En Belgique, tout comme en France, élus et partisans du PS ont une drôle de façon de comprendre l’expression « respect du choix des électeurs ».
En Belgique, tout comme en France, la démocratie ne présente d’intérêt que dans la mesure où elle sert les intérêts du moment de nos élites au pouvoir.
Dans le même ordre d’idée, il y a aussi les mots d’Olivier Py (se voulant homme de gauche), menaçant de délocaliser le Festival d’Avignon, ceux d’un dirigeant d’un club de rugby refusant d’aller jouer à Béziers, après l’élection de R. Menard…
N’oublions pas les propos inacceptables de V. Peillon au soir du 1er tour (la liberté, pourquoi faire ?).
Au niveau international, les choses sont tout aussi révélatrices, et du même tonneau.
Rappelez-vous les propos incendiaires de Cohn-Bendit – et ses appels à faire revoter les Suisses-, après les décisions prises par referendum contre les minarets, puis contre l’immigration etc.
Rappelez-vous le referendum de 2005 sur les institutions de l’UE, le NON français devenu -par magie- un OUI, deux ans après…
Sans oublier les Irlandais appelés à revoter plusieurs fois sur ce même sujet, jusqu’à l’obtention d’un résultat conforme à celui voulu par les dirigeants de l’UE.
Et après cela, les politiciens s’étonnent et s’inquiètent de ne plus avoir « la cote » dans le grand public, interrogation dictée par de la naïveté, ou par une bonne dose de connerie ?
Mandalay, responsable Résistance républicaine Belgique
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Toute trahison se paie un jour ou l’autre, c’est comme ça, alors Sarkozy peut revenir en politique si ça lui chante, mais les français eux n’ont pas oublier le référendum de 2005 appliqué contre l’avis du peuple, MÊME PAS EN RÊVE !.