C’est une nouvelle affaire qui conduit le militant antifa à être à nouveau condamné ( et condamné… à un bracelet électronique !!!!) qui nous apprend que la condamnation à 3 ans de prison ferme dont il avait écopé avait finalement abouti à quelques mois de prison…
La vie des policiers, comme celle des Français d’origine agressés, tués… ne vaut pas grand-chose dans la justice macronienne. Par contre, si vous touchez à une racaille, même en état de légitime défense, vous couchez en prison des années….
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Pendant ce temps, Belloubet et Macron envisagent des années de prison pour ceux qui ne pensent pas correctement…
http://resistancerepublicaine.com/2019/07/04/la-face-cachee-de-la-loi-avia-la-justice-predictive-pour-condamner-automatiquement-les-islamophobes/
Pendant ce temps, les RG tremblent de voir l’activiste à la tête de la contestation autour du G7… Mais c’est un antifa, ses parents, sa famille… ont de l’entregent. Et ce sont des gauchistes, évoluant dans les milieux parisiens privilégiés et protégés par la classe politiques dominante.
Paris: Le militant antifasciste Antonin Bernanos va sortir de prison
AUDIENCE Condamné en 2017 à cinq ans de prison dont deux avec sursis pour avoir participé à l’attaque d’une voiture de police en mai 2016 à Paris, Antonin Bernanos a été placé mi-avril en détention provisoire après une rixe avec des militants d’extrême droite
- Antonin Bernanos, un militant antifasciste de 25 ans, a été placé mi-avril en détention provisoire après une rixe avec des militants d’extrême droite.
- Il va être libéré et placé sous bracelet électronique, apprend 20 Minutes auprès de son avocat.
- Le jeune homme avait été condamné en 2017 à trois ans de prison ferme dans l’affaire de la voiture de police incendiée quai de Valmy à Paris en 2016.
Après une longue nuit d’attente, la décision du juge des libertés est tombée. Placé en détention provisoire depuis le 18 avril dernier, Antonin Bernanos va être libéré et placé sous bracelet électronique. La justice suspecte ce militant antifasciste de 25 ans, descendant de l’écrivain Georges Bernanos, de s’être battu avec des militants d’extrême droite trois jours plus tôt, à Paris. A l’époque, son avocat avait dénoncé un emprisonnement relevant « de la raison politique ».
« La famille, ses amis, ses avocats sont très heureux que certains juges soit encore indépendants », déclare à 20 Minutes son avocat, Me Arié Alimi. « Un appel du parquet, ajoute-t-il, serait un nouveau signe manifeste d’une dépendance du parquet à l’exécutif et serait regrettable pour la crédibilité de l’institution judiciaire. »
L’affaire remonte au 15 avril. Sur l’île de la cité, la cathédrale Notre-Dame est en prise aux flammes. Comme de nombreux Parisiens, Antonin Bernanos se rend sur place avec des amis pour observer depuis les berges de la Seine le feu qui ravage l’édifice. Soudain, la petite bande tombe nez à nez avec des militants d’extrême droite, des Zouaves et des membres de génération identitaire, comme le raconte Streetpress. Une bagarre éclate, un militant d’extrême droite est blessé et se fait voler ses affaires. Plus tard, après l’intervention de la police, il porte plainte contre Antonin Bernanos.
« Il a perdu quatre mois de sa vie pour rien »
Bien que niant avoir participé à la rixe, il est mis en examen pour « violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité » et « vol avec violences ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours ». Quatre autres personnes ont été mises en examen et placées sous contrôle judiciaire. Pour son avocat, le dossier est vide. Et si Antonin Bernanos est le seul des suspects à être incarcéré, c’est justement « parce qu’il s’appelle Antonin Bernanos ». Il faut dire que cette affaire est survenue quelques jours seulement après sa sortie de prison. Le jeune homme avait été condamné en octobre 2017 à trois ans de prison ferme pour avoir participé, quai de Valmy, à l’incendie d’une voiture de police le 18 mai 2016, lors des manifestations contre la loi travail.
L’affaire à l’époque avait fait grand bruit. Au cours du procès, Bernanos qui niait les faits reprochés était devenu une figure emblématique pour la mouvance d’ultra-gauche. Il avait finalement été libéré en avril 2018 et avait achevé de purger sa peine en liberté conditionnelle le 10 avril, quelques jours avant la bagarre à Saint Michel. Retour donc case prison, à Fresne (Val-de-Marne), puis à la prison de la Santé. La décision du JLD va lui être notifiée « très vite », explique Me Alimi. Avant d’ajouter : « Il a perdu quatre mois de sa vie pour rien. » Selon Europe 1, les services de renseignement surveillaient de près la décision du juge des libertés et de la détention. Ils redoutent, indique la radio, que Bernanos ne mène la mobilisation des antifascistes parisiens lors du G7 prévu à Biarritz à la fin du mois d’août.
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Une honte , pour ce pays ou il n’y a plus aucun respect pour ces valeurs , institutions et représentants de ordre, la seule issue sera la guerre civile , on récolte toujours de qu’on sème , la France récoltera sa destruction , depuis plus de 20 ans nos institutions et nos forces de ordres sont harcelées ,agressées ,outragées , ce qui a amené aux nombreux suicides de policiers et gendarmes, a qui j’adresse Aux familles mon soutien affectif. honte a tous les lâches dirigeants et justice de se pays qui par leurs traitrise et coupable soumission ont mené ce pays a la guerre civile .par ma profession de renseignements services extérieurs ,je peut vous assurer que la France n’échappera pas a son cauchemar de conflit ethnique imminent , Je pense que je vais heurter la sensibilité de certains , qui ont étés malmenés et blesses lors des manifestations , a cela je répond que dans la vie on doit toujours assumer ces actions , quant lors de manifestations on outrage , harcèle les forces de ordre on dégrade les biens , on doit aussi assumer ces conséquences physiques et pénales.
Lors de insurrection ces dégénérés émeutiers de tous bords seront aussi face aux pires sauvages armés , et ils seront seuls , ils regretteront amèrement leurs faits et outrage, pour les forces de ordre la priorité sera de protéger le peuple qui le mérite….
Un bracelet électronique. Bonne idée, avec électrocution immédiate et définitive
en cas de non respect des règles.
Comme pour tout les autres d’ailleurs. (Quel beau double sens ).
Rien de mieux qu’un bracelet électronique pour neutraliser un fou dangereux. Le bon peuple et surtout les policiers vont pouvoir dormir sur leurs deux oreilles !
juges , justice toujours dans le même sens