Nos compatriotes avaient depuis longtemps l’air d’une bande de sales gosses se chamaillant pour des futilités dans une cour de récréation, ne voulant pas voir qu’ils avaient pourtant une belle école et la chance d’être là. Au lieu d’organiser des jeux qui les rassemblaient dans une saine émulation, ils formaient de petites bandes, le plus souvent pitoyables ou grotesques, mais qui finissaient par établir une sorte de dictature des minorités. Ils ne savaient plus dire « nous ». En même temps, une autre bande, grandissante, s’installait dans l’école, en modifiant les règles, les dispositions, l’aspect et la nature même.
Les Français avaient oublié leur pays, leur État, leur nation, leur patrie, leur civilisation. Ils se prétendaient volontiers « citoyens du monde », sans voir que le monde est bien trop grand pour un individu, et aussi bien trop concret pour des « idéologies », celles-là mêmes qui se réunissaient dans un magma nommé « mondialisation ». Ils se gargarisaient de formules « politiquement correctes » et de consumérisme sans limites, sans voir que la mondialisation et l’une de ses structures, l’Union européenne, faisait d’eux les robots d’une société idéalisée et terrifiante décrite dans plusieurs romans d’anticipation.
Les Français, dans leur majorité, ne voyaient pas que la mondialisation se nourrissait d’un autre élément, l’islamisation, que ces deux fléaux que la nature n’aurait pas osé imaginer étaient à la fois rivaux et complices. Quoi de mieux qu’une société où la politique et la religion (ou supposée telle) sont une seule et unique règle régissant la vie privée, familiale et publique ? Surtout quand ce système qui a pour nom « soumission » (islam en arabe) et dont le support idéologique est un livre à apprendre par cœur (coran signifie « récitation »). Quand on a affaire à des gens soumis qui ne pensent à rien d’autre qu’à appliquer strictement ce qui est prescrit par un dieu imaginaire, on exerce sur eux un pouvoir sans limites et on peut aussi leur faire consommer encore plus qu’à des gens instruits et conscients usant de leur libre arbitre.
Mais voici l’heure. Puisque l’on a refusé les institutions il n’y a plus d’instituteur pour annoncer la fin de la récréation. L’instituteur, l’institutrice de mon enfance, eux qui étaient titulaires du savoir et de l’autorité, qui nous apprenaient à discerner le Bien et le Mal, ont été remplacés par des staliniens désœuvrés qui n’apprennent même plus l’Histoire à nos enfants. Parce qu’il ne faut surtout pas que ceux-ci sachent d’où ils viennent, de crainte qu’ils ne voient aussi où ils vont : dans le néant d’une société sans repères, sans racines et sans valeurs, comme si tout était à vendre, même les consciences et les sentiments. Certains tentent-ils de faire face ? Ils sont assaillis par les associations de parents d’élèves, qui prétendent savoir mieux que les professeurs ce qui doit se passer dans l’école. On voit le résultat : des bacheliers incapables de maitriser notre langue maternelle et nationale, l’un des piliers de notre République, l’élément obligé des relations et des apprentissages, le minimum nécessaire pour bien se comprendre et se comprendre bien.
On se croirait dans le film « Le retour de Don Camillo », où l’on voit des enfants s’approprier les inimitiés et les querelles des adultes… Où l’on voit qu’à force de vouloir que ce soit son clocher qui indique l’heure avant celui des autres, on ne sait même plus l’heure qu’il est… La voilà, la bataille des idéologies où l’on sabote les affaires des autres même dans le malheur.
Mais voici l’heure. Et c’est l’islam qui vient de siffler la fin de la récré.
Je suis triste. Je le suis pour mes enfants et pour tous les jeunes d’aujourd’hui qui n’ont rien fait pour mériter cela. Je suis triste pour nos morts glorieux, les Poilus, les Résistants, pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour que la France vive libre. Je suis triste pour les trente-cinq mille soldats de notre Légion étrangère qui sont morts sur les champs de bataille. Je pense aux millions d’immigrés qui sont venus en France durant des siècles pour offrir leurs efforts, leur travail et leur intégration tant réussie qu’on n’employait même pas ce mot, en reconnaissance pour la liberté et la paix sociale. Je suis triste pour ceux qui viennent encore chez nous pour y trouver cette même liberté et cette même paix sociale parce qu’ils sont persécutés dans leurs pays d’origine, notamment les chrétiens d’Orient et toutes les victimes des dictatures d’aujourd’hui : résidus du communisme, régimes autoritaires mondialisés et États islamiques intolérants.
Je suis triste pour nos amis juifs qui sont de plus en plus nombreux à faire leur Aliya (retour à la Terre Promise) parce qu’ils ne sont plus en sécurité chez nous, avec nous. Non pas à cause d’une supposée extrême-droite, mais à cause de l’anti-judaïsme des bobos-gauchos alliés de l’islam dont le texte fondateur prescrit explicitement qu’il faut faire la guerre aux Juifs. C’est écrit.
Aujourd’hui beaucoup de jeunes Français partent pour d’autres pays plus prometteurs et nous ouvrons nos portes à des populations profiteuses, vindicatives et hostiles alors qu’il n’y a déjà plus de travail et de logements pour satisfaire tous les besoins. Comment en sommes-nous arrivés là ?
Nous avons depuis longtemps abandonné, renié ce qui nous a faits tels que nous sommes. Nous avons cru à des chimères et oublié le sens du devoir en croyant que nous n’avions que des droits. Nous avons confié notre destin à des dirigeants qui n’étaient plus patriotes en croyant à la mondialisation ou à une sorte de communisme amélioré. Les systèmes qui ont prétendu régenter le monde entier ont causé les pires catastrophes et les pires génocides : le communisme et le nazisme. Nous savons ce à quoi ils ont mené. Aujourd’hui deux autres ont cette prétention de domination planétaire : la mondialisation et l’islam.
Nous avons traité les patriotes de ringards, xénophobes, cocardiers, racistes et même fascistes. Nous avons laissé insulter notre drapeau, publier un livre intitulé « Nique la France », nous avons laissé siffler notre Hymne national et permis que des joueurs d’équipe de France refusent de le chanter. Nous avons laissé les bobos-gauchos de l’Éducation nationale faire croire à nos enfants que la France est un pays multiculturel. Nous avons laissé notre Justice libérer des voyous, des violeurs, toutes sortes de récidivistes dangereux avec les conséquences que l’on sait, et même des terroristes, mais aussi condamner les honnêtes gens en état de légitime défense.
Nous avons désarmé notre police tandis que les malfaiteurs se sur-armaient et nous lui avons enlevé sa présomption de légitime défense. Nous l’avons laissée insulter et nous avons permis que son autorité soit remise en cause. Nous avons transformé nos prisons en lieux de villégiature et nous avons accordé aux détenus des droits que leurs méfaits leur avaient fait perdre. Nous avons supprimé la peine de mort et en avons laissé le monopole aux assassins et aux terroristes. Pour avoir le pétrole des pays arabes, nous avons même vendu notre âme au diable de l’islam.
Nous avons laissé notre patronat accélérer la venue de populations étrangères et le plus souvent maghrébines pour avoir une main d’œuvre soumise à bon marché, et nous l’avons aussi laissé délocaliser nos emplois tout en important de plus en plus de produits fabriqués ailleurs, au nom du « progrès » et de la mondialisation. Nous avons permis le regroupement familial de travailleurs dont la précarité de l’emploi justifiait qu’ils devaient retourner dans leur pays d’origine en fin de contrat. Nous avons octroyé à des étrangers des droits plus importants qu’à nous autres Français. Paradoxe inouï : nos administrations sont tatillonnes envers nous, mais laxistes avec les étrangers, fussent-ils en situation irrégulière et donc contrevenant à la loi.
Nous avons laissé l’islam s’implanter dans notre pays de tradition chrétienne, alors même que le livre fondateur de l’islam prescrit aux musulmans d’établir un califat dans le monde entier. Nous avons fait la guerre aux sectes mais oublié qu’aucune d’entre-elles n’avait des prescriptions aussi mortelles que certaines contenues dans le coran, par exemple celle-ci : « Quand vous rencontrerez des infidèles, tuez-les jusqu’à en faire grand carnage » -le coran, chapitre (sourate) 47, verset 4. Nous avons accepté d’être envahis par des étrangers dont certains arrivent avec armes et uniformes et nous leur construisons des bastions à nos frais.
Nous avons oublié l’Histoire, le terrible sort des Pieds-Noirs et des Harkis. C’est pourtant à cause de l’islam que toute la moitié nord de l’Afrique est déstabilisée, que nous devons accepter d’être traités comme des malfaiteurs avant d’embarquer dans un avion, que nous avons supprimé les consignes automatiques et que nos poubelles publiques doivent être transparentes.
Nous avons exprimé notre repentance pour la colonisation de l’Afrique du Nord, en oubliant que l’intervention française dans cette région avait été motivée par les incessantes attaques des pirates barbaresques qui duraient depuis des siècles tout autour de la Méditerranée, pillant, tuant, détruisant et emmenant en esclavage les femmes et les enfants. Nous avons oublié ces terribles rançons payées par nos ancêtres à la barbarie.
Nous avons renvoyé en Algérie l’un des terroristes des Jeux Olympiques de Münich au lieu de le remettre à nos alliés allemands qui en demandaient l’extradition. Nous avons été l’un des premiers pays à accepter sur son sol la représentation « diplomatique » d’une entité terroriste nommée « Organisation de Libération de la Palestine ». Nous avons abandonné le jeune et petit État d’Israël entouré d’ennemis mortels, alors que nous aurions dû rester son allié inconditionnel.
Qui se souvient que la plupart des pays arabo-musulmans d’aujourd’hui n’étaient ni musulmans ni arabes avant l’islam conquérant ? Et qu’en est-il des populations colonisées par l’islam ? Que deviennent les Kabyles, les Berbères, les Kurdes, les Coptes, les Assyriens, les Chaldéens et tant d’autres ?
Nous avons renié notre identité au nom des droits de l’homme en oubliant qu’à force de défendre le droit des autres, l’on finit par perdre le sien. Nous avons ainsi laissé s’échapper notre droit de peuple souverain à l’identité nationale, à notre indépendance, à notre culture, à nos traditions.
Nous avons oublié que ce qui fait la richesse d’une nation, ce sont ses ressources naturelles et le travail de son peuple. Que cette démarche spontanée dans l’intelligence, l’effort et la cohésion apporte naturellement à ce peuple la légitime propriété de son sol. Que sa prospérité ne se trouve que dans sa souveraineté. Que ce ne sont pas les artifices de la finance apatride ou les théories intellectuelles qui la lui donnent.
Nous avons oublié que ce qui fait l’identité collective des individus, c’est leur participation au partage et à l’héritage d’une civilisation. Que cette évolution permanente dans la conscience, l’harmonie et la fidélité apporte à ces individus la compétence territoriale de leur société. Que ce ne sont pas les artifices de la politique ou de dérisoires papiers administratifs qui la leur donnent.
Nous avons laissé s’exprimer et se développer des associations d’idiots utiles subventionnées par les collectivités et nous leur avons permis de se porter partie civile auprès des tribunaux. Nous les avons laissées imposer le « politiquement correct » et la dictature des minorités au détriment de la Res Publica, le bien commun. Nous les laissons à présent distiller leur venin jusque dans nos écoles.
Nous avons donné aux étrangers le droit du sol opportuniste et automatique, à la place du droit du sang légitime ou de celui de l’assimilation motivée et réussie. Quels que soient leurs agissements, nous les avons considérés comme des « chances pour la France ». Nous avons abandonné nos prénoms traditionnels au bénéfice d’une sorte de mondialisation phonétique sans culture et à celui de l’islam conquérant. Nous pouvons ainsi voir aujourd’hui l’état-civil enregistrer un prénom signifiant « Glaive de l’islam » (Saïf al islam en arabe).
Au nom de la tolérance, mais en fait par lâcheté, nous avons laissé un nombre grandissant de cités et de quartiers devenir des zones que les journaleux appellent « de non-droit », mais qui sont en fait des lieux de droit islamique perdus par notre République. Nous avons laissé des blasphémateurs sacrilèges s’en prendre aux édifices, aux œuvres et aux lieux saints de la Chrétienté en prétendant qu’il s’agissait de liberté d’expression, mais notre Justice trouve recevable toute plainte de l’islam. Nous avons laissé dénigrer nos valeurs de civilisation inspirée du christianisme, mais nous avons encouragé l’islam à s’installer chez nous. Au nom d’une laïcité dévoyée nous avons laissé nos politiciens et notre Justice remettre en cause des consensus traditionnels séculaires. Nous supprimons les crèches et les arbres de Noël, mais nous construisons deux mosquées par semaine.
Nous avons dénigré nos militaires en oubliant que lorsqu’ils s’engagent, ils signent un chèque en blanc avec la France, avec nous, dont le prix peut s’élever jusqu’à leur propre vie. Nous avons supprimé le service militaire, dénouant ainsi l’un des liens essentiels entre la jeunesse et la nation, ne lui apprenant plus que les devoirs sont le prix du droit et que vivre ensemble exige des concessions et des efforts. Nous avons fait croire à nos enfants que l’on peut vivre dans un monde de bisous à nounours.
Nous avons laissé la « gauche » et la « droite » nous diviser alors qu’elles ont poursuivi la même politique mondialiste et antipatriotique. Notre petit président qui « n’aime pas les riches » a appauvri la France qui vient de reculer au sixième rang mondial, avant peut-être de devenir un pays sous-développé, terreau fertile aux idéologies mortifères corrompant les idéaux de la jeunesse et menant au terrorisme, alors même qu’il l’a aussi fragilisée en réduisant notre Défense nationale et nos forces de l’ordre.
Nous avons honte d’afficher notre drapeau, nos couleurs nationales, comme le font pourtant des millions d’Américains lucides et fiers de leur pays. Nous avons oublié ce que disaient les grands hommes de notre Histoire à propos de l’islam, eux qui avaient la chance de ne pas être censurés par le « politiquement correct » stalinien imposé par les idiots utiles qui intentent des procès aux patriotes et à tous ceux qui disent des vérités dérangeantes. Nous avons oublié que l’un des rares personnages historiques à faire l’éloge de l’islam a été le Reichführer SS Heinrich Himmler, l’ami de Mohammed Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem hébergé par le régime nazi qui lui permit de créer trois divisions de SS musulmans en Europe de l’Est.
Au prétexte angélique de tolérance, nous avons dialogué avec le Mal, comme nos politiciens des années trente avaient pactisé avec Hitler. Ils ont reculé peu à peu et l’ont ainsi laissé maître de l’Europe. Quand il est revenu des « Accords de Münich », le Premier ministre britannique Neville Chamberlain a eu droit à cette célèbre phrase de son futur successeur Winston Churchill : « Entre la guerre et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous aurez quand même la guerre ». Nous avons fait de même et nous avons maintenant le même résultat.
Voilà à quoi nous ont conduits quarante ans de renoncement national, de soixante-huitards attardés participant aux décisions de l’État. La main jaune du « Touche pas à mon pote » des idiots utiles est devenue la main verte tachée de sang.
L’islam vient donc de siffler la fin de la récré dans notre cour. C’est la guerre, ici, chez nous et maintenant. Nos Anciens, durant l’Occupation, ont dû s’adapter à cela en se trouvant dans une situation qu’ils auraient sans doute préféré éviter. Ils ont résisté. Ils ont vaincu. Soyons dignes d’eux.
Aujourd’hui, c’est une guerre de la civilisation contre la barbarie. Contrairement à ce que prétend encore notre Premier ministre, c’est bien une guerre de civilisations. Encore faut-il bien identifier et nommer notre ennemi si nous voulons gagner cette guerre. Reprenons à notre compte la devise de notre 14ème Division d’Infanterie, qui est aussi le titre d’un livre du maréchal Jean de Lattre de Tassigny : « Ne pas subir ».
Daniel Pollett
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La reconquista nous n’attendons pas 6 siècles pour reprendre nos clochers ! !!
L’islam n’est absolument pas une civilisation mais à peine un coercitif dogme religieux pour mythomanes illuminés en mal de pouvoir et de notoriété…
A moins de vouloir sombre dans la flagornerie, il y a strictement aucune raison de légitimer l’islam en tant que civilisation à la seule lecture en diagonale du Coran.
Il faut arrêter d’encenser cette millénaire supercherie afin de ne pas s’en rentre insidieusement complice et nous faire prendre cette vessie islamique pour une source de science civilisationnelle…
Dans quel pays islamique voulez-vous aller vivre cette prétendue « civilisation » ? L’Arabie Saoudite sans doute !
Merci pour ce magnifique discours qui mérite de sortir de Résistance Républicaine ! La tragédie inspire parfois des propos héroïques. Les vôtres le sont.
Daniel « ….Quand on a affaire à des gens soumis qui ne pensent à rien d’autre qu’à appliquer strictement ce qui est prescrit par un dieu imaginaire, on exerce sur eux un pouvoir sans limites et on peut aussi leur faire consommer encore plus qu’à des gens instruits et conscients usant de leur libre arbitre…. »
Ce qui m’abasourdi c’est que ce sont des gens instruits (l’un ingénieur, un autre architecte etc) qui pilotaient les avions du 11 septembre ! Comme quoi Charlie hebdo avait raison en dessinant le « c’est dur d’être aimé par des cons »
Je suis triste
d’avoir subi lundi soir une sorte d’hommage à la déconnection du grand bourgeois bobo Sacha Guitry durant l’occupation et sa suffisance, « Me faire ça à Moi » quand on l’inquiète à la Libération. Je suis particulièrement triste pour ces Résistants que l’on nous fait voir en « Sans Dents », les « Pov’cons », les « Sans Culottes », arrivant au volant de leurs tractions avant peintes à la va-vite de l’ignoble FFI. Ah, et les deux amerlocks, formidables, aussi classes que l’officier allemand qui lui indiqua être débarqué chez nous pour sauver notre culture si formidable (voir wiki…).
Quelle mépris pour tous ceux qui risquèrent leur peau pendant ces années. Quant à Arletty on peut signaler que certaines bretonnes de ma connaissance surent attendre que ce qui n’était même pas encore leur fiancé, éventuellement,revienne au pays sans être pour autant attirées par l’irrésistible prestige de l’uniforme ennemi.
Pour moi, ces cinq premières minutes de film furent aussi les cinq dernières, j’ai fermé.
Rien de nouveau sous le soleil, pas même le showbizz.
Condensé EXCELLENT !!!!
J’adhère totalement à tout ! J’ai l’impression d’un retour de 70 ans en arrière quand Mr Philippe Pétain et une partie de la France s’accommodaient avec l’occupant. Des »petits arrangements » qui ont conduit à une guerre effroyable ou les juifs ont payé un lourd tribu…
Où elle est la Libération ? qu’en reste ‘il puisque nous retournons dans les mêmes travers ?
Oui, moi j’allais dire « MAGNIFIQUE »
Je vais le faire circuler un maximum, cet article.
Merci, si cela pouvait donner du plomb dans la cervelle à certain !
Désolé, né en 42 je n’ai pas beaucoup d’expériences vécues de cette époque, hormis ce que m’en avait dit mon père, de même que pour la grande guerre seul mes grands parents m’ont transmis leur vécu. Un jour il faudra que je mette cela par écrit afin que leur souffrances n’aient pas été en vain.
En 68 j’étais sur une liste de sous officiers de réserve volontaires rappelables éventuellement au cas où. Ce « au cas où » ne s’est pas produit car solutionné politiquement à la va-vite, bâclé en urgence tout comme les accords d’Evian six ans auparavant.
C’est terminé, on ne peut refaire l’histoire, il faut faire avec mais de ce jour, écoeuré, je me suis complétement désintéressé de la politique, sac de nœuds dont les cocus sont toujours les citoyens de base n’aspirant qu’à vivre sereinement en paix.
Quarante ans plus tard dont je n’entrerais pas dans les détails les mêmes causes produisent les mêmes effets : le ventre mou de la France, la mollesse gouvernementale, le dénigrement national du pays, les caricatures du Français Beauf de Cabu, l’appât du gain des soit disant égalitaires socialistes, l’apologie de l’homosexualité (si t’en est pas t’est pas normal). Bref tout ce qu’il faut pour détricoter une nation qui s’est faite sur des règles de vie (j’ai horreur du mot valeurs qui me fait penser aux Bobos et aux rillettes).
Vous savez, j’ai toujours en tête ce mot d’un camarade d’armée, d’origine pied noir qui disait que la France était une grande putain, tout le monde la baise !! Ce jour là il s’est pris mon point dans la gueule, mais avec le recul du temps j’ai bien peur qu’il n’ai eu raison.
Maintenant, tout le monde sort son mouchoir pour pleurer des dessinateurs humoristiques. Etaient-ils si humoristiques quand ils réclamaient l’interdiction d’un parti représentant plusieurs millions de citoyens, état-ce de l’humour quand il se moquait de la religion catholique à jet continue en insistant lourdement de faire croire que tous les cathos étaient plus ou moins pédophiles ? Il y aurait des dizaines de cas ou l’on peut se poser la question de la limite de l’humour désopilante pour certains et rédhibitoire pour d’autre, par exemple Dieudonné, ou Bigard, ou Anne Roumanof qui ont dû faire amende honorable entre temps tout en étant sanctionnés.
Ni Coluche, ni Desproges ne pourrait faire carrière aujourd’hui, interdiction de fustiger les noirs, les arabes, les juifs, les musulmans, les handicapés, les nains, les bossus, les mongoliens et bien d’autres encore.
Hormis Desproges, mort bêtement à cause d’un cancer n’appréciant pas son humour ; il y a un fort soupçon de parfum d’accident délibérément provoqué ayant entraîné la mort d’un motard dénommé Coluche, même destinée tragique du côté d’un autre em… de polémiste, Jean Edern Hallier, lui aussi mort dans un accident de vélo comme par hasard. Tout cela sous des régimes socialistes parés des atours de liberté d’égalité et de fraternité !
Par contre il est de bon ton comme à la TV de baver une prose de dénigrement et de déverser tout votre fiel et votre haine à raison de 400 mots à la minute, sur les catholiques, les partis d’opposition, des contradicteurs n’étant pas d ‘accord sur la ligne de conduite à tenir, inviter des personnalités que l’on va harceler à quatre contre un pour l’empêcher de s’exprimer complétement en lui coupant la parole avant même qu’il ait pu terminé sa phrase, à ridiculiser les citoyens qui paient fort cher des impôts pour entretenir une armée d’invasion , rejetés comme des déchets par leur pays d’origine.
La France est devenu la poubelle de l’Afrique !
Mais ce qui m’interpelle le plus ; au delà de tout ce qui précède, c’est la récupération politique de l’événement avec toujours le même leitmotiv. Rappelez-vous :
– l’attentat de la rue Copernic contre une synagogue, cible visée dans un premier temps : l’extrême droite
– le traiteur de la rue des Rosiers, cible visée : l’extrême droite une fois de plus
– la profanation des tombes du cimetière de Carpentras, cible désignée à demi mot feutrés : toujours l’extrême droite
Or les enquêtes n’ont jamais établis qu’il y avait un lien entre l’extrême droite et ces attentats malgré toutes les pressions de mauvaises fois qu’ont pu appuyer les instances gouvernementales et, cerise sur le gâteau, Jospin en retraite depuis, a fait la confidence à la presse que jamais la France n’avait été sous le coup d’une menace terroriste de l’extrême droite.
Ce qui sous entend très clairement que tous les attentats venaient d’autres sources que l’on se refuse à dénommer clairement.
Bref de l’enfumage pour ne cibler qu’un seul coupable à deux ans des présidentielles et à quelques mois des régionales ; il y a comme un coup monté dans l’air, vous ne trouvez pas d’autant que c’est un tour de force de réunir des dizaines de responsables politiques internationaux, sachant qu’en général ils ont un emploi du temps bien remplit, enfin ce sont eux qui nous le font croire, connaissant tous les problèmes de circulation à partir des aéroports, de sécurité générale et particulière pour chacun, préparer l’itinéraire de la marche, faire dégager des centaines de véhicules qui pourraient se révéler des pièges mortels pour assurer la sécurités du Président bille en tête ; jalonner le parcours de policiers, en haut comme en bas, sur les côtés, un peu partout quoi.
Bref toute une infrastructure complexe et cela en… moins de 48h.
J’en arriverais même à me demander si le coup n’a pas été organisé d’avance et téléguidé par le gouvernement lui-même (bien évidemment je plaisante,… quoique…).
Si l’incendie du Reichstadt de Berlin avant la guerre a permis d’abolir la démocratie et de désigner des coupables tout trouvés, les juifs, les cocos, les FM, l’attaque de Pearl Harbour à permis une entrée en guerre votée par le sénat américain contre toute opposition populaire, ainsi que le 11 septembre permis le vote du Patriot Act restreignant singulièrement les libertés individuelles auxquelles étaient très attachés les américains.
Plus près de chez nous les faux attentats contre De Gaulle mais aussi les vrais, etc… ; des événements qui tombent à point nommé, forcent et font basculer le destin alors que plus rien ne se passait et que tout le monde ronronnait gentiment dans son coin, alors que tout se dégrade.
En 63/64 il y avait en moyenne pratiquement une bombe par jour qui explosait en France et plus particulièrement à Paris, auriez vu un certain Général de Gaulle se dissimulant derrière un grand rassemblement « républicain » pour faire barrage à l’OAS ?
Non il a assumé sa fonction Chef d’Etat, c’est à dire mobiliser toutes les forces militaires et policières pour faire échec aux dissidents, le tout sans falbala ni trompette ni tambour.
Mais il y a Chef d’Etat et Capitaine de bateau lavoir !!
Que nous préparent nos dirigeants après ce coup bas, 18 morts, sans compter les précédents d’avant Noel et les blessés (dont des amputations) à coups de voitures folles conduites par des « déséquilibrés », fallait-il cela pour faire semblant de prendre des mesures alors que depuis des années on dégraisse les effectifs de la sécurité générale, les budgets sont réduits à la portion congrues, des vraies peaux de chagrin.
Nous n’avons pratiquement plus d’armée digne de ce nom constituée que de quelques corps d’élite mais en si petite quantité, si peu souvent et si mal payé qu’en cas de coup dur rien ne dit que l’on pourrait compter sur eux.
Ce n’est plus l’armée de conscription nationale mais une équipe de mercenaires professionnels.
En 62 nous avions des centaines de milliers d’homme (en AFN, en RDA, en Afrique, dans le Pacifique, dans l’Océan Indien), après s’être débarrassé du boulet de l’Algérie deux à trois ans plus tard nous avons investi dans la modernisation mécanique de notre armée qui en avait grand besoin, outre l’armement nucléaire nous y avons adjoint des portes avions, des missiles, une aviation de combat à la pointe de la technologie. Des systèmes de transmission inviolables (d’ailleurs acheté par les Américains pour leur armée), nous étions un des plus grands fabricants de rotors d’hélicoptères (dont les Américains nous achetait aussi ce matériel en l’américanisant pour ne pas perdre la face).
Pour le civil nos économies ont financé les télécom, en remplacement des nanars de standards à fiches obsolètes que le plan Marshal nous avait refourgués à prix d’or, relancer la construction de nouvelles villes et cités, financer des autoroutes qui nous faisaient cruellement défaut, une indépendance énergétique partielle grâce aux centrales nucléaires.
Un vrai plan de grande rénovation générale et en seulement dix ans la France avait repris sa place dans les grandes nations, c’est dire notre potentiel.
Le propre des Français étant d’être râleurs, c’est mondialement reconnu, nous savions au moins OU passaient nos impôts, c’était visible, palpable.
Mais maintenant ou vont nos impôts, nos cotisations sociales ?? Nul ne sait vraiment !!
Dans les dettes, l’assistanat généralisé, nous en sommes même réduit à vendre les biens d’état pour boucher les trous de fonctionnement, même pas pour investir, nos députés votent à l’unisson des budget déficitaires cumulés depuis plus de quarante ans (le dernier budget équilibré date de 1973, c’est la dernière année), c’est à se demander s’ils ont fait un minimum d’études économiques.
Ma grand mère était beaucoup plus forte qu’eux car elle arrivait à faire des économies, malgré sa petite retraite.
Quand on était délinquant ou criminel AVANT, c’était sanction, punition, prison, bat d’AF, bagne et parfois la mort. MAINTENANT, c’est admonestation, rappel à l’ordre, prison avec sursis, prison ferme avec dispense de l’effectuer, de toute façon les peines inférieures à deux ans ne sont plus appliquées, cette pratique va être portée à 5 ans avec un beau bracelet électronique, et pour cinq il faut avoir beaucoup de sang sur les mains.
Je n’aborde pas ici le chaos de notre industrie, ni de notre économie, trop long, trop de choses à dire, trop de larmes à verser.
Voilà les fondements de votre future société, c’est déjà bien engagé !
Si ce n’est déjà fait, lisez ou relisez « 1984 » de George Orwell, nous sommes en plein dedans, un autre ouvrage tout aussi prophétique et affreusement contemporain, « la guerre des Salamandres » de Karel Capek ; avec ces deux ouvrages tout y est, c’est même à croire que nos dirigeants s’en sont inspirés pour y puiser le mode d’emploi.
Merci pour ce texte, Monsieur Pollett. Il n’y a rien à ajouter.
J’ai écrit certaines choses que vous dites dans un ou deux posts qui n’ont pas encore été validés, donc j’espère que vous n’allez pas penser que j’ai copié sur vous (j’ai notamment parlé des poubelles transparentes…)
Bonne journée,
Eva
Désolée Eva et tous les autres, c’est la cata en ce moment je n’ai pas eu le temps ni la possibilité de valider les commentaires au fur et à mesure, et plus j’en valide plus il en arrive de nouveaux… je fais le maximum !
Courage Madame Tasin, ça ne sera pas tout le temps comme ça. C’est juste qu’en ce moment, l’actualité est brûlante, et donc il vaut mieux valider à votre rythme plutôt que d’être victime de surmenage 🙂
Merci Eva
« Nous pouvons ainsi voir aujourd’hui l’état-civil enregistrer un prénom signifiant « Glaive de l’islam » (Saïf al islam en arabe) ».
C’est le prénom que Franck Ribéry a donné à son fils.
Oui, le Franck qui a trompé sa femme avec Zahia, la prostituée mineure. Les plus cultivés d’entre vous le savent, mais hélas, tout le monde ne lit pas « Gala » 🙂
Il a de la chance de vivre en France, Ribéry, car en Islamie, l’adultère est puni de lapidation.