Ciel ! un élève refuse d’étudier un livre avec le point de vue musulman sur la Guerre d’Algérie !

Et le monde s’arrêta de tourner.

« Il y a eu une levée de bouclier de certains élèves car l’auteur n’est pas Français », « l’histoire ne concerne pas la France », « un élève a refusé de lire pour ne pas prononcer le mot Messaoud »… 

Ces phrases sont celles d’une professeure d’un lycée de la Somme. Dans le cadre de ce qu’on appelle un parcours de lecture, elle a choisi Le Porteur de cartable, un roman de l’auteur français Akli Tadjer. Un auteur avec lequel l’enseignante a organisé une rencontre : ses élèves doivent échanger avec lui sur son livre le 16 novembre prochain dans une librairie de Chaulnes. 

Mais les réactions des adolescents sont pour le moins inattendues : des propos que l’on peut aisément qualifiés de racistes, un comportement de la part de certains qui ne l’est pas moins et une ignorance de l’histoire de France la plus élémentaire.

https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/somme/lyceens-somme-refusent-etudier-livre-traitant-guerre-algerie-1549318.html

Bigre, la révolte change de camp, et les dhimmis s’indignent, se révulsent, ne comprennent pas, condamnent.

Que ne condamnent-ils pas l’impossibilité d’enseigner la Shoah et l’histoire de France en territoire islamisé, non plus que Darwin, la biologie, la musique… ?

Déjà, il y a plus de 15 ans, le rapport Obin disait les horreurs de notre école. Horreurs dues aux petits musulmans. Déjà Bensoussan,  racontait les mêmes horreurs à la même époque dans Les Territoires perdus de la République ; déjà le Haut Conseil à l’Intégration il y a quelques années racontait des choses  faisant froid dans le dos.

Silence radio. Rapport Obin étouffé. Bensoussan criminalisé malgré son pseudo, le Haut Conseil à l’Intégration dissous par Hollande…

Que ne condamnent-ils pas les dernières offensives des Muhammad, Bouteldja, Obono… et le « Front des Mères » qui ne veulent plus entendre parler de l’histoire de France mais seulement de celle des peuples d’où ils sont originaires ? 

Et voilà qu’on va nous faire une affaire d’un jeune et courageux gars qui est en France, et veut le point de vue français sur la guerre d’Algérie.

Je ne sais pas s’il est descendant de Pieds-Noirs ou pas, mais peu importe. Il dit le vrai et son professeur est d’une ignorance crasse en même temps que d’un parti-pris contraire à l’éthique professorale.

Ce courageux adolescent a raison de dire que l’Algérie ce n’est pas la France. Ce n’est plus la France. Et si des Algériens ont fait la guerre avec nous en 14-18 ou 39-45 c’était normal, ils bénéficiaient des avantages de la France ( éducation, santé, réseaux routiers… ) il était normal qu’en échange ils aillent la  défendre. Cela ne leur donne pas pour autant le droit de piétiner notre histoire, nos valeurs, et de refuser notre souci d’indépendance, à nous.

Je suis heureuse, quant à moi de savoir que, enfin, certains des nôtres ouvrent les yeux et refusent de se faire manipuler. C’est d’autant plus louable quand ça vient d’un adolescent censé obéir, dire béni-oui-oui aux profs, fussent-ils des traîtres à la nation. Je ne dis pas cela à propos du professeur de français concerné, je ne le connais pas, j’ignore -il vaut mieux – s’il est naïf et croit au Père Noël ou bien s’il veut, délibérément, faire croire à ses élèves que l’islam et la France seraient compatibles…

On nous rebat les oreilles de la société métissée, multiculturelle… et en même temps nos ados ont des yeux pour voir  et aussi pour pleurer.

Pleurer devant ceux qui font la loi dans la rue, dans les établissements scolaires, empêchant les « babtous » de bosser. Et on ne parle pas du racket, des poignardés et autres égorgés de l’été,  ni de Charlie Hebdo, ni de Nice ou du Bataclan… Que dire encore des bagarres entre bandes, des belphégor et autres djellabahs qui occupent les rues ?

Oui, nous avons, malgré le gigantesque travail de « décervellement » des medias et de l’école, des gens qui voient clair. Des ados qui voient clair et qui disent non. 

J’en suis fière et ravie. 

Les aveugles et les veaux ont beau crier au racisme, par réflexe pavlovien, avoir envie, quand on est adolescent, d’étudier plutôt Molière que Akli Tadjer, c’est sain, et normal. Surtout quand il s’agit de parler de l’histoire de l’Algérie, controversée ô combien.  Avant qu’un ado puisse se faire son idée, devenu adulte, le minimum est bien que lui soit présenté le point de vue français, le point de vue pied-noir, le point de vue de l’OAS. Il pourra, ensuite, fouiner, chercher, se faire son idée… Le minimum de la décence, c’est d’éviter de présenter à ses élèves le point de vue d’un ado porteur de valises des terroristes du FLN, non ? Et c’est pourtant ce que font, de conserve, Tadjer et le professeur de la Somme qui pousse des cris d’orfraie.

 

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24 Comments

  1. Bravo les jeunes ! Ne lâchez rien ! Ne vous laissez pas déposséder de votre pays et de vos droits ! La France restera la France grâce à notre combat à tous !

  2. Malheureusement l’éducation nationale est souvent politisée alors qu’elle devrait être neutre. Elle devrait.

  3. Je viens seulement de me rendre compte que la lettre émanait d’un prof, tellement le style est confus, la syntaxe inexistante, le vocabulaire pauvre, au moins une belle faute d’accord de genre…

    Et si je dois porter un quelconque jugement sur son contenu : inélégance, un zeste d’arrogance et vaguement menaçant.

    Attendons la suite et j’espère que ce prof aura la claque (verbale !) qu’il mérite !
    Et tous mes encouragements aux élèves et à leurs parents ! Résistez et ne lâchez rien !

  4. C’est un bourrage de crânes constant, et ce, depuis la fin de la guerre d’Algérie !!….
    L’Education anti Nationale laisse même venir des représentants de la FNACA (anciens combattants d’obédience communiste) venir faire leur propagande dans les classes, notamment sur la date du 19 Mars célébrant une capitulation sans défaite à partir de laquelle il y eut 100 fois plus d’enlèvements et de meurtres qu’auparavant (sans compter la centaine de milliers de Harkis livrés aux égorgeurs..)
    On va même jusqu’à tolérer dans nos universités des conférences faites par d’anciennes poseuses de bombes !!!…..
    Ne m’appelez plus jamais France !!…

  5. Avec la pléiade d’excellentissimes écrivains français, que va-t-elle chercher ?

    assurément, c’est pour effectuer son bourrage de crane pro-migrants, pro-palestiniens, gentils zarabes, etc

    N’y a-t-il pas une liste des écrivains à étudier, ou les profs sont-ils maintenant libres de choisir n’importe quoi ?

    les élèves qui se sont rebiffés, ont dû subir certainement d’autres agressions de ce type, et c’est le ras-le-bol qui s’est exprimé,
    ça nous prouve que tout n’est pas encore perdu, car des ados déjà conscients d’une manipulation de leur prof, c’est admirable et prometteur en vue de la LIBERATION

  6. Désolé, mais la suffisance de certains professeurs est renversante. Parce qu’ils ont un diplôme, parce qu’ils font partie d’une institution, parce qu’ils épousent l’ordre établi, ils croient pouvoir parler, non seulement au nom de la société, mais aussi au nom de ce que doit être la société.
    La liberté de conscience ou de penser : terminé ! Ils prennent l’histoire pour une science exacte. Au fond, ils en arrivent à confondre bonne intention et vérité.

  7. il eut fallu qu’elle le le su (ou qu’elle le le suce !!!!) et bon nombre d’instits de gauche faisaient abstraction du régistre de LA GUERRE D ALGERIE d’ailleurs supprimé par l’éducation nationale – je suis bien placée pour le savoir : ayant remis un dossier de réabilitation de ce sujet écrit par le Président et le VICE-PRESIDENT de l’UNCAFN au ministre de l’EN de chirac de l’époque.
    La guerre étant gagnée sur le terrain : IL NE FALLAIT SURTOUT PAS STYGMATISER LES ARABES Peine perdue car avec le père la mitte ce fut re-recorrigé (avec plein de fautes de mémoire)

  8. Pour rappel, le premier mort de la guerre d’Algérie était une jeune français, François Laurent, civil rentrant d’un bal à Mostaganem, dans la nuit du 31 octobre 1954 au 1er novembre, à 1h30 !
    Le 1er novembre vers 7 heures, c’est au tour d’un instituteur, Guy Monnerot et du caïd Ben Hadj Sadok, la femme de Guy Monnerot, Jacqueline survivra… Un tir en rafale, apparemment accidentel, d’un membre du commando…
    En tout, de la première opération de l’ALN en cette période du 1er novembre -la Toussaint rouge- en une trentaine de points de l’Algérie, ce furent 10 tués avec le garde forestier François Braun, Haroun Ahmed Ben Amar, Georges-Samuel Azoulay chauffeur de taxi, et les militaires Pierre Audat, Eugène Cochet, André Marquet, Roland Darneau…
    Étaient d’abord visés les musulmans travaillant avec l’administration française, les militaires… Mais trois civils furent parmi les 10 premières victimes !
    Que dit la prof de l’assassinat de Guy Monnerot un instituteur ?
    Que dit la prof des 75 autres instituteurs assassinés de 54 à 62 ?

  9. Que d’argent nous coûte cette UE et ses batailles pour la protection des libertés ; euh ! non ! pour la préservation de son système et de son idéologie. Un oeil, un rein, ou les quatre qu’elle nous coûte la Carabosse pour se maintenir.
    Incroyable cet aplomb aux yeux du monde entier qui connaît la nature réelle de son fonctionnement et alors que les peuples européens quotidiennement mesurent le piège dans lequel leurs zélites les ont plongés. Sans scrupule aucun, et sans honte la dictatrice abuse de son pouvoir pour surveiller si les nations se comportent non pas dans le respect des droits et des libertés mais selon ses règles à elle qui ont tout à voir de près et de loin avec celles de tout régime totalitaire. Et cette veuve bleue partiale s’autoproclame juge et arbitre en vue d’imposer à ces peuples ses propres règles dictatoriales.
    _______________________________________________________
    Une Commission du Parlement européen ***à Varsovie pour enquêter sur la liberté des médias***
    :::: https://www.ojim.fr/commission-des-libertes-civiles-parlement-europeen-a-varsovie-pour-enqueter-sur-la-liberte-des-medias/
    29/09/2018

    Dans le cadre de la procédure de sanction sous le régime de l’article 7 lancée contre la Pologne en décembre par la Commission européenne, une délégation de la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen était en visite à Varsovie du 19 au 21 décembre pour y rencontrer des représentants des autorités, mais aussi des représentants de la société civile et des médias. Cette visite de trois jours doit permettre au rapporteur Claude Moraes, un travailliste britannique, de préparer un rapport sur la base duquel le Parlement européen pourra décider à la majorité des deux tiers s’il décide de donner son feu vert à la procédure initiée par la Commission devant le Conseil européen. Il s’agit donc d’un rapport comme celui préparé à propos de la Hongrie par la députée verte néerlandaise Judith Sargentini, également membre de la Commission LIBE présidée par Moraes, et sur la base duquel le Parlement européen votait le 12 septembre à propos du lancement d’une procédure de sanction du même type que pour la Pologne.

    Comment se passe une telle visite en ce qui concerne les médias ? Quels médias la Commission LIBE a-t-elle souhaité rencontrer et quels médias a-t-elle voulu éviter ? L’Observatoire du journalisme s’est adressé à plusieurs acteurs de ces rencontres varsoviennes pour en avoir le cœur net, et l’image qui ressort de notre enquête est celle d’un rapporteur, Claude Moraes, et d’une Commission LIBE qui ne veulent entendre que les voix les plus hostiles au gouvernement polonais.

    C’est le programme prévu par la Commission LIBE, auquel nous avons pu avoir accès le 18 septembre, qui nous a alerté. En effet, sur cinq médias dont les représentants avaient été invités pour venir parler devant la délégation parlementaire européenne de la liberté de la presse en Pologne le 21 septembre, quatre sont connus pour leur violente hostilité au PiS et leurs convictions très nettement libérales-libertaires (alors que le PiS, au pouvoir depuis l’automne 2015, passe pour avoir un programme plutôt conservateur). Le cinquième, le quotidien Rzeczpospolita, a certes une ligne plus libérale-conservatrice que les quatre premiers, mais son propriétaire depuis 2011 est un homme d’affaires très proche de personnalités importantes de la Plateforme civique (PO), le parti de Donald Tusk qui dénonce justement à Bruxelles les violations de la démocratie et de l’État de droit par le PiS. Qui plus est, cet homme d’affaires a acquis ce quotidien en 2011 avec le soutien actif du gouvernement de Donald Tusk que l’on disait agacé par les critiques de ce journal prestigieux. Peu après le changement de propriétaire, la rédaction a été changée et les critiques contre le gouvernement de Tusk sont devenues plus douces, tandis que celles contre le PiS s’accentuaient. Parmi les quatre autres médias, deux – le quotidien Gazeta Wyborcza et la radio Tok FM – appartiennent en fait au même groupe médiatique, Agora, soutenu financièrement par George Soros. Leur grande hostilité au PiS est de notoriété publique et ne date pas de 2015. Quand le PiS était dans l’opposition, il était déjà la cible privilégiée des attaques de ces deux médias d’obédience ouvertement libérale-libertaire. Quant à l’hebdomadaire Polityka, également sur la liste des médias invités par la Commission LIBE lors de son passage à Varsovie, c’est un média bien ancré à gauche, post-communiste, qui n’est sans doute pas moins hostile au PiS que les deux précédents.

    Une télévision avait aussi été invitée, et pas n’importe laquelle. Il y a en Pologne trois grands groupes de télévision : la télévision publique (TVP), pro-gouvernementale, et donc pro-PiS aujourd’hui comme elle était pro-PO hier, Polsat, d’idéologie libérale-libertaire et généralement assez critique vis-à-vis du PiS, et TVN qui est depuis des années, avec Agora, le groupe médiatique le plus ouvertement engagé dans une véritable guerre contre le PiS. Or c’est un représentant de TVN qui avait été invité.

    Au final, il n’y avait cependant que les quatre premiers médias mentionnés ci-dessus qui ont pu envoyer leur représentant, et il n’y avait donc personne pour TVN.

    Toute la semaine, le député français Nicolas Bay (RN), membre de la délégation, a demandé au secrétariat de la Commission LIBE, sous l’autorité du président de la Commission Claude Moraes, d’ajouter des médias classés à droite pour assurer le pluralisme des points de vue présentés à la délégation en mission à Varsovie et avoir une image plus complète et plus réaliste de la liberté des médias en Pologne sous le gouvernement du PiS. Nicolas Bay a transmis à la Commission LIBE les coordonnées de journalistes appartenant à trois médias de droite : le quotidien catholique Nasz Dziennik, l’hebdomadaire conservateur Do Rzeczy et le groupe de presse proche du PiS Gazeta Polska. Il lui a été dit que Moraes avait donné son accord pour que rendez-vous soit pris avec les représentants de deux de ces rédactions. En réalité, le secrétariat de la Commission LIBE n’a téléphoné qu’au journaliste de Nasz Dziennik et n’a même pas daigné prendre contact avec les deux autres médias. Le journaliste de Nasz Dziennik s’est vu proposer par le secrétariat de la Commission LIBE un rendez-vous pour le vendredi 21 septembre à 16h30, après la rencontre avec les journalistes des quatre médias résolument anti-PiS. Le même secrétariat avait été chargé de réserver les billets d’avion des députés du Parlement européen en mission à Varsovie, et il ne pouvait donc pas ne pas savoir que l’unique journaliste de droite invité pour venir parler de la liberté des médias ne rencontrerait que trois députés sur les sept qui faisaient partie de la délégation, les quatre autres – dont le rapporteur Moraes – étant déjà repartis à l’aéroport…

    C’est donc uniquement devant la députée française Noëlle Bergeron (ex-FN, aujourd’hui non-inscrite et affiliée au groupe de Nigel Farage au PE), la députée verte néerlandaise Judith Sargentini et la députée communiste italienne Barbara Spinnelli que ce journaliste d’un média catholique a pu donner son point de vue sur la liberté des médias dans son pays. Un point de vue selon lequel la situation se serait plutôt améliorée par rapport à l’époque de Donald Tusk, mais il est permis de douter que Moraes en tiendra compte dans son rapport sur la Pologne, puisqu’il n’était plus là pour l’entendre.

  10. « son professeur est d’une ignorance crasse en même temps que d’un parti-pris contraire à l’éthique professorale. »

    Tout à fait, ce professeur sort de son rôle et cet endoctrinement au niveau des enfants et ados devrait être sanctionné.

    J’espère que cet élève est soutenu…. et je plains les parents qui ont des enfants d’âge scolaire actuellement.

    • Si vous saviez…. 1 au collège : propagande continuelle pro migrant à travers les textes étudiés en français, pour les autres matières ça va. 2 au lycée, là c’est en anglais, allemand, histoire et français que les profs ramènent tout aux bienfaits du vivre ensemble, gentils migrants, etc….
      Heureusement que nous nous occupons de la scolarité de nos enfants et que nous leur donnons d’autres sons de cloches car sinon ils seraient tombés dans la trappe à gauchistes depuis longtemps. Ce qui est rassurant c’est que je m’aperçois que le lavage de cerveau ne prend pas, tout au moins avec les classes scientifiques, par contre les L, ES ont l’air plus réceptifs à la propagande.

      • @Marie,

        Oui je m’en doute avec ce que j’entends ici ou là et ce que je lis ici, c’est pour que je dis que je plains les parents car, pour ma part, je sais que je n’aurais pas supporté cela et que j’aurais rectifié au niveau de mes enfants pour les amener à s’interroger et nuancer.

        L’Education Nationale, je le constate, a toujours été un instrument politique pour agir au niveau de la base.

        Beaucoup de professeurs, leur concentrations était frappante (les anciens soixante-huitards louant cette période voire en restant nostalgiques refusant d’en voir les effets délétères sur notre Société), ont été complices de l’idéologie dominante par le passé, et nous en voyons le résultat aujourd’hui.

        Et il y en a encore parmi leurs descendants….. Certains schémas familiaux ont la vie dure !

  11. Les musulmans qui se sont battus pour la France – le grand argument des islamophiles – étaient aussi minoritaires au niveau de la population française, largement minoritaires et s’exposaient à de graves sanctions en cas de désertion. C’était l’époque où les gens se faisaient fusiller pour de tels faits. Désormais, la peine de mort est interdite, le droit pénal s’est ramolli, les mentalités ont changé…
    Quant au reste de l’article, c’est effectivement remarquable que des lycéens aient osé dire non. Je ne trouve pas normal qu’ils soient invités à lire autant de littérature étrangère au lycée, alors qu’à cet âge, on ne connaît souvent pas grand chose de la littérature française.
    J’ai eu un bac littéraire avec 19/20 en littérature (le plus gros coefficient), mais rétrospectivement, à l’époque, je ne devais connaître tout au plus que 1/4 des auteurs français qui ont compté dans l’histoire littéraire nationale. Je m’en rends compte à présent.
    J’avais fait une dissertation sur « le Procès » de Kafka, une oeuvre remarquable certes mais Kafka était un écrivain de langue allemande traduit en français…
    Notre « parcours de lecture » quant à lui concernait des écrivains russes contemporains… les grands noms de la littérature russe, je n’en avais jamais entendu parler.
    Enfin, je trouve que le mail de la « prof » n’est pas d’une élégance remarquable pour un enseignant de lycée en lettres…

  12. ALLEZ DONC A LA 7 EME LIGNE DU PAPIER de akli tadler

    vous aurez la joie de lire

    « ils ne savaient pas que l’ algérie, étaient Française »

    étaient !!! chapeau ! sans doute l’ été indien qui lui a tapé la cabezza 😆

  13. Je pense que les parents des élèves en question, y sont peut être pour quelque chose. Et c’est aussi, si c’est le cas, une bonne nouvelle ! Ne rien lâcher !

  14. Souhaitons que de nombreux jeunes français suivent son exemple ! La relève serait assurée !
    Dans ma famille, l’éducation française se fait en même temps que l’éducation contre la drogue, l’alcool, les mauvaises fréquentations, etc…
    Aussi bien les filles que les garçons.

  15. il faudrait écrire l’histoire de l’Algérie depuis l’indépendance et voir ce qui a été fait de positif depuis ?? Les seules choses biens dans ce pays c’est ce que la France à laissé : infrastructures, administrations,… Depuis ils vivent assis le cul sur leur pétrole et leur gaz, font travailler les chinois pour construire leurs routes et une poignée de pseudos militaires ou politicards naphtalines se gavent sur le dos de ce peuple d’idiot abreuvé à la religion avec comme crédo : si on est des loosers c’est la faute de la France et allah est grand. Mais ils rêvent quand même de venir chez nous (ça c’est l’expression qu’emplois ceux qui vivent à nos crochets ici en parlant de l’Algérie : chez nous) car la soupe est bonne.
    Et juste pou rappel voici un extrait de leur hyme de haine :

    Yâ firansâ qad madhâ waqt ul-ʿitâb
    Ô France ! le temps des palabres est révolu
    Wa tawaynâhu kamâ yutwa l-kitâb
    Nous l’avons clos comme on ferme un livre
    Yâ firansâ inna dhâ yawm ul-hisâb
    Ô France ! voici venu le jour où il te faut rendre des comptes
    fa-staʿiddî wa khudhî minnâ l-jawâb
    Prépare toi ! voici notre réponse
    Inna fî thawratinâ fasl al-khitâb
    Le verdict, Notre révolution le rendra
    Wa ʿaqadnâ l-ʿazma ʾan tahya l-jazâʾir.
    Car nous avons décidé que l’Algérie vivra
    Fa-šhadû ! Fa-šhadû ! Fa-šhadû !
    Témoignez ! Témoignez ! Témoignez !

  16. Elle est prof de quoi celle-là ? De pleurniche ?

    Elle a l’air de s’y connaître en pleurniche, quand on lit son courrier.

    Ou alors, prof de soumission ?
    Prof de collaboration ?

     » un parcours de lecture « , ou plutôt un parcours de connerie pour en arriver là ?

  17. C’est dommage que ce ne soit pas mon fils car lui je l’aurais félicité, par contre sa prof, je lui aurais fait avoir des bouffées de chaleur. Je pense qu’il y a d’autre auteurs Français à étudier avant d’étudier un auteur musul. On est vraiment dans un monde de merde peuplé de collabos et de crétins qui se vendent pour faire bonne impression à l’envahisseur.

      • Je pense que de votre temps ce genre de question ne se posait pas.

        Je ne pense pas par exemple que l’on ait imposé des références nazies de la guerre 39-45, et si oui, il y aurait eu des remous très certainement quand on voit encore des gens qui ont vécu cette guerre qui ne peuvent supporter les chants allemands.

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