Je persiste et signe : la gauche est un mythe errant ! Par Daniel Pollett

droite-gauche

Dans un précédent article, j’ai utilisé ce jeu de mots facile, copié et suranné à propos duquel je persiste et signe. Avec le présent exposé, je répond en partie à Christine qui nous invitait à rédiger quelques biographies. Ici, je propose une petite biographie de la gauche française dont le titre me vaudra quelques points en moins pour cause de plagiat dérisoire, mais c’est celui qui me paraît le mieux convenir.

             La gauche est un mythe car elle s’accommode de toutes les malveillances, de toutes les lâchetés, de toutes les contradictions, de toutes les outrances et de toutes les trahisons de la droite.

En cela, ce qui les réunit, c’est que la France et les Français, elles s’en foutent !

Cela est confirmé par la persistance à forcer par tous les moyens le peuple français à se soumettre à la mondialisation-islamisation de la France, en ignorance totale des leçons de l’Histoire, en négation des principes républicains et en contradiction avec les éléments basiques présentés par la scientifique et pertinente Pyramide de Maslow. Celle-ci expose les besoins fondamentaux de l’homme, notamment le besoin d’appartenance et le besoin de sécurité.

Prétendre appartenir au monde entier, sans référence à portée humaine -le monde, c’est si grand- c’est nier ce besoin d’appartenance à une réalité territoriale, à un langage, à des valeurs, à une façon de vivre, lesquelles ne peuvent pas être les mêmes en tous endroits de la planète, pour toutes sortes de raisons géo-climatiques, historiques ou autres.

C’est pour cela que chaque peuple a une Patrie, une culture, une Histoire et des valeurs.

Lorsque l’on n’est reconnu que comme un consommateur robotisé gonflé de droits illusoires, un producteur exploitable et déplaçable jusqu’à épuisement, après avoir été un enfant dont l’école pré-fabrique l’ignorance et la docilité et avant d’être un retraité dont la retraite même est contestée, dans un univers où tout est déréglé, il y a là une atteinte fondamentale au besoin de sécurité.

C’est pour garantir ce besoin de sécurité que nous avons une loi républicaine (de Res Publica = le bien commun), des frontières, une armée, une police et un système de sécurité sociale.

L’ensemble des acquis sociaux et du système de défense, édifiés selon notre civilisation et nos valeurs, constitue notre bien commun, notre sécurité au sein de la Patrie. Et c’est bien cela qui est remis en cause par la mondialisation-islamisation.

             La gauche est errante, car étant au départ l’émanation des perspectives sociales populaires, des ouvriers, des petites gens, elle est petit à petit devenue la gauche-caviar, avant de devenir la gauche-couscous, ciblant par pur clientélisme une immigration à qui elle doit beaucoup en termes électoraux, méprisant et ignorant même ceux qui, légitimement, lui font confiance, attendent d’elle qu’elle les défende, les protège et les accompagne dans le progrès social et humain. Cette errance politico-sociale est résumée dans l’embryon de biographie ci-dessous, qui est malheureusement loin d’être exhaustif. Mais souvenons-nous pourtant…

            Le gouvernement de traîtres du maréchal Pétain, son administration, ses soutiens dans la presse et ailleurs n’ont pas manqué de gens « de gauche », et François Mitterrand lui-même fut décoré de la Francisque… pendant que le peuple français subissait l’Occupation et luttait comme il pouvait pour sa survie et sa liberté.

Observons que l’administration de Vichy a participé, au profit des nazis, au pillage des bien publics et privés. Maintenant la gauche laisse des illégaux s’installer dans des lieux publics et privés sans qu’il soit possible de les déloger, utiliser un système de protection sociale auquel ils n’ont pas cotisé,  et en laisse d’autres s’installer chez nous avec armes et uniformes. La gauche surtaxe les terrains constructibles non construits pour obliger à vendre à bas-prix au bénéfice de « logements sociaux » dont on sait fort bien à qui ils sont destinés.

             La gauche s’est accommodée du Parti communiste, lequel a volontairement ignoré les crimes innombrables du communisme stalinien, maoïste, castriste et autres… Il y a eu « l’Union de la gauche », rassemblant socialistes et communistes malgré cela.

Observons que le Parti communiste refusait hier d’admettre la réalité du système soviétique, tout comme aujourd’hui tous les partis sauf le FN refusent d’admettre la réalité de l’islam.

             La gauche, avec sa propagande et ses « porteurs de valises »,  a lutté contre la France pour l’Algérie algérienne, mais ne veut pas aujourd’hui de la France française.

Elle la veut mondialisée et islamisée, dans « le grand vent de l’Histoire », comme dit François Hollande qui lui est à bout de souffle, si tant est qu’il en eût.

             La gauche au pouvoir avec Mitterrand, ce fut le triomphe des chimères, la semaine de trente-cinq heures alors que les autres pays remontaient leur capacité de production, deux dévaluations consécutives et le monopole de la peine de mort aux assassins.

Jeune motard à l’époque, j’avais comme beaucoup quelque peine à payer une assurance-moto à tarif délirant. Réponse du gouvernement « de gauche » à cette question sociale : obligation de la vignette-assurance. Eh, oui, c’est depuis ce temps-là que vous collez la petite vignette verte sur votre pare-brise ! C’est alors que nous avons créé la Mutuelle des Motards.

Ceci est peut-être anecdotique, mais bien révélateur de la politique des socialistes. Cela démontre aussi qu’il ne faut pas attendre l’action des politiciens pour résoudre les problèmes.

Ajoutons encore que « la gauche » nouvellement au pouvoir n’a pas supprimé la vignette-auto, instituée par le socialiste Guy Mollet en 1956 et dont « les vieux » n’ont jamais touché un centime, mais qu’elle a voulu l’imposer aussi aux motos, ce qui provoqua de nombreuses manifestations. Il a fallu attendre 2000 pour que cette vignette soit supprimée, après que les socialistes aient botté en touche en en transférant la gestion aux départements.

            En ces années-là déjà, l’insécurité et la violence dans les pays occidentaux ne venaient pas toujours d’où certains persistent à le croire, mais souvent de l’extrême-gauche : Brigades rouges en Italie, Fraction armée rouge (dite bande à Baader) en Allemagne de l’Ouest, Action directe en France, qui assassinat Georges Besse, PDG de Renault.

Dès les années vingt, les milices fascistes Chemises noires se développèrent en Italie, prenant le pas sur la police, comme le firent en Allemagne, dans les années trente, les milices SA et SS.

Aujourd’hui, la gauche s’accommode fort bien des « antifas », ces groupes violents et masqués  qui arrivent curieusement à déborder la police pour frapper des manifestants, qui agressent les militants patriotes et se présentent en victimes quand ils sont coupables.

            En ces années-là aussi, celles de la gauche au pouvoir, il y eut de nombreuses morts aux circonstances sujettes à interrogation : Coluche, Pierre Bérégovoy, François de Grossouvre… Avec la droite, il y avait eu quelques années auparavant la mort de Robert Boulin. De curieux accidents, de singuliers suicides, des tragédies à propos desquelles on ne saura peut-être jamais la vérité.

             Puis est venu le temps de la cohabitation, une formule ayant paru inopportune à certains, mais pourtant très usitée dans d’autres pays, ce qui démontre qu’entre la gauche et la droite, il n’y a pas tant d’incompatibilités.

Au temps de Chirac, duquel la gauche s’accommoda par deux fois, il y eut l’inauguration de cette entreprise de ponction systématique des conducteurs, sous couvert de « sécurité routière », aggravée plus tard par Sarkozy et que la gauche, encore elle, s’apprête à aggraver à nouveau avec l’abaissement des limitations de vitesse, petite gloire de Chantal Perrichon.

Il y eut aussi la suppression du service militaire, l’un des piliers de la défense de la République, de l’éducation au vivre ensemble (le vrai), du servir ensemble pour le bien commun.

Il y eut aussi l’abandon du choix des prénoms relatifs à notre culture, à notre civilisation. Cela donna libre cours aux prénoms d’autres cultures, et même à des prénoms purement phonétiques issus d’une inculture sans limites.

Il y eut le droit-du-sol en remplacement -avant le nôtre ?- du droit-du-sang falsifiant l’identité française contre l’intérêt du peuple français.

Il y eut l’adoption du quinquennat, plaçant la France en campagne électorale quasi-permanente, divisant un peu plus les Français.

             Tout cela en fait implique chaque jour davantage la France et les Français dans cette mondialisation sans visage et utopique, qui n’est rien d’autre qu’une idéologie de passage, mais qui ruine la France et le futur des Français comme de beaucoup d’autres. Il n’y a rien de social là-dedans, rien qui fasse progresser la société et le quotidien des travailleurs, ceux qui, traditionnellement, votent à gauche. Bien au contraire, la mondialisation crée le chômage, le gâchis généralisé, la disparition d’industries et de savoir-faire séculaires. Plus nous avançons dans l’Union européenne et la mondialisation-islamisation, plus notre vie est incertaine, notre futur aléatoire, nos références et nos racines oubliées.

             La gauche est-elle opposée aux extrémismes ?  Souvenons-nous que les références politiques se font en fonction de la position des groupes à l’Assemblée nationale. Ce qui ne veut pas dire que les groupes situés les plus d’un côté ou de l’autre de l’Hémicycle sont forcément les plus susceptibles d’actions extrêmes. Des exemples :

Lors d’une manifestation de routiers incluant le blocage des péages autoroutiers, c’est bien la gauche qui a envoyé l’armée avec un char de dépannage pour enlever de force -et en l’abîmant gravement- un camion immobilisé. L’arme blindée contre des manifestants et la destruction de l’outil de travail, la droite n’aurait pas fait plus! Nous retrouvons cette même violence extrémiste quand des enfants sont gazés dans des poussettes.

Nous la retrouvons aussi lorsque la gauche s’allie à la droite pour voter le Traité de Lisbonne auquel, par un référendum précédent à propos d’un accord quasi-similaire, les Français ont majoritairement répondu non. C’est là une antithèse de la République et de la démocratie que cette illusion de gauche a le culot de prétendre défendre.

Tout comme lorsque le célèbre syndicat du mur des cons se trouve impuni de son forfait, alors que le journaliste ayant pris les photos compromettantes se trouve fustigé.

Décidément, la gauche s’arrange vraiment de tout et avec tout…

 Il y a Hollande déclarant, à peine élu président, qu’il est membre de l’Internationale socialiste et qu’à ce titre il se préoccupe autant des travailleurs français que pakistanais. Alors que ces derniers ne lui ont rien demandé et que les premiers l’ont élu pour présider la République française, et non pas l’Internationale socialiste.

Il y a Valls qui vient de déclarer qu’il n’est pas question que la France, dotée de l’arme nucléaire, « tombe entre les mains du Front National ». On ne  sait, avec un tel propos, s’il fait encore une fois allégeance à la mondialisation antipatriotique ou, et c’est pareil, à l’OTAN, ou alors s’il prépare la France à la négation de l’opinion majoritaire et à la guerre civile.

             Le général De Gaulle disait qu’il n’aimait pas les socialistes parce qu’ils n’étaient pas socialistes. C’est toujours vrai. La gauche est un mythe errant.

      Daniel Pollett

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6 Comments

  1. Tous ces gens ne cherchent que le pouvoir et l’argent à tout prix et rien d’autres, ces gens ne sont que des escrocs, des menteurs et des voleurs, parasites habillés dans un parti avec les couleurs d’un parti, qui n’est pas un gage de garanti contre les voleurs, comme l’habit ne fait pas le moine.
    Il suffit d’écouter Eric Zemmour à une certaine époque, de parler de la lonnnnngue liste de la gôche caviar, déjà avec le fameux Déa avant la seconde guerre mondial.
    Je pense qu’il faut plus regarder le côté humain, que l’étiquette de certain, quel que soit le parti politique, et de se souvenir à chaque fois, que quand les politiques agissent contre les intérêts du peuple, et qui escroquent les lois du pays, et la démocratie, de les considérer comme des vrais extrémistes et extrêmes droites, et vrais racistes contre le peuple, et de combattre ces ennemis d’intérieur du peule très fermement.
    Ces gens là ne doivent jamais avoir de pouvoir, comme les Suisses qui ont un gouvernement de rêve pour nous, ils s’en méfient encore, nous, nous avons fait trop confiance aux dirigeants.
    La méfiance est un réflexe de sécurité qu’ils nous faut préserver, et comme les Suisses, de donner les instruments de pouvoir que seulement au peuple et pas aux élus, les représentants du peuple doivent rester des représentants du peuple et pas des autres peuples, c’est toujours une escroquerie à la démocratie, et un détournement de font qui n’appartient qu’aux voleurs.
    Peuples il est grand temps de vous prendre en mains! contre les escrocs! aux pouvoirs!, Peuples réveillez vous.

  2. Raté ! J’irai même pas vous mettre de points en moins (puisque c’était tout de même moi qui était visé ici)

    Pourquoi ?
    Parce ce qu’il est parfait votre exposé mon Ami.

    uver que les deux peuvent être aussi méprisables les un que les autres !

      • Un jour alors que j’essayais de percer comme jeune poète, j’ai rencontré Léo Ferré . Ce jour-là un anarchiste, sorte de caricature de la bien-pensance anarchiste, chemise noire et pantalon noir, lui passait la brosse à reluire  » Oui, Léo tu es un chanteur debout, et les autres sont des chanteurs couchés » Mais visiblement le grand Léo n’était pas accessible à ce genre de compliments et n’en n’avait rien à faire. Puis l’anarchiste tocard eu la maladresse de lui dire  » Léo, t’as vu la GAUCHE !!  » et le grand Léo de lui répondre méprisant  » Qu’est-ce que c’est la GAUCHE !! » . Explication : il faut rappeler que pendant sa campagne présidentielle François Mitterand, en récompense d’un éventuel soutien de Léo Ferré, lui avait proposé la direction d’un grand orchestre symphonique « . C’était mal connaitre Léo Ferré, que de penser que l’on pouvait le corrompre en achetant son talent, et il a envoyé Mitterand se faire foutre.
        Qui pourrait mépriser un tel homme …….
        .

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