Petit dictionnaire républicain (1)
MATAMORE : Faux héros, mythomane parlant de ses exploits imaginaires.
Définition historique : MATA : tuer MOROS : Maures ; donc Tueur de Maures.
Dans la cathédrale de Compostelle vous pouvez admirer une statue de Saint-Jacques Matamore (Je suis chevalier du Christ, secourant les chrétiens, je marche à la tête des armées chrétiennes contre les Sarrasins… Livre des Miracles de Saint-Jacques) brandissant son épée et se tenant fièrement sur un cheval en train de cabrer.
Une composition fleurie posée aux pieds de la statue accueille les pelerins et les visiteurs déambulant dans cette magnifique cathédrale.
Mais, car il y a un mais, ces fleurs sont destinées avant tout à cacher le socle de la statue à la vue des visiteurs. Sans ce rideau de fleurs, nous devrions voir le cheval piétinant des Maures!!!
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Encore une manoeuvre destinée à éradiquer tout souvenir de notre Foi et de notre Histoire.
Remerciements à M. Forgeron de nous apporter une preuve supplémentaire de l’effacement volontaire de ce qui a contribué à construire, cimenter notre société.
A tous, Meilleurs Voeux pour l’année 2016.
La collaboration étend ses métastases partout ! On veut cacher la malignité de l’islam partout et c’est désespérant ! Aux dernières nouvelles, dans « la chanson de Roland », Roland et Olivier ont été tués à Roncevaux, non par des maures, mais par des basques !
Historiquement ça devait être des Basques, mais ce qui importe c’est le texte littéraire car la littérature recrée un monde parfois plus réel que le vrai: les ennemis sont devenus des Maures parce que tel était le danger historique de l’époque (et oui, déjà!) et ce texte a marqué notre histoire littéraire et donc culturelle précisément pour cette interprétation d’un fait historique somme toute secondaire. Ainsi se créent les grands mythes littéraires, qui ont en définitive plus de réalité que la réalité des faits. C’est le pouvoir de la Littérature comme de tout autre Art, et c’est ce qui fait de la Bible un des monuments littéraires de l’humanité, alors que le Coran, au contraire…