L'italie quittera-t-elle la zone euro avant la Grèce, avant la France ?

Les articles sur le sujet foisonnent… Avec le principe  » pas de fumée sans feu », il semble bien qu’il y ait le feu au lac.

Cela ne devrait pas nous étonner. Le prix nobel d’économie Joseph Stiglitz (qui vient de prédire la fin de l’euro en 2017) l’avait déjà annoncé en octobre dernier :

http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/l-italie-va-quitter-la-zone-euro-predit-joseph-stiglitz-605700.html

Un expert économique allemand estime que l’effondrement du bien-être des Italiens pourrait conduire à Rome à sortir de la zone euro, ce qui par rebond aggraverait la crise de l’Union Européenne.

Face à l’incertitude économique et politique que traverse actuellement l’Italie, celle-ci pourrait quitter la zone euro, a déclaré le chef de l’Institut allemand des recherches économiques (IFO), Clemens Fuest. « Le niveau de vie en Italie est aujourd’hui égal à celui de l’an 2000. Si rien ne change, les Italiens pourraient un jour déclarer: « Nous ne voulons plus de la zone euro » », a estimé M. Fuest dans une interview au journal Tagesspiegel. © FLICKR/ JT Référendum en Italie: ciao, l’euro! Dans le même temps, il a averti que si le gouvernement allemand approuvait le programme européen d’aide pour l’Italie, ce serait un fardeau pour les contribuables allemands, qui « ne connaissent pas son montant et ne peuvent pas le contrôler. » Dans le cas de l’adoption de ce programme, la BCE devrait racheter une quantité illimitée d’obligations du gouvernement italien. La BCE serait également autorisée à déterminer le montant du prêt que l’Allemagne devra octroyer à l’Italie. Tenant compte de ces circonstances, les parlementaires allemands, selon M. Fuest, s’opposeraient à ce plan. L’économiste a également estimé que la division de l’Union européenne était de plus en plus criante et qu’elle s’accélèrerait, même si l’Italie restait dans la zone euro. « Cela est devenu clair après le vote du Brexit. Dans le même temps, les pays de l’Europe de l’Est s’éloignent de plus en plus du reste de l’Europe », a-t-il expliqué. En juin 2016, environ 52 % des citoyens du Royaume-Uni ont voté lors d’un référendum pour la sortie de du pays de l’Union européenne. D’après le Premier ministre britannique, Theresa May, le pays a l’intention d’activer l’article 50 du traité de Lisbonne qui prévoit le retrait de l’UE, lequel est prévu pour la fin du mois de mars 2017. Actuellement, le Royaume-Uni est en train d’élaborer sa position de négociation sur les accords cruciaux avec l’UE.

En savoir plus: https://fr.sputniknews.com/economie/201701021029446637-italie-zone-euro-situation-economique/

Le président de l’Ifo évoque la sortie de l’Italie de la zone euro

Le président de l’institut économique allemand Ifo estime que si le niveau de vie de nos voisins européens ne s’améliore pas, l’Italie pourrait quitter la zone euro.

Un Brexit à l’italienne? C’est le scénario craint par Clemens Fuest, dans une interview accordée au quotidien Tagesspiegel. «Le niveau de vie, en Italie, est le même qu’en 2000, explique le président de l’institut économique allemand Ifo. «Si cela ne change pas, les Italiens finiront par dire: “Nous ne voulons plus de la zone euro”». 
Depuis la démission du chef du gouvernement italien, Matteo Renzi, l’économie italienne, dont la reprise reste encore très fragile, est entrée dans une nouvelle période d’incertitude. Or les indicateurs économiques de l’Italie sont en berne. Si le chômage diminue, la dette publique ne cesse de croître. Elle a atteint 133% du Produit Intérieur Brut en 2016, contre 129%, trois ans auparavant. L’Institut national des statistiques (Istat) a récemment revu les prévisions de croissance du pays pour 2016 et 2017. Il table désormais sur 0,8 % cette année (contre 1,1 % auparavant) et 0,9 % en 2017. L’Istat a pointé du doigt une «moindre vitalité de la consommation intérieure et des investissements privés» qui pèseront sur la progression du PIB. 
Pour éviter que l’Italie ne sombre un peu plus, l’Union européenne pourrait éventuellement octroyer des aides. Un scénario auquel Clemens Fuest ne semble pas vraiment favorable. «Avec l’approbation d’un plan de sauvetage pour l’Italie, le Bundestag ferait peser un risque sur les contribuables allemands, dont il ne connaît pas le montant et qu’il ne peut pas contrôler», assène-t-il, estimant que les députés allemands devaient se refuser à signer un tel plan. A titre indicatif, la Banque centrale européenne (BCE) a demandé un plan de sauvetage de 8,8 milliards d’euros afin de secourir la banque Monte dei Paschi di Siena, la semaine passée.

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2017/01/02/20002-20170102ARTFIG00013-le-president-de-l-ifo-evoque-la-sortie-de-l-italie-de-la-zone-euro.php

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4 Commentaires

  1. Avec nos incompétents socialistes, la France est en queue de peloton et regarde à gauche, à droite afin d’emboiter des combatifs, NON !! notre pays doit mettre le nez dans le guidon et ne regarder que devant, pour sortir de cette mascarade européenne dirigée par la mafia. La GB et son peuple gagnent leur pari depuis sa sortie de cette merde, et ce malgré la diabolisation merdiatique des gauchistes.
    Bravo les Anglais hier; Bravo les Italiens demain; Bravo les Français après demain.

  2. Tout a fait. – La maison mere mondialiste USA via L’EU aura détruit tout les tissus sociale et économique des nations europeenne, Aprés ses 17 années le resultat a engendrer la misere des peuples. L’experience du vécu permettra ensuite aux nouveaux dirigeants nationaliste nous representants d’etre vacciner pour ne revivre cette aventure mortifere. La construction d’une force économique et sociale nationale/europeenne devra impérativement tenir compte de la souverainté des peuples dans ses choix .

  3. Le bateau de UE prend l’eau de toute part et il ne sert à rien de colmater les trous. L’UE n’en a plus pour longtemps.

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