6 Commentaires

  1. Oui nous pavoisons comme de coutume après tout c’est le 14 juillet fête nationale française, que beaucoup trouvent ringard, ( vous voyez de qui je veux parler ! ) j’ai même fait cadeau d’un petit drapeau tricolore à ma petite mère pour qu’elle puisse pavoiser dans son RDC, en revanche il y en a un certain autre qui lui n’a pas réellement pavoisé, quand il a entendu des sifflets et des quolibets durant tout le temps de sa descente des Champs Élysées pour arriver place de la concorde.

  2. Pour moi, cette année 2014, notre fête nationale sera sur un grand fond d’amertume. Le fossoyeur de la France ose « fêter » les 100 ans du début d’une guerre qui tua par milliers. C’est odieux et déplacé. L’année à retenir serait éventuellement 1918 fin de cette boucherie. Mais en 2018 ce triste individu ne sera plus à la tête de notre nation (ou ce qu’il en restera) et il le sait. Il en profite pour imposer son idéologie de repentir en invitant 80 pays (dont nombreux ex-colonisés spoliés et exploités comme nous en sommes convaincus) n’hésitant pas à nous couvrir d’humiliation en invitant l’Algérie d’aujourd’hui qui méprise et hais la France précisément depuis 1962 (leur chant patriotique en témoigne au monde entier). Ce faste est complétement décalé le 14 juillet devrait être la joie de pouvoir fêter notre république et ses symboles de « Liberté » (que l’on nous restreint), d' »Égalité » (avec une justice bafouée) et de « Fraternité » (piétinée). Mais qui sait encore le pour qui pour quoi du 14 juillet dans cette nouvelle France du xxi ème siècle? Ce n’est pas un jour pour commémorer la guerre (encore moins le début). J’ai boycotté toutes les chaines transmettant le défilé que je regarde avec beaucoup d’émotion chaque année car j’aime, soutiens et suis fière nos armées. Là j’ai peine pour nos soldats qui participent à cette mascarade. Parisienne je ne me serait pas rendue sur les Champs et je souhaite que ceux qui s’y seront rendus auront le réflex de tourner le dos au passage de ceux qui n’y ont pas leur place y compris celui du chef d’état imposteur.

  3. Moi aussi dans ma petite ville de Tonnay-charente 17.
    Au fait Philippe, mes excuses pour l’autre fois, je me suis mal exprimé, je parlais seulement d’un problème de discrétion.
    Amitiés renouvelées de Pierre

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