Déjà, il y a quelques mois, l’Autriche s’alarmait du projet français
Colère de l’Autriche quand la France vend son patrimoine au Qatar
Selon nos informations, Paris souhaite se séparer du magnifique palais qui abrite l’Institut culturel français, dans la capitale autrichienne, afin de le vendre au Qatar. Un projet qui provoque une forte opposition sur place
[Exclusif] La France compte vendre au Qatar le palais exceptionnel qui abrite l’Institut français de Vienne : joint par L’Express, un diplomate du Quai d’Orsay ne dément pas être en négociations exclusives avec l’émirat.
Coûteux en entretien et en rénovation, ce monument historique de prestige, classé et connu de tous les Viennois, est un bâtiment de style néoclassique, érigé en 1834. Il a été acquis par la République française aux héritiers d’une famille noble dans les années cinquante. Symbole de la coopération mise en place entre l’Autriche et la France après la Seconde Guerre mondiale, il est sans équivalent, car il jouit également d’un très grand parc en plein centre-ville.
« Contenir les ambitions du Qatar »
Le voir aujourd’hui passer entre les mains du Qatar suscite l’opposition du maire de Vienne, du chancelier autrichien et même du président de la République, tous trois sociaux-démocrates et francophiles, qui, selon nos informations, sont intervenus, en vain.
« Dans le Golfe, les Autrichiens ont toujours essayé de contenir les ambitions du Qatar. Ils ont un contact privilégié avec Oman, » décrypte Louis Sarrazin, conseiller de l’Assemblée des Français de l’étranger, pour qui la France aide son allié à améliorer son implantation en Europe centrale, au détriment de ses amitiés traditionnelles. Selon lui, la vente porterait sur 23 millions d’euros. Une somme record.
L’extrême-droite surfe sur la peur de l’islam
En octobre, des élections municipales ont lieu à Vienne et l’extrême-droite, qui surfe sur la peur de l’islam, a le vent en poupe. « Sacrifier un institut culturel et laisser s’installer au même endroit le quartier général du financement du terrorisme, c’est n’importe quoi », s’emporte le sénateur socialiste Jean-Yves Leconte, selon qui toutes les alternatives crédibles proposées au ministère pour maintenir l’Institut en ses murs ont été vite balayées.
Le parti autrichien d’extrême-droite FPÖ est allié, au niveau européen, avec celui de Marine Le Pen. Le FN est un ennemi déclaré de l’émirat. Mais à l’image d’un Bruno Le Maire en France, les critiques envers le Qatar se font de plus en plus ouvertes.
L’Autriche a fait passer une loi interdisant les financements étrangers des institutions musulmanes, qui visait surtout à réduire l’influence de la Turquie et des pays arabes sunnites sur la pratique de l’islam sur son territoire. Elle a maille à partir avec un institut de dialogue des religions financés par l’Arabie saoudite, hérité de son alliance traditionnelle avec le royaume, mais aujourd’hui critiqué par le chef du gouvernement lui-même, Werner Faymann, comme étant un cheval de Troie wahhabite en Europe.
Tradition francophone et lycée d’élites
Le Palais Clam-Gallas de Vienne est l’une des plus belles propriétés de la France à l’étranger. L’Autriche, État observateur de la francophonie, est un pays de tradition francophone. Notre langue y est encore la deuxième enseignée à l’école, après l’anglais, et la radio publique ORF diffuse chaque jour des informations en français.
Les jardins des Palais constituent un domaine de 4,5 hectares qui abrite également le lycée français (1800 élèves et 200 professeurs), établissement parmi les plus côtés d’Autriche, qui accueille les enfants des élites politiques, économiques et artistiques locales, ainsi que ceux des diplomates occidentaux, africains ou asiatiques. Une pétition contre la vente, lancée sur Internet, a été signée par près de 6000 personnes.
De son côté, le Quai d’Orsay estime officiellement que la France n’a plus les moyens d’entretenir un tel bâtiment, jugé surdimensionné et dont la rénovation, nécessaire, coûterait au moins 4 millions d’euros. Exprimés sous le couvert de l’anonymat, les avis sont plus nuancés: « Dans la maison, personne ne comprend les motivations réelles de cette opération alambiquée et qui se fait en catimini, mais Fabius y tient absolument », résume, gêné, un diplomate.
Que le Qatar se porte finalement acquéreur ou non, l’Institut culturel fera de toute façon ses ses cartons en août 2016. Son déménagement dans un quartier périphérique de Vienne est d’ores et déjà décidé.
À Vienne, le palais Clam-Gallas, le plus bel institut culturel français à l’étranger, a été cédé au Qatar sans le moindre appel d’offres. Récit.
L’institut culturel de France à Vienne, le Clam, a été vendu en février 2015 au Qatar. La France l’avait acquis en 1952.
L’immense façade, pâle et flanquée de deux imposants pilastres, se dresse, incongrue, majestueuse, derrière les grilles du numéro 30 de la Währinger Strasse à Vienne. Le drapeau français claque encore, malmené par le vent. En bordure du parc, le restaurant est fermé, et les propriétaires, en conflit avec l’ambassade de France, ont affiché le dessin d’un village gaulois connu qui résiste, encore et toujours, à « l’envahisseur ». Au premier étage du palais, l’assistante du directeur de l’Institut culturel français, confuse, n’a plus aucun siège à offrir : les chaises ont été emportées. Le reste du mobilier, innombrable, quittera bientôt les lieux. Une partie rejoindra les réserves du mobilier national, l’autre est attendue au palais Farnèse, à Rome. On a embauché quelqu’un, six mois de travail à temps plein, pour trier les archives. Et on élague de milliers de livres l’imposante médiathèque.
Dans six mois, il faudra bien avoir plié bagage : le Qatar prendra possession des lieux.
Le 11 novembre 2015, le petit État du Golfe devenait en effet propriétaire de ce palais situé en plein cœur de Vienne que la famille Clam-Gallas, des Autrichiens esthètes, mécènes et francophiles, vendit à la France au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Près de 3 000 mètres carrés de bâtiment et de dépendances, 5 hectares d’un terrain planté d’essences rares, le plus grand parc privé de Vienne et l’un des plus beaux instituts culturels français à l’étranger. Le Qatar va désormais en faire son ambassade vitrine en Europe centrale. Et c’est peu dire que les Autrichiens francophiles et la communauté française de Vienne ont le spleen. Avant l’annonce officielle de la cession, depuis que les rumeurs de vente au Qatar courent la capitale, des articles vilipendant une France se « prostituant » aux pays du Golfe sont parus dans la presse autrichienne, une pétition de protestation a réuni plus de 7 000 signatures, le cinéaste Michael Haneke a écrit à François Hollande et deux descendantes de la famille Clam-Gallas, dans des « lettres ouvertes à la France » se sont émues de cette trahison de l’esprit des lieux… Aucune de ces missives n’a reçu de réponse. Le précédent ambassadeur, Stéphane Gompertz, avait fait connaître son opposition au projet de cession. Il se murmure que son rappel à Paris, avant la vente, n’est pas tout à fait étranger à ces réticences.
Splendeur et décrépitude
Bientôt en possession des Qataris, les terrains du palais sont en fait partagés avec le prestigieux lycée français de Vienne, l’un des meilleurs établissements que la France possède à l’étranger et qui compte aujourd’hui deux tiers d’élèves autrichiens. Les gamins font du sport dans le parc, des examens sont parfois passés dans les vieilles salles du Clam, et d’innombrables parents et grands-parents d’élèves ont le souvenir des classes qui se tenaient, avant la construction du lycée dans les années 60, dans le palais lui-même.
Au lendemain de la guerre, d’abord réquisitionné par les Russes, puis utilisé par les Américains, le Clam-Gallas, en zone d’occupation française, est vendu à la France, transformé en école, et accueille, entre autres élèves, les enfants des rares familles juives survivantes qui, regagnant Vienne, craignent de réintégrer les écoles autrichiennes. C’est ce genre de liens qui unit les francophiles à la vieille demeure qui domine, amicale, la grande cour du lycée. Personne ne comprend aujourd’hui comment va se faire le partage des lieux avec le nouveau voisin, la vente est sur toutes les lèvres et des rumeurs plus ou moins folles circulent : on parle du récent contrat de Mirage auquel le palais aurait servi de cadeau bonus, ou de l’influence supposée de Thomas Fabius sur cette vente à laquelle son père, malgré les innombrables oppositions, semblait tenir mordicus.
L’intendant du palais, dans les murs depuis trente ans, ignore encore quel sort lui réserve le nouveau propriétaire. C’est lui qui, un imposant trousseau de clés à la ceinture, ouvre et referme les lourdes portes et précède en trottinant la haute silhouette d’Éric Amblard, directeur de l’institut depuis un an. Dehors, on a tendu un bandeau de sécurité pour condamner une partie du jardin. Les enveloppes budgétaires fondent : cette année, on n’a pas eu les moyens d’élaguer et, il y a peu, une branche s’est dangereusement écrasée au sol. Des tas de feuilles se forment et se déforment au vent ; chaque automne, leur ramassage coûte 3 000 euros. Amblard traverse les vastes salles dans de rapides enjambées, heureux, lui, de quitter pour des locaux plus modestes ce lieu de conte de fées, sa splendeur et sa décrépitude : tout, ici, est démesuré, les factures de chauffage s’élèvent à 1 000 euros par mois, il y a 700 ampoules électriques à changer, trop de pièces pour les femmes de ménage… Partout, les murs sont infiltrés d’eau, les peintures s’effritent, le très beau parquet est noirci, honteusement saccagé. « Nous n’avons pas vocation à être des conservateurs de musée, s’agace Amblard. Cet endroit est grandiose, mais très abîmé et surtout disproportionné pour l’usage que nous en faisons. À Vienne, où l’offre culturelle est déjà si importante, entretenir un bâtiment pareil n’a aucun sens. »
Argument que réfute Dominique Meyer, le directeur français du glorieux Opéra de Vienne : « Les Autrichiens sont très sensibles aux lieux : le palais, sa beauté, exerçait un vrai pouvoir d’attraction. Et, s’il est aujourd’hui si abîmé, n’est-ce pas son propriétaire, en l’occurrence l’État français, qui est à blâmer ? » En effet, le scénario en matière patrimoniale, à l’étranger comme d’ailleurs dans l’Hexagone, est désormais classique. « La France n’entretient plus rien, regrette le député PS des Français à l’étranger Pierre-Yves Le Borgn », qui s’est, comme beaucoup d’autres, opposé à la vente. Puis, une fois qu’elle a laissé dépérir ses biens, leur état déplorable devient un argument de vente. »
« 10 millions de plus sur la table »
« Cet endroit est grandiose, mais très abîmé, et surtout disproportionné pour l’usage que nous en faisons », s’agace le directeur de l’Institut
L’heure est certes, nul ne l’ignore, à la disette budgétaire. Et au Quai d’Orsay, qui vend depuis quelques années tous azimuts, on ne dissimule pas sa joie de s’être séparé du « boulet » viennois. Les coûteuses contraintes de sécurisation de nos représentations à l’étranger et les nouvelles ambassades à construire en priorité obligent, en ces temps de vaches maigres, à une arithmétique difficile. Mais, si l’argument financier est évidemment audible, ce qui, définitivement, ne passe pas à Vienne, ce sont les conditions dans lesquelles la vente du Clam a été conclue. « Dès que la volonté de vendre a été connue, de nombreux projets se sont montés, explique Louis Sarrazin, conseiller de l’Assemblée des Français de l’étranger. Le plus logique d’entre eux consistait à transférer le consulat et à regrouper tous les services officiels de la France à Vienne, qui sont éparpillés dans des bâtiments loués un peu partout en ville, dans les murs du palais. Les travaux devaient commencer au mois de janvier 2013, puis tout a été brusquement annulé. »
Philipp Clam, descendant des Clam-Gallas, fait quant à lui très vite connaître son souhait de rachat : il a des idées pour le mettre en valeur, possède lui-même un château de famille dans la campagne autrichienne dont il a fait un lieu de tourisme très rentable, il est appuyé par un industriel et souhaite, s’il en devient propriétaire, laisser par francophilie une partie du palais à la disposition de l’institut culturel français. Un autre projet un peu similaire voit enfin le jour : une grande fortune de la communauté française qui souhaite acquérir le vieux Clam-Gallas et laisser l’usage d’un étage, gracieusement, à l’institut culturel français. « Seulement, pour monter un vrai dossier, il fallait avoir quelques garanties, pouvoir faire venir des architectes, prendre des mesures, dit-il, furieux et désirant rester anonyme. Or on ne m’a jamais répondu. »
Le 15 octobre 2015, alors qu’aucune annonce n’a été diffusée, qu’aucune mise en concurrence n’a officiellement eu lieu, les candidats acquéreurs reçoivent, stupéfaits, une lettre annonçant que la vente est, hélas, désormais conclue.
Pourtant, la règle, lorsqu’un bien français est mis en vente, est toujours l’appel d’offres : l’État ordonne trois expertises différentes, fait la moyenne de ces estimations, puis publie une annonce sur le site de France Domaines et dans les agences immobilières locales. Pour le Clam-Gallas, rien de tout cela n’a eu lieu et on admet au Quai d’Orsay, un peu gêné, que la vente s’est effectivement passée, avec dérogation spéciale signée par le ministre, de « gré à gré ». « Les Qataris mettaient 10 millions d’euros de plus sur la table », dit un connaisseur de ce dossier tellement emblématique du déclin de la vieille Europe. « Vous savez, ce palais, c’était un peu une Rolls dont on se servait pour aller chercher le pain. Après la guerre, nous étions les vainqueurs, nous affichions notre splendeur, mais maintenant ? » Maintenant ? La Rolls sera cet été, grâce à Laurent Fabius, à la disposition du Qatar.
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Tiens une idée si nous peuple de France mettons en vente tous les biens des fabius pour traîtrise et pour dédommagé et renflouer les caisses de l’Etat du préjudice subit à cause des magouilles de la famille fabius .
fabius le tueur de masse( sang contaminé) n’est pas a une trahison prêt, ce gugusse issu d’une famille d’ultra riche qui méprise les honnêtes gens et le peuple, ce magouilleur congénital, un jour que j’espère prochain devra être jugé pour ses crimes contre l’état et la nation!
Le Qatar n’est pas notre ami. C’est notre ennemi traditionnel. Ne lui offrons rien car cet Etat islamiste va offrir ce palais à l’Etat islamique.
Effectivement , affirmer que la France ne peut plus assumer la charge d’un tel bien architectural et culturel, vient en contradiction avec les cadeaux financiers faramineux que Hollandouille a accordés récemment , au cours de ses visites en moyen orient .
Par ailleurs , soulignons aussi le fait que cette vente , ne fut apparemment pas soumise à un appel d’offre ouvert , qui aurait permis à d’autres acheteurs plus présentable de faire l’acquisition de ce bâtiment prestigieux .
Cette affaire de vente, sans aucune mise en concurrence d’acheteurs potentiels, présente en fait des relents nauséabonds de tractations mafieuses et occulte, non de nature à relever la réputation de clareté et d’honnêteté du ministére des affaires étrangères , mais aussi améliorer l’image personnelle de Fabius !
Fabius aurait du évidemment privilégier une vente au profit de l’Autriche, et son initiative méprisable, revient à infliger une injure intolérable à ce grand pays ami !
Tout dans cette histoire , tend à mettre en lumiére une crapuleuse magouille , ou la loi française en terme de cession de biens nationaux, semble avoir été littéralement foulée aux pieds , d’ou la nécéssité selon moi, d’obtenir les avis d’un avocat pour connaitre , le cas échéant, la réalité d’une faute pénale avérée , retombant principalement sur la personne de Fabius lui même .
Se retrouvé coupable de faute pénale dans une affaire de vente abusive d’un bien nationale , ça la fout vraiment mal pour un membre du conseil constitutionnel !
C’est peut être le fils Fabius qui a servi d’intermédiaire? De toutes façons, c’est scandaleux.
Fabius, ce meurtrier, devrait pourrir en prison. Et le Quai d’Orsay dit ne plus avoir les moyens d’entretenir ce monument ? Ah oui ? Et les millions que Hollande veut donner à la Turquie, à l’Algérie, à la Jordanie ? Pour ça il les a, les moyen ?
Fabius fait parti de ces traître qui vendent la France aux musulmans aux détriment de son peuple. Lui aussi doit prier cinq fois par jour le cul en l’air pour faire plaisir à ses amis musuls. Une honte se mec.
Aucun patrimoine en Europe ne doit être vendu sans l’accord du peuple français et tout ce qui avait été vendu sans l’accord du peuple doit être rendu au pays.
Bien sûr quand nous avons à faire à des escrocs, ils osent se permettre toutes les magouilles.
Quand au Qatar qui ont tellement d’argent, pourquoi n’aident ils pas leurs semblables musulmans qui sont dans la misère, à moins qu’ils les prennent aussi pour de la merde.
Ils n’ont pas acheter le patrimoine des autres, qu’ils s’occupent de leurs fesses, dehors!.
Ecoeurant…. C’est plus qu’un monument, c’est notre histoire et la mémoire de notre Peuple que ce gouvernement vend au Quatar!
Et il va servir à quoi tout cet argent???? A entretenir le migrants! quel comble!
Que les puits de pétrole soient tombés entre les mains de la civilisation islamo-sunite, n’est ce pas une autre rolls qui aurait fait une sortie de route ?Dans ces payys les rolls et ferraris conviennent parfaitement pour humilier et écraser les immigés qui se déplacent à pieds.
Mr Fabius s’enlise dans le déshonneur : diplomatie en Syrie, en Europe de l’est, Cop 21, … ça commence déjà à faire beaucoup.
Eh oui ! Mr Fabius traîne beaucoup de casseroles et ce ne sont que le haut de l’iceberg.Nos gouvernants actuels sont en train de trahir et dilapider la République Française et faire mettre le peuple Français en esclavage par des hordes de barbares venus du fin fond du moyen âge.Tous ces gouvernants et leurs complices devront faire face à l’histoire et rendre des comptes au peuple Français le moment venu.
Fabius et tout ce parti de socialistes de « bras cassés » seront jugés en 2017 car un Patrimoine appartient au Peuple. Depuis 2012 avec Hollande, nous assistons à une
« vente aux enchères » de notre pays…la belle France
defigureé ! Fabius et son fils devaient être en prison depuis
longtemps et Fabius est un lache quî se « vend » pour assurer son train de vie ainsi que celui du PR quî se doit
d’assurer la survie de son « Harem » avec nos IMPÔTS.
En 2017 gageons que tous ces escrocs disparaîtront pour
TOUJOURS #NS2017
Bonjour,
Le 20 h de France 2 a annoncé que les totalitaires saoudiens mettaient en place un fond souverain de 2000 milliards de dollars pour assurer l’après-pétrole !
Pour donner une idée c’est le PIB annuel de la France.
L’ensemble de la richesse produite par la France en un an …
Après les mosquées financées en France par les fanatiques Musulmans saoudiens, comment se prémunir contre une telle peste financière ?
Fabius encore plus proche d’Alzheimer que Hollande !
non pas pas Alzheimer c’est une ordure tout simplement!!!!!!!!!!!!!!
FABIUS LE FAUX CUL ANTI FRANCE!!!
Fabuis la Honte des Juifs et traître des Juifs et truands comme ma dit un ami Juif .
Christine , j’ai une solution pour éviter que ce Palais Français soit vendu aux Islamistes du Qatar ,pourquoi ne pas contacter tout les Partis de la Droite et lancer dans toute les extrêmes droites de L’Europe des dons de tout les Patriotes et partis politiques Européens pour acquérir à la place du Qatar ce Palais à Vienne qui en sera le siège Social de toute les Droites de l’Europe une sorte de Donation pour sauver ce Palais qui ne doit pas tomber dans les mains des islamistes ! je suis et certain que le parti d’extrême droite serez ravie de cette idée Française et ils aiderez certes a sauvez chez eux leur Patrimoine qu’il ne voudrez pas voir chez les islamistes ! contacte les de ma part Christine et je suis prêt à aider dans cela ,je parle et j’écris l’Allemand et j’ai encore d’autres idée pour ce Palais,je sais qu’ont peut rouler ce Fabuis avec son petit jeu de gangsters à cols blancs qui certe doit recevoir une belle enveloppe pour sa traîtrise.Je suis disponible pour l’Autriche et ce Parti qui à été voter dans le bon sens . Ah ça emmerderez ces Socialopes si un Français déjoue leur plan de traîtrise pour vendre ce beau Palais et que les Autrichiens sont aussi contre cette vente au Qatar ,dite merci à ce Fabuis qui salie la France en Autriche.
sans oublier son attitude en 2005 pendant la campagne du référendum,l’orsque l’on voit la suite ça en dit long sur le pérsonnage