Les Tchèques reconnaissent Jérusalem comme capitale d’Israël ; Palestiniens, ONU, UE… verts de rage !

Ce que les Tchèques ont fait est énorme. Rupture complète avec des décennies de chantage, de pressions, de manipulations islamiques…

HISTORIQUE: le parlement tchèque reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël!

Mardi, à la veille du cinquantenaire de la réunification de Jérusalem, le parlement tchèque a adopté une résolution historique: il reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël! Les députés tchèques ont également condamné l’Unesco pour les successives résolutions anti-israéliennes adoptées cette année et en 2016. Ils exigent de leur gouvernement de cesser sa contribution annuelle à l’Unesco à cause de la politisation de cette organisation et de sa politique ouvertement anti-israélienne.

Cette résolution historique a été votée à une large majorité: 112 députés sur 156. Le texte demande au gouvernement de Prague d’en faire de même et de reconnaître officiellement Jérusalem comme capitale d’Israël avec tout ce que cela implique en même temps qu’une demande de relance des pourparlers israélo-palestiniens.

Lire la suite ici :

http://www.lphinfo.com/historique-parlement-tcheque-reconnait-jerusalem-capitale-disrael/

 

Voici ce  que nous avions écrit sur le sujet en janvier, quand Trump avait annoncé que l’ambassade américaine serait dorénavant à Jérusalem :

Ce sera la seule ambassade étrangère qui reconnaîtra, de ce fait, que Jérusalem est la capitale d’Israël la juive, malgré les accords entre pays arabo-musulmans datant de 1981, accords que n’ont pas signé les pays occidentaux mais qu’ils respectent, tétanisés par la peur de manquer de pétrole, tétanisés par la peur d’attentats, tétanisés par la peur d’émeutes de l’ennemi intérieur qu’ils ont laissés s’installer chez eux….

[…]

Nous publions ici une fatwa lancée en 1981 par les pays musulmans réunis à la Conférence du Sommet islamique de la Mecque. Cette fatwa décrète le jihad contre Israël, et menace tout pays qui, désobéissant à l’injonction musulmane, reconnaîtrait Jérusalem comme capitale d’Israël et y aurait son ambassade.

[…]

Il est intéressant de connaître l’origine et la raison qui interdisent aux pays étrangers d’établir leur ambassade à Jérusalem, la capitale de l’Etat d’Israël, contrairement aux usages de toutes les nations.

Nous publions ici une fatwa lancée en 1981 par les pays musulmans réunis à la Conférence du Sommet islamique de la Mecque. Cette fatwa décrète le jihad contre Israël, et menace tout pays qui, désobéissant à l’injonction musulmane, reconnaîtrait Jérusalem comme capitale d’Israël et y aurait son ambassade.

Après cette fatwa, tous les pays s’empressèrent d’obtempérer et déménagèrent leurs ambassades de Jérusalem à Tel-Aviv.

La guerre de 1948 contre Israël chassa tous leurs habitants juifs. Leurs maisons et leurs biens furent donnés à des colons arabes

  • Jérusalem-Est avait été conquise militairement en 1948 par l’armée jordanienne qui avait envahi la Judée et la Samarie au cours de la guerre de 1948-49.
  • Cette guerre menée par les pays arabes contre Israël provoqua l’exode des réfugiés arabes.
  • L’occupation arabe des territoires judéo-palestiniens par la Jordanie (Jérusalem-Est, Judée-Samarie), par l’Egypte (Gaza) et la Syrie (Golan), chassa tous leurs habitants juifs. Leurs maisons et leurs biens furent donnés à des colons arabes qui détruisirent les synagogues et les cimetières.
  • Cette situation dura jusqu’en mai 1967 quand une coalition des armées jordaniennes, égyptiennes et syriennes envahit à nouveau le territoire israélien pour exterminer et en chasser les habitants. Mais l’armée israélienne put les arrêter et reprendre les territoires perdus en 1949.
  • Cette guerre provoquée par les pays arabes causa, comme la première, une seconde vague de réfugiés arabes dont les pays arabes agresseurs devraient être tenus responsables.

Soumis à de très fortes menaces et aux pressions des pays arabes et musulmans, la plupart des gouvernements occidentaux, ménageant l’opinion musulmane de leurs colonies, avaient encouragé l’extrémisme arabe. Les préjugés antisémites chrétiens, encore si prégnants après la guerre, contribuaient à renforcer l’alliance islamo-chrétienne contre Israël. Selon Tsilla Hershco, le Consul général de France à Jérusalem René Neuville déclarait en décembre 1949 qu’Israël ne devait pas contrôler les lieux saints dans le secteur Est de Jérusalem, parce que le monde chrétien n’accepterait pas la domination israélienne sur les lieux saints de la chrétienté. (Entre Paris et Jérusalem : La France, le sionisme et la création de l’Etat d’Israël 1945-1949*, préface de Shimon Pérès, 2003 Honoré Champion, Paris.)

Voici la fatwa à laquelle les plus grandes puissances de la planète se soumirent de 1981 à aujourd’hui.*

CONFÉRENCE DU SOMMET ISLAMIQUE DE LA MECQUE (JANVIER 1981)

La question de la Palestine

Résolutions politiques adoptées à la 3e conférence du sommet islamique

«Session de la Palestine et de Al-Quds Al-Sharif (Jérusalem)» à La Mecque du 25 au 28 janvier 1981.

Résolution N° 1/3 —P (IS) sur le programme islamique d’action contre

l’ennemi sioniste.

La 3e conférence du sommet islamique (session de la Palestine et de Al-Quds), qui s’est tenue à La Mecque, Royaume d’Arabie Saoudite, du 19 au 21 Rabi-ul-Awal 1401 de l’Égire, correspondant au 25-28 janvier 1981, guidée par les résolutions de la première conférence du sommet islamique de Rabat et la deuxième conférence du sommet islamique de Lahore et par toutes les résolutions des conférences islamiques des ministres des Affaires étrangères et du Comité pour Al-Quds pour soutenir la lutte et la résistance du peuple palestinien, puisque cette lutte est une lutte de libération du colonialisme et de l’occupation raciste sioniste, et qu’elle est basée sur la défense des droits nationaux inaliénables du peuple palestinien, soulignant la détermination du peuple palestinien à maintenir son droit éternel sur la Ville Sainte d’Al-Quds comme capitale de son foyer palestinien et la résolution aussi bien des gouvernants que des peuples musulmans à leurs droits éternels sur la Ville Sainte d’Al-Quds comme capitale de son foyer palestinien, en vue de la suprême importance politique, religieuse, culturelle et historique d’Al-Quds pour tous les musulmans,

Recommande ce qui suit :

1) souligner que la cause palestinienne doit être considérée comme la cause suprême de la nation musulmane et qu’aucun parti ne peut renoncer à cet engagement ;

[…]

4) garantir le recouvrement des droits nationaux inaliénables du peuple arabe palestinien, y compris son droit au retour, à l’autodétermination et à l’établissement d’un État palestinien indépendant sur son sol, dirigé par l’OLP, seul représentant légitime du peuple palestinien ;

La conférence recommande de refuser une quelconque solution au conflit arabo-sioniste en général

5) refuser d’admettre une action unilatérale d’une fraction arabe ou islamique pour rechercher une quelconque solution à la question palestinienne en particulier, et au conflit arabo-sioniste en général, continuer la résistance à l’esprit et aux accords de Camp David et à leurs conséquences, jusqu’à leur élimination et la disparition de leurs séquelles, ainsi que la résistance à toute initiative qui s’y rattacherait, étendre l’appui matériel et moral au peuple arabe palestinien dans les territoires palestiniens occupés et le soutien à leur résistance contre le complot d’autonomie ;

[…]

10) confirmer l’engagement des États islamistes à faire usage de toutes leurs ressources militaires, politiques, économiques et naturelles, y compris le pétrole, comme moyen efficient de soutenir les droits nationaux inaliénables du peuple palestinien et de la nation arabe, et à affronter ces pays qui accordent leur soutien à l’entité sioniste aux niveaux militaire, économique, politique et des ressources humaines ;

11) intensifier les efforts pour gagner de futurs appuis internationaux, tant au niveau officiel que populaire, spécialement en Europe, sur la question de la Palestine, la libération des territoires occupés palestiniens et arabes, pour promouvoir le statut de l’OLP dans l’arène internationale et accroître la reconnaissance de l’Organisation comme seul représentant légitime du peuple palestinien […].

[…]

15) maintenir les contacts avec le Vatican et le conseil mondial des Églises ainsi qu’avec les autres institutions et fondations chrétiennes pour s’assurer de leur soutien à la restauration de la pleine souveraineté arabe sur Al-Quds, la reconnaissance de l’OLP comme seul représentant légitime du peuple palestinien et le soutien aux droits inaliénables du peuple palestinien ;

16) renforcer les relations avec les communautés arabes et islamiques à l’étranger et faire pleinement usage de leurs capacités et potentialités à servir les causes arabe et islamique ;

17) travailler à l’établissement d’associations similaires à celle de France-Al— Quds dans les États d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord en vue de gagner un soutien croissant de l’opinion publique à la cause d’Al-Quds ;

En ce qui concerne Al-Quds Al-Sharif :

[…]

imposer un boycott politique et économique [NDLR : pétrolier] aux États qui établissent des ambassades à Al-Quds Al-Sharif

2) confirmer l’engagement des États musulmans à utiliser toutes leurs potentialités de s’opposer à la décision israélienne d’annexer Al-Quds, l’adhésion à la décision d’imposer un boycott politique et économique [NDLR : pétrolier] aux États qui reconnaissent la décision israélienne, contribuent à son application ou établissent des ambassades à Al-Quds Al-Sharif ;

3) inviter tous les pays à respecter la légitimité internationale en s’abstenant de traiter avec les autorités israéliennes dans toute forme qui pourrait être analysée par ces autorités comme se résumant à une reconnaissance ou une acceptation implicite du statu quo, imposé par leur déclaration selon laquelle Al-Quds doit être unifiée et devenir la capitale de l’entité sioniste et, en particulier à inviter tous les pays à s’abstenir :

a) de signer tout accord à Al-Quds Al-Sharif,

b) d’effectuer toute visite officielle à Al-Quds,

c) de mener tout entretien formel à Al-Quds,

4) inviter les États membres de la Communauté européenne à tenir leurs promesses de s’abstenir de proroger l’effet de leurs accords économiques bilatéraux et multilatéraux avec Israël ;

5) souligner la nécessité de couvrir le capital du Fonds Al-Quds, aussi bien que son «waqf» (dotation) pour faire face aux nécessaires et urgents besoins de soutien à la résistance et à la lutte du peuple palestinien ;

6) entreprendre, par tous les pays islamiques, une mobilisation psychologique de leurs peuples, à travers les médias officiels, semi-officiels et populaires, pour le jihad de libération d’Al-Quds.

Dans le domaine économique :

1) Utiliser toutes les potentialités économiques et ressources naturelles islamiques de façon bien orientée et étudiée pour les objectifs suivants :

a) affaiblir l’économie israélienne

b) faire cesser le soutien politique, économique et financier à Israël,

c) accroître la résistance des États de la ligne de front et de l’OLP dans différents domaines,

d) mener à bonne fin des changements dans les positions politiques des États en faveur de la cause palestinienne et donner au peuple palestinien la possibilité de recouvrer ses droits nationaux inaliénables,

e) déployer des efforts pour transformer l’attitude internationale neutre en amicale, et les attitudes hostiles en neutres et amicales.

Mise en place d’un Office islamique de boycott d’Israël

2) Adopter des mesures de mise en place d’un Office islamique de boycott d’Israël, en vertu des résolutions applicables de la conférence islamique et assurer la coordination d’un tel office et de l’office principal de boycott d’Israël, au sein du Secrétariat général de la Ligue des États arabes ;

3) adopter une attitude plus ferme en ce qui concerne la législation mise en œuvre aux États-Unis et dans d’autres pays pour contrer le boycott d’Israël, et souligner la légitimité de ce boycott, ainsi que dissuader d’autres pays d’adopter une telle législation.

Dans le domaine militaire :

[…]2) assurer la coordination militaire entre les États de la ligne de front et l’OLP, d’une part, et les États islamiques d’autre part, pour assurer la pleine utilisation des potentialités des États islamiques au service de leur effort militaire, et établir un bureau militaire au Secrétariat islamique, destiné à être responsable d’une telle coordination, en accord avec le Comité Al-Quds.

3) faire face aux besoins de l’OLP en ce qui concerne l’expertise et l’équipement militaires tant qualitativement que quantitativement, et mener des contacts bilatéraux entre l’OLP et tous les pays islamiques pour assurer la mise en œuvre de ce qui précède.

 

Aujourd’hui, si les peuples européens sont confrontés au même système de destruction de leur identité, de leur histoire, de leur culture et s’ils pourraient se trouver à l’avenir obligés de défendre leur souveraineté nationale sur des territoires contrôlés par des populations hostiles, c’est parce que leurs gouvernements avaient collaboré à cette même politique à l’égard d’Israël.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Bat Ye’or pour Dreuz.info.

http://www.dreuz.info/2017/01/03/la-fatwa-sur-jerusalem-qui-interdit-aux-pays-europeens-dy-installer-leurs-ambassades/

Lire l’ensemble de l’article ici :

http://resistancerepublicaine.com/2017/01/04/trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-de-letat-juif-et-dit-merde-a-une-fatwa-vieille-de-36-ans/

Hélas, pour l’heure, Trump n’a pas tenu ses promesses…

Faut-il en voir la raison dans son rapprochement avec l’Arabie Saoudite qui tient d’une main de fer les pays musulmans sunnites, tous soutiens de Gaza et autres fatah ?

Le président américain Donald Trump avait promis lors de sa campagne de déplacer l’ambassade américaine de Tel-Aviv à Jérusalem, dont le statut est l’un des points les plus épineux du conflit israélo-palestinien. Mais il n’a pour l’instant pris aucune mesure en ce sens. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a contesté dimanche les préoccupations des États-Unis quant à un éventuel transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem, dans ce que le quotidien Haaretz a qualifié de “premier différend public” avec l’administration Trump.

Les Palestiniens et le monde arabe s’opposent farouchement à ce projet, la communauté internationale mettant en garde contre les nouveaux troubles qu’il pourrait provoquer. Dimanche, le secrétaire d’État américain Rex Tillerson a déclaré à la télévision américaine NBC que M. Trump cherchait encore à évaluer si une relocalisation de l’ambassade aiderait ou nuirait aux espoirs de paix. “Le président est très prudent (et essaie de) comprendre l’impact que pourrait avoir une telle décision sur un processus de paix”, a déclaré Tillerson, suggérant que l’État hébreu pourrait lui-même avoir certaines réflexions à ce sujet.

Lire la suite ici :

http://www.lepoint.fr/monde/transfert-de-l-ambassade-americaine-a-jerusalem-israel-rassure-les-etats-unis-14-05-2017-2127367_24.php

Bref, Europe centrale et Europe de l’est main dans la main pour dire non à l’immigration, à l’islam, à l’Europe, au politiquement correct, au chantage palestinien. 

Chapeau les gars. Et merci.

 Complément de Huineng 

Video  enregistrée à Prague par un ami « busker » ( = chanteur des rues) très très talentueux . Il chante en Hébreu et parle aussi Yiddish pour fêter la reconnaissance par le parlement tchèque de Jérusalem comme capitale d’Israël…

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19 Commentaires

  1. Super, un petit pays donne la leçon aux gros cons vendus à l’iscrat !
    enfin , une nation qui prend la défense d’Israël, gravement menacé par les 57 pays muzz et abandonnée par les pays occidentaux,
    d’autres vont suivre, et ça enrage l’UE au plus haut point

  2. Un grand merci aux Tchèques pour ce vote historique qui giflent tous les dirigeants européens soumis à l’islam, pour leur signifier avec brio ce qu’est le sens de l’honneur, de la loyauté et du courage.

    La Tchéquie (Dieu la bénisse) a reconnu officiellement que Jérusalem, centre politique, religieux, est bien bien la capitale éternelle d’Israël.

    Jérusalem est “Une et indivisible” et le restera à jamais quelles que soient les négociations pétrolières, financières, chantages et menaces programmés par l’OCI à l’encontre de ceux qui voudraient déchirer leur voile mensongé pour rétablir la vérité pure et incontestable que Jérusalem appartient bien et appartiendra toujours à Israël.

    Magnifique leçon de courage et d’honnêteté lancée à la gueule de tous les crasseux corrompus : que le diable les emporte!!!

  3. il n’y a jamais eu de peuple palestinien , ni d’état palestinien , la Palestine(bande de Gaza) ayant été une province de la Judée Samarie .
    Le nom « Palestine » dérive de celui des Philistins.
    Après ce que les textes égyptiens décrivent comme une défaite, les Philistins se sont installés dans une bande côtière allant de l’actuelle Tel-Aviv jusqu’à l’actuelle frontière égyptienne, et centrée sur l’actuelle bande de Gaza.
    . Le manuscrit Harris , écrit sous le règne de Ramsès IV, indique que Ramsès III, après avoir vaincu les peuples de la mer, les a emprisonnés en Égypte, avant « de les installer dans des bastions, construits en [son] nom », et de les soumettre à l’impôt. Certains y voient l’installation des Philistins dans la bande côtière du sud-est de Canaan, longtemps égyptienne. Le lien entre les deux évènements est cependant incertain, du fait de l’imprécision géographique et ethnique du texte.
    Le Deutéronome, écrit environ cinq siècles après les évènements, indique que « les Avviens, qui habitaient dans des villages jusqu’à Gaza, furent détruits par les Caphtorim » (terme biblique utilisé comme synonyme de Philistins), ce qui offre un renseignement, mais à la fiabilité incertaine, sur l’ethnonyme des habitants cananéens pré-philistins.
    À compter du xiie siècle, l’installation des Philistins dans le sud-ouest de Canaan est bien attestée par leurs poteries, ainsi que par les textes égyptiens et assyriens (ces derniers les appellent Palastu ou Pilistu). Il est aujourd’hui impossible de dire si cette installation fut faite sur un territoire donné par les Égyptiens ou conquis par les Philistins. Cependant, si « la couche [archéologique] qui correspondait à la dernière domination égyptienne à Canaan, sous Ramsès III, ne contenait aucune trace des premiers types de vases philistins décorés, les premiers niveaux philistins ne révélaient aucune trace de présence égyptienne : pas un seul vase ou tesson égyptien. Les deux couches sont complètement séparées ». Cette rupture archéologique peut donc laisser penser à une rupture commerciale franche, impliquant une rupture politique également franche, c’est-à-dire à une conquête plus qu’à une implantation par accord mutuel.
    De même que la définition ethno-linguistique des Philistins avant leur installation en Canaan est mal connue, leur définition ethno-linguistique ultérieure est également difficile, eu égard au manque de sources textuelles. De fait, deux grandes familles de thèses ont été avancées.
    Pour la première, qui se fonde par exemple sur les noms et mots non sémitiques cités par la Bible, les Philistins ont conservé longtemps un particularisme ethnique et linguistique.
    Pour un autre courant, ils se sont précocement mélangés aux populations cananéennes locales. L’archéologie montre en effet une influence des cultures cananéennes antérieures ou voisines. Le Premier livre de Samuel indique qu’un de leurs dieux était Dagon : « les Philistins prirent l’arche de Dieu, et ils la transportèrent d’Ében Ézer à Ashdod. Après s’être emparés de l’arche de Dieu, les Philistins la firent entrer dans la maison de Dagon et la placèrent à côté de Dagon». Or, Dagon est une divinité sémitique. Les autres dieux philistins semblent avoir été Baal ou Astarté, dont les noms apparaissent dans ce qu’on connait du panthéon cananéen.
    Pour les tenants de cette seconde hypothèse, ces éléments indiquent que Philistin est assez rapidement devenu un terme désignant une population fortement mélangée et acculturée au milieu cananéen, les termes (comme Seren) ou les nom (comme Goliath) sans origine sémitique restant comme des reliques linguistiques isolées. De fait, les termes de pouvoir et les noms survivent souvent plus longtemps que les autres.
    En l’absence de sources incontestables sur la langue des Philistins de l’époque tardive, le statut précis des populations tardives et leurs relations ethniques, religieuses et linguistiques avec les premiers Philistins des chroniques égyptiennes restent discutés.
    Entre le xiie siècle (période des Juges, antérieur à la formation du royaume de Judée) et le viiie siècle (conquête des villes philistines par les Assyriens), les livres de Samuel puis des Rois racontent de nombreux conflits entre les Hébreux et les Philistins. Globalement, les descriptions bibliques des Philistins leur sont très hostiles et mettent en scène de nombreux combats. L’historicité de ceux-ci est indiscernable, mais les textes montrent que les relations de voisinage furent le plus souvent tendues.
    Après leur implantation, les Philistins se sont organisés en de nombreux villages et villes. La Bible nous les décrit comme dirigés par des seigneurs appelés Seren (un terme sans étymologie sémite), et dans un pluriel hébraïsé, serenim. Le texte biblique semble impliquer l’absence d’un pouvoir central quand il parle de la « contrée qui doit être tenue pour cananéenne, et qui est occupée par les cinq princes des Philistins ».
    Progressivement, les zones philistines vont se structurer autour de cinq grandes villes, qu’on pense avoir été des cités-États indépendantes, chacune disposant de ses propres institutions et régnant sur les territoires, villages et petites villes alentour. Ces cinq villes sont Gaza, Ashkelon, Ashdod, Ekron et Gath (qu’on pense avoir identifié avec le site archéologique de Tell es-Safi).
    Dans les textes occidentaux, le terme de « Palestine » (Palaïstinê) apparaît pour la première fois sous la plume de l’historien grec Hérodote, au ve siècle av. J.-C.31, peut être une forme dérivée de l’Assyrien Palastu ou Pilistu.
    Au 1er siècle, Pline l’Ancien parle également de « Palestine », toujours lié au terme « Syrie ». Au 2e siècle, Ptolémée fait de même. Le terme est utilisé en référence à l’ancien peuple des Philistins. La région désignée est alors beaucoup plus ample que l’ancien territoire des Philistins, et recouvre plus ou moins le futur territoire de la Palestine mandataire. À ces époques, le terme n’est pas unique, les Juifs parlant plutôt d’Eretz Israël, un ensemble géographique regroupant la Judée (au sud) et la Samarie (au nord). Dès l’Antiquité grecque, les termes Palaïstinê et Eretz Israël apparaissent donc comme désignant des réalités géographiques plus ou moins équivalentes.
    Sous la domination romaine, la deuxième révolte juive (132-135) aboutit à l’expulsion des Juifs de Jérusalem sous Hadrien. Jérusalem est nommée Ælia Capitolina et la région est intégrée dans la province de « Syrie Palestine » (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin Syria Judaea (« Syrie Judée » ou « Syrie juive ») par les vainqueurs désireux de faire disparaitre tout rattachement symbolique de la région aux anciens rebelles Juifs.
    Le terme Palestine est resté pour désigner la région pendant toute la période byzantine, arabe puis ottomane. Après la conquête de la région par les Britanniques en 1918, celle-ci devient la Palestine mandataire, confiée par la Société des Nations sous forme de mandat à l’empire britannique.
    source wiki.
    les arabo musulmans n’ont jamais possédés la bande de Gaza sauf par leurs conquêtes .Donc leurs revendications pour un état palestinien n’est pas fondé , en se basant sur les découvertes archéologiques et sur la bases de documents , dont la Bible , et les récits de l’épopée romaine.
    donc L’Etat d’Israël est dans son droit n’en déplaise à tous ces fouteurs de merde , les faits ou certains fait historiques sont là et nous le démontrent .

  4. la reconnaissance par le parlement tchèque de Jérusalem comme capitale d’Israël…

    un véritable et sinçère ami…rarrissime envers l’ Etat Juif (le seul face aux 58 pays islamique (leurs mères ..)

    se souvenir qu” dés 1947 l’ état naissant d’ Israel bénéficia d’ importants livraisons d’ armes et même d’ avions en provenance de Tchécoslovaquie

    et disons le, avec fierté, de la part aussi de la France de la 4 eme république

    (avant que l’ ordure dite de Gaulle ne vienne tout saloper…)

    amusant: je fais le parallèle avec ce défenseur des ghettos juifs qui fut créé par Rabbi Low, a Prague: le Golem …

    a Prague! comme par hasard!!

    et cinq siècles plus tard, la défense vient aussi de Prague…

    coincidence troublante et émouvante

    ceux qui connaissent le Pont charles, dit Pont de pierre, qui franchit la Moldau, ont surment vu le chris en majesté sur son crucifix et couronné des mots en hébreu célébrant la grandeur et la sainteté des armées d’ istrael avec la sanctification du Nom

    “qadosh,qadosh,qadosh, Adonaï Tsevaot”

    pour ceux qui veulent en savoir plus, voir Google qui est un formidable “golem” contre l’ ignorance 😆

    • Merci Templier mais hors de question de mettre sur RR des hymnes aux assassins palestiniens qui veulent dépouiller Israël de Jerusalem

  5. Bravo, bravissimo, la palestine n’a aucune existence légale, aucune histoire, aucun passé, donc la palestine n’existe pas!

  6. il n’y a jamais eu de peuple palestinien , ni d’état palestinien , la Palestine(bande de Gaza) ayant été une province de la Judée Samarie .
    Le nom « Palestine » dérive de celui des Philistins.
    Après ce que les textes égyptiens décrivent comme une défaite, les Philistins se sont installés dans une bande côtière allant de l’actuelle Tel-Aviv jusqu’à l’actuelle frontière égyptienne, et centrée sur l’actuelle bande de Gaza.
    . Le manuscrit Harris , écrit sous le règne de Ramsès IV, indique que Ramsès III, après avoir vaincu les peuples de la mer, les a emprisonnés en Égypte, avant « de les installer dans des bastions, construits en [son] nom », et de les soumettre à l’impôt. Certains y voient l’installation des Philistins dans la bande côtière du sud-est de Canaan, longtemps égyptienne. Le lien entre les deux évènements est cependant incertain, du fait de l’imprécision géographique et ethnique du texte.
    Le Deutéronome, écrit environ cinq siècles après les évènements, indique que « les Avviens, qui habitaient dans des villages jusqu’à Gaza, furent détruits par les Caphtorim » (terme biblique utilisé comme synonyme de Philistins), ce qui offre un renseignement, mais à la fiabilité incertaine, sur l’ethnonyme des habitants cananéens pré-philistins.
    À compter du xiie siècle, l’installation des Philistins dans le sud-ouest de Canaan est bien attestée par leurs poteries, ainsi que par les textes égyptiens et assyriens (ces derniers les appellent Palastu ou Pilistu). Il est aujourd’hui impossible de dire si cette installation fut faite sur un territoire donné par les Égyptiens ou conquis par les Philistins. Cependant, si « la couche [archéologique] qui correspondait à la dernière domination égyptienne à Canaan, sous Ramsès III, ne contenait aucune trace des premiers types de vases philistins décorés, les premiers niveaux philistins ne révélaient aucune trace de présence égyptienne : pas un seul vase ou tesson égyptien. Les deux couches sont complètement séparées ». Cette rupture archéologique peut donc laisser penser à une rupture commerciale franche, impliquant une rupture politique également franche, c’est-à-dire à une conquête plus qu’à une implantation par accord mutuel.

    De même que la définition ethno-linguistique des Philistins avant leur installation en Canaan est mal connue, leur définition ethno-linguistique ultérieure est également difficile, eu égard au manque de sources textuelles. De fait, deux grandes familles de thèses ont été avancées.

    Pour la première, qui se fonde par exemple sur les noms et mots non sémitiques cités par la Bible, les Philistins ont conservé longtemps un particularisme ethnique et linguistique.
    Pour un autre courant, ils se sont précocement mélangés aux populations cananéennes locales. L’archéologie montre en effet une influence des cultures cananéennes antérieures ou voisines. Le Premier livre de Samuel indique qu’un de leurs dieux était Dagon : « les Philistins prirent l’arche de Dieu, et ils la transportèrent d’Ében Ézer à Ashdod. Après s’être emparés de l’arche de Dieu, les Philistins la firent entrer dans la maison de Dagon et la placèrent à côté de Dagon». Or, Dagon est une divinité sémitique. Les autres dieux philistins semblent avoir été Baal ou Astarté, dont les noms apparaissent dans ce qu’on connait du panthéon cananéen.
    Pour les tenants de cette seconde hypothèse, ces éléments indiquent que Philistin est assez rapidement devenu un terme désignant une population fortement mélangée et acculturée au milieu cananéen, les termes (comme Seren) ou les nom (comme Goliath) sans origine sémitique restant comme des reliques linguistiques isolées. De fait, les termes de pouvoir et les noms survivent souvent plus longtemps que les autres.

    En l’absence de sources incontestables sur la langue des Philistins de l’époque tardive, le statut précis des populations tardives et leurs relations ethniques, religieuses et linguistiques avec les premiers Philistins des chroniques égyptiennes restent discutés.
    Entre le xiie siècle (période des Juges, antérieur à la formation du royaume de Judée) et le viiie siècle (conquête des villes philistines par les Assyriens), les livres de Samuel puis des Rois racontent de nombreux conflits entre les Hébreux et les Philistins. Globalement, les descriptions bibliques des Philistins leur sont très hostiles et mettent en scène de nombreux combats. L’historicité de ceux-ci est indiscernable, mais les textes montrent que les relations de voisinage furent le plus souvent tendues.
    Après leur implantation, les Philistins se sont organisés en de nombreux villages et villes. La Bible nous les décrit comme dirigés par des seigneurs appelés Seren (un terme sans étymologie sémite), et dans un pluriel hébraïsé, serenim. Le texte biblique semble impliquer l’absence d’un pouvoir central quand il parle de la « contrée qui doit être tenue pour cananéenne, et qui est occupée par les cinq princes des Philistins ».

    Progressivement, les zones philistines vont se structurer autour de cinq grandes villes, qu’on pense avoir été des cités-États indépendantes, chacune disposant de ses propres institutions et régnant sur les territoires, villages et petites villes alentour. Ces cinq villes sont Gaza, Ashkelon, Ashdod, Ekron et Gath (qu’on pense avoir identifié avec le site archéologique de Tell es-Safi).
    Dans les textes occidentaux, le terme de « Palestine » (Palaïstinê) apparaît pour la première fois sous la plume de l’historien grec Hérodote, au ve siècle av. J.-C.31, peut être une forme dérivée de l’Assyrien Palastu ou Pilistu.
    Au 1er siècle, Pline l’Ancien parle également de « Palestine », toujours lié au terme « Syrie ». Au 2e siècle, Ptolémée fait de même. Le terme est utilisé en référence à l’ancien peuple des Philistins. La région désignée est alors beaucoup plus ample que l’ancien territoire des Philistins, et recouvre plus ou moins le futur territoire de la Palestine mandataire. À ces époques, le terme n’est pas unique, les Juifs parlant plutôt d’Eretz Israël, un ensemble géographique regroupant la Judée (au sud) et la Samarie (au nord). Dès l’Antiquité grecque, les termes Palaïstinê et Eretz Israël apparaissent donc comme désignant des réalités géographiques plus ou moins équivalentes.

    Sous la domination romaine, la deuxième révolte juive (132-135) aboutit à l’expulsion des Juifs de Jérusalem sous Hadrien. Jérusalem est nommée Ælia Capitolina et la région est intégrée dans la province de « Syrie Palestine » (Syria Palæstina), nouvelle dénomination, calquée sur le grec, de ce qui était auparavant appelé en latin Syria Judaea (« Syrie Judée » ou « Syrie juive ») par les vainqueurs désireux de faire disparaitre tout rattachement symbolique de la région aux anciens rebelles Juifs.

    Le terme Palestine est resté pour désigner la région pendant toute la période byzantine, arabe puis ottomane. Après la conquête de la région par les Britanniques en 1918, celle-ci devient la Palestine mandataire, confiée par la Société des Nations sous forme de mandat à l’empire britannique.
    source wiki.
    les arabo musulmans n’ont jamais possédés la bande de Gaza sauf par leurs conquêtes .Donc leurs revendications pour un état palestinien n’est pas fondé , en se basant sur les découvertes archéologiques et sur la bases de documents , dont la Bible , et les récits de l’épopée romaine.
    donc L’Etat d’Israël est dans son droit n’en déplaise à tous ces fouteurs de merde , les faits ou certains fait historiques sont là et nous le démontrent .

  7. etre totalement solidaire de l état d ISRAEL…CE SONT NOS AMIS…PAS NOS ENNEMIS…
    PUISQUE ISRAEL REPRESENTE LA CULTURE OCCIDENTALE…
    vous avez deja vu un juif violé une non juive-non
    vous avez deja vu un juif agressé,pillé,égorgé en bande-non
    vous avez deja vu un juif dealer-non
    vous avez deja vu des lieux de cultes juifs dictés leurs lois haineuses anti-françaises…anti-occidentales…anti-américaines…anti-russes-non
    vous avez deja vu des juifs violés leurs propres filles…leurs propres sœurs-
    C EST NON….
    LES JUIFS…PEUPLE D ISRAEL….VOUS AVEZ TOUTE MA CONSIDERATION….
    PUISSE UN JOUR ME RENDRE EN ISRAEL….JE SERAI HEUREUX DE ME RENDRE SUR VOS TERRES…
    AMITIEES….TEMPLIER..

  8. Les Tcheques préferent l’honneur, la verité des faits historiques plutot que la capitalution et la continuation d’une légende indigeste.
    Merci.
    Espérons que d’autres pays européens, comme les courageux Hongrois et Polonais, chacun a leur maniere, se désolidariseront de ces terroristes haineux, menteurs et profiteurs de Ramallah et de Gaza.

    La partie arabe de la Palestine a déja été créée (Etat palestinien = Jordanie), ils ont eu 72 % du territoire au lieu de 50 % prévu, alors il faut 2 choses: qu’ils assimilent les Palestiniens et qu’ils rendent a Israel les 22 % qu’ils ont recu en trop.

  9. Bonjour,

    Enfin …

    Un pays qui n’est pas libre de décider où est sa capitale contre les clowns de l’ONU (Ceux qui mettent les Saoudiens comme protecteurs et garants des Droits des femmes), de l’ U “E” et cie jouent la carte dhimmie.

  10. Bravo les Tchèques ! En espérant que d’autres pays suivront. À bas la dictature de l’Union européenne, de l’ONU et de la bien-pensance ! ?

  11. Le 31 mars 1977, interrogé par le journal d’Amsterdam, Dablad de Verdieping Trouw, un membre éxécutif de l’organisation terroriste de libération de la Palestine déclarait :

    ” le peuple palestinien n’existe pas parce que la création d’un état palestinien est le seul moyen de continuer notre lutte contre l’état d’Israel pour notre unité arabe.

    En réalité aujourd’hui il n’y a pas de différence entre les jordaniens, les palestiniens, les syriens et les libanais. On ne parle aujourd’hui de l’existence du peuple palestinien que pour des raisons politiques et tactiques, car les intérêts nationaux arabes demandent que nous proposions l’existence d’un peuple palestinien distinct pour s’opposer au sionisme. Pour des raisons tactiques, la Jordanie qui est un état souverain avec des frontières définies, ne peut pas réclamer Haïfa et jaffa, Beer- Sheva et Jérusalem. Mais au moment où nous réclamerons notre droit à toute la Palestine, nous n’attendrons pas une minute de plus pour unir la Palestine à la Jordanie ”

    C’est un très beau jour aujourd’hui …

  12. Une très bonne nouvelle. Il est intéressant de constater que ce vote est aussi le travail d’une association chrétienne pro-israélienne, comme quoi, nous devons TOUS nous unir contre notre ennemi.
    Et encore une fois, l’exemple vient de l’Europe de l’Est (ou centrale-Est).

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