Les convictions religieuses s’affichent de plus en plus au travail, principalement le Bouddhisme ? Non, non…le virus est autre !
On appréciera le relativisme mou du « spécialiste » qui veut mouiller toutes les religions au lieu de reconnaître que seul l’islam pose problème. On appréciera aussi son affirmation gratuite selon laquelle les revendications n’entraveraient pas le travail… Il devrait aller faire un stage en milieu hospitalier pour le guérir de ses mensonges quant à la minorité des cas qui seraient conflictuelles.
Les convictions religieuses s’affirment de plus en plus au travail
Elles consistent principalement en des demandes qui « n’entravent pas le travail », mais les cas conflictuels sont en hausse très nette.
SOURCE AFP
Publié le 22/09/2016 à 09:33 | Le Point.fr
Les salariés ont noté une progression du fait religieux en entreprise. © REUTERS/ Khaled Abdullah Ali Al Mahdi
Les convictions religieuses s’affichent de plus en plus au travail, principalement l’islam, et les cas conflictuels sont en nette hausse, même s’ils restent très minoritaires, selon une étude publiée jeudi. Un total de 65 % des salariés disent avoir observé en 2016 cette progression du fait religieux en entreprise, contre 50 % en 2015, selon cette étude de l’Institut Randstad et de l’Observatoire du fait religieux en entreprise (OFRE). Elle témoigne, selon les auteurs, du fait que « la présence du fait religieux » « s’affirme » et « se banalise » dans les entreprises, « la plupart du temps sans que cela pose problème ». Plus de 60 % des répondants sont d’ailleurs opposés à une loi sur la religion au travail. « Le plus souvent, la religion impliquée est l’islam même si toutes les religions sont concernées », explique à l’Agence France-Presse Lionel Honoré, professeur des universités et directeur de l’OFRE, une chaire de recherche universitaire.
Dans 91 % des cas, ces convictions religieuses s’expriment par des requêtes et pratiques personnelles comme les demandes d’absence pour une fête religieuse ou d’aménagement du temps de travail (planning, horaires), le port ostentatoire de signes religieux et les prières pendant les pauses. « C’est la majorité des cas et ils n’entravent pas le travail », dit Lionel Honoré. En revanche, « certains cas, minoritaires, sont conflictuels« , « concentrés dans certaines entreprises » et « zones géographiques », relève-t-il. L’étude les chiffre à 9 % du total des faits observés en 2016, contre 6 % en 2015, 3 % en 2014 et 2 % en 2013, et cite pêle-mêle le « refus de travailler avec une femme ou sous ses ordres », celui de « faire équipe avec des non-coreligionnaires », « d’effectuer certaines tâches », le « prosélytisme » ou les « prières pendant le temps de travail« .
Des encadrants mieux informés
« Les salariés se regroupent pour imposer leurs prières pendant le travail, ils s’approprient des lieux comme salles de prière, font pression sur le manager en l’accusant d’islamophobie… C’est à prendre très au sérieux car ce n’est plus une question de comportement, c’est une remise en cause de la loi républicaine et il faut être très ferme« , ajoute Lionel Honoré. Pour lui, « l’entreprise a besoin d’actes forts politiques en amont ». Selon cet universitaire, « 15 à 20 % des managers » sont concernés par ces cas conflictuels concentrés dans « certains secteurs de l’économie à la main-d’oeuvre peu qualifiée (équipementiers automobiles, BTP, traitement des déchets, grande distribution…) » et dans « les zones géographiques périurbaines ».
Dans le même temps, les encadrants de terrain semblent mieux armés pour faire face aux situations ayant trait au fait religieux, avec notamment une meilleure connaissance du cadre légal, selon l’étude. « Ils ont plus de repères, font bien la différence entre ce qui relève du radicalisme religieux et de demandes ayant trait à leur savoir managérial classique », dit Lionel Honoré. Sur 48 % des managers confrontés à la question de l’expression des convictions religieuses au travail, ils sont 14 % à avoir dû faire face à un fait conflictuel en 2016, contre 12 % en 2015, selon l’étude.
Alors que la loi travail prévoit que le règlement intérieur des entreprises puisse « contenir des dispositions inscrivant le principe de neutralité et restreignant la manifestation des convictions des salariés » sous certaines conditions, 65 % des personnes interrogées y sont opposées. Elles « ne souhaitent pas que l’entreprise impose à ses salariés la neutralité religieuse notamment par l’intermédiaire d’un règlement intérieur ». Plus de 60 % ne veulent pas d’une loi sur la religion en entreprise, selon l’étude. « Les personnes interrogées sont ouvertes à des réponses pragmatiques aux demandes des salariés ayant une dimension religieuse, mais non à ce que l’entreprise s’organise en fonction des prescriptions religieuses », commentent les auteurs.
Par ailleurs, 80 % des personnes interrogées « connaissent en général la religion de leurs collègues » et 82 % n’en sont « pas gênées ». Néanmoins, la « gêne est en nette hausse : 18 % contre 8 % en 2015 », selon l’étude. L’enquête s’appuie sur 1 523 questionnaires en ligne remplis entre avril et juin 2016 dont 1 405 ont pu être exploités.
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L’histoire, comme une idiote, mécaniquement se répète. Paul Morand (1888-1976)
<> Paul Morand (1888-1976).
C’est comme ça que les intégristes musulmans salafistes ont embrigadés la grande majorité du peuple algérien. Vous pouvez deviner la suite…
c’est ca que je ne comprend pas, c’est que c’est son entreprise, il est donc chez lui et il a le droit de vouloir travailler qu’avec des gens avec lesquels il a des affinités.
quant je fais un repas chez moi, j’invite qui je veux et je vire qui je veux, c’est mon droit, dans une entreprise ca doit être pareil puisque l’entreprise est la propriété de l’employeur…
virer un employer ok faut un bon motif mais ne pas employer une personne ou ne pas reconduire son contrat, c’est ou cela doit être le droit de tout employeur sans avoir a se justifier!
Zemmour a été condamné pour avoir dit qu’un employeur a le droit d’employer qui il veut, qu’il peut donc faire de la discrimination… cela tombe donc sous le coup des lois anti-racistes
donc en resumé un employeur n’est même pas maitre dans sa propre
entreprise, il va donc falloir effacer le mot Liberté du fronton de nos mairies, et le remplacer par le mot servilité….
Un bon employeur ne pourrait-il / elle pas chercher à évaluer toutes les qualités humaines d’un/une employé/e potentiel/le en l’invitant à déjeuner autour …. d’une bonne choucroute …. au riesling?
superbe idée!
Un employeur refuse d’employer un muzz, parce-qu’il estime que c’est un un merdeux qui va revendiquer la prière sur les lieux du travail, et que c’est un terroriste potentiel, est-ce de la discrimination?
oui
non cet un choix des traites hors sol ne doivent pa avoire droit sur le choix et la conscience et le libres arbites dun etres humains cet letats nazi de forces un petits patron a choisire pour lui ils et metres de son emtreprises sinon cet la dictatures de minorites raciales qui gouvernes les petits patrons ses traites devoiyer sattaques a des minorites
bon, si j’avais ce problème, je pense que je l’aborderais de manière espiègle…piquer une chaussure par-ci, par là, mettre des morceaux de couenne dans les autres…et regarder discrètement.
le plus dur étant de ne pas rigoler!!
ou mettre des punaise dans leurs godasses.
Lulue Berlue je peut vous donnez un détail que les Allemands font ! eux les Patrons ils demandent un Lebenslauf / C.V. avec » PHOTO » sans ça pas de réponse et ils ont raison , faite pareil et vous aurez des soucis en moins !
il faut rien dire, et faire en sorte de ne pas se faire piéger .
Je devais recruter une assistante administrative il y a 6 mois. Je n’avais sélectionné que des CV de souche. Surprise à l’entretien, une candidate s’est présentée voilée. Elle s’est révélée être la meilleure, je lui ai proposé le poste sous réserve d’enlever son fichu. Elle a accepté et a minimisé sa foi, m’a parlé d’intégration. A deux semaines de la fin de sa période d’essai, elle a fait part à ses collègues qu’elle comptait bien revenir déguise. Les filles m’ont alertée, j’ai donc mis fin à son contrat. Elle a déposé un recours auprès de la Halde et a mis ma boîte aux prud’hommes, me taxant de racisme et discrimination. Je peux vous dire que dès la réception des candidatures je fais un tri très sélectif désormais !
Avec vous Lulue Berlue et le pire est que vous encourez une poursuite pour dire clairement que dorénavant vous ferez du tri…
Je crois que ce sont des circonstances très similaires qui ont donné lieu à l’affaire pendante devant la CJUE (voir les articles sur le site)…
Par ailleurs, une petite anecdote. J’ai constaté qu’un collègue africain dans sa formule de salutation lorsqu’il écrit à un public indéterminé semble ignorer la pratique française et écrit :
« Monsieur, Madame,
… ».
C’est peut-être insignifiant. Peut-être ne l’est-ce pas.
L’égalité homme-femme n’empêche pas qu’en France, on soit héritier du mouvement courtois au moins en ce qui concerne les formules de politesse.
La hiérarchie ne dit rien, mais quand on sait que c’est une personne ayant un master qui fait cette faute, il y a de quoi se poser des questions.
Nous vous assurons de tout notre soutien !
Dans le but même de limiter le risque de procés en pénal et aux prudhommes , en cas de licenciement pour cause religieuse, la seule parade est d’exiger un CV avec photo fidéle, et tenter de recruter tout en dissimulant des motifs sérieux mais hélas non reconnus par la justice gauchiste
Le plus gros risque pesant sur les chefs d’entreprises se situera dans la phase d’embauche ou l’administration pourra essayer d’avoir partie prenante ,dans la procédure d’engagement et imposer des personnes , dont le patron voudrait bien se passer , pour des raisons évidentes !
Cependant la liberté d’embaucher doit demeurer entiére, quitte à ce que les patrons défendent vaillamment leur dossier auprés des instances supérieures de l’état , car l’implication profonde d’une autorité administrative dans la phase d’engagement aura pour résultat d’abolir la notion même de liberté d’entreprendre , pour ravaler les sociétés privées au rang de simples services , entiérement soumises à l’autorité d’état !
ça devrais être interdit purement et simplement
on est au boulot on est pas au cathéchisme ni a la mosqué
Les patrons n’ont qu’a les foutres dehors c’est de leur droit.
la religion a rien a faire dans les entreprises quelles qu’elles soit
RATP SNCF PTT MINISERES OU AUTRES
QUE LA LOI FRANCAISE SOIT APPLIQUEE
Lionel Honoré professeur d’université ? Autant affirmer que je serais moi même le grand mufti de Jérusalem !
Il va s’en dire que l’assertion selon laquelle » toutes les religions sont concernées » reléve de la plus pure élucubration de circonstance, destinée à couvrir son auteur contre le risque de comparution devant un tribunal pour les raisons bien connues !
Imagine t on un seul instant des boudistes ou les catholiques avec leur croix autour du cou, en train d’imposer leurs exigences au point de compromettre l’avancée et la qualité du boulot en entreprise? Bien sur que non , mais en revanche toutes les appréhensions sont justifiées du coté des musulmans dont le radicalisme en pleine progression, impose désormais sa tyrannie au sein même de l’économie !
Cet universitaire entend donc selon moi , jouer le role de « lanceur d’alerte », tout en manoeuvrant dans le domaine du « flou artistique », car tremblant intimement devant la perspective de devoir penétrer dans un certain bureau administratif, ou des explications pénibles , lui seront réclamées !
En cela la méthode consistant à fourrer l’ensemble des religions dans le même panier de crabes , est une démarche d’auto protection non heureusement de nature à nous berner , mais qui a pour résultat d’insulter gravement des croyants non musulmans , dont la discrétion , la modestie , la discipline et le dévouement au travail, échappent à toute observation
négative !
Les déclarations evanescentes et dilatoires de cet « universitaire » le dispense donc de dresser un tableau sociologique ferme réaliste et donc trés inquiétant .
Actuellement les lois de la république , ont profondément trahis le travail des managers et chefs d’entreprises , dans la mesure ou des contraintes extérieures légales pésent d’un poids exagéré sur le contenu et l’élaboration du réglement intérieur , qui aurait du demeurer la charte de base , determinant le comportement de chacun, avec en particulier l »exclusion de toute manifestation religieuse !