Les milices citoyennes, seule solution face à l'abandon de l'Etat ?

L’Etat assure de moins en moins bien et de moins en moins ses fonctions régaliennes, et notamment la sécurité. Lassés, des étudiants ont organisé des veilles citoyennes pour empêcher les cambriolages de leur résidence.

 Je ne suis pas sûre que ce soit le rôle des étudiants, dont on peut penser qu’ils ont autre chose à faire et qu’il n’est pas normal qu’ils mettent leur vie en danger pour faire le travail de la police, mais on ne peut que leur dire bravo.

IL est de plus en plus évident qu’il va nous falloir, nous citoyens, organiser des milices, pour veiller à la sécurité de nos enfants, de nos voisins et de nos biens. Parce que la justice, Taubira en tête, victimise les coupables et ne les dissuade pas de récidiver. Parce que la police a de moins en moins de moyens d’intervenir quand elle n’en a pas, carrément, l’interdiction    et que les policiers sont écoeurés de voir relâchés ceux qu’ils arrêtent, parfois au péril de leur vie. Parce que l’immigration, non contrôlée, amène de plus en plus de délinquants sur notre sol, comme en témoigne le nombre élevé d’étrangers dans les prisons.

 On ne parlera pas, ici, du devoir régalien de l’Etat, qui est d‘instruire les enfants qui sont dans ses écoles…  il y a tant à dire qu’on y reviendra.

 On se bornera à dire qu’en attendant une révolte citoyenne probable, il va fallloir réinventer le vivre ensemble en commençant par le « veillons ensemble », dans nos quartiers, dans nos villages, dans nos villes. C’est le tout début de la reconquête.

Christine Tasin

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31 Commentaires

  1. Bonjour!
    Cela vient de se passer à Nanterre…. article visible sur le »Figaro » Nanterre : ils délogent les dealers

  2. Bonjour,
    Je suis bien d’accord, mais quand et comment la révolte citoyenne?
    Je pense que c’est très urgent !!

    • Quand les gens seront prêts on ne peut la décréter !!

  3. Je suis tout-à-fait d’accord avec Philippe. Et je pense que le mot « réciprocité » ne doit pas exister en arabe…
    Il y a environ 5 ans, en vacances à Djerba avec un ami, nous nous faisons aborder par un type qui nous propose de visiter une église. Une église catholique en Tunisie ? Pourquoi pas. Et nous voilà partis sur les talons de notre guide pour découvrir que l’église en question avait été désacralisée et servait… de dépôt de tapis ! Authentique !
    Je propose que l’on réquisitionne une mosquée pour la transformer en charcuterie !!!
    Je ne suis jamais retournée en vacances dans un pays musulman ; et pourtant, j’en avais visité quelques-uns. Mais maintenant je suis écoeurée. Pas seulement à cause des tapis dans l’église mais pour beaucoup d’autres choses.
    La mer et le soleil existent également dans ma patrie d’adoption, celle où je vais m’installer définitivement dans quelques années : la Bretagne.
    Bonsoir à tous.

  4. PHILIPPE…..JE LIS TOUS VOS COMMENTAIRES ET JE PARTAGE TOUS VOS AVIS….J AIME BIEN VOTRE DERNIERE PHRASE…..POUR INFOS,LA CO-PROPRIETE OU JE DEMEURE ET,OU JE SUIS SIMPLE LOCATAIRE,HEBERGE DEPUIS UNE DOUZAINE D ANNEES DES SANS PAPIERS DEMANDEURS D ASILES….C EST UN PROPRIETAIRE MALIN POSSEDANT DEUX APPARTEMENTS QUI LOUS SES BIENS A UN ORGANISME SOCIAL SITUE DANS LES ENVIRONS DE CHAMBERY QUI GERE SES CLANDOS….J EN AI SUR MON PALIER ET AU DEUXIEME ETAGE DE CETTE DITE CO-PROPRIETE….ON LEUR RAPELLE NEANMOINS LES REGLES DE BASE DU BATIMENT OU ILS SONT HEBERGES….PARCE QU ILS NE LES RESPECTE PAS BEAUCOUP….PAR EXEMPLE LES DANSES AVEC MUSIQUE DE LEURS PAYS D ORIGINES LA NUIT EN SEMAINE JUSQU A TRES TARD …23H MINIMUM….NOUS ON SE LEVE LE MATIN A 5.30H POUR BOULOT….EUX NON….LA GRASSE TOUS LES JOURS….ALORS ON LEUR EXPLIQUE GENTIMENT…RIEN A FAIRE…..LE TON MONTE….RIEN A FAIRE…..ON S ENERVE….ILS SE CALMENT UN PEU POUR RECOMMENCER QUELQUES JOURS PLUS TARD….ON CONTACTE L ORGANISME QUI LES GERE…..RIEN A FAIRE….ON CONTACTE LE SYNDIC….CA NE BOUGE PAS NON PLUS……ON APELLE LA POLICE QUI SE DEPLACE PEU VOIR PAS DU TOUT….ALORS JE DEVIENS CARREMENT MECHANT……ENVERS CES GENS……POUR PLUSIEURS NUITS CA DEVIENT CALME….POUR RECOMMENCER PROGRESSIVEMENT…..IMPOSSIBLE DE LES ARRETER CES DEMANDEURS D ASILES….ET COMME ILS ONT LE SOUTIEN DE LA SASSON(ORGANISME QUI LES GERE) BIL ILS CONTINUENT ET NOUS REGARDENT AVEC DES YEUX HAINEUX….C EST LA FRANCE D AUJOURDHUIE….ON EST LA COMME DES CONS IMPUISSANTS A AGIR….SI,MOI J AI ENVIE DE LEUR RENTER DEDANS TELLEMENT MA COLERE EST IMMENSE……DES SANS PAPIERS QUI ARRIVENT DANS LE BATIMENT AVEC TELEVISEURS ECRANS PLATS,ORDINATEURS,TELEPHONNES PORTABLES,VOITURES…IL Y EN A PAS UN QUI BOSSE FAUTE DE PAPIER ….VOILA…..MERCI DE M AVOIR LU…..ALORS LE BIEN VIVRE ENSEMBLE DANS CES CONDITIONS LA……JE NE SUIS PAS INTERRESE…..MALGRE TOUT CA NOUS EST IMPOSE….

    • Merci Templier pour ce témoignage qui montre les limites du vivre ensemble quand ce sont toujours les mêmes qui doivent faire les efforts

      • Je viens de finir l’excellent livre « La France Orange Mécanique » , tout est dit sur le Vivre Ensemble !!!! je vous en recommande la lecture et vous conseille de la faire partager aux sceptiques qui pensent encore que l’immigration est une CHANCE pour la France !!!!!

        • Bonjour,
          En plus de la lecture de « France Orange mécanique » je vous recommande, ceci étant en lien avec l’article de Christine sur les milices citoyennes, L’excellent opuscule d’à peine 30 pages de Paul Lycurgues « Aux armes citoyens » publié aux éditions Mordicus (4€ à peine). Cdlt.

        • J’ai réussi à faire passer l’article dans les commentaires, en insérant le titre du livre, du journal régional et je m’étonne de n’avoir pas été supprimé car théoriquement les liens ou pub pour un livre sont supprimés. Ont-ils changé de webmaster?

          • Intéressant… combien de temps va-t-il y rester ?

          • j’y regarde tous les jours et le site m’averti des commentaires supprimés ou recommandés!
            cordialement.

    • Nous avons eu des problèmes avec des personnages du même genre dans notre petite copropriété , ça s’est réglé avec une pétition au syndic transmise à la propriétaire sommée de régler les problèmes de voisinage engendrés et de faire respecter le règlement de copropriété ! Ils sont partis et la propriétaire a dû faire refaire son appartement , laisser ses fenêtres ouvertes (en plein hiver avec -7°) pour évacuer les odeurs ! je pense qu’elle a dû bien réfléchir et bien choisir ses prochains locataires !!!!!!!

  5. Ce qui démontre l’état de délitement de notre société !
    Merci à tous nos politiques !!!!!!!!!!!

  6. ON PEUT LIRE LE CASAS LEUR ORGANISE L AIDE JURIDICTIONNELLE LEUR DÉFENSE EST ASSURÉE ET EN PLUS PAYÉE PAR
    NOS IMPÔTS. LA FRANCE MARCHE SUR LA TÊTE.
    En été au plan d’eau de nombreuses familles se baignent.
    En attente dans la file qui mène à la douche, j’ai croisé des jeunes. Je vais vous écrire le discours, que l’un d’eux m’a tenu en Français « Madame, nous sommes venus ici pour vous prendre votre argent, ici vous êtes tous riches, QUESTION DE MA PART  » Tu sors d’où, » Nous sommes ALBANAIS (tous des jeunes entre 20 et 30 ans avec des têtes de délinquants pas besoin d’être psy ou autres pour faire le constat) Il continue, Nous avons à peine 20 euros pour vivre dans notre pays. Je leur ai jeté un regard, et répondu fermement « DÉGAGEZ ». Ils ont compris que je n’avais vraiment pas envie de rire et qu’il s’était adressé à une personne qui ose se révolter et leur dire ma façon de penser, « vous n’êtes pas les bienvenus chez nous »
    J’ai informé les surveillants de la plage afin qu’ils observent leur comportement
    Pour éviter à certains de se faire détrousser.
    Des personnes d’origine tchétchène attendent à la permanence du Casas. Les demandes émanant de ressortissants de l’ex-Union soviétique ont représenté 54 % des demandes initiales d’asile traitées par le Casas en 2011. Photo DNA – Michel Frison
    Le collectif pour l’accueil des solliciteurs d’asile à Strasbourg (Casas) aide et oriente plus de mille personnes par an, lesquelles transitent par ses locaux, situés quai Saint-Nicolas. En ce petit matin d’hiver, deux salariées et une poignée de bénévoles reçoivent cinquante à soixante personnes en quête d’appui… Reportage.
    Quai Saint-Nicolas, dans les locaux du Collectif pour l’accueil des solliciteurs d’asile, une salle du rez-de-chaussée s’est remplie de vies en stand-by. Plusieurs dizaines de personnes de toutes nationalités attendent ce matin un bref rendez-vous avec une des deux permanentes. Personne ne s’énerve, malgré une certaine promiscuité.
    Un pré-accueil a été organisé, un « ordre de passage » établi pour la matinée. Les problèmes varient : le Casas prépare les demandes d’aide juridictionnelle, indique aux personnes fraîchement arrivées comment bénéficier d’une aide alimentaire, à qui s’adresser pour trouver un hébergement. Sous certaines conditions, le collectif peut aussi créer une boîte aux lettres pour les demandeurs d’asile, afin qu’ils puissent dialoguer par courrier avec les administrations françaises. Le Casas rend bien d’autres services, hors des temps de permanences ; il propose par exemple des cours de français aux « solliciteurs d’asile ».
    L’anglais, le russe
    et les compétences des bénévoles
    Ce lundi matin, il y a là entre autres une famille d’origine tchétchène qui attend patiemment, un bébé dormant dans les bras de sa mère. Une dame d’une soixantaine d’années passe, en compagnie d’une amie du même âge. Toutes deux musiciennes, toutes deux d’origine arménienne, elles se sont retrouvées à Strasbourg. L’une parle le français, vit ici depuis quatorze ans. L’autre est arrivée voici un an, en provenance de Russie. Après un rejet initial de sa demande d’asile, elle attend l’issue du recours. Ballottée de pays en pays, elle vit en foyer.?
    Les demandeurs d’asile du lundi matin s’avèrent assez représentatifs de la diversité à laquelle le Casas s’adapte. « Actuellement, une moitié du public se compose de ressortissants d’un grand pôle russo-arménien-géorgien. Un tiers est d’origine kosovare ou albanaise. Les autres personnes accueillies viennent d’une cinquantaine de pays », résume la directrice du Casas, Pascale Adam-Guarino. Une diversité linguistique avec laquelle les aidants salariés du Casas doivent composer, en s’appuyant sur l’anglais, le russe ou les compétences d’interprètes bénévoles.?
    Derrière la salle d’attente et d’accueil, des bagages s’entassent dans un coin. Les sacs et valises forment une pyramide de plus de deux mètres de haut. Ils appartiennent aux solliciteurs d’asile ; le Casas les stocke temporairement. Le temps – quelques heures, quelques jours – que leurs propriétaires trouvent une solution d’hébergement, qui passe bien souvent par le 115, le numéro des équipes du SAMU social.
    « Il faut beaucoup de preuves »
    Ce lundi matin, les deux salariées du Casas sont aidées de plusieurs bénévoles. Du côté des aidants, il y a des étudiants, mais aussi plusieurs demandeurs d’asile en attente de réponses de l’État français, qui devra dire si oui ou non ils sont autorisés à trouver protection sur notre sol.
    Jeton Hyseni, Albanais de Serbie, a quitté ce pays en 2009. Il vivait précisément dans la vallée de Presevo, à la frontière du Kosovo, de la Serbie et de la Macédoine. Il est arrivé en France avec ses deux enfants, aujourd’hui adolescents. Après un rejet initial, sa situation est en réexamen. « Il faut beaucoup de preuves », dit-il. Des preuves des persécutions alléguées dans sa région d’origine. Jeton parle plusieurs langues des Balkans, sert d’interprète et de guide à d’autres déracinés.
    Irakli, 32 ans, est d’origine géorgienne. Il parle l’allemand, le français, le géorgien bien sûr. Il comprend le russe et aide bénévolement le Casas, après avoir été aidé. Sa situation est suspendue à un recours. Il aide ce matin-là un autre Géorgien à faire une demande d’aide juridictionnelle. Une matinée ordinaire au Casas, en quelque sorte.
    Le Casas était en 2011 habilité à traiter 400 dossiers initiaux de demandes d’asile. Cette même année, ce sont 735 personnes de plus de 16 ans qui ont été aidées par le Casas à constituer leurs dossiers pour l’Ofpra, l’Office français pour la protection des réfugiés et apatrides. Le Casas épaule aussi les demandeurs d’asile dont la demande est rejetée, qui forment un recours devant la cour nationale du droit d’asile.

  7. … On se bornera à dire qu’en attendant une révolte citoyenne probable, il va fallloir réinventer le vivre ensemble en commençant par le « veillons ensemble », dans nos quartiers, dans nos villages, dans nos villes. C’est le tout début de la reconquête…
    Concernant les milices je ne peux qu’approuver et dire bravo à ces jeunes gens.
    Comme je l’ai déjà écrit ici, moi je fais bien les courses des anciens de mon village pour leur éviter les hypermarchés ou les musulmans pullulent (les hypermarchés n’étant jamais en rase campagne)
    Mais concernant le « vivreensemble » (orthographe adaptée à la bêtise du truc) je rejete carrément l’idée car pour moi c’est une utopie totale s’il s’agit, et c’est le cas, de faire vivre ensemble des gens dont les valeurs sont aussi éloignées.
    J’ai vu, et apprécié, vos nombreuses vidéos. De quelle région française êtes vous originaire je l’ignore, et franchement ca n’a pour moi aucune importance car la seule différence entre vous et moi, c’est que moi j’ai un fort accent alsacien, un détail insignifiant quoi.
    Hier j’ai lu ici le commentaire de Well qui expliquait son athéisme. Là encore c’est un détail car lui ne hait pas les chrétiens, et moi je ne déteste pas les athées.
    Vous, Well ou moi, sommes différents, vous avez chère Christine un excellent niveau d’étude, Well semble être déjà retraité, moi je suis routier sans grand diplôme, pourtant vivre entre nous ne poserait aucun souci, nous avons un liant qui se nomme culture Française.
    J’ignore votre job, comme j’ignore quelle fut la carrière de Well, mais le principal est que nous sommes complémentaires (et égaux bien sur). Je transporte les produits que vos salaires vous permettent d’acheter, sans moi les rayons seraient vides, mais sans vous je n’aurais rien à transporter, complémentaires donc.
    Well se déclare sans foi religieuse, moi je suis protestant, mais comme lui et moi respectons la loi 1905 et sommes des gens civilisés nous pourrions aisément être amis car nous accepterions cette différence d’orientation (je précise que je serai partisan que la loi 1905 s’applique enfin dans mon Alsace natale) mon accent le ferait peut être sourire, et vous aussi, car je l’avoue il est très prononcé, mais ce serait, j’en suis sur, sans méchanceté aucune.
    MAIS, et cela est important, quand voila quelques mois, une de mes soeurs est venue nous voir et que elle et moi sommes allés au Treport, à la terrasse ou nous nous sommes installés, nous avons parlé français et non pas alsacien. Cela découle d’une politesse élémentaire les gens autour de nous pouvaient ainsi être certains qu’on ne se moquait pas d’eux.
    Même quand mon ami Manfred, allemand vivant à Kehl, passe me voir il essai autant qu’il peux de parler français quand on sort.
    Tout cela pour dire que les musulmans, très nombreux, parlent de plus en plus arabe entre eux, ils se moquent bien du malheureux Francais qui sera seul avec eux dans une salle de pause, une salle d’attente et qui de facto se retrouve isolé. Vivreensemble avec des musulmans ? Oui si ils sont minoritaires, non dès qu’ils se sentent en supériorité numérique.
    Je le répète je suis ce que j’appel un « immigré régional », en 2007 arrivant en Picardie, le parlé local etait incompréhensible pour moi. Six ans plus tard le problème est réglé, j’ai écouté et j’ai appris, les mots picard qui remplacent parfois le français je les connais désormais. Ca à pris très peu de temps et nécessitait juste de la volonté et de la curiosité de ma part, alors qu’on a tous des exemples de jeunes issus de l’immigration mais nés ici qui parlent entre eux leur espèce de sabir,mêlant arabe et parlé de la « téci ».
    Le vivreensemble est mort né, tout simplement parce qu’il etait un désir de nos élus mais pas de la masse. Pourtant les Francais, les vrais, ont fais beaucoup d’efforts je trouve, les cités, ces fameuses cités dortoirs, étaient équipées en chauffage central quand bien des campagnards étaient encore obligés de scier, fendre, et ranger des mètres cube de bois pour préparer l’hiver. Nous avons laissé bâtir des mosquées pour des gens qui interdisent les églises chez eux. Nous leur accordons le halal là ou eux interdisent le porc etc etc etc.
    Début des années 80′ avec la fameuse main jaune, « touche pas à mon pote » je suis convaincu qu’il n’y avait pas tant d’agressions anti-immigrés (ou fils d’immigrés) qu’il n’y a aujourd’hui d’agressions commises contre des non musulman.
    Le vivre ensemble, le veritable vivre ensemble se choisi, comme j’ai choisie ma femme et réciproquement, comme se choisissent des amis, tout cela ne se décrète pas par choix politique.

    • Encore un merveilleux texte, Philippe, merci et bravo !

    • Bonjour Phippe,
      Très bien dit et écrit, votre texte et cela mieux que certains diplômés de grandes écoles.
      « …moi je suis routier sans grand diplôme, pourtant vivre entre nous ne poserait aucun souci, nous avons un liant qui se nomme culture Française. »
      Que serait la France sans la choucroute et sans les routiers. Nous avons tous une utilité, enfin tant que les idées de Attali ne sont pas mise en pratique!
      Quand à l’accent, comme disait Fernandel, « c’est un peu de son pays que l’on apporte » ! Je regrette en tout cas la disparition de celui du « titi » parisien remplacé par celui de rappeurs!
      Votre passage chez les Ch’tis n’a pas du être facile car ma femme « desouchedici » ne le comprend pas elle-même, alors que moi « estranger » de la Gaule Wallonne (Belgique française) je le comprends. Quand quelqu’un de ma famille parle le patois, rarement et surtout pour faire de l’humour, devant ma femme ou un ami français, eh bien je traduis. Cela parceque mes parents m’ont appris qu’il existait le savoir-vivre et la politesse -facilitant le vivre-ensemble. Pour ceux qui n’avaient pas bénéficié de certains cours, il existait aussi la politesse du coeur.
      Ne soyons pas gêné de nos accents, ils font voyager en imagination. Aussi je vous tire mon chapeau et il m’arrive encore de siffler « ils n’auront pas l’Alsace … » en pensant à de nouveaux envahisseurs…mais je ne stigmatise pas…hum hum!

  8. Je crois que ce genre de milices citoyennes va se généraliser. La police doit descendre dans la rue pour dire son ras le bol et peut-etre qu’à partir de ce moment là la reconquête sera possible.

    • Eric bonjour,
      j’en ai parlé à un policier, il m’a répondu ne pas avoir le droit de manifester ni sa femme non plus.
      Il travaillait de nuit et à demandé un travail de bureau tellement le ras le bol l’a démotivé après s’être fait tirer dessus par différentes armes!

  9. Tout à fait d’accord avec le texte de Christine….j’ai commencé à en créer une…à savoir que en tant que commandant du groupe des insomniaques, j’exige du capitaine (moi) d’ordonner au lieutenant (moi) de me servir un café.
    Vous l’aurez compris, je me lève souvent « nocturement » et je jette un coup d’oeil dans la rue où quelques véhicules ont déjà subi des dommages!
    Mon voisin étant du métier, je vais lui en parler car à 500m se trouve un quartier d’agités!

    • Parfait Laurent, ouvrons l’oeil ne nous laissons plus faire !

  10. Ben oui, en attendant mieux, organisons notre défense ! il paraitrait qu’en France il soit assez facile de se procurer des armes (( les délinquants en tous cas, pour nous autres, ça reste à voir) !!!!
    Qu’en pense la France qui travaille, gagne sa vie et paie ses impôts pour nourrir les bras cassés qui nous emmerdent ?

  11. Comme naguère Émile Zola : J’ACCUSE!
    Par Eric Martin le 18 jan, 2013 @ 17:20
    Tribune libre de Jean Vermeer*
    J’accuse Madame Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux, d’avoir sciemment trompé les Français le dimanche 13 janvier 2013 sur TF1 au journal de 20 heures de Claire Chazal.
    >
    Je vous accuse, Madame, d’avoir sciemment menti aux Français en leur disant ce soir-là, je vous cite : « Le Code civil ne bouge pas sur la filiation, il n’y a pas une ligne de modifiée au titre VII qui concerne la filiation », alors qu’en fait, l’article 2 de votre projet consiste bel et bien à remanier ce titre VII.
    Mais votre mensonge ne s’arrête pas là, vous qui avez dit ce soir-là : « C’est un texte de loi qui n’enlève strictement rien à personne, qui ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » ».
    Quel mensonge énorme ! L’avez-vous donc lu, votre projet de loi ? Il comporte 9 pages, 23 articles. Eh bien, les pages 2 à 9, les articles 4 à 21, consistent en la chasse aux mots « père » et « mère » dans tout le corpus juridique français avec un effrayant esprit de système.
    Dans le Code civil, le mot « père » (et « mère ») est effacé plus de 97 fois !!! Et vous dîtes devant des millions de Français, dimanche dernier sur TF1, que le projet « ne supprime pas les mots de « père » et de « mère » » ! Votre mensonge est stupéfiant.
    Votre projet est en fait essentiellement une chasse aux mots « père » et « mère », aux mots « homme » et « femme », « mari » et « femme » qu’il s’agit de faire disparaître dans tout le droit français. Et même les mots « beau-père » et « belle-mère ». Et les mots « paternel » et « maternel ». Un comble.
    Faire disparaître ces mots de tout le corpus juridique français, c’est l’objectif caché de votre projet, c’est pourquoi vous avez menti aussi effrontément. En effet, votre projet ne concerne pas seulement le Code civil, mais aussi douze autres codes, comme le Code de procédure pénale, le Code des transports, et quatre autres grandes lois (l’ordonnance de 1945 relative à l’enfance délinquante ; la loi sur la fonction publique hospitalière ; la loi sur la fonction publique de l’État ; la loi sur la fonction publique territoriale) car les mots désormais honnis qui ont le toupet d’y figurer doivent en disparaître aussi… (articles 5 à 21 de votre projet).
    Par exemple, les mots « paternelle ou maternelle » figurent-ils à l’article 399 du Code Civil ? Votre projet, article 4, 25° est ainsi rédigé : « L’Article 399 est (…) modifié : (…) c) Au dernier alinéa, les mots : « , paternelle ou maternelle, » sont supprimés ; ». Ces mêmes mots figurent-ils aussi aux articles 747 et 749 du Code Civil ? C’est l’objet du 45° du même article 4 de votre projet : « Aux articles 747 et 749 les mots : « entre ceux de la branche paternelle et ceux de la branche maternelle » sont remplacés par les mots : « entre chaque branche » ; ».
    Vous n’avez pas craint de supprimer le beau mot de « maternel » de tout le droit français. Vos électrices apprécieront.
    Ainsi, ce n’est pas seulement l’accès des homosexuels au mariage que vise dans votre projet de loi. Il veut en réalité enclencher un bouleversement de la société française. Et parce que les Français commencent à s’en apercevoir, vous leur avez menti en leur affirmant le contraire de ce que vous aviez mis dans votre projet de loi.
    Madame Christiane Taubira, ministre de la Justice, Garde des Sceaux : dimanche soir sur TF1, vous avez abusé de manière à vrai dire effrayante de la confiance de millions des Français. Maintenant, vous êtes démasquée. Vous êtes prise en flagrant délit. Il ne vous reste plus qu’à retirer votre projet de loi et à démissionner.
    *Jean Vermeer est un citoyen français qui s’est donné le mal de lire votre projet de loi.

    • Mon journal local a supprimé mes commentaires qui précisaient ces multiples suppressions de mots et cela avant le débat au parlement…bien-pensance oblige ! Et dire qu’un député a osé la qualifier de Grande Dame! Faudra qu’elle fasse une loi de protection des masos, c’est plus important que le combat pour le pouvoir d’achat en Absurdie!

      • Ce député s’est trompé ! Il aurait fallu la qualifier de grande dinde car je crains qu’elle n’ ait pas plus de cervelle que cette volaille.

  12. Excellente idée puisqu’il nous faut nous substituer à l’état …….
    Le 24 prochain à Paris ???

    • Non il n’y a rien de prévu le 24 prochain pour Résistance républicaine

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