Dans un précédent article, je faisais allusion au désintérêt des gens pour des actions patriotiques. Fort heureusement, nous sommes de plus en plus nombreux à nous lever et à organiser la riposte, à nous concerter pour agir entre divers mouvements.
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au cœur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n’y croyait pas
Louis Aragon, La Rose et le Réséda
Nous sommes en guerre, même si personne n’a envie d’entendre cela. C’est la guerre de l’islam contre la civilisation. C’est la guerre de la mondialisation contre les nations. C’est la même guerre qui mêle l’abolition des frontières et l’invasion migratoire, l’obscurantisme et la barbarie élevés au rang de religion contre l’égalité et la démocratie, les droits de l’homme contre les droits des peuples, les entités politiques supranationales contre les États, le pouvoir des entreprises multinationales contre le tissu socio-économique, les clubs de parvenus contre les gouvernements, la dictature des minorités contre le bien commun, les mondialistes contre les patriotes, l’errance cosmopolite contre les racines ancestrales, l’islam contre la liberté et l’épanouissement.
Non seulement nos vies sont en danger, mais aussi notre République et l’avenir de nos enfants.
Maintenant il faut choisir et ne pas laisser les autres faire ce qui est nécessaire en attendant la fin de l’orage, car celle-ci ne viendra que par notre action.
Mardi 17 novembre, la Ligue du Midi et plusieurs participants de divers mouvements ontentrepris une manifestation publique en deux étapes, l’une à Lunel (célèbre pour sa mosquée salafiste dont nous attendons la fermeture de pied ferme) et l’autre à Nîmes.
Lunel, 19h45, rond-point du centre commercial sur la RN113, lequel est en travaux et oblige à passer en double sens avec circulation alternée, ce qui nous arrange pour être vus. Nous sommes environ cinquante. Il y a des journalistes (Télé-Liberté et Midi Libre).
Nous déployons une banderole sur laquelle il est écrit : « Non à l’État islamique de Lunel ».
Il y avait déjà une équipe de la Police municipale et en voici maintenant une de la Gendarmerie, armée pour les circonstances et qui prend position derrière nous. Nous lançons divers slogans contre le terrorisme et contre le gouvernement. Des gens en voiture nous observent avec surprise. Un jeune conducteur s’arrête pour se renseigner. Une conductrice de bus nous adresse des signes d’encouragement. Nous ne restons pas très longtemps et repartons en direction de Nîmes.
Nîmes, 21h00, devant la Maison Carrée illuminée aux couleurs nationales. Plusieurs équipes de la Police nationale sont là. Des militants nîmois nous rejoignent et nous montons sur les marches d’accès à l’édifice romain. Quelques gens nous observent, nous filment ; une voiture reste le plus longtemps possible en face de nous et éclaire avec ses phares. Richard Roudier félicite les différents participants et fait observer que c’est la première fois qu’il participe à une manifestation où les forces de l’ordre sont équipées de fusils d’assaut. Voilà où nous en sommes. Des torches rouges s’allument et nous répétons ce que nous avons déjà fait à Lunel ; plusieurs chants sont entonnés, et nous concluons par une vibrante Marseillaise.
Nous repartons et en passant de l’autre côté de la Maison Carrée, je vois des gens attablés à un café, n’ayant semble-t-il accordé aucune attention à notre démarche. Ils ont pourtant bien pu entendre La Marseillaise et cela aurait dû les interpeller en ces temps de désastres. Mais non, la nonchalance et le désintérêt pour les affaires même gravissimes de la France ont déjà regagné leur emprise, au moins sur certains. Pourtant, il y a moins d’une semaine, d’autres gens étaient tranquillement attablés à des terrasses de cafés…
Nous ne sommes pas encore prêts à former nos bataillons… il y a encore bien trop d’hésitants, d’indifférents et de passifs. Un espoir pourtant : selon les « informations » télévisées, le carnage de vendredi dernier aurait provoqué une vague inhabituelle de demandes d’engagement dans l’armée. La jeune génération se montre responsable et c’est tant mieux. Les premiers Résistants de 1940 ont dû se sentir bien seuls, mais ils ont persévéré. Soyons dignes d’eux et ripostons !
Daniel Pollett, responsable Résistance républicaine Gard
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Et voila une terre d’islam de plus. Je suis furax.
Qui sont ces jeunes qui demandent à s’engager ?