait-elle au pire scénario ?
    J.-P. Fabre Bernadac
    > > Depuis un an, des signes apparaissent qui montrent que l’armée — notamment l’armée de terre — pourrait avoir entamé une réflexion approfondie et discrète, pour ne pas dire secrète, sur une possible intervention face à des explosions qui éclateraient dans certaines zones du pays. Soyons clair : l’armée se poserait principalement la question d’une intervention programmée avec, comme objectif, des opérations contre des banlieues de plus en plus islamisées et criminalisées.
    > > Les signes avant-coureurs de telles initiatives existent et sont à prendre au sérieux.
    > > Premièrement : il y eut, suite à l’action du général Piquemal à Calais, la lettre ouverte de trois généraux français 2e section. La conclusion de ce courrier correspondait à celle de nombreux militaires (une bonne partie d’entre eux vote FN) : « Vous devez, Monsieur le Président, prendre la mesure de l’indignation que ce paradoxe provoque dans le cœur de beaucoup de Français… Il convient, au lieu de s’acharner sur un soldat, fût-il général et patriote, de rétablir l’ordre public à Calais, ce qui suppose l’éradication de la “jungle” et le renvoi de tous les clandestins dans leurs pays d’origine. »
    > > Quand on connaît le milieu militaire, on devine que cette lettre n’était pas le simple ressenti de trois ex-patrons de l’armée. La camaraderie, la fraternité même qui existent entre officiers attestent que cette lettre reflète probablement le sentiment de nombreux chefs militaires d’active obligés de rester dans l’ombre.
    > > Deuxièmement : les mots forts du général de gendarmerie Soubelet qui, négligeant son devoir de réserve, déclare dans son livre Tout ce qu’il ne faut pas dire : « Si les délinquants condamnés ne peuvent pas être incarcérés, ils continuent leurs activités avec, en outre, cette sensation de défier le système et de pouvoir échapper à la sanction.
    Il est temps d’arrêter l’hypocrisie et d’affronter les difficultés telles qu’elles se présentent et où elles se trouvent. »
    > > Troisièmement : un communiqué de l’armée de terre du 1er juin 2016 : « Placé sous l’autorité directe du chef d’état-major de l’armée de terre, le commandement terre pour le territoire national est appelé à devenir un véritable “pôle d’excellence” dédié à l’anticipation, à la préparation et à l’engagement opérationnel sur le territoire national. »
    > > Quatrièmement : la création d’une Garde nationale de près de 200.000 hommes, divisée en plusieurs réserves opérationnelles, militarisée et territorialisée, avec pour but de répondre efficacement aux menaces de tous ordres susceptibles de frapper sur notre sol, notamment le terrorisme et les catastrophes naturelles, mais aussi des troubles graves plus probables aujourd’hui. On voit bien l’intérêt d’une telle force pour l’armée si la situation basculait, surtout que les capacités de l’active sont insuffisantes pour intervenir au même moment sur plusieurs foyers de subversion.
    > > Cinquièmement : dans son dernier livre, Un quinquennat pour rien, Éric Zemmour nous renseigne sur les plans de l’état-major : « L’état-major de l’armée sait qu’un jour viendra où il devra reconquérir ces terres devenues étrangères sur notre propre sol. Le plan est déjà dans les cartons, il a pour nom Opération Ronces. Il a été mis au point avec l’aide des spécialistes de l’armée israélienne qui ont transmis à leurs collègues français leur expérience de Gaza. La comparaison vaut tous les discours. »
    > > On le voit, les pièces du puzzle sont en train de s’imbriquer…
    > > J.-P. Fabre Bernadac
    > > > > Ancien officier de Gendarmerie
    > > > > Diplômé de criminologie et de criminalistique

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