Déclaration de l’ONU sur les droits des peuples autochtones :
Article 7- Les peuples autochtones ont le droit, à titre collectif, de vivre dans la liberté, la paix et la sécurité en tant que peuple distincts et ne font l’objet d’aucun acte de génocide ou autres acte de violence, y compris le transfert d’enfants autochtones d’un groupe à un autre (donc l’immigration de masse est un génocide, même pour les enfants adoptés chez d’autres peuples autochtones à cause de la pauvreté).
Article 8 –Les autochtones, peuples et individus, ont le droit de ne pas subir d’assimilation forcée ou de destruction de leur culture.
L’Arabe imposé par la force sans consultation populaire et sans l’accord du peuple autochtone français ne respecte pas nos droits et nos traditions. Les peuples autochtones sont protégés par l’ONU et ne doivent faire l’objet d’aucune discrimination ou persécution, même partiellement.
Il n’est nulle part fait mention dans les documents de l’ONU de racisme, de xénophobie, d’exclusion, d’islamophobie… Moyens utilisés par nos gouvernants et l’UE pour nous persécuter et nous faire disparaître.
Ps : Imprimez les documents de l’ONU et faites les connaître autour de vous.
Xtemps
496 total views, 1 views today
je ne parviens pas à imprimer la lettre adressée au président du CSA de ces 2 français de papiers naima Charaï et ? ouraoui, nés » magrébins de souche » qui insultent notre peuple…( riposte laïque ) je souhaite la transmettre à mes amis de la toile …Pourriez vous la mettre à notre disposition ? merçi
Je ne peux guère vous aider je ne sais absolument pas de quel article et de quelle lettre vous parlez….
Sitting Bull, intéressant pseudonyme. Sitting Bull, Sioux Dakota Medicine Man, chef de guerre et homme d’état, assassiné par les siens « programmés » par le représentant local des affaires indiennes, avait eu pour principal défaut de défendre ses terres contre l’envahisseur anglo-saxon. Les Français, plus au nord au Canada, se sont peu battus contre les Indiens, contrairement aux Espagnols et Anglo-saxons. Je dis souvent cette blague qu’au lieu de se battre contre les Indiens, les Français épousaient leurs filles, ce qui est vrai en grande partie. Ne mêlez donc pas les Français au changement forcé de culture des Indiens d’Amérique. Pour l’Algérie, j’y étais au moment de l’arrêt des hostilités. J’ai eu l’occasion de survoler (j’étais pilote) des petits villages que je connaissais au sud de l’Atlas, construits sous le « colonialisme » où les habitants bénéficiaient d’un minimum de confort (surtout l’eau et l’électricité). Dès le cessez-le-feu, ces villages ont été pour la plupart détruits et les habitants renvoyés dans la montagne ou massacrés… Non seulement les Algériens n’ont pas entretenu les infrastructures, mais ils les ont souvent démolies, tout au moins au début de l’indépendance. Et maintenant, si l’alternance politique continue, ces gens-là qui envahissent la France avec le soutien des gouvernants français et européens vont démolir notre civilisation, nos oeuvres d’art qui, parait-il, n’ont rien à faire dans le monde de l’islam, et nos lois qui seront petit à petit calquées sur la charia, y compris la perte de notre langue, l’une des plus riches du monde. NON MERCI !
Merci Jack pour ce témoignage qui renforce ma réponse
Bravo Christine, moi aussi je commence à en avoir soupé de ces considérations « pseudo colonialistes ».
Je ne suis pas colonialiste du tout, mais je constate que lorsque la France s’en est allée de ces pays, ils sont tous tombés dans une misère noire. Il suffit de prendre l’Algérie pour exemple. N’ont même pas été capables d’entretenir nos infrastructures. Alors comme ils n’ont rien gardé chez eux, et que leurs dirigeants eux-même viennent se faire soigner chez nous (un comble !) Y compris les anciens terroristes (cf. Djamila Bouamachin…), trop facile de venir profiter des subsides de la France « vache à lait »… Marre de payer pour ces gens. Une seule consigne : Bien voter aux prochaines élections afin de suivre le parti qui dit (et il est le seul à le dire) : stopper la pompe aspirante, « vous venez chez nous, ok, mais attention, on ne vous donne rien » . Je serais surprise que l’immigration perdure avec ce genre de dispositif. Est-il bien nécessaire que je cite le parti de bon sens qui dit cela ?
Nous les européens sommes historiquement très mal placé pour nous plaindre d’un remplacement de population. Nos ancêtres ont quasi-exterminé et remplacé les populations et les cultures de deux continents entiers l’Amérique et l’Océanie. Pour ce qui est de l’enseignement de l’arabe, croyez-vous sérieusement qu’il sera obligatoire un jour? Je vous signal que dans de nombreux pays africains : de l’Ouest, Tunisie, Algérie on parle assez courament le français qui n’est pas la langue de base. Que les africains parlent les langues européens se serait bien, mais que les européen parlent les langues africaines et l’arabe se serait mal?
D’abord il va falloir cesser de vouloir nous rendre responsables de ce qu’ont fait nos ancêtres, ensuite ce ne sont pas les ancêtres des Français qui ont remplacé cultures etc d’Amérique et d’Océanie , enfin en Afrique notamment nous avons évité grâce à npotre présence, notre colonisation maladies, morts, famines, dictatures qui ont toutes réapparu lorsque nous sommes partis…
On parle couramment le français en Afrique à la fois à cause de notre présence passée et parce que le français est uen langue modernie, de progrès, qui permet comme l’anglais de participer et comprendre à la vie moderne, aux sciences, trop de mots manquant en arabe, tant l’islam a figé les mentalités et les sociétés.
L’arabe n’a rien à voir ni à faire chez nous parce que la vision du monde musulmane communautariste et violence est aux antipodes de la vision universelle centrée sur l’homme dont nous sommes les héritiers et les défenseurs
Comme vous êtes de toute évidence un grand amateur, je vous propose le kinyarwanda, langue bantoue parlée au Rwanda. Je m’y étais mis plein pot dès le début de mon premier séjour en 88 ; c’est bien, très intéressant, je peux vous aider. J’ai encore une méthode faite par un missionnaire, c’est du costaud; mais il vaut mieux aussi en parallèle pratiquer sur le terrain. Là aussi j’ai de bons tuyaux…
Et en arabe coranique vous devez être certainement bon ; je ferai appel à vous la prochaine fois qu’un verset du coran me posera un problème.
Et en wolof, vous en êtes où ?
Et le russe ? Ce n’est pas africain mais c’est bien quand même, non ? Malheureusement, çà a quasiment disparu, semble-il, des rares lycées où on l’enseignait en seconde langue, allez savoir pourquoi…
« Je vous signal que dans de nombreux pays africains : de l’Ouest, Tunisie, Algérie… » On voit tout de suite que vous êtes aussi un bon en géographie, et accessoirement en orthographe (indispensable pour apprendre les langues).
Mais si l’Algérie est à l’ouest de l’Afrique, le Sénégal, vous le situez où ? Je connais bien ces deux pays, et vos révélations me donnent des angoisses, retrospectivement.
Je savais que tu allais nous donner une bonne crise de fou rire, merci mon cher Philippe
Cette déclaration de l’ONU est relativement récente (septembre 2007) ; on peut donc espérer qu’elle ne soit pas déja poussièreuse.
Voir aussi dans ladite déclaration :
Article 42
L’Organisation des Nations Unies, ses organes, en particulier l’Instance
permanente sur les questions autochtones, les institutions spécialisées, notamment au niveau des pays, et les États favorisent le respect et la pleine application des dispositions de la présente Déclaration et veillent à en assurer l’efficacité.
Article 43
Les droits reconnus dans la présente Déclaration constituent les normes
minimales nécessaires à la survie, à la dignité et au bien-être des peuples
autochtones du monde.
Télechargement :
http://inti.france.free.fr/documents/declaration-des-nations-unies-sur-les-droits-des-peuples-autochtones-13-septembre-2007.pdf
A propos de « destruction de leur culture », voir aussi le Code pénal :
Des atteintes aux intérêts fondamentaux de la nation
Article 410-1 – Les intérêts fondamentaux de la nation s’entendent au sens du présent titre de son indépendance, de l’intégrité de son territoire, de sa sécurité, de la forme républicaine de ses institutions, des moyens de sa défense et de sa diplomatie, de la sauvegarde de sa population en France et à l’étranger, de l’équilibre de son milieu naturel et de son environnement et des éléments essentiels de son potentiel scientifique et économique et de son patrimoine culturel.