Sur Boulevard Voltaire ce matin on peut lire dans l’Article du Colonel Georges Michel (er) consacré aux événement de Calais et donc à l’arrestation du général Piquemal cette remarque :
Calais, ou la colère des « braves gens »
« À cette manifestation, il n’y avait pas qu’un général en retraite et des militants de PEGIDA. Il y avait aussi des Calaisiens, des gens du peuple, celui dont s’est détourné depuis longtemps le Parti socialiste ».
A Saint-Brieuc, il n’y avait pas que des citoyens militants de tel ou tel courant ou de RR ou RL…
Il y avait aussi cette petite dame Paimpolaise qui nous accompagna de la place du rassemblement jusqu’au « A la prochaine » de l’au-revoir. Elle avait tout simplement lu dans Ouest-France que « quelque chose » aurait lieu à Saint-Brieuc. Nous n’en revenions pas… ainsi d’elle-même, non syndiquée, non encartée, non idéologiquement formatée, elle avait de sa propre volonté décidé de nous rejoindre. Cela nous a beaucoup ému, comme nous a bouleversé son témoignage de jeune mère de famille devant ses difficultés à vivre malgré le courage de toute la famille à « s’en sortir » comme on dit. Son inquiétude devant le délabrement civilisationnel qu’elle constate et fréquente dans notre Goélo natal. Sa satisfaction de voir ses gamins suivre le droit chemin malgré une ambiance de plus en plus délétère. Et sa gêne précisément d’être parfois dans la gêne… de devoir, elle aussi se rendre aux « Restau »… Vous avez compris le quel.
Nous étions « les gens du Peuple », et fiers de l’être, et que celui sorti du rang comme Piquemal fut des nôtres même si loin dans le Nord nous donne espoir et fierté.
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Valls, il dit quoi ? il s’en fout, il n’est pas Français ! a t’il seulement porté un jour l’uniforme de l’armée Française ?