Les choses sont clairement énoncées : il y a actuellement deux camps : les pro-islam et les anti-islam, la division droite- gauche n’a plus aucun sens actuellement
Tribune de François Billot de Lochner sur Liberté Politique
A la vitesse à laquelle se répand l’islam dans le monde, il n’est pas illogique que chacun cherche à savoir si l’islam est compatible avec la démocratie, ou ne l’est pas. Ceux qui s’expriment publiquement sur le sujet peuvent être schématiquement classés en deux écoles de pensée, diamétralement opposées :
–Les personnalités ou institutions qui estiment que l’islam ne peut cohabiter avec un système démocratique sont légion. La raison en est très simple : elles connaissent la loi islamique, et savent que celle-ci se définit comme étant supérieure à toute autre loi, et comme devant nécessairement s’imposer à tous. Par construction, le système politico-religieux islamique ne peut en aucune façon s’intégrer à un système démocratique qui, par définition, lui est de rang inférieur. Les dictatures islamiques au pouvoir dans le monde, comme par exemple celle d’Arabie Saoudite, l’expriment très clairement, pour s’en féliciter. Des chefs d’État de pays musulmans le répètent également à temps et à contretemps, pour s’en réjouir, comme le président algérien, ou pour le déplorer, comme le maréchal Sissi en Égypte. Une grande majorité des imams agissant dans le monde entier le professe avec brutalité, et, souvent, avec haine et violence. D’importantes institutions du monde occidental le confirment, comme la Cour européenne des droits de l’homme qui, dans deux arrêts importants rendus en 2001 et 2003, démontre qu’il existe une incompatibilité évidente entre la charia, issue de l’islam, et le système démocratique occidental.
–A l’inverse, les élites médiatico-politiques du monde occidental affirment généralement que la progression de l’islam ne pose aucun problème aux pays démocratiques. Elles peuvent même pousser le raisonnement jusqu’à affirmer que l’islamisation de l’Occident est une chance pour celui-ci. Par exemple, les dirigeants allemands justifient l’ouverture de leurs frontières aux migrants de confession musulmane en considérant comme acquis non discutable qu’il en résultera nécessairement un enrichissement pour la société allemande. Le gouvernement français valorise chaque jour davantage l’implantation solide de l’islam en France, qui devient l’objet de tous leurs soins, quand la religion historique de notre pays, à savoir le catholicisme, est au mieux tolérée, au pire persécutée. Une partie non négligeable de l’opposition politique actuelle affiche son accord avec la pensée socialiste, un Alain Juppé s’émerveillant de la beauté d’une religion dont il avoue tout ignorer, ou une Marine Le Pen se séparant de son conseiller Aymeric Chauprade parce que celui-ci s’était exprimé de façon assez peu politiquement correcte sur la dite religion. De son côté, l’Eglise catholique, sur l’islam, se mure la plupart du temps dans un silence assourdissant, quand elle n’apporte pas son soutien à son expansion.
Il s’oppose donc, sur un sujet somme toute assez simple à analyser, deux écoles de pensée qui professent des positions rigoureusement inverses. Ceux qui pensent que l’islam n’est pas compatible avec la démocratie font partie des plus hautes autorités politiques et religieuses du monde islamique, et sont confortées dans leur analyse par la Cour européenne des droits de l’homme, autorité incontestable et incontestée de l’Union européenne. Ceux qui professent le contraire démontrent souvent qu’ils n’ont du sujet qu’une connaissance pour le moins approximative, et parlent à tort et à travers d’un problème dont ils ignorent les tenants et les aboutissants.
Pour parler clairement, proclamer aujourd’hui que l’islam ne pose aucun problème aux régimes démocratiques revient tout simplement à proférer un mensonge. Qu’un tel mensonge soit asséné quotidiennement par le système politico-médiatique qui nous gouverne ne doit étonner personne : le Système est dans le rôle qu’il s’est attribué. En revanche, qu’il soit ardemment relayé par des forces politiques, morales et culturelles dont la vocation devrait être de lutter avec force contre le dit système, pour faire émerger la vérité, contribue largement à faire entrer de plain pied notre pays dans la logique mortelle de soumission à l’islam, si finement analysé par Houellebecq.
http://www.riposte-catholique.fr/riposte-catholique-blog/breves/islam-et-democratie-qui-ment
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Oui, nous avons les capacités de les foutre dehors et hors de toute l’Europe, nous sommes bien plus puissant que ces arriérés, à condition que nos escrocs d’élus nous lâche la bride et arrêtent de nous empoisonner la vie avec leurs conneries.
L’Islam est trop stupide et trop rigide pour développer quoi que ce soit, l’islam ne représente aucune richesse nul part en Europe, il est déjà pas dans les pays d’Orient, il représente une charge, un boulet comme il a toujours été et un danger pour les autres.
L’Islam est un vampire suceur de richesse des autres, le pays ruiné et Islamisé, ils passent au suivant, son seul moyen de survie, car incapables de produire des richesses d’eux mêmes et sont aussi les raisons de l’esclavage, les dhimmis.
Un pays civilisé créateur de richesses n’a pas besoin d’esclaves.
Si les musulmans pratiqueraient leur Islam pour eux tout seul, ils présenteraient aucun danger pour les autres.
Le problème c’est qu’ils doivent imposer aux autres communautés leur saloperie d’Islam qui n’a aucun sens, pour survivre à leurs incapacités de créer.
La question ne se pose pas. L’islam est une idéologie totalitaire basée sur la pensée unique qui proscrit la divergence d’opinion. Sans la divergence d’opinion et les échanges d’idées, on constate une absence d’évolution de la pensée et donc de la civilisation. C’est la raison pour laquelle le monde islamique a été incapable de se renouveler et a été dépassé par d’autres cultures capables de s’adapter à un monde en constant développement.
I’islam sous sa forme actuelle est condamné à plus ou moins long terme. Il ne subsiste que par son côté sombre.
En tout état de cause, dictature et démocratie sont incompatibles par définition.
Oui, bien sûr!….mais les faibles démocraties, qui se grattent la tête et posent des questions ont-elle la force de résister à des dictatures brutales, dont l’une ( vous voyez laquelle) fanatise ses croyants? Vu la veulerie de l’U.E, je n’en suis pas du tout certain, et la fin ne sera pas belle à voir!