De JERUSALEM – CAPITALE D’ ISRAEL.
Je me trouve à JERUSALEM depuis quelque temps : j’observe scrupuleusement tous ces malheureux arabes israéliens et surtout ces »pudiques » femmes arabes qui vivent dans cet Etat d’Apartheid. Qu’est-ce que je vois ?
Des femmes – d’une trentaine d’année – belles, élégantes, maquillées (presque outrageusement pour certaines) portant un »voile » ou plutôt une coiffe arrangée d’une façon sophistiquée et recherchée (elles ressemblent aux coiffes peintes sur les portraits du 18ème siècle décrivant les splendeurs de l’empire ottoman). De couleur vive, assortie à leurs vêtements, cette coiffe ne cache NULLEMENT LEUR VISAGE : au contraire, elle met en valeur leurs yeux, leur bouche et l’ovale du visage. Certaines ont les oreilles découvertes ornées de splendides boucles d’oreille formant parure avec colliers, bracelets, bagues, en or sertis de pierres précieuses : pas du TOC, vous dis-je !!!!
La plupart portent des jeans très serrés, des tee-shirts (à manches longues actuellement : l’été, presque pas de manches) ou des tuniques un tantinet moulantes, qui mettent en valeur un joli corps. Of course, toutes possèdent IPhone 5 et/ou baladeurs.
Ces jolies femmes déambulent dans toutes les artères de la ville moderne, font leurs achats dans les boutiques à la mode : elles paient par carte bleue et sortent avec des paquets plein les bras. Le soir, revêtues en sportswear + casquette SEULEMENT, elles font du jogging le long de la nouvelle promenade plantée. Elles s’installent, régulièrement, dans tous les bars et restos branchés seules (sans homme pour les chaperonner), commandent les meilleurs plats et paient toujours par carte bleue.
Il est évident que la plupart d’entre elles ne travaillent pas (on les rencontre à toutes les heures de la journée) : leurs maris possèdent des entreprises : en général, bâtiment, menuiserie, marbrerie, ferronnerie.
Dans les bus, on rencontre souvent des très jeunes filles de 14 -18 ans qui parlent couramment hébreu, puis continuent la conversation en arabe. N’ayant aucun signe vestimentaire distinctif, on a peine à les reconnaître. Hier, dans le bus, elles étaient trois à parler de leurs »amoureux ». Après leur scolarité, beaucoup suivent les cursus standard des fac israéliennes : il y a deux campus à Jérusalem. D’autres travaillent comme vendeuses, esthéticiennes, coiffeuses…
Toujours, le long de la promenade plantée, des jeunes filles se baladent main dans la main avec leur amoureux. Ces jeunes hommes sont eux – aussi habillés à l’occidentale : jeans + tee-shirt. Ni chéchia, ni béret tricoté, ni djellabah, ni capuchon provocateur.
La chaîne télévisées culturelle » 33 « diffuse des programmes en langue arabe. Les présentatrices/journalistes : belles jeunes femmes au langage libre vêtues de à la mode occidentale, arborant chevelure flamboyante !!!
Les seules à porter un foulard noué autour du cou sont plus âgées et de condition modeste : elles me rappellent ces dames âgées italiennes ou maltaises que je rencontrais dans mon enfance à Tunis.
Toutes ces Arabes israéliennes, qui se disent palestiniennes (quand cela les arrange) habitent aux alentours de Jérusalem : Beit Safafa au sud, Bethléem, Jabel Mukaber, Abu tor, Silwan ( en hébreu : » shiloah » période du Roi Ezéchias ayant régné en Judée en -700), Tzur Baher, Shouafat ( en hébreu : vallée de Jospahat, du nom du Roi Josaphat ayant régné en Judée en – 870 ?/voire peut-être même antérieur à cette date selon certaines données).
La plupart possèdent des voitures, sinon elles voyagent par les moyens de transport standard : toutes les lignes israéliennes de bus ou la nouvelle ligne de tramway qui traverse la ville d’ouest en est. A cet effet, un aperçu de cette ligne de tramway et des quartiers traversés où l’on aperçoit de magnifiques demeures. Ce sont des camps de réfugiés !!!!! (no comment)
: « Jerusalem Light Rail in Arab Neighborhood of Shuafat » : le tramway indique le nom des stations en hébreu, en arabe et en anglais .
Aliza
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De toute façon , la femme est responsable de tous les maux de la terre et cela devient insupportable !
du moins c est la vision d un celebre religieux Iranien ,accusant les femmes d etre la cause des tremblements de
terre ! encore un eclairé de cette belle religion de paix et d amour
http://fr.news.yahoo.com/selon-pr%C3%AAcheur-iranien-femmes-coupables-tremblements-terre-162814171.html
Je ne comprend pas bien le sens de cet article … « Elles » ne sont pas autant voilées là-bas qu’on voudrait nous le faire croire ici ? !… Mais franchement (et passez-moi l’expression) qu’est-ce que j’en ai à f..tre de ce qu’il se passe là-bas !!! Moi, ce que je vois c’est ce qui ce passe ici, chez moi ! Sur MA terre, à l’encontre de MES traditions et de MA culture ! Chacun sa m…. ! Que l’islam gangrène l’hémisphère sud c’est le problème des larves qui se laissent manipuler là-bas ! Mais cela ne doit pas passer ici. Nous sommes issus d’une civilisation judéo-chrétienne et c’est déjà trop car la Liberté de pensée et la Laïcité devraient être nos seules lignes de conduite.
la question n’est pas là la question est qu’il est tout à fait possible pour une musulmane de ne pas porter le voile et que si on on nkous fait tout ce cinéma ici c’est bien parce qu’ily a derrière une volonté politique d’imposer l’islam
Oui, je comprend qu’il y a de « bons musulmans », c’est à dire ceux qui ne sont pas pratiquants : J’ai eu de très bons copains musulmans avec qui je buvais l’apéro au bistrot et qui ne me reprochaient pas de manger du porc ! Ils étaient autant musulman que moi je suis chrétien. Malheureusement ces vieux-là sont partis rejoindre un dieu hypothétique et ceux qui les remplacent n’ont plus du tout la même mentalité de coexistence pacifique.
Le Coran utilise le mot de parle de voile que pour désigner …
Bravo et merci Minona pour ce cours fort intéressant sur le voile et ses origines, ou le détournement des traditions pour asservir la femme ; je me permets de transformer ce commentaire en post que je publierai en début de semaine avec votre aimable permission
Il me fait plaisir de vous donner mon aimable permission! 😀 Serait-il possible d’ajouter au bas du billet le lien suivant:
http://www.blog.sami-aldeeb.com/2011/04/13/le-coran-demande-de-couvrir-le-sexe-et-non-pas-la-tete/
Bien volontiers Minino, j’ajoute !
D’abord merci a Aliza pour cet article fort interessant. J’espere avoir l’occasion d’en apprendre encore davantage.
et merci a Minona pour cet ce lien. En effet, on n’est pas obligé de porte le voile. Je pense que les francais doivent en prendre conscience. Ne serait-ce que pour le principe d’egalite entre les hommes et les femmes, je pense que la société francaise n’est pas obligée de tolérer le voile.
Au plaisir de lire votre prochain poste Christine!
Merci Nuitnocturne
Veuillez m’excuser, quelques commentaires, trop rapides, à l’article que vous mettez en lien (sur Ie verset 24:31).
Concernant « … leurs voiles sur leurs fentes … ». Le mot arabe –non indiqué- de ce verset, traduit par « voiles » est « khoumour », pluriel de « khimar », un voile de femme couvrant les cheveux, la nuque, le cou (écharpe, châle, mantille.. ?). Cette pièce de tissu est-elle assez grande pour aller jusqu’à descendre et recouvrir « leurs fentes » c’est-à-dire leur sexe, selon l’interprétation de S Aldeeb ?
Quant à « juyub » il est difficile d’y voir autre chose qu’une fente, une échancrure, au niveau d’un vêtement, féminin ou masculin, à hauteur de la poitrine -et non pas le sexe de la femme. Pour justifier, dans ce verset, son interprétation par « sexe de la femme » S Aldeeb évoque une variante -comprendre : du coran en arabe-, de 66 :12 ; quelle est cette variante ? Nous ne connaissons en principe qu’un seul coran en arabe, invariable ; la version connue de 66 :12 ne permet absolument pas l’interprétation de « sexe » (et le mot juyub/jaib, fente vestimentaire, n’y figure d’ailleurs pas). Il y a eu des variantes du coran, apparemment sur des points mineurs, plutôt de l’orthographe ; S Aldeeb connait certainement ces variantes, plus que quiconque ; il conviendrait qu’il donne des précisions, concernant ce verset 66 :12, -texte arabe à l’appui, vu l’importance du sujet – pour que le lecteur puisse s’assurer de la véracité de ses dires, et éventuellement reprendre à son compte ses affirmations.
Enfin, S Aldeeb écrit dans cet article: « Dans l’histoire de Joseph, il est dit que ses frères l’ont jeté dans un puits (jub, terme désignant une fente dans le rocher) (12:10). »
Le mot qu’il rapporte désigne un puits, point-barre ; quel besoin d’indiquer qu’il désigne « une fente dans le rocher » ? Périphrase, sans plus.
Et là, singulière déconvenue si on va plus loin que les transcriptions en français, il y a confusion, dans ses propos, entre des mots qui ne sont pas de la même racine trilitère :
Puits : JBB
Poitrine (et non fente/sexe de femme) : JIB
Pour s’en assurer voir entre autres :
http://corpus.quran.com/qurandictionary.jsp?q=jbb
http://corpus.quran.com/qurandictionary.jsp?q=jyb
Alors, que vaut l’ensemble de cette démonstration concernant ce verset 24:31 ? Cet article (2de 009 ?) ne prouve pas grand’chose, rien, même ; il ne faut peut-être pas trop s’emballer pour l’utiliser.
J’y perds mon latin, je laisse chacun essayer de retrouver ses petits !
J’avais appris par une collègue de travail qui était juive et était allée plusieurs fois en Israël que toutes ces jeunes femmes et jeunes gens qui vivent à l’Occidentale, font la fête souvent car pour eux ils ne savent pas de quoi demain sera fait et la mort violente est à tous les coins de rues et à tous moments, alors ils profitent de la vie au temps présent avant tout. Ils savent qu’ils peuvent mourir à tout instant et ils dépassent leur peur ainsi.
Cependant il n’est pas dit dans cet article que nombreuses sont ces personnes qui sont armées et portent ouvertement leur arme à leur ceinture pour se promener dans la rue et faire leur shopping, de manière à pouvoir faire face à toute éventualité. Et ils s’entrainent tous dans l’art du maniement des armes, c’est leur survie.