Après Cologne, nous ne savons pas où le Destin nous mène mais nous savons ce qu'il nous reste à faire

Qui sait où le destin nous mène ?

Après l’Allemagne, et Cologne en particulier, c’est maintenant au tour de la police suédoise d’avouer avoir caché « une épidémie » d’agressions sexuelles sur des fillettes. Et cela s’était produit en 2014 et en 2015, par le même genre de prédateurs qu’aujourd’hui.

Je ne m’étendrai pas sur les circonstances et la nature des faits, c’est véritablement écœurant.

Mais cet écœurement génère une révolte, une colère, pour l’instant peut-être encore intériorisée et contenue, mais qui ne va demander qu’à s’exprimer ouvertement, avec arguments percutants à l’appui le jour où … Mon Dieu, aie pitié de mes ennemis, car moi je n’en aurai aucune !

Mais il n’y a pas que l’Allemagne et la Suède. Ce phénomène, qui fait tache d’huile et qui n’est pour l’instant pas réprimé par les diverses instances dirigeantes des pays européens, a frappé – et va malheureusement encore frapper – en Finlande, en Autriche et en Suisse, dernièrement, la nuit du Nouvel An. Quant au Royaume Uni, on sait depuis longtemps ce qu’ont pu faire sur de très nombreuses adolescentes certains ressortissants étrangers organisés en bandes. Nos gouvernements le savent très bien, et font tout ce qu’ils peuvent pour bloquer l’information, museler la presse, ne pas avouer aux concitoyens de nos pays européens quelle a été leur monumentale et criminelle erreur, et dans quelle terrible ornière ils sont en train de nous précipiter. Lorsque je dis « museler la presse », là, ce n’est pas trop difficile, quand on connaît l’état d’esprit de celles et ceux dont le métier semble être de nous désinformer. Pour ce qui nous concerne, la bande de sinistres mollement dirigée par la guimauve bien connue, s’emploie à réprimer les résistants tout en protégeant les bourreaux.

Là n’est pas la question … pour l’instant.

Non, ce qui est suprêmement inquiétant, c’est ce que qu’il va advenir de nos femmes, épouses ou compagnes, de nos filles et de nos petites filles.

Où est donc le temps où il leur était possible de circuler à pied, dans la rue, dans les transports en commun, dans la campagne, sans trop se poser de questions, sans avoir à regarder sans cesse derrière elles si personne ne les suivait avec de très mauvaises intentions ?

Lorsque je me déplace, j’ai pris depuis longtemps l’habitude de fonctionner en mode Awacs, toutes antennes et détecteurs déployés, profitant des reflets de chaque vitrine pour m’assurer de la sécurité de mes arrières, en quelque sorte, de mon périmètre de sécurité. C’est devenu une seconde nature, presque un mode de vie. Jadis, cela m’a préservé plus d’une fois. Et je crois bien que cela va continuer au rythme où vont les choses.

Non, messieurs les prédateurs, les femmes et les jeunes filles européennes ne sont pas des proies, du gibier, qu’il vous est donné de pourchasser en bandes, chairs fraîches qui seraient offertes consentantes à votre appétit de stupre, cibles désignées pour cet appendice turgescent qui vous tient lieu de cerveau ! Et pourtant, c’est bien ce que vous croyez ! Cela vous est-il venu spontanément, ou quelqu’un vous l’a-t-il glissé à l’oreille ? Un livre peut-être ? Et quel bouquin ? Ce machin moisi datant de quatorze siècles qui vous sert de code de la mort ?

Nous apprenons à l’instant que notre audacieux scootériste s’attaque à la courbe du chômage ! Non, sans blague ? Nous croyions que c’était la priorité de toutes les priorités des premiers mois du règne ayant débuté en cette funeste année 2012 – qui restera d’ailleurs comme une grosse pierre noire dans notre jardin. Rien n’aurait donc encore été fait dans ce domaine ? Il y avait d’autres priorités, encore plus prioritaires sans doute ?

Monsieur, petit monsieur, nous sommes en état d’urgence depuis un bon moment. Je dirais d’ailleurs depuis un bon paquet d’années. Alors, l’urgence, aujourd’hui, quand on constate l’immensité du problème concernant l’emploi, les millions de chômeurs inscrits ou pas à Pôle Emploi, le manque permanent et endémique de logements, l’urgence consiste-t-elle à accueillir ce flux ininterrompu de soi-disant réfugiés, qui aiment si peu leur propre pays qu’ils le fuient sans le défendre (et en laissant leurs femmes se débrouiller toutes seules), et qui aiment tant le nôtre qu’ils s’ingénient à en détruire les structures, à le piller, à se comporter comme autant de nuages de sauterelles qui ne laisseront qu’un vaste désert – un cloaque plutôt – sur leur passage, puisqu’ils ne savent que détruire et non pas concevoir, inventer, construire…

Combien donc d’agresseurs sexuels parmi ces aliens, tellement courageux qu’ils s’attaquent en nombre à nos filles sans défense ? Combien d’agressions à venir encore, de vols, de pillages, de viols, de meurtres, avant que les clowns patentés qui ont la prétention de nous gouverner – et qui l’affirment sans rire – avouent piteusement qu’ils ont loupé une marche, qu’ils ont trahi la confiance de leurs concitoyens ? Faudra-t-il attendre que leurs mères, leurs femmes, leurs filles, subissent le même sort que les nôtres, pour qu’ils se réveillent enfin ?

J’étais il y a peu avec d’anciens camarades. Nous nous voyons régulièrement, déjeunant dans un Mess où nous sommes accueillis à la fois chaleureusement et respectueusement. Lorsqu’ont été évoquées les exactions s’étant produites la nuit de la Saint Sylvestre, il s’est fait un long silence. Nous avons échangé un long regard, lourd, un regard entendu. Nous savions que nous pensions tous la même chose. Et les mêmes images nous sont revenues en mémoire. Des images d’horreur vécues dans le passé. A nos oreilles résonnèrent de nouveau l’orage qui gronde, la rumeur des batailles…

Enfin, reprenant la parole, nous avons convenu que nous savions ce qui nous restait à faire. Pour nous, maintenant, qui sait où le destin nous mène ?

Gare au voyage car la mort

Nous guette par le monde.

Comme toi toujours nous allons,

Grise armée dans la guerre,

Murmure-nous si nous tombons

La dernière prière

Les Oies Sauvages, chant militaire français

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16 Commentaires

  1. Il faut dire que la coupe est pleine et que nos dirigeants semblent en boire à satiété, pour se faire valoir, – tout en ne faisant rien d’efficace pour stopper ses débordements inadmissibles, éprouvants, envahissants.
    Ils pourraient être accusés de non assistance à concitoyens et à patrie en danger. Devant les impitoyables, il fat cesser d’être pitoyables.
    Ils vont obliger les individus à l’autodéfense, car les européens ne sont pas des moutons bons à tondre et à égorger. L’état de droit n’a pas lieu d’être avec des barbares qui violent, qui se préparent à massacrer, et pas seulement ceux qui sont passés aux actes, qui veulent s’imposer et nous soumettre.

  2. Amie Parisienne, sachez que tout le monde a ses moments de découragement, même – et surtout – lorsqu’on a du frôler le plus grand danger par le passé, et que l’on constate devoir de nouveau revivre de fâcheux moments.
    Se soutenir, s’entraider, s’organiser, voilà qui doit nous donner confiance et du cœur à l’ouvrage. Tous ensemble !

  3. Il faut s’accrocher pour garder le moral et croire que le « basculement tant attendu va s’effectuer aussi rapidement que nous le désirons!
    Pour certains, plus facile d’être un va t’en derrière un clavier d’ordinateur, que de manifester ou participer aux assises de R.R,nous étions moins nombreux que ce que nous pouvions espérer et je le souligne, beaucoup de femmes venues de province notamment une voisine de « chaise »qui avait pris un vol de NICE le matin très tôt .
    Je comprends le découragement de Pugnacité,car le temps joue contre nous et les élections récentes, nous ont fait comprendre que la tâche va être difficile car beaucoup de de nos compatriotes ,n’ont pas encore ouvert leurs yeux…..
    Alors, parachutiste, permettez que de temps à autre certaines d’entre nous soient découragées et impatientes de voir la situation évoluer!

  4. Post-scriptum : un ami m’a parlé du livre de Gilles Kepel : « Terreur dans l’hexagone » qui traite de la volonté du pouvoir de cacher aux Français toutes les vérités qui dérangent.

  5. Merci Parachutiste pour cette belle déclaration – elle va au-delà des mots – Car, avec Vous, nous savons pouvoir compter sur des actes, si nécessaire ! Il ne s’agit pas de propos d’intention, à vue électoraliste, comme chez certain…
    En ce qui concerne l’Allemagne, hier – enfin – France 2 a montré le film des agressions à Cologne ! Nous étions le 15 janvier alors que les événements se sont déroulés le 31 décembre ! Des infos de première fraîcheur de la part d’une grande chaîne nationale ! Mais, avec le film des exactions, des interviews, dont cellei d’un migrant d’origine marocaine, celui sur lequel a été retrouvé le papier où était inscrit des mots en allemand, sous-titrés en arabe (Christine l’a mis en ligne voici quelques jours)…. Bref, ce migrant a été appréhendé : aux questions posés sur la présence de ce papier dans sa poche il a répondu qu’il l’avait trouvé par terre avant de l’empocher, qu’il n’avait rien fait, qu’il était contre ce qui s’était passé, etc… Et que croyez-vous qu’il arriva ? Il a été relâché dans la nature, tout simplement, sans plus être inquiété ! On sent que les policiers sont muselés.

  6. La terre de France était un royaume prospère
    Même si les bergers vivaient dans la misère.
    Loups, ministres et magistrats y étaient gras

  7. Merci, Parachutiste ! C’est avec de vrais hommes comme vous et vos copains dont vous parlez, que la France sera sauvée ! C’est entre les mains d’hommes comme vous, que je remettrais ma vie, sans hésiter ! S’il faut y aller, on ira ! J’ai confiance ! Encore merci et bravo !

  8. Témoignage criant de vérité. Connaissant ces gens-là, leurs actes sont normaux pour eux. Ils ont tous les droits, toutes les exigences, à nous les devoirs…..
    Grâce (ou à cause ) de nos manchots, sinistres individus, nous allons droit dans le mur !
    Il faut que, malgré eux, nous nous réveillons et prenons les choses en main : ils sont incapables du moindre geste, de la moindre décision sauf pour nous stigmatiser et prendre notre pognon.
    Armons-nous et partons. S’ils veulent la guerre, ils l’auront.

  9. Malheureusement ,je pense en toute lucidité issue de constats successifs factuels,que nous savons que le destin nous mène à l’inféodation et à L’anéantissement et que de surcroît nous ne savons pas ce qu’il nous reste à faire…
    Soit pas il s’agit d’une absence d’instinct de survie soit d’une naïveté poussée à l’extrême..

    • En toute lucidité …
      « nous savons que le destin nous mène à l’inféodation et à L’anéantissement et que de surcroît nous ne savons pas ce qu’il nous reste à faire… »
      … ce n’est pas avec de tels propos que vous pourrez donner du moral aux troupes !!!

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